Le savoir est un présent bien coûteux [Terminée]

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 Le savoir est un présent bien coûteux [Terminée]

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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Le savoir est un présent bien coûteux [Terminée]   Le savoir est un présent bien coûteux [Terminée] Icon_minitimeJeu 26 Nov - 14:09



Randal
« Chaque jour, je paie le prix de mes connaissances »




IDENTITE : Randal
SURNOM : Le Clairvoyant / L'Historien du Monde / Spectre du Passé / L'aveugle / Vieillard
AGE : 670 ans | SEXE : Masculin
PEUPLE :  Anciennement Terran, désormais Gorgoroth
CASTE : Anciennement Chevalier et Conseiller de L'Ordre d'Oris, désormais Civil
METIER :  On le qualifie de Vagabond ou de Prophète




DON : Résistance physique développée
SPECIALITES : ///
POUVOIRS : Trois pouvoirs (sauf pour Prédef.) + degrés de maîtrise (vous avez droit de remplir 9 étoiles ★)

Devin du Passé ★★★★★★
Randal est en mesure de voir le passé des être vivant.
Contrainte(s) : Il lui est possible d'atteindre l'an 300 (Fin de la Construction de Taulmaril), plus loin, les visions ne seront que des brides, des images ou des sons | Il lui est nécessaire d'avoir un contact avec la cible | Plus la vision est intense (Voir la guerre de Taulmaril est plus intense que voir la construction d'une bâtisse à titre d'exemple), plus celle-ci demandera d'énergie et de repos à la suite | Avec cette logique, Randal ne peut aucunement enchaîner les visions et le nombre par journée dépendra alors de l'intensité | Il ne peut aucunement révéler explicitement le contenu de ce qu'il a vu, mais il est libre d'en faire des énigmes, des prophéties | Lors d'une vision, son corps physique est immobile et il n'entends rien du monde réel, sa cible est en mesure de rompre le contact | Une cible doté de faculté de résistance mentale ou de manipulation mentale peut être en mesure de compliquer la tâche, rendant les visions floues, avec des interférences, ou même trafiquer les souvenirs que Randal voit, mais il le saura
Conséquence(s) : Au fil de sa vie, il perdit la vue à force de s'en servir, depuis, la cécité est sa punition pour braver les lois du temps et de l'Histoire passé.
Nota Bene - Les visions concernant le contexte et les PNJ du Forum sont à voir avec le Staff. Le Staff est libre d'intervenir dans n'importe quel RP de Randal afin d'y ajouter une vision. Les visions des PJ's sont définies par le propriétaire du personnage et ce qu'il veut bien révéler. Toutefois, dès lors que Randal utilise le pouvoir il y voit obligatoirement quelque chose.
Paliers de Maîtrise:

L'Oeil du Messager ★★✩✩✩✩
Fut un temps, Randal était doté d'une très bonne vue, depuis sa cécité, il apprit à voir à travers l'oeil de son compagnon ailé (Hügin) de temps à autres.
Contrainte(s) : Une proximité avec Hügin
Conséquence(s) : Selon la durée de la transposition, Randal souffrira d'une douleur frontale plus ou moins intense | Plus il sera loin d'Hügin, moins bonne sera la vue, celle-ci se troublera jusqu'à s'estomper totalement si le corbeau est trop loin
Paliers de Maîtrise:

Perception auditive ★✩✩✩✩✩
Aveugle, Randal a su développer ses facultés auditives et est en mesure d'accroître celles-ci de façon considérable.
Contrainte(s) : Aucune véritable contrainte
Conséquence(s) : Selon l'environnement et le degré de concentration sur un son en particulier, la sensibilité auditive se retrouve accrue | A l'utiliser trop souvent, il peut subir une surdité durant quelques minutes après l'utilisation de cette faculté
Paliers de Maîtrise:


Randal ne possède aucune arme


Bâton de marche - Aussi simplet cela soit-il, Randal possède un bâton aussi grand que lui, lui permettant de se déplacer. A son sommet, il est possible d'y fixer un catalyseur, autour du manche également.



De tout temps, de toutes époques, qu'importe les origines, la classe, les richesses des pauvres mortels. Qu'importe la puissance ou l'influence, qu'il soit roi, empereur, ou simple manant, le temps n'épargne personne, nul ne peut lutter et vaincre le temps. Les sages de ce monde en sont conscient, les plus sot espèrent encore découvrir ce qu'ils appelleraient une fontaine de jouvence.

