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:: La haine noire ::

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:: La haine noire ::
Le chat
MessageSujet: Le chat   Le chat Icon_minitimeDim 3 Nov - 19:01



Luthien Ferish
«Celles dont les pleures n’ont pas été entendu »




IDENTITE : Luthien Ferish
SURNOM : Le chat
AGE : 21 ans, née en 1284| SEXE : Féminin
PEUPLE : Yorka
CASTE : Ladrinis
METIER : Assassin/voleur =) elle fait les deux, peut-être à résumé par « malfrat » ?




DON : Transformation en panthère noir
SPECIALITES : Pas léger + Précision
POUVOIRS :
1er pouvoir = ★★★★★✩ Oubliette : capacité a effacé sa présence en un lieu (les gens évitent de poser leur regard sur elle inconsciemment, ne marche plus si elle s’est fait remarquer par la personne)
=) actuellement : peut l’utiliser en contrôlant sa consommation d’essence divines mais pas sa puissance… Ceux qui la rend soit trop oubliable même pour les gens qu’elle côtoie soit pas assez et elle finit courser.

2nd pouvoir = ★★✩✩✩✩ Rappel : capacité à s’attiré la sympathie des félins et même plus (mais ça, ce n’est pas voulue)
=) actuellement : consommation monstre et résultat pas forcement probant ; ne marche pour l’instant que sur les petits félin (chat par exemple) qui viennent la coller à la moindre utilisation et ne veulent plus la lâcher. Le seul avantage ? Avoir une couverture vivante quand il fait froid la nuit en ville.

3ème pouvoir = ★★✩✩✩✩ Résistance : capacité a « s’isolé de son corps » soit une résistance notamment a la torture en « oubliant » par exemple la douleur mais toujours que partiel, jamais totalement.
=) actuellement : l’utilisation consomme beaucoup d’essence divine et l’épuise pour au final à peine atténuer ceux qu’elles subits.


Arc : en bois de chêne et corde d’écrin de cheval, basique mais fiable.
Dagues : manches métallique recouverte de lanière de cuir taché de sang et une lame certes fine mais bien aiguisé


Une simple sacoche noire ainsi qu’un carquois en cuir foncée avec des flèches avec des plumes d’aigles et de faisans. Elle transporte essentiellement son argent et son chat dedans, les dagues étant dissimulé dans son pantalon



Cheveux long noirs, yeux vairons ayant attiré des convoitises par le passé mais surtout, des marques. Combien ? Elle ne les a jamais vraiment comptés ; est ce son visage qui a été le plus épargné par la folie de ce monde ? Seul une cicatrice traverse son œil droit, aussi glaçant que le sang qu’elle a déjà fait couler. Que dire du gauche ? Jaune, telle un bijou du soleil qui vous fait oublier la lune haute. Mais les pupilles en fente de ce fauve vous feront dire d’elle que c’est un démon et seul la marque gravée au fer rouge en bas de son dos, un « S » barré à l’horizontale vous feront comprendre que cette aura sauvage ne vient que d’un monde trahit et délaissé. Caché, toujours caché, le passé et ses marques sur son corps, sa poitrine, son dos, un peu plus bas que le nombril car crier tue, donne soif mais crier n’a jamais permit d’obtenir une réponse. Une longue ligne cours le long de son dos, une ligne de poils noir, jusqu’à sa queue féline alors même que ses oreilles tout aussi somptueuses dans la tristesse du corps, sont caché sous une capuche noire. Ses crocs, eux, ne vous seront pas visible non plus, foulard cachant sa bouche et gants cachant ses griffes rétractables. A la fois traité de monstre et d’objet de collection, seul sa haine est plus grande que ses 1m89. Petite poitrine, svelte, elle peut aisément passer pour un homme.

En termes de vêtements, elle aborde essentiellement des vêtements noir ou sombre bien que les marques de couture sur sa cape (munie d’une capuche) attestent du temps passé à la porter. Cela contribue a cacher sa féminité ainsi que les marques d’anciens fer laissé sur ses poignets, cheville et cou.


