Aliore Némésis [Terminée, Plus ou moins]

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 Aliore Némésis [Terminée, Plus ou moins]

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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Aliore Némésis [Terminée, Plus ou moins]   Aliore Némésis [Terminée, Plus ou moins] Icon_minitimeLun 25 Juil - 17:32





Némésis
Aliore




Aliore Némésis [Terminée, Plus ou moins] 544362gauche
IDENTITE

Surnom : Temps
Age : Plus de 800 ans
Sexe : Male, du moins en apparence
Peuple : Lhurgoyfs

Caste : Nérozias
Métier : Maitre du réseau d’information
Aliore Némésis [Terminée, Plus ou moins] 754502droit
Armes Principales :
Clous :
Cela peut sembler étonnant mais c’est bien la seul véritable arme d’Aliore, enfin depuis qu’il a son frère avec lui –appelons cet instant “départ”-, donc depuis son départ Aliore se bat avec des clous qu’il possède à la ceinture entre deux chaines qui pendent sur chacune de ses jambes souvent cacher sous sa tunique n’apparaissant que pendant sa marche. Je pourrais m’appesantir sur la description des clous en une matière merveilleuse et exceptionnelles, aux propriétés fantasques … sauf que ce sont des clous que tout bon travailleur peu acheter au forgeron du coin pour une bouché de pain et quatre miettes … De bon vieux clous de charpentiers d’un trentaine de centimètre de long et assez large pour soutenir une charpente –quel est leur rôle déjà ?-.

Autres possessions :
Bagues :
Parmi celle-ci il y a la bague des Nezorias –à l’annulaire droit- qui le représente, l’aigle, plus fine que nombre d’entre elle n’en est pas moins reconnaissables, quatre autres bagues plus grosses et plus longues sont à son autre main. Elles n’ont aucun signe si ce n’est des lettres gravées à l’intérieur.
Pendentif :
C’est ce qui est à son cou, on pourrait aussi lui donné le nom de montre à gousset au quelque chose du genre mais elle change d’heure de façon aléatoire en fonction de l’humeur de son frère. Ha je ne vous ai pas encore parlé de son frère, disons qu’il est malheureusement coincé dans un pendentif et que c’est celui-ci … Pourquoi une montre ? Il faudrait demander à Dolan … Accessoirement, le mécanisme de la montre est fait en Sphène, mais ce n’est qu’accessoire après tout non ?
Mitaine d’archer sur la main droite :
Un mitaine d’archer comprend les doigts principaux –index et majeur- ainsi que le pouce – oui il fait aussi parti des doigts principaux- comme un gant et laisse le bas de la main à la peau libre. Sous le poignet de ce gant –juste sous le poignet, dans la partie bras pour être plus précis-, en perpétuelle contact avec la peau il y a plusieurs petites pierres de Sphènes dont certaines sont vides et d’autres en bonne état. Aliore n’a pas l’habitude d’utilisé le Sphène, il préfère puiser dans sa propre essence. Il est à noter que le dessus du gant, qui remonte presque jusqu’à coude sous les manches, est renforcé de plaque de fer. Cela peut faire bizarre de le voir arrêter une lame ainsi quand on ne sait pas …

Don : Transformation monstrueuse.
Chronos :
Pas de dragon millénaire, pas de peau aussi tranchante qu’un rasoir, des crocs juste dans la bouche, le monde semble bien peu l’aimé. Chronos est un tigre, un petit tigre de la taille d’un gros chat –on n’a pas tous de la chance- avec une belle fourrure –choisit pas sa famille- et deux appendices qui semblent être des cornes et qui sorte de derrière ses antérieurs … Bon, pour revenir à la réalité des choses, le dit chat à la capacité de vous arracher la tête d’un coup de patte et de prendre appuis sur l’air comme si il volait… Mais petit un, n’est pas un démon qui veux, petit deux n’est pas un démon dangereux et mignon qui veux.
Depuis le Départ Aliore se contrôle parfaitement.

