Érard d'Andigné [Terminé]

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 Érard d'Andigné [Terminé]

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MessageSujet: Érard d'Andigné [Terminé]   Érard d'Andigné [Terminé] Icon_minitimeSam 30 Mar - 20:57



Érard d’Andigné
« Le sang est fait pour être versé, pas pour le garder »



IDENTITE : Érard d’Andigné
SURNOM : Le comte
AGE : 46 ans | SEXE : Masculin
PEUPLE :  Terran
CASTE : Cavalier de Sharna
METIER : Commandant des Cavaliers Gris




DON : Agilité développée // Grande adaptabilité
SPECIALITES : ► Endurance (capacité à tenir un combat longuement)
► Tacticien (capacité naturelle à développer des tactiques de guerre ou politique)
POUVOIRS : Trois pouvoirs (sauf pour Prédef.) + degrés de maîtrise (vous avez droit de remplir 9 étoiles ★)

Sang Infernal = ★★★✩✩✩
Érard maîtrise un cadeau magnifique du Grand Sharna : Il peut enflammer son sang. L’usage le plus pratique de ce pouvoir consiste à se taillader la paume de sa main le long de la lame d’une épée, lui permettant ainsi de projeter du feu capable de terrifier ou de gravement blesser l’adversaire. Lorsqu’il doit s’enfuir, il est également capable de laisser derrière lui des traînées de sang qui peuvent être utilisées comme des pièges se déclenchant sur les poursuivants.
Ce pouvoir est aussi puissant qu’il est instable. En cas d’anxiété ou de panique, le sang a tendance à bouillir à l’intérieur du comte. Loin de le fatiguer ou l’épuiser, l’utilisation du pouvoir a tendance à le rendre fou et lui donner envie de l’utiliser toujours plus : au risque ou bien de se vider, ou bien de devenir une torche humaine suite à une combustion spontanée.


Fanatisme = ★★★✩✩✩
Une forme de la magie empathique, mais pervertie par son usage pour la gloire de Sharna : Le fanatisme sert à Érard pour inspirer la colère et la haine dans un homme. Il se manifeste principalement par des acouphènes, ou des chuchotements très désagréables dans l’esprit de celui qui est enchanté, et l’utilité principale de ce pouvoir est qu’il est utilisé par le comte avant une bataille pour donner une soif de sang envers ses troupes.
Néanmoins, ce pouvoir n’est que très diffus et efficace uniquement sur les foules. Il faut déjà être sensible à la haine et au combat pour être victime du sortilège, il ne peut pas être utilisé pour manipuler un individu seul.


Vipère = ★★★✩✩✩
L’inverse de l’absorption de la douleur : Alors qu’Érard est blessé, il peut transférer sa peine envers un corps autre. Néanmoins, l’utilisation de ce pouvoir ne peut se faire qu’envers un maudit qui ne s’y attend pas et qui fait un minimum confiance au magicien. Il est impossible d’utiliser ce pouvoir sur un ennemi qu’on est en train de combattre, mais il est aisé de le faire par surprise sur un allié.


– Une épée longue à deux mains, gentiment baptisée « Loup Hurleur ». Malgré son appellation très prétentieuse, ce n’est ni une relique centenaire avec une importance familiale, ni une arme ayant des propriétés fascinantes. C’est une épée, comme une autre, excepté sur son pommeau est magnifiquement décoré en or et avec des bijoux, et que sur la lame ont été gravées des prières pour Sharna en isthar.

– Une magnifique armure de plates d’acier sur-mesure, avec des lignes d’or et un traitement en argent. Le tout a coûté extrêmement cher aux paysans des domaines contrôlés par le comte, et il serait atroce pour tous ces pauvres manants que leur sire subisse une éraflure qui l’obligerait à en acheter une nouvelle.


– Un catalyseur fixé à une petite amulette portée par une chaînette autour du cou, et joliment stylisée pour représenter Sharna.
– Un domaine militaire baptisé « comté », qui lui a été confié par la hiérarchie des Cavaliers de Sharna. Situé au nord de Thémisto, c’est une terre appauvrie, avec un sol peu fertile, où un tas de paysans vivent péniblement d’un dur labeur pour satisfaire leurs maîtres. Parce qu’il trouvait son domaine trop petit, Érard a été obligé de spolier celui de ses voisins, mais ils avaient tort puisqu’ils ont été vaincus.