« Le monde ne m’a jamais sauvé, servie ou même simplement, aider. Je n’ai aucune raison de sauver qui que ce soit, je laisse cela aux grands héros s’ils en ont envie mais ne compter pas sur moi pour faire preuve d’honneur ou de compassion. Ce monde n’en est pas digne. » Voila comment on peut résumer cette être sauvage. Car c’est bien par sauvage qu’on peut résumer cette personnalité, idolâtrant même d’avantage sa forme animale qu’humanoïde. Car quand on devient une panthère, quelle loi peut-on alors appliqué à une telle créature ? N’est ce pas la forme la plus libre qui soit, finalement ? Courir dans les bois ou sur la plage tant que les senteurs du sol et de l’air vous parviennent, tant que la lune poursuit le soleil dans une ronde éternelle. Mais cela ne lui permettra pas de se venger néanmoins, elle a besoin de jambes pour retrouver ses démons et pour leur faire gouter leur propre sang et leur montrer ses yeux a l’image de ce cœur qu’ils ont meurtrie par le passé. Non, elle ne demandera pas ou sont ses parents, elle ne pourrait leur faire face et même plus, serait-elle encore capable de ressentir quelque chose a leur égard après tant de temps.

Faire confiance aux gens ? Dur, car elle ne veut pas que quelqu’un voit ses faiblesses, ses terreurs quand ses yeux se ferme, qu’ils la prennent pour un petit animal effrayé. Revoir sans cesse les mêmes scènes, il y a de quoi enragé, non ? Enragé d’être ainsi malgré le temps passé. Cela n’en fait pas pour autant un mauvais compagnon, il ne faut juste pas espérer la connaitre autrement que par son surnom « le chat » comme elle se présente elle-même. Être proche d’elle peut prendre du temps, beaucoup de temps car son passé a fait d’elle quelqu’un d’imperméable a beaucoup de chose, connaissant d’avantage la haine que l’amour.



PRENOM : Frey
RACE : Chat
SEXE : Mâle
POUVOIR : Gigantisme
DESCRIPTION : pelage noir et soyeux, semi long. Ses yeux sont tels deux perles de l’océan trônant dans l’obscurité. Ses coussinets sont comme son museau, plus sombre que la cendre elles même et ses oreilles écartés et grande, sans être exceptionnel non plus. Ce chat est très doué pour la fuite et pour vous regarder droit dans les yeux en renversant votre repas avec un air satisfait. Il adore dormir, comme tous les chats mais la pierre de sphènes bleue trônant sur sa tête entres ses deux oreilles font aussi de lui un compagnon précieux en plus de mignon. Enfin mignon, il l’est moins quand il ramène un rat mort ou ressort d’une flaque de bous suite a une maladresse. Et bien qu’il puisse servir de monture en cas de fuite précipité, il ne faut pas compter sur lui pour se mouiller les pattes, la choses qu’il aime encore moins que la volaille ou le lait.



J’ai du mal à me souvenir vraiment, je l’avoue, des premiers mots que j’ai prononcés ou même du sourire ou du visage de mes parents. Mais un souvenir reste inoubliable, je le revis sans cesse, il vient roder la nuit quand le sommeille me prend. Je me rappelle qu’on me tire par les cheveux, que je vois des lèvres fines et sur une autre personne, des épaule large et carré se faire emmener à travers des barreaux, je crois que c’étais mes parents. Je sais que je finis dans une autre cage, inconfortable, avec d’autres enfants et que l’un deux, tout juste plus âgé que moi, me prend dans ses bras ; mon grand frère. Je me souviens également du soleil écrasant à peine caché par le couvert des arbres, de nos gorges en feux, de nos poumons obstrués par l’air lourd et humide et de la faim nous taillant le ventre. Je ne me souviens plus combien de temps cela dura, seul l’odeur de nos propres déjections fut un indicateur temporel. Mais l’arrivé aussi fut gravé en moi ; sortant, des chaines presque brulante attaché a chacun de nous, aligné en rend alors que d’autre était jeté dans une énorme fosses : est ce mes souvenirs ou n’ai-je vraiment pas remarqué que certains étaient morts durant le périples ?