Pouvoirs :
Ouvrir la place des choses :
Aliore est un artiste, un maitre de la téléportation c’est son principale et son seul véritable pouvoir. Il est capable de se téléporté lui ou de téléporté soit un objet qu’il touche, soit un objet vers lui. C’est avec cette technique qu’il utilise ses clous en les téléportants vers ses mains et dans la roche ou les membres … Elle reste cependant limitée aux cibles qu'il voit -que ce soit dans un sens ou dans l’autre- et dans un rayon de dix mètre autour de lui.
Ouvrir les yeux dans la rivière :
On dit qu’Aliore est le maitre du temps et qu’il pourrait revenir dans le temps à sa guise, c’est étonnant comme les gens peuvent raconter des conneries non ? Cela ne l’empêche pas d’être extrêmement rapide, bien plus que ne pourra jamais l’être un humain normal, comme si il voyait les choses quelques secondes avant qu’elles n’arrivent et est capable de faire trois mouvements alors que vous n’en aurez fait qu’un seul ... Une sorte de réaction surdéveloppée pour ainsi dire.
Nager contre le courant :
On raconte que le temps est une rivière –bien que “on” ait une fâcheuse tendance à raconter des inepties prenons cette comparaison- et que l’homme qui nage à l’intérieur sans s’y laissé porter ne peux être qu'un dieu ou un démon. Aliore est l’un d’eux et il en a donc acquis une force supérieure à n’importe quel Demon …
Plongé dans les eaux froides :
Chaque chose laisse une marque derrière soi et l’on peut la voir si l’on sait plonger dans les eaux du temps. C’est bien souvent plus une intuition, un souvenir des choses qui l’entourent, mais il est possible de voir le passé d’un endroit car, alors que le futur n’est pas encore écrit, le passé y à laisser ses marques … C’est ce qui lui a donné sa place, savoir voir le passé des lieux, entendre ce qui n’aurais jamais dût être entendu et savoir.

Spécialités :
Art de la guerre :
Observé le danser, esquiver, passer sous, outre, tout est un art, une valse. Vous avez cru savoir danser ?
Transe :
Mais regardez-le se battre, ses yeux devenu eaux ruissellent d’essence divine et les choses volent autour de lui … Sa magie est l’une de ses forces, son corps est l’autre mais les deux sont liés.
Don de chef :
Beaucoup d’homme croient savoir donné des ordres, rester à leurs place, et si Aliore ne semble pas à première vue le mieux placer pour être à la tête de ce réseau –c’est que vous ne regardez pas assez loin ?- il en reste pas moins la meilleur personne apte à le diriger. Car il n’est plus là pour faire ce que ses hommes font mais pour diriger et coordonné des dizaines d’hommes dispersé de par le monde.


PHYSIQUE

Aliore est au charme ce qu’un rhinocéros est à la douceur, des amis qui se rencontrent rarement et toujours dans une grande beauté.
Pour être plus précis –car tout le monde à du charme soyons optimiste, même lui- disons que son charme est enfouit sous une couche d’opiniâtreté qui se voit sur son visage, elle-même posé sous un regard froid et légèrement fou, avec déposé dessus comme pour mieux détourner l’attention un léger pincement de haine… Cela a de quoi découragé les plus hardies, qui se rendront vite compte que l’homme ne parle pas à n’importe qui si ce n’est pour être désagréable ou énigmatique –ce qu’il fait très bien, admettons-le.

Pour en revenir à son physique vrai –disons ce qu’on voit lorsque l’on ne sait pas regarder- c’est un homme tout à fait appréciable, les cheveux blond de sa race tiré en arrière, les yeux bleu possédant une couronne d’or qui varie en fonction de la luminosité. De ces yeux qu’on ne peut pas vraiment sonder, de ces yeux dont on ressort mouillé de sang lorsque l’on y plonge sans savoir quoi chercher, de ces yeux que l’on ne peut fixer indéfiniment mais qui eut ne se gênent pas pour vous détailler. Son regard n’est pas de ceux qui fuient mais n’est pas de celui qui provoque, ni faible, ni héros, trop présent et chasseur –Ha vous voyez qu’il a du charme-.
Portant une longue tunique foncée qui rehausse son visage trop fin –ho n’est pas syphide qui veux- et un pantalon du même tissue qui à vue passé les siècles et les courses poursuite sans se trouer -Et surtout sans jamais être à la mode …-. Toujours dans le même accoutrement –ridicule bien qu’adapté- il n’enlève jamais sa bague et laisse son gant sur sa peau en toute circonstance. Quelques rares cicatrices marquent encore la preuve de ses combats –trop courants- et des calles sur sa peau montrent l’utilisation perpétuelle de ses mains.

C’est un homme qui impose le calme et le respect par le regard ou par son visage froid et exagérément mince pour ce qu’il a accompli comme actions il a quelques instants. Son corps taillé par des muscles trop longs qui ne reflètent pas la force qui pulse dans ses membres et laissent croire une apparente et déconcertante fragilité. Lentement posé sur des appuis qui peuvent bouger outrageusement vite pour un œil classique il pose –et impose- une aura d’incompréhension qui vire souvent à la peur.