Il fut un temps où le vieillard était jeune et robuste. Il n'était certes guère plus attirant que d'autres hommes, mais dans son genre, il restait beau garçon. Aujourd'hui, hélas, le sablier ne l'a pas laissé filer. Ses longs cheveux grisâtres n'ont d'égaux que sa barbe tout aussi décolorée, l'affublant d'un aspect bien plus sauvage que dans un temps passé. Pourtant, ce n'est aucunement ce qui attire l'attention. Pour quiconque sait observer, les pupilles blanchâtres du vieux sage ne sont en rien un secret et révèle bien rapidement sa cécité, de la même façon que les nombreuses rides révèlent sans vergogne son grand âge, malgré le fait qu'il ait cessé de vieillir à l'instant même où il rouvrit les yeux dans un siècle nouveau.

Dans une lointaine époque, ce vieillard était aussi bien bâti que les grands guerriers de ce jour, du haut de son mètre quatre-vingt-dix, hélas, l'âge fit qu'il perdit une grande partie de cette force, ne faisant de lui qu'un vieillard parmi tant d'autre, certes plus fort que de coutûme, mais bien loin de ce qu'il s'avérait capable de réaliser. Son corps s'est affaibli et les traces de son histoire n'ont hélas, jamais quitté son enveloppe charnelle. Ses mains sont serties de deux trous en leurs centres respectifs, qui ne se refermeront probablement jamais. Sa peau est absente par endroit, les quelques lambeaux qui pendaient à son réveil, il les arracha de lui-même. Quant à son coeur, sur la chaire réside une plaie qui, elle aussi, ne se refermera très certainement jamais, à moins de la recoudre, qui sait... voyez, comme le vieillard a perdu de sa beauté, voyez ce qu'il est devenu.

Devenu un spectre, un fantôme, un mort marchant parmi les vivants en se dissimulant sous une cape aussi longue que lui, encapuchonné en permanence, observant un monde qu'il ne connait que trop bien, en prenant garde de ne jamais être observé, un corbeau perché bien souvent sur son épaule, scrutant le moindre recoin à la place de l'aveugle, l'on dit même que ce volatile serait ses yeux. Foutaise, ne croyez-vous pas ?


Il fut un temps où Randal "Le Clairvoyant", n'était guidé que par une envie de justice, ancien bourgeois se rangeant au-côté du peuple, il se battit durant bien des années pour une justice utopique, s'extirpant de bien des corruptions et des machineries malsaines. Vertueux et doté d'une forte empathie, il semblait être l'un des plus loyaux à la cause. Hélas, à ce jour, le vieillard à vécu bien des choses, à compris bien des vérités, il est dans la nature de l'Homme de se détruire soi-même. On pourrait le qualifier d'égoïste sans doute, pourtant, il refuse simplement de s'attacher une fois de plus à ce monde. S'attacher, à ses yeux, signifie s'inquiéter, se battre pour autrui et agir autrement qu'avec sa tête. Il s'y refuse. Bien trop souvent, il a agit avec impulsivité, désireux de sauver la veuve et l'orphelin au détriment de choses plus grandes. Bien trop souvent, il fut contraint de faire des choix qui ne sont en rien enviable.

Au final, à ses yeux, seule la vérité s'avère importante. Curieux, il ne désire que découvrir la raison. De quoi me direz-vous. La raison de tout, pourquoi ces choses arrivent-elles ? Qui en est à l'origine ? Qui sont véritablement les Dieux, si toutefois ils existent, alors il voyage, incapable de se faire casanier. Pourtant, ce n'est pas une éternité qui lui plait. Cela fait bien des décennies que le revenant est fatigué, lassé de ce tour que lui joue la vie. En rien rancunier, il aime se montrer joueur, se riant du destin et du passé d'autrui. Certains se feront surprendre à le dire inhumain, sans coeur, après tout, il ne pense qu'à lui selon eux, pourquoi devrait-il en dévoiler le contraire ? Il est amusant, à ses yeux, de voir comment un homme devient un meurtrier. Comment un roi devient adulé de son peuple. Comme un palais traverse les époques. Il y a bien longtemps, finalement, que Randal s'est détaché de ce monde. Pour beaucoup, ce que je décris là, n'aura aucun sens. Pourtant, mon enfant, sache que toutes mes paroles sont emplies de vérités. L'Historien du Monde n'a en rien les mêmes préoccupations que vous et moi, il jouera la comédie, vous jouera des tours bienheureux ou non, il vous défiera en silence ou vous observera impunément sans que vous ne vous en doutiez.

Pourtant, ce n'est guère un mauvais bougre, humble et sympathique, il ne cherche que rarement les ennuis, capable d'être aussi discret que la fourmis, mais doté d'un répondant bien propre à l'Homme, finalement, une seule question se pose : Quel est donc votre avis ? Vous, que pensez-vous qu'il est ? Serait-il... un simple connaisseur ? L'Historien du Monde ? Ou bien, seriez-vous suffisamment stupide pour vous convaincre que son origine est divine ?