Ont fut emmener sous terre dans des geôles séparé avec si peu d’espace, j’entendais la respiration de mon frère alors qu’on venait de nous donner à peine de quoi manger et boire. Les maladies faisaient des ravages dans cette atmosphère privé de soleil. L’obscurité ne me gênait pas plus que ça, c’est vrai mais mon frère n’était pas du même animal, affilé quant à lui d’un vénérable cygne. Si seulement il avait pu s’envoler. On attendait, ce ne fut pas long avant qu’une grande partie de nous fut pris par un exploiteur de mines. Main d’œuvre facile et pas cher, si mon frère n’avait pas été là, j’aurais probablement oublié comment je m’appelais. On était cette fois dans la même cage prés de la mine, des couchettes interposées dans une petite cage et un sceau, notre seul confort une fois qu’on oublie les fers. On mangeait seulement si on ramenait une certaine quantité de métaux précieux de la mine prés de la citadelle de Tindell dans les pics dentelés. Mais mon frère tomba malade. Je me souviens de ce soir.
« - Grand frère, grand frère !
- Arrête de crier Luthien, *tousses*, sinon, nos gardiens vont encore venir te frapper, petite sœur.
- Mais tu ne vas pas bien… Qu’est-ce que je peux faire ? *pleure*
- Ça va, ça va, ne t’inquiète pas. *tousse violement*, je veillerais toujours sur toi, tu sais.
- Il faut partir, peut être que comme ça… »
Il met sa main sur ma tête, il était si faible, peu nourris car travaillant presque pas si bien qu’a la fin, il refusait que je partage mon repas avec lui. Peut-être avait-il compris ? Alors je m’étais coucher contre son torse chaud, il avait mis sa main dans mes cheveux emmêler.
« - Petite sœur, sa me manque l’époque où tu apprenais à marcher et le visage de nos parents, t’en souviens-tu ?
- Oui… »
Je mentais.
« - L’un était chat et mère était cigognes… Les deux avaient des cheveux blancs mais seul père avait les yeux rouges alors que mère avait les yeux bleus. Je suis sûr que ton œil jaune vient de notre grand père, une panthère comme toi. Mais tu sais, même si ça fait déjà trois ans depuis ce jour maudit, je suis heureux d’avoir pu les passés avec toi.
- Ne sois pas bête, demain aussi je serais là.
- J’aurais tant aimer pouvoir m’envoler dehors avec toi a mes coté. Dit petite sœur, quel crime a-t-on commis ? »
Je n’avais pas eu besoin de le regarder pour entendre ses larmes alors que sans bouger, je profitais de ses caresses sur mes cheveux jusqu’à que la fatigue eut raison de mes pleures et de mes bras endoloris.

Le lendemain, son torse ne se soulevait plus et il était froid mais je n’étais pas prête a l’accepté alors je me suis levé, le regard vide et n’ai rien dit quand on nous a emmener à la mine. Et le soir alors qu’un seul repas avait été déposé dans ma cage ainsi qu’un verre d’eau, je me suis approché du corps aux yeux révulsé.
« - Grand frère, je suis de retour, tu devrais manger un peu… »
Parfois, je riais toute seul, j’imaginais qu’il me répondait ou je lui lançais simplement ;
« - Arrête de faire le mort, si tu ne veux plus me parler, dit le simplement. »
Combien de jours ce petit jeu dura alors que le monde autour de moi semblait s’être écroulé ? Je ne voulais plus être là à telle point que la première fois que j’utilisa un pouvoir, je m’évanoui mais cela n’apaisa pas vraiment ma douleur et la tristesse fut plus grand encore à mon réveil.

Mais finalement alors que le corps commençait à se décomposer, les mouches venant d’y pondre, trois individus rentrèrent dans ma cage. Le premier me saisis par le collier, m’entrainant dans un coin de la cage alors que je me débattais Le second gardais la porte ouverte et le dernier pris la jambe de mon frère pour le trainer. J’hurla tel la désespéré que j’étais.
« - Lâcher mon frère !!! »
Je mordis l’individu qui pour me retenir d’avantage, avait eu la mauvaise idée de mettre son bras libre devant mon cou. Il m’avait alors plaqué sur le mur de la geôle alors que les deux débarrassant le cadavre disait simplement que c’étais normal, que j’étais une Yorka dégénérée. A moitié assommé, je fixais de nouveau dans le vide, refusant de croire que mon frère était mort.
« - Tu viens Freign ?
- Allez-y, je vous rejoins… Plus tard »
Ses compères avaient confiance en l’homme costaud qui me retenais. Ceux qu’il pouvait me faire, leur importait peu, je n’étais qu’une esclave après tout.