Une force de la nature. Le comte a beau être un Terran tout ce qu’il y a de typique, il est un Terran accompli et foutrement terrifiant. Une brutasse haute de six pieds, avec des épaules larges, une énorme barbe dans laquelle il n’arrête pas de coincer des miettes quand il mange, une chevelure qui serait imposante si seulement il n’était pas atteint d’une méchante calvitie qui commence à lui donner un crâne d’œuf – libre à vous de savoir s’il est intelligent de faire une blague sur le fait que vous voyez votre reflet sur son front, néanmoins.

Il est le stéréotype parfait du cavalier de Sharna, le genre d’énergumène sur lequel on s’attend à tomber quand un de ces vauriens retire son casque. Ridé, sourcils broussailleux et arqués, de grosses oreilles légèrement décollées, des dents manquantes à cause de combats successifs qui l’ont forcé à remplacer ses chicots par des prothèses en or massif. Il parle toujours avec une voix rauque, rugissante, extrêmement pratique quand il faut donner des ordres concis mais violents au milieu du chaos d’une bataille. Il sent toujours une mauvaise odeur très forte, métallique, la faute à ses saignées répétées qu’il s’amuse à faire pour utiliser sa magie.
En tant qu’aristocrate, néanmoins, il peut montrer une sophistication pataude à laquelle on ne s’attend pas. Lorsqu’il faut donner une réception, il se parfume et se met à porter de jolies robes en velours qui lui vont beaucoup moins bien que son énorme harnois d’acier qui lui sert ordinairement de carapace. Encore une fois, libre à vous de savoir s’il est judicieux de lancer un bon mot sur le fait que ses chausses ne sont pas assorties avec son doublet.

Il est vieillissant. Ce n’est pas seulement son crâne dégarni qui doit vous faire penser à ça. Ceux qui l’ont côtoyé quand il était un jeune homme savent qu’il fut un temps où le comte était bien plus terrifiant que cela, moins tassé, moins trapu, plus agile. Ce n’est pas bon signe. Là où autrefois, tous ses subalternes étaient trop terrifiés de lui pour tenter de le défier, les jeunes cavaliers qui commencent à remplacer les anciens sont bien plus ambitieux, et moins impressionnés par la carrure de quadragénaire tortue d’acier qui se présente devant eux…


Un vieux sage d’Isthéria, qui a vécu il y a très longtemps, avait écrit qu’un bon prince est celui qui est à la fois craint et admiré. C’est par cette maxime que Érard d’Andigné a toujours tenté de vivre, avec des résultats très variables.

L’admiration, c’est pour ses hommes.
Une force de la nature. Un commandant impitoyable. Un meneur toujours à cheval là où le feu est le plus dur. Il correspond assez bien à ce qu’on attend d’un chef militaire des serviteurs de Sharna. Charismatique comme pas deux, il sait faire des discours rugissants en trouvant les bons mots pour inspirer les troupes : Il est en général très aimé des soldats, même s’il a la méchante tendance à toujours les envoyer au casse-pipe. C’est un fanatique dévot. Sharna n’est pas pour lui un simple culte de convenance, il est physiquement incapable d’aligner six phrases sans ajouter par un mot ou une réflexion une petite référence au Dieu de la guerre, et matin, midi, et soir, il ne peut pas s’empêcher de faire des prières et d’exiger des gens autour de lui de faire de même.

La crainte, c’est pour ses manants.
La raison pour laquelle le maître des cavaliers de Sharna a regardé d’un œil assez passif la manière dont Érard s’est amusé à exproprié pas mal de ses voisins et rivaux, c’est parce qu’on ne peut pas nier que sa domination sur les territoires qu’il contrôle a été rudement efficace. Les paysans qui triment à son service ont été martyrisés et réduits à un état de servage qui leur donne à peu près autant de conscience politique qu’une salade. Le brigandage et le braconnage, autrefois endémique, a été réprimé avec une hargne impitoyable, à grand coup d’exécutions publiques et de responsabilité partagée : Lorsqu’un meurtrier est arrêté, pourquoi se contenter de le punir lui, alors qu’on peut punir toute sa famille en les obligeant à s’exiler et en rasant leur maison ? Les paysans du comté d’Andigné sont partagés entre le bonheur d’enfin pouvoir aller d’un village à l’autre sans risquer de se faire piller, et le sentiment que l’ordre rétabli se contente de les extorquer aussi durement que les criminels avec des taxes, des réquisitions, et du logement obligatoire de soldat chez l’habitant.