PRENOM : Hugin
RACE : Corbeau
SEXE : Féminin
POUVOIR : Gigantisme
DESCRIPTION : Hugin est un corbeau au plumage noir. Outre ça, le seul détail notable est la présence du catalyseur sous son aile gauche, dissimulé.


PRENOM : Le nom de votre animal
SEXE : Masculin ou féminin
DESCRIPTION : Donner une brève description de votre monture




Une Histoire. Qu'est-ce qu'une Histoire ? Beaucoup dirons que c'est ce que l'on raconte aux enfants pour s'endormir. D'autres encore, certifieront que ce n'est que le récit des actes passés du monde et de ses occupants. Finalement, est-ce vrai ? Ce ne sont que des définitions grossières, vulgaires, prononcées par des simplets, afin de présenter un trésor bien plus conséquent. Ils n'ont su qu'effleurer l'iceberg. Il n'existe qu'une seule Histoire, un unique récit, bien trop étendu pour être complète hélas. Pourtant... laissez moi vous conter un récit, qu'il vous sera dur de croire, mais il n'en revient qu'à vous de me qualifier de menteur ou de fou. C'est le récit de l'homme qui possédait la faculté... de connaître l'intégralité de l'Histoire...

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Qui ose pénétrer dans ma demeure ?, avait-on entendu dans ce qui semblait être une cabane, une cahute. Le vieillard semblait y tenir à cette modeste demeure, pourtant, en temps de guerre, ce n'était en rien un lieu sécurisé pour un Conseiller d'Oris. Le vieil homme n'en avait que faire pourtant et, cette intrusion en son logis ne fait que prouver les craintes de ses acolytes. Nombreux sont les chevaliers de l'Ordre à lui avoir recommandé un endroit plus sûr, le refus fut toujours sa réponse, prétextant que son passé le rattraperait bientôt. A sa question, il n'eut aucune autre réponse que quelques bruits de pas. Nombreux. Assez peu discret pour que l'aveugle comprenne que l'intrus n'était pas seul. Un intrus qui semblait bien confiant, sans doute bien informé au sujet de l'ancêtre qui résidait en cette cabane. Oh. Je vois. Te voilà. Tu es en retard. Des paroles que le vieux prononçait avec calme, esquissant un sourire moqueur.

Pensais-tu que je t'avais oublié après tant d'années, vieux débris ?, questionnait alors celui qui semblait être le meneur de la joyeuse bande. Ils n'étaient pas bien nombreux, juste une demi-dizaine, hélas, il était peu probable qu'ils soient là pour discuter du bon vieux temps avec quelques biscuits de grand-mère. Le vieux temps ne semblait, d'ailleurs, pas si réjouissant que cela. Le leader s'approchait doucement, se mordillant la lèvre sous la nervosité et l'enthousiasme d'avoir enfin mis la main sur lui. Quelques secondes lui suffirent à se décider et un simple signe fut suffisant pour faire comprendre son désir à l'un de ses hommes. Ce dernier n'hésita guère longtemps avant d'envoyer un crochet du droit directement dans la hanche gauche du vieillard, le pliant en deux, sans le coucher. Quinze ans que tu hante mes sommeils et mes journées, quinze ans que la vengeance me maintient debout. Tu te souviens... Randal ?, ajoutait-il alors avant que le gorille n'en balance un second, poussant le dénommé Randal à poser un genoux à terre, ce dernier ricanant de manière lugubre.

Quinze année... je t'ai attendu et, c'est maintenant, en pleine guerre alors que je suis déjà un pied dans la tombe, que tu te montre, répondait-il, levant la tête vers l'origine des paroles précédentes, présumant que son interlocuteur se trouvait bien face à lui. Je suis peut-être aveugle, mais ta lâcheté est limpide à mes yeux, terminait-il avant de ricaner de nouveau, essuyant un nouveau coup au visage, lui faisant tourner le visage tandis que son sourire moqueur restait figé sur son visage. Finissons-en veux tu. Nous n'avons pas que cela à faire, réclamait-il. Soixante-dix ans, c'est un âge honorable pour quitter ce monde, il n'avait plus rien à faire ici. Son corps était fragile, sa vue éteinte, son esprit comblé d'un savoir qu'il payait aujourd'hui au prix fort, il était temps pour lui de mettre un terme à cette existence. Pourtant...

Te tuer ? Aussi vite ? Oh non. Non, non, non. Je vais profiter de chaque seconde. Tu me suppliera de t'achever et, je refuserai, jusqu'à ce que je sois lassé de tes gémissements plaintifs, un programme auquel Randal semblait s'attendre. Il aurait été bien trop simple de mourir aussi facilement, en effet. Ceci dit, jamais il ne supplierait son tortionnaire. Jusque la mort, il ne lui concéderait aucune victoire, aucune conquête sur son esprit. S'il devait mourir sous les souffrances répétées, qu'il en soit ainsi, le moment viendra où il s'effondrera, inerte, vide de toute vitalité.