Une lumière tamisée d’une torche dans le couloir éclairait de manière malveillante le visage qui me faisais face alors que le sourire du Toran devint presque diabolique. Je ne me débattais plus vraiment, mes mouvements était vint et désespéré, sans force. Il vint chuchoter à mon oreille, que mon frère était mort alors que ses mains devinrent intrusives. Je n’avais pourtant que 5 ans ! Mais son visage, a défaut de connaitre son nom entier, ne me quittera jamais et malgré ma passivité du moment alors qu’il me mettait littéralement à nus, ne me quittera jamais. Ses cheveux brin, ses yeux tel l’écorces des arbres, sa légère barbe attestant du fait qu’il s’agissait d’un individu d’âge mure. J’ai volontairement oublié partiellement ce moment même si je me souviens de ses paumes dures et de ses yeux scrutant mon corps comme on le ferait avec un bijou précieux. Il m’avait ensuite laissé là alors que toujours aussi dénudé, j’étais assise dans un coin. Souhaitant par-dessus tout qu’on m’oublie, qu’on ne face pas attention a moi. C’est ceux qui se produisit malgré la grande fatigue qui s’emparât de moi, me forçant à dormir.

Mais le fait de se débarrasser d’un corps avait été fait dans l’unique but de rendre présentable le dépotoir et mon frère ne fut pas le seul ayant succomber et ayant été laissé avec un autre esclave malgré tout. On n’alla pas travailler le lendemain, un noble vint, il cherchait des esclaves spéciaux et autant il passa devant ma cage sans faire attention a moi la première fois mais la seconde, un de nos gardien attira son attention sur ma personne. Ils étaient de nouveau trois en comptant le noble, l’un d’eux m’obligeant à lever la tête et l’autre me déshabillant, de nouveau. Mes yeux, ma nature… Si seulement je n’avais pas tenté de fuir en frappant un des gardiens avec une carafe en terre cuite… Mais à partir de ce moment-là, je ne fis pas seulement un bijou, mais une future combattante. Pour aller ou en plus ? Je fus assommée, ne faisant qu’à peine quelques pas. Cela me fit une blessure au visage, cela à apriori baissé mon prix.

Quand je me réveillai, ce fut par la douleur alors qu’encore nue, j’étais attaché par le cou et les mains au mur et qu’un fer chaud été appliqué en bas du dos. Un S barré, symbole de mon future propriétaire, messire Sanarais, Jean Sanarais, homme aimant autant la beauté de ses possessions que les combats d’esclaves. Je fus ensuite transporté de nouveau, marchant a coté d’un cheval, j’avais si mal aux pieds a la fin de la journée. Mais un frémissement de peur et de douleur m’atteignit de manière plus flagrante quand la coté de Ridolbar fut de nouveau en vue, comme si mon existence se résumais à cette cité. On n’était pas beaucoup, a peine cinq dans les geôles de mon maitre.

Mais je ne savais pas encore combattre et je dus d’abord apprendre à me protéger des coups de fouet de mon maitre sadique avant de me confronter à d’autres esclaves, aussi malchanceux que moi. Mon premier combat se déroula à peine un mois après mon arrivé, combien de fois ai-je utilisé un pouvoir, pour qu’on m’oubli ? Combien de fois me suis-je évanoui ? Un couteau mis en mains, un autre gamin devant moi, un public dégoutant enivré pour la moitié lançant des paris. Cela aurait pue être pire, une mise plus haute mais quel intérêt de faire des combats d’abord dure avec le fait évident que le combattant mourra sans avoir la chance de se renforcer pour la suite ? Deux désespérés qui face à la peur des coups de fouet, furent bien obligé de bougé, lui en premier. Moi, je me suis contenté de finir au sol, couteau en avant, fermant les yeux et le garçon alla s’empaler dessus. Le sang entre les mains, goutant sur moi, jamais je n’oublierais ma terreur de la première fois. Mais j’appris quelques choses, peut-être pour le meilleur ou le pire ; c’était tué où être tué. Combien d’année passèrent ? Je ne sais pas, je n’étais plus une petite fille, j’étais devenue « le chat », un nom d’esclave expliquant mon agilité, mes oreilles ou ma queue alors que les combattant allant vue ma seconde forme… L’ont toujours regretté, me fondant complétement en mon animale, sans pitié, sans clémence. Je crois que c’est à partir de 10 ans que j’ai arrêté de compter les entailles et blessures que subissait mon corps. Et à partir de 11 ans que j’ai arrêté de compter le nombre de fois ou on m’exhibait juste à cause de mes yeux et de mon visage essentiellement et que l’on m’abusait par mon maitre ou ceux l’ayant payé assez cher. Certaines blessures me font encore mal aujourd’hui, certains combats remonte dans mes souvenirs, telles des bêtes enragés.