Les choses ont néanmoins changé ces derniers années. Peut-être est-ce son mariage, peut-être la naissance de ses enfants, surtout son bel aîné, le jeune Foulques. Depuis, le comte apparaît plus malléable, plus prompt à écouter les pétitions villageoises, et même, grand étonnement, d’éprouver de la miséricorde pour un accusé attendant un jugement. Bien sûr, pour certains dans l’entourage du comte, ce n’est que la preuve qu’il a perdu la raison, qu’il s’affaiblit, et que c’est l’occasion rêvée de se débarrasser de lui…



PRENOM : Foudroyante
RACE : Chien
SEXE : Femelle
POUVOIR : Gigantisme
DESCRIPTION : Un animal errant qui a été trouvé couvert de puces, anorexique et blessé de partout dans les forêts avoisinant le comté d’Andigné. La pauvre chienne aurait été euthanasiée à coup de flèches dans son crâne si seulement elle n’était pas d’une taille anormalement élevée et qu’elle n’avait pas entre les deux yeux un gros morceau de cristal incrusté. Foudroyante adore les câlins sur son museau, les grattouilles sur son cou tout poilu, et surtout pouvoir traquer et dévorer les braconniers qui s’amusent à chasser le gibier réservé aux cavaliers dans les forêts.


PRENOM : Téméraire V
SEXE : Destrier, étalon
DESCRIPTION : Comme son nom l’indique, Téméraire est en fait le cinquième destrier que le comte a. Chacun des étalons qu’il a eu au cours de sa vie ont servi loyalement leur maître, jusqu’à que la mort les trouves, le plus souvent au combat. À chaque fois que l’un d’eux est mort, le comte a été plongé dans une période où il broyait continuellement du noir, jusqu’à ce qu’on lui offre un nouveau qu’il a apprit à apprivoiser difficilement.
Téméraire V lui a été offert par son épouse, il y a deux ans seulement. Érard pleure encore secrètement la mort de Téméraire IV et n’éprouve pas encore la moindre affection envers sa bête.



On naît cavalier, on meurt cavalier. Ce n’est pas un choix qu’a fait le jeune Érard, c’est un destin qui lui a été lié dès son enfance.
Son père et sa mère étaient déjà tout deux au sein de la grande horde, pas si différente de celle d’aujourd’hui : Démégor était le meneur, Phelgra faisait peine à voir, et il y avait quantité de truands et de compagnies d’écorcheurs en tout genre à anéantir. C’est au sein même des casernes du Manoir Cavaleri que Érard a vu le jour, certaines rumeurs infondées, murmurées par des soldats, disent même qu’il est né alors que sa mère montait un cheval.

Papa avait été nommé comte-marcheur d’un domaine pas très éloigné Thémisto, les yeux et le bras armé de Demegor au niveau local. Une bastide froide et austère, un tas de champs appauvris, encerclés par des forêts mornes pullulant de bandits et de monstruosités en tout genre. La maison. Deuxième né d’une fratrie, Érard grandit dans un foyer aimant malgré la sévérité de l’éducation que pouvaient bien prodiguer deux militaires droits dans leurs bottes et leur cuirasse. Pas de traumatisme d’enfance, pas d’humiliations répétées, un gosse un peu pourri-gâté mais qui rendait tout de même fier ses parents, surtout sa manière de monter aux arbres et de se bagarrer avec tout le monde sitôt qu’il avait appris à marcher.

Papa mourut quand il avait dix ans. Ne pleurez pas. Ce n’est pas triste. C’est même très honorable pour un guerrier de Sharna de mourir de la manière dont il avait trépassé : Il était mort durant le siège d’une ville, lors d’une guerre quelconque, en hurlant et en agitant une épée dans tous les sens. Érard n’a qu’un petit peu pleuré la mort de son père, maman lui avait dit de vite les sécher et de lui dire de trouver confiance en Sharna. Il n’a jamais failli à ce conseil. Il n’a jamais passé une journée, exception faite de quelques périodes de crise de foi plus-ou-moins longue, sans honorer le Grand Guerrier.