Enfant de Sharna... tu n'aura rien. Tu m'entends ? Corwyn "Le Cébrène", tu n'aura RIEN !, le vieillard se redressait difficilement, il n'était guère tout jeune comparé à son opposant qui semblait encore dans la fleur de l'âge.  La colère se lisait sur les traits vieillissant de l'ancien. Droit, fier face à son agresseur bien peu vaillant. Ces derniers jours, il n'avait donc pas imaginé ces impressions, cette sensation d'être épié, observé jour après jour. Ce serpent s'assurait de la sûreté, il désirait être certain de la fin de cet homme qui lui causa tant de tracas par le passé... Finalement, il l'avait pressenti : sa propre fin. Soupirant alors, son souffle était difficile, long, rauque, on pouvait y déceler la fatigue de l'âge, la lassitude d'un homme ayant fait son temps. Bien vite couvert par un rire de hyène, un rire conquérant, victorieux. Le dénommé Corwyn se délectait de ce qu'il pouvait voir. Jamais, ô grand jamais, il ne s'était donné la peine de se déplacer pour de telles affaires, mais celle-ci méritait son attention. Toute son attention. Allons vieil ami. Ne soit pas si désagréable avec une vieille connaissance telle que moi. D'autant plus que c'est la première fois que l'on se voit, un silence s'installa dans la pièce alors que des petits gloussements se faisaient entendre de la part des sbires. Oh, excuse-moi, la première fois que je te vois moi. Toi, il semblerait que tu ne verras jamais plus, ajoutait-il avant de rire, un rire discret, malsain au possible. Il est en ce monde, bien des choses que je suis heureux de ne pas voir, à commencer par ton visage démoniaque, rétorqua l'insolent vieillard, esquissant un sourire provocateur malgré son état. Il entendit alors les pas de Corwyn, le marchand se déplaçait doucement, sa respiration était confiante, aucune nervosité ne semblait troubler son esprit. Il prit un certain temps à réfléchir, observant le Conseiller d'Oris de haut en bas, passant les doigts dans les cheveux grisonnant du vieillard avant de les lâcher avec un léger rictus.

Messieurs, montrons notre générosité à mon bon ami, commentait le bandit. Un commentaire qui eut pour effet d'amener les hommes à se saisir du vieillard, le positionnant dos au mur avec une brutalité sans équivoque. Les mains levées au-dessus de sa tête, le valeureux put entendre quelques bruits métalliques. Il ne s'agissait guère de lame, mais plutôt d'outils. De simples outils. Les Dieux me préservent, tu n'aura rien, tu ne saura rien !, scandait le vieillard, un instinct voulait que la peur assaille ses entrailles. Comment pourrait-il ne pas avoir peur. C'est une réaction humaine face au danger, il n'existe aucun courage sans crainte. Toutefois, une fois encore, en réponse il eut droit à ce rire, un rire mauvais, un rire calculateur. Espérons qu'ils te préservent assez longtemps pour que tu puisses m'implorer, vraisemblablement, le Cébrène semblait vouer une importante rancoeur envers le voyant et, alors qu'il terminait ces quelques mots, l'aveugle put sentir une épine à la fraîcheur mordante se posait sur la paume de sa main gauche avant de la lui transpercer dans un hurlement horrifique tant la douleur était grande. Coup après coup, le maillet enfonçait plus loin le clou dans la main du vieillard qui hurlait tout autant. Lorsque la première fut clouée au mur, ce fut le tour de la seconde. Alors que le précieux nectar carmin s'écoulait le long de ses bras, l'ancêtre semblait respirait difficilement, gémissant, se plaignant de douleur sans implorer qu'il en finisse. Ce n'était pourtant... que le début.

J'ai bien trop souvent entendu parlé de toi, sous diverses appellations... Randal "Le Clairvoyant", "L'Historien du Monde", reprenait le tortionnaire, une main passant sur les bras de sa victime. Certains prétendirent même que tu aurais été un Dieu devenu mortel, après tout, seul un Dieu pourrait posséder les connaissances de tout un monde, disaient-ils... Pourtant..., ses lèvres se rapprochaient de l'oreille droite du vieux alors qu'il glissa son index sur le filet sanguin de ce dernier. ... Pourtant, tu saigne et, un Dieu ne saigne pas, ajoutait-il avant de s'éloigner, ricanant de nouveau. Tu as causé disons... quelques problèmes dans mes affaires, vois-tu, d'abord la contrebande, puis l'esclavagismes et autres abominations, il est vrai que Randal fut bien souvent sur les routes de cet homme. Bien souvent, il mit ses transactions à mal et, sans aucun doute, entacha sa crédibilité à moult occasions.