A 15 ans, je m’enfuis, mon maitre voulant nous transporter avec les 2 autres esclaves qu’il avait à ce moment-là jusqu’à Mavro limani mais souhaitant d’abord aller voir un ami à la cité d’Umbriel. A pieds, comme toujours, on passait à proximité d’un moment de la rivière qui était assez forte et passais prés de la frontière. J’étais en première position, juste avant celui qui tenait nos chaines, un jeune garçon aussi sombre que mon maitre, aux cheveux bleu et yeux vert, une balafre traversants son visage. D’un mouvement sec, je lui fis lâcher et précipita moi et les deux autres dans la rivière. Je n’ai pas eu le temps de voir leurs visages surpris ou désespéré mais je me suis juré de les retrouver un jour pour leur faire payer. Attacher, a de nombreux tournant, je failli me noyer, des heures passèrent et même un cheval au gallot n’aurait pu espérer nous rattraper à travers des rapides. Quand le courant se calme enfin, j’étais épuisé, mon corps recouvert d’hématome et de blessure mais j’étais en vie. Je pus me mettre a couvert d’arbre bien que difficilement, les deux corps qui m’accompagnait, l’un avec les poumons remplie d’eau et l’autre avec le crane fendue, était plutôt lourd. La première étape fut d’enlever la chaine nous reliant ; l’eau avait amoché le métal suffisamment pour que de la patiente, deux grosses pierres et une demi-journée sois suffisant. Mais des soldats approchaient, je me cachai dans des fourrés, utilisant un de mes pouvoirs qui bien qu’éreintant, était un peu plus maitrisé. Ils trouvèrent les deux corps et ils conclurent rapidement que je devais déjà être loin, cela m’arrangeait. Une fois qu’ils furent repartis sur leur chevaux en amenant les deux cadavres, je sortie de mon trou comme qui dirais.

Je marchai ensuite, en aval de la rivière, m’approchant de la mer alors que le sable du pays voisin me parvenait, je savais que tenter de traverser ainsi était suicidaire et boité ne m’aidais pas. Mais je ne pouvais m’arrêté en espérant que ça aille mieux. Le soir du jour suivant finalement, je vis un campement au loin tenue juste par un vieux marchand et sa caravane. Il mangeait, j’en profita pour arriver discrètement derrière lui et lui trancher la gorge avec son propre couteau, aucune pitié. Aucune clémence pour ce pays qui m’a tant pris. Je pris ses vêtements, pour m’habillé un peu mieux, caché mon collier et autres entraves, les vivres dans un sac que j’accrocha au cheval de trait de la caravane. Je profitai du couvert de la nuit pour passez la frontière, je fus très brièvement poursuivi mais m’enfoncé dans un désert froid la nuit découragea mes quelques poursuivant. Le plateau désertique eut raison de ma monture et je dus mon salut qu’au fait que je trouvai un point d’eau, la grande source qui me sauva la vie en quelques sorte. Les vautours sont reconnaissant de ma fuite, ils ont pu manger du cheval. Je crus également voire une créature a la peau membraneuse, écailleuse, renvoyant le soleil. Haut et fin, je crus d’abord à une hallucination surtout qu’elle disparut a très grande vitesse a peine m’eut elle vus mais je sus que non quand je perçus des traces dans le sable plus tard. A ce moment-là, j’avais tout juste une gourde avec moi et j’attendis la pleine nuit pour reprendre ma route, sans grand espoir, je dois dire. Je crois que ce sont des nomades qui m’ont retrouvé, m’emmenant à la cité d’Amaryl alors que j’étais inconsciente. Je crois que leur conscience les empêchait de me laisser mourir dans le sable mais qu’ils n’étaient pas non plus assez téméraires pour rester dans la cité, ils se sont donc contentés de me confier à un autres, un sage ou je ne sais quoi. A mon réveil, je tentai directement de fuir de nouveau malgré les bandages et l’absence des fers mais aussi l’assurance de ce bon homme qu’il n’allait rien me faire.