Sa marche est celle du tigre qu’il est intérieurement, ses bottes semblent bien souvent ne faire qu’effleurer le sol et sa course n’est que long bon d’un galop dans le temps, car il marche et combat dans le temps, le temps des autres ou impose aux autres le sien. Ainsi, et malheureusement la rue n’est pas son vrai domaine, une marche trop entrainée, un pas trop glissé il est trop semblant au chat pour ne pas être répertorié comme un de ces guerrier que l’on défi pour recevoir la gloire de gagner face à un invaincu et même si il sait se contrôler et passer dans une foule il n’en reste pas moins que son pas, ses appuis et son corps ne seront jamais ceux d’un homme du commun.

Enfin, il quelqu’un d’appréciable dans son monde si ce n’est ses fâcheuses habitudes …


CARACTÈRE

Ses fâcheuses habitudes, parlons en … Aliore est peux patient –disons plutôt qu’il aime avoir des résultats mais que si il faut les attendre il sait le faire-, à une tendance à la dépréciation d’autrui –On dis aptitude aux bons mots non ?-, est un tantinet agressive –Ho si peux, il est juste capable de vous planté la main sur un mauvais regard, vous appeler ça de l’agressivité ?- et restera éperdument fou –Là je ne peux rien dire, d’avance il l’était déjà pas mal avant, c’est un anarchiste !- … Tout ça fait de lui un merveilleux chef capable de pousser ses recrues dans leurs plus lointains retranchements et surtout ses adversaires bien vite sur le sol.

Après cette première impression qu’il laisse à tous –les crétins…-, il faut aussi comprendre que cet homme vit avec une petite voix dans sa tête –on parle de moi ?-, son frère peux lui parler constamment et ne se limite pas pour le faire. Il y a donc souvent conflit d’intérêt –Il arrive qu’il ne m’écoute pas au premier coup c’est tout …- et cette schizophrénie peut-être dure à vivre –parle pour toi !- Il ne montre donc que peu ses vrais sentiments et laisse les autres le croire puissant et non torturé… Autant que possible.

Il y a cependant deux domaines ou Aliore se révèle tel qu’il est vraiment, sans voix ni autre âme, le combat –Je suis un politicien- et les situations de crise, là sa voix intérieur le laisse ainsi en paix –il ne l’écoute plus du tout …- et vous avez donc un homme pure, vrai et apte à donner des ordres –allez, dites-le- sans être désagréable –vas encore être ma faute cette histoire- et très précis.

Bor –c’est mon nom pour ceux qui ne suivent pas- était un politicien, un de ces hommes que la cours intéresse autant que l’argent, le pouvoir et la félonie –vous avez vraiment un apriori négatif-. Cet homme aurait vendu ses parents –juste mon père, ma mère est morte avant !- pour plus de pouvoir mais restait étonnamment lié à son frère même si ce dernier était parti –chez les fou ?- dans une voie qu’il ne comprenait pas, qu’il ne comprenait pas et combattait –Vous voyez j’ai aussi des bonnes actions à mon actif-. Le Départ est donc sa mort de la main de –Dolan !- … Ce personnage exécrable –et voilà un compliment de temps en temps ?- qu’est son frère laisse donc une marque impérissable –et perpétuellement renouvelé- dans l’esprit d’Aliore, lui donnant ses –bons- conseils dès qu’il le peux et le remettant dans –le droit chemin !-… Pourtant jamais elle n’a réussi à lui faire quitter ou nuire aux Nézorias.

Malgré cela la petite voix à de grands intérêts –enfin ma juste valeur-, connaissant tous les tréfonds et les bas-fonds de la politique il connaît les égouts de ce monde où il a trainé ses bottines si luxueuses, mine d’informations et de bons conseils dans ce domaine le frère se fait rarement prier pour trahir ses anciens amis –cela s’appelle savoir gagner sur tous les plans-. Il en ressort donc qu’Aliore est capable d’action que seul les plus fins politiciens serais capable d’accomplir –merci qui ?-.

Tout cela –pour ceux qui ne suivent pas- n’est donc qu’un mur, une protection, un premier aperçût apeurant fait par celui qui ne veut pas qu’on l’approche et qui souhaite garder ses secrets, est-ce par choix ou par nature ? La question ne peut être posé qu’à lui mais cela convient tellement bien à son rang, et ne garde-t-il pas ses secrets ?


HISTOIRE

L’Histoire commence par sa fin, ou plutôt son début, son Départ : la fin –Allez-y vous pouvez les perdre- de son frère. Avant elle reste un tissu de chose connues et inintéressante –Hors vous n’êtes pas ici pour écouter les choses connues-, avant elles sont Aliore et ne seront jamais celui qu’il est à présent. Cette histoire parle donc d’un instant, de la fin de son frère …