Serait-tu... si naïf pour croire de telles sornettes ?, rétorquait le Conseiller en soupirant, relevant la tête avant de la poser contre le mur avec épuisement. Un frisson put parcourir son vieux corps alors qu'il sentit la chaleur de la lame chauffée à blanc, posée sur sa peau après que le haillon lui servant de haut lui fut retiré. Allons vieil homme, pense-tu que je m'en prendrai à un Dieu si j'y croyais ?, se moquait-il avant de lentement entailler la peau de sa proie, faisant une nouvelle fois gémir le pauvre homme qui serrait les dents bien difficilement alors qu'avec horreur, son tortionnaire lui tirait doucement la peau, la retirant par endroit comme on retirait sa coquille à un oeuf. Je ne suis pas un monstre tout de même, je suis un pieu commerçant, tu le sais bien, ironisait-il alors qu'il privait l'homme d'un énième bout de peau. C'est a...musant que... tu te dise pieu..., commençait Randal alors que Corwyn semblait intrigué, curieux. Amusant ? Allons, explique moi ton amusement, je veux également m'amuser vieillard, répondait le rancunier.

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Un lourd silence s'empressa de prendre place suite aux paroles prophétesse du vieillard. Une supposition, pure spéculation, voilà ce qu'était les mots de cet homme si proche de la tombe. Il n'était guère idiot, encore moins fou. Il savait bien des choses sur cet homme, bien autant sur ceux qui l'accompagne régulièrement. De son grand âge, s'il est bien une vérité dont il est certain, c'est qu'un esclave ne le reste pas éternellement. Il suffit d'un rien, d'une étincelle, avant que la flamme ne se propage et engendre un incendie qu'il ne pourra pas éteindre, ce jour-ci arrivera, il en est convaincu et, ce qu'il sait lui permet bien vite d'affirmer que nombreux sont les possibles responsables de la fin du Cébrène. Toutefois, les bruits de pas, bruyants, nerveux, couvrir bien vite le rire lugubre du vieillard. Torenheim, chope !, ordonnait alors la cible de cette prophétie de mauvaise augure, incapable de comprendre ce qu'elle signifiait, il semblait toutefois atteint, vexé, comme s'il se sentait le besoin de prouver à ce "prophète", qu'il garderait le contrôle, un contrôle qu'il venait hélas de perdre. La lame du docile esclave s'enfonçait bien vite dans la chaire de l'ancien, mettant un compte à rebours à son existence, privant le Cébrène d'une séance plus longue alors que ce dernier vint à murmurer à l'oreille du mourant qui relâchait son dernier souffle. Tu n'es qu'un vieux fou et, tes secrets quitteront ce monde en même temps que toi, ce furent les derniers mots qu'entendit Randal, fermant les yeux alors que ses tortionnaires quittèrent la demeure, le laissant là, en exemple à tout ceux qui oserait tenir tête au Cébrène...

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Ecoute, mon enfant, ce conte qui voyage de paroles en paroles, cette histoire qui, selon les régions qu'elle traverse, change et s'adapte. Entends ce récits qui su traverser les décennies pour arriver jusque toi.

Il y a de cela bien des années, moult décennies avant toi, l'on raconte que vivait un homme. De tous, il était le plus simplet, de toutes, il était évité. L'on dit de lui, qu'il ne valait guère plus qu'une bourse emplie de quelques cailloux blancs. L'on parle de lui comme d'un vieillard ayant troqué sa lucidité contre quelques années de vies. Cet homme, vivant aussi simplement qu'un indigène, fut appelé "L'Historien du Monde". De son temps, il marqua de son empreinte, chaque année. Nul ne sait si cet être eut réellement existé, certain le nomme "Le Clairvoyant", d'autre prétendait qu'il serait un Dieu, car impossible était la tâche d'accumuler le savoir du monde. Humble, le solitaire n'affirma jamais posséder un savoir intégral dit-on. Pourtant, il n'infirmait guère cette hypothèse et, chacune de ses visions révélaient un passé qu'il se devait d'être le seul à connaître car jamais il ne révélait quoique ce soit de ce qu'il avait vu.

Voit-tu mon enfant, ce conte est celui que l'on raconte aux enfants désobéissants tel que toi, car l'Historien du Monde sait, il sait tout et, l'on dit qu'il habite un endroit assez grand pour y accueillir bien un tas d'enfants comme toi. Soit sage ou... lorsque tu verras le Messager aux plumes d'ébènes, il sera trop tard pour toi...