Mais ils ne savaient pas de quoi ils parlaient que sa soit lui ou ses collègues, je ne pouvais plus faire confiance a qui que ce soit, tout le monde chercher a profité d’autrui, il y a forcement une raison caché. Mais mon séjour de presque un an ne me permit pas de savoir ceux qu’ils cherchaient. J’appris au moins à lire et écrire ainsi qu’a coudre, je reçus de vrai habit alors que jamais je leur racontai vraiment mon passé, me contentant simplement de la vérité que je ne pouvais dissimuler ; le fait que j’ai été esclave. Leurs vêtements était coloré, fait d’un tissus spécial apriori et j’appris un peu l’histoire, des éveils de géant un peu partout apriori, des cités tentant de se relever de je ne sais quoi. Je ne me sentais pas attaché à l’histoire de ce monde et quand je n’étais pas exécrable, je ruminais simplement sur le bord d’une fenêtre, appuyé sur l’encadrement en gardant dehors. Je fis preuve d’une certaine intelligence mais sans plus, je n’étais pas intéressé par leur caste de génies, je voulais seulement me venger bien qu’ils ne le surent jamais. Je ne croyais pas en des dieux, je ne croyais pas en des choses qu’on ne voyait jamais ; je croyais en la misère et le pouvoir. Et puis, prier ne permet de faire revenir personne. Je me contentai donc de les utiliser en quelques sortes, pour en savoir un peu plus et finalement, j’obtins un arc que je dit que c’étais pour chasser et mes vêtements actuellement bien qu’aujourd’hui, ils sont bien plus abimé. C’est en me promenant en ville, déserte à cause de sa « malédiction » que je trouvai un chaton noir, il miaulait après sa mère qui avait dû succomber a je ne sais quelle maladie. Il venait très certainement d’être sevrer mais je savais que je le condamnais au corbeau si je le laissais là. C’est ainsi que ce drôle de chat avec cette pierre sur la tête ma connus et que je l’ai baptisé Frey. Malgré sa personnalité épique, il me suit toujours aujourd’hui. Son pouvoir me sert à fuir quand la situation est trop compliquée mais c’est la seule chose que j’ai vraiment réussi à lui apprendre car sinon… Comment dire ? Une fois j’ai voulu sauter de toit en toit et je me suis loupé, je me suis retrouvée coincé dans une situation bien inconfortable. Frey, encore en haut, m’a regardé alors que je souhaitais qu’il aille chercher de l’aide, qu’il ait assez de jugeote pour mais… Il m’a regardé puis à commencer à faire sa toilette en se léchant l’entre jambe. Je me demande parfois s’il ne le fait pas exprès et que le fait qu’il soit un chat n’est pas une simple excuse.

Enfin, Je quittai la ville de nuit, volant sans aucune honte une monture. Je subsistai un moment essentiellement par le vol et parfois du meutre mais à mes 17 ans alors que j’arrivais finalement à Tyrhénium espérant trouver des informations, je fus contacté par un membre des ladrinis. En effet, déjà a cette époque, lorsque l’on avait besoin de moi, je me présentais déjà sous le nom « le chat », revanche donnée à mon passé d’esclave. J’avais déjà cherché à rencontrer un membre, j’imagine alors que ça a finit par remonter aux oreilles de gradé de la caste. Bâillonné, présenter devant leur chef. Pourquoi vouloir entrer dans cette caste ? Suffit de répondre ceux qu’ils ont envie d’entendre, la monnaies du monde ; l’argent et le pouvoir. Risque de trahisons ?
« - Pour quelle raison, un jour, je me rangerais du coté d’un monde qui m’a tout pris ? Que le monde crève, je n’ai aucune raison de vouloir le protéger. »
Je dus faire des choses avant d’être accepté, sa a peut être pris deux ans mais finalement, le chat a fini par être reconnus par la caste.

Ils sont obligés de me chercher car un chat ne reste pas longtemps au même endroit, mais un jour, je me vengerais… Donc ne me chercher pas, vous risquer de devenir la souris que le chat poursuit.


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:: L'Eryl ::

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Sighild
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MessageSujet: Re: Le chat   Le chat Icon_minitimeLun 4 Nov - 20:44


Bien le bonjour petit chat!

Que voilà une bien intrigante ladrini!
J'espère qu'elle pourra gambader librement sur les toits isthériens et jouer des mauvais tours à qui le méritent!


Fiche validée!


Félicitations!^^


Tu vas pouvoir dès à présent te rendre dans la " GESTION DES AFFAIRES " afin d'ouvrir ton compte en banque, ton journal, ton inventaire et proposer ton évolution dans le comptoir à pouvoir.

Tu pourras également faire une demande de rang personnalisé JUSTE ICI.

Pour ton avatar, tu peux "réserver" une image particulière dans notre bottin ICI.


Une fois tout cela accompli, il te faudra renseigner tes pouvoirs et leur déclinaison dans le "comptoir des pouvoirs" ICI afin que cela serve de bibliothèque et que l'on puisse donner des limites bien précises à chacun de nos pouvoirs (tu pourras rp même si nous n'avons pas validé ton compte-rendu).


Bonne aventure!!!!

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