Maman était une sainte, une brave femme, rude et sévère. Mais elle ne pouvait pas à la fois gérer le comté militaire et s’occuper de l’éducation de son fils. Elle envoya le petit Evrard au Manoir Cavaleri, et demanda à des amis de la famille de lui trouver quelque chose. C’est un seigneur de l’ordre qui le prit sous son aile et fit de lui son page ; Il s’appelait Ernst Mordhau, et il était commandant des chevaliers gris.

Mettre un gamin de dix ans dans une armure et l’apprendre à monter à cheval ça se fait pas partout. Mais disons que le concept « d’enfant-soldat » est perçu différemment en Phelgra. Dès son enfance, Érard fut habitué à la vie de campement, aux marches interminables sous la pluie, à la dysenterie et au typhus, et aux plaintes angoissées de gens auxquels on avait arraché des morceaux. Une éducation stable et très honorable, donc.
En grandissant, Érard parvint à être respecté et bien aimé de sa bande de copains-massacreurs. Rieur, très aimable, même si son fanatisme pour Sharna inquiète parfois, il eut la grande chance de pouvoir survivre à quelques batailles (Je sais que ça fait mauvais genre, mais la réalité est que survivre à une guerre dépend souvent plus de la chance que du talent), ce qui acheva d’asseoir sa position naissante parmi les cavaliers de Sharna. Quand à l’âge de vingt-cinq ans, sa mère trépassa à son tour, personne ne s’opposa à ce qu’il soit nommé comte des terres que maman et papa dirigeaient.

Mais les cavaliers de Sharna ont une notion de l’honneur très complexe. Ou très débile, si vous êtes cynique. Érard admirait Ernst Mordhau. Mais il admirait l’idée qu’il se faisait de sire Mordhau. Le guerrier, le chef de meute, le fou furieux qui anéantissait des gens gaiement à la hache. Dès l’instant où Mordhau s’est mit à vieillir, à se montrer plus doux, et moins furieux, le respect et le sentiment d’amitié qui le liait à Mordhau s’estompait. Pire, il se sentait petit à petit trahi par celui qui avait été son mentor et son ami.
Et c’est ainsi qu’il arrangea un complot pour faire croire que un neveu de Mordhau attaquait des caravanes marchandes, qu’il trouva des alliés, et qu’il arriva avec un petit ost pour ouvrir les portes de force au bélier et de venir au chevet d’Ernst avec vingt épées acérées en guise de cierges. Il l’expropria de force de ses terres, s’empara de son titre de commandant, alors qu’il n’avait que trente ans.

Il épousa, on peut le dire clairement, de force la sœur d’Ernst, et s’établit comme un loyal serviteur des cavaliers de Sharna. On donna des sacrifices, on tua des brigands, un petit âge d’or et de sang comme on aimerait que Phelgra soit un peu partout.

Les choses ont changé récemment. Le plus vieux des fils d’Érard est devenu un beau jeune homme de seize ans. Alors qu’il s’était débarrassé de ce chiard en l’envoyant au Manoir Cavaleri pour être instruit comme le comte l’avait été lui-même enfant, il s’est récemment surpris à aimer ce jeune homme plein de fougue et de vie. Foulques est tout l’inverse de son père : Honorable, chevaleresque, respectueux, il est une anomalie au milieu de la meute des enfants de Sharna. Érard se surprend à se dire qu’il fera tout ce qu’il peut pour le protéger.  

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Othello Lehoia
MessageSujet: Re: Érard d'Andigné [Terminé]   Érard d'Andigné [Terminé] Icon_minitimeSam 30 Mar - 21:42

Bonsoir, Comte, et bienvenu parmi nous!

Un personnage intéressant et terriblement haut en couleur. Pour moi, il n'y a rien à redire!

Fiche validée!


Tu vas pouvoir dès à présent te rendre dans la " GESTION DES AFFAIRES " afin d'ouvrir ton compte en banque, ton journal, ton inventaire et proposer ton évolution dans le comptoir à pouvoir.

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Tu vas pouvoir te lancer dans l'aventure! Encore une fois, sois le bienvenu!
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