Hé l'Ancien, faut arrêter d'gober toutes les histoires pour gosse... c'est plus de ton âge. Le seul vrai savant c'est Eucléis et, il a rien de divin, c'est juste un... savant, des paroles bien vite accompagné d'un rire moqueur, cette jeune femme semblait bien ennuyé d'être contraint de suivre ce vieil homme à l'allure de fausse bourgeoisie.
Je te paie pour t'assurer que j'arrive à destination en vie petite, pas pour me dire ce que j'ai à faire. Aurais-tu peur ?, rétorquait alors le vieillard, chauve, barbu, une soixantaine d'années tout au plus. Il marchait dans la neige avec aisance, confiant de la direction qu'il prenait tandis qu'un volatile au plumage nocturne semblait guider leurs pas. L'Historien du Monde a existé, j'en suis convaincu et, c'est pas quelques ignorants qui me feront penser le contraire !, insistait-il, convaincu de ce qu'il avançait alors que la demoiselle se riait de lui sans faire preuve d'une quelconque discrétion.
Evidemment, comme si un type vieux de 320 ans vivrait là, perdu au sommet d'une montagne de Cimmeria et attendrait sagement qu'on arrive et qu'on lui sorte "Coucou, c'est toi l'Historien du Monde qui enlève les mômes agaçants ?". J'me d'mande encore pourquoi j'ai accepté d't'escorter alors que tous m'ont assuré que ce n'était pas ta première fois et que ce conte date de nos arrières-arrières-grands-parents, voire plus... j'dois être aussi dingue que toi vieillard..., elle ne cessait de râler et n'avait pas tort dans le fond. Ils semblaient chercher un être particulier, un protagoniste de conte pour enfant, ou une légende devenu conte en traversant les âges.

Pourtant, plus ils avançaient, plus grande était la déception. Une fois encore, le sommet du pic était vide de toute existence. La neige était épargnée de toutes traces, de toutes empreintes autres que celles de possibles bêtes rôdant dans les environs. Pourtant, le curieux vieil homme ne voulait guère se résigner, il avançait, encore et toujours plus vers le sommet, emmitouflé dans ses chauds vêtements de laine, soufflant de temps à autre dans ses mains usées pour les réchauffer ou du moins, essayer.

Hé... ça sert à rien d'aller plus loin. C'est désert ici, à part de la neige et des sapins, il n'y a rien et j'ai l'impression qu'on est surveillé depuis qu'on a poser les pieds ici ! On r'descends, aucune réponse ne vint suite à cette exigence. La demoiselle commençait à regretter d'être venue ici avec lui, après tout, ce n'était pas la seule à avoir cédé aux caprices de ce vieil homme, pourtant, qu'importe qui l'escortait, il n'y eu jamais de résultat concret, seulement des hypothèses infondées, basé sur un malheureux conte perdu. Aller, on descend, insistait-elle, lassée et fatiguée, sans doute tout autant que le vieil homme. Son impression d'être épiée grandissait de plus belle et pour cause, le corbeau se faisait bruyant, comme s'il refusait de les laisser descendre. Il vint à voler aussi bas que possible, passant devant le visage du vieillard qui y voyait là un signe. Le conte parlait bien d'un messager au plumage d'ébène.

Se pourrait-il que..., murmurait-il avec hésitation, observant le volatile qui ne détournait point son regard de celui de l'aventurier. Un regard qui poussait inconsciemment cet homme à s'approcher. Ne bouge pas, reste là mon joli, demandait-il au volatile aux couleurs du charbon. Ce dernier penchant la tête en observant toujours le curieux visiteur... Quelle fut la frayeur de l'homme lorsqu'une main vint à se saisir des pattes de l'oiseau, finissant par le relâcher tandis que l'effrayé vint à gratter de ses mains frippées, la neige, creusant, jusqu'à voir peu à peu ce qui s'apparentait à un être-humain. Des lambeaux de peau manquait à son corps, une plaie béante trônait où se tenait son coeur, quant à ses mains, à la grande horreur du vieux, elles étaient trouées en leur centre, pourtant et, avec stupeur, il constata que le corps de cet homme n'avait pas souffert du temps, probablement en raison du froid et, il ne servirait à rien de lui demander, car même le concerné ne sait guère comme il eut l'occasion d'arriver jusqu'ici, lui qui fut assassiné dans les alentours de Taulmaril... Nous sommes bien loin de notre époque... Hügin, soufflait la dépouille à l'attention du corbeau qui vint se poser à la droite de son visage. Il semblait conscient du temps passé malgré tout, une supposition sans aucun doute, tout comme il savait pertinemment que le volatile à ses côtés n'était aucunement celui qu'il avait avec lui de son vivant, toutefois, une sorte d'impression mystique lui faisait croire que son défunt compagnon avait traverser les âges, à sa façon. Nous ne sommes pas seuls, n'est-ce pas ? J'entends leurs souffles, disait-il, les yeux grands ouverts mais toujours plongés dans une obscurité impénétrable.

J'y crois pas. Par tout les Dieux... c'est lui, l'homme que tu cherche vieux fou ?, une certitude aux allures de questionnements, il ne faisait aucune place au doute, cet homme était bien celui que cherchait le chauve. Ce dernier ébahi, encore sur ses genoux après avoir creusé. Il ne parvint hélas à souffler un quelconque mot. La stupeur, l'euphorie, cette sensation de ne pas être fou finalement, au fond, c'est toute une vie de recherche, qui vient, à ce jour, trouver une raison, un résultat... Un aboutissement. Hé, répond !, s'impatientait la rouquine qui vint saisir les épaules du vieux qui était encore sous le choc. Voilà 250 ans que les siens le recherchent. Perdant toutes leurs richesses dans cette entreprise, perdant leurs titres et leurs terres nombreuses. Deux siècles et demi que le patriarche de la famille Elaïmatis avait disparu, peu de temps après cette guerre dont parle les récits, avant même que Talmaril ne s'effondre. Les contes, les récits, les indices de génération en génération guidé tous vers cet "Historien du Monde" comme étant le patriarche en question. J'y suis arrivé. Nous y sommes parvenu..., le vieux ne lâchait guère le revenant du regard, répétant ces quelques mots une dizaine de fois alors que la dépouille expira une fois de plus, de la même façon qu'il démontrerait une lassitude, une insatisfaction. Je n'aurai donc pas droit au repos éternel, semblait-il se plaindre alors qu'il se mit à ricaner. Corwyn est donc mort. Je me demande si c'est lui le meurtrier, pensait-il tout haut. Il semblait intrigué par cette prophétie qu'il édicta lui-même bien des siècles dans le passé. Lui, ce jeune être qui l'avait tué, était-il responsable de la mort de son commanditaire ? Telle était la question qu'il se posait et, probablement qu'un jour, s'il le lui est permis, il obtiendrait sa réponse. Hélas, aujourd'hui n'est pas le jour. Vous. Dîtes moi, qui êtes vous ? Que me voulez-vous ?, interrogeait-il sans même prendre la peine de se redresser, les yeux vers le ciel nuageux. Une question qui restait sans réponse durant de longues minutes. Comment y répondre... que pouvait dire le vieillard dégarni ? C'pas la courtoisie qui t'étouffe l'ancien. J'suis là pour l'argent, cet homme m'a payé pour l'escorter, c'est tout, une réponse plutôt franche, il ne fallait guère s'attendre à autre chose de la part de cette rouquine des plus caractérielle. En revanche, son employeur semblait toujours plongé dans ses réflexions. Ce sont les pas du revenant qui le ramenèrent sur terre, ce dernier droit face à lui, le regard impérieux malgré sa cécité. Tu ne m'est pas inconnu, disait-il, Hügin posé sur son épaule droite alors que ce dernier le scrutait du haut de son perchoir.

Mon nom est Hidgal Elaïmatis, petit-fils de Aurora Elaïmatis, ta fille, Randal "Le Clairvoyant", ou... L'Historien du Monde, une présentation qui imposait un nouveau silence, seul le vent se fit entendre alors que le corbeau tournait la tête et la penchait en scrutant encore le dénommé Hidgal qui se relevait pour faire face à son aïeul. Je ne répond guère à ce nom, en toute réponse, le vieil aveugle se contentait de râler, fidèle à lui même, tout aussi humble que de son vivant, jamais il n'affirma être l'Historien du Monde, ce ne sont que des appelations grotesques attribuées par des simplets d'esprits aux idées toutes aussi grotesques. Hélas, il ne pouvait nier être le dénommé Randal, Randal Elaïmatis, patriarche et ancien noble ayant transmis ses titres et ses terres à ses enfants lorsqu'il rejoignit l'Ordre d'Oris. Que cela te plaise ou non, des contes parlent de toi en ce nom, ajoutait le descendant du vieux conseiller. Sans ces récits, je ne t'aurai jamais retrouvé. 255 années que les nôtres te recherche suite à ta disparition. Tes enfants, leurs enfants, et maintenant moi, nous avons consacrés une partie de nos vies à mettre la main sur la vérité, expliquait Hidgal alors que la rousse tournait autour du revenant en essayant de trouver une ficelle, un mécanisme pouvant réfuter le retour à la vie de cet homme. Tu es aussi stupide que cette personne qui me tourne autour. Voué ta vie à connaître le passé d'un homme mort, alors que la tienne est désormais sur le point de s'achever, ces quelques mots firent mouche et, non seulement l'escorte en vint à se vexer, croisant les bras en faisant une moue puérile de mécontentement, tandis que Hidgal semblait ressentir une importante colère à l'égard de son ascendant familial. Tu as abandonné les tiens vieillard !, scandait-il, prêt à détailler son avis alors que Randal d'un mouvement du bras droit en vint à le rejeter en arrière, le faisant chuter sur le dos et s'approchant, le scrutant de toute sa hauteur sans même le voir. On m'a tué petit idiot et, si je suis réveillé désormais, c'est que le coupable vint à son tour, de fermer les yeux, en revanche, ne t'avise pas de révéler mon retour à qui que ce soit, me suis-je bien fais comprendre... mon cher enfant ?, le vieil ancêtre s'était alors fait bien plus imposant, plus exigeant, une prestance naturelle qui fit froid dans le dos du descendant. Notre famille voudrait sans dou..., hélas, il fut une nouvelle fois coupé par son arrière-grand-père. Personne. Racontez autant de conte qu'il vous plaira, mais ceux-ci ne seront jamais plus que des contes et des histoires !, insistait-il, se tournant alors vers la rousse qu'il pointait du doigt et sur laquelle le corbeau posait son regard inquisiteur. Il en est de même pour toi, terminait le vieillard avant de faire ses premiers pas dans une nouvelle époque. Bien des décennies après, une silhouette avec un corbeau sur l'épaule déambulait entre les arbres anciens de forêt fe Noathis, résidant proche de la frontière sans jamais provoquer les maitresses des lieux. Durant plusieurs siècles il rejoignit les alentours des terres dévastées de Taulmaril, sans jamais y pénétrer, conscient du danger, il y fut entre-aperçu mais jamais avec certitude, on nommait cette silhouette "Spectre du Passé", on raconte qu'elle attendait là, patiemment, que la vérité se montre. Randal passa bien des semaines à attendre, nostalgique d'un passé emplis de vies et de richesses, une fois, il fit la folie de s'aventurer plus loin, de pénétrer dans la Grande Désolation, ce jour-là, il faillit une seconde fois perdre la vie et, bien qu'il n'y soit jamais retourné depuis, il aurzit aimé se rendormir pour une nouvelle éternité.



PSEUDO : Mistygri ou Hödgeir
AGE : 24 ans
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM?: Top-site
VIE ET MORT SUR PERSONNAGE: En cas de départ, autorisez-vous le Staff a faire mourir votre personnage? Oui bien que je préfère que le Staff s'en serve pour le contexte
AUTRE CHOSE? : PAMPLEMOUSSE




Dernière édition par Randal le Dim 6 Déc - 13:36, édité 3 fois
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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: Le savoir est un présent bien coûteux [Terminée]   Le savoir est un présent bien coûteux [Terminée] Icon_minitimeJeu 3 Déc - 21:39

Hello o/
J'ai l'immense honneur d'annoncer que j'ai donc terminé ma fiche, à vous l'antenne chères staffettes ! En espérant que le contenu vous plaira et... désolé pour la longueur, j'ai volontairement arrêté au chapitre 2 histoire de pas être dans l'excès ♥
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Othello Lehoia
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Othello Lehoia
MessageSujet: Re: Le savoir est un présent bien coûteux [Terminée]   Le savoir est un présent bien coûteux [Terminée] Icon_minitimeLun 7 Déc - 13:28


Bonjour Randal!

Ta validation s'est faite attendre, mais nous y sommes enfin! Tout est bon pour nous, c'est donc officiel:

Fiche validée!

Tu vas pouvoir dès à présent te rendre dans la " GESTION DES AFFAIRES " afin d'ouvrir ton compte en banque, ton journal, ton inventaire et proposer ton évolution dans le comptoir à pouvoir.

Tu pourras également faire une demande de rang personnalisé JUSTE ICI.

Pour ton avatar, tu peux "réserver" une image particulière dans notre bottin ICI.

Une fois tout cela accompli, il te faudra renseigner tes pouvoirs et leur déclinaison dans le "comptoir des pouvoirs" ICI afin que cela serve de bibliothèque et que l'on puisse donner des limites bien précises à chacun de nos pouvoirs (tu pourras rp même si nous n'avons pas validé ton compte-rendu).

Soit donc le bienvenu sur les terres Istheriennes, tu es libres de débusquer les plus sombres secrets de tout le monde!  

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MessageSujet: Re: Le savoir est un présent bien coûteux [Terminée]   Le savoir est un présent bien coûteux [Terminée] Icon_minitime

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Le savoir est un présent bien coûteux [Terminée]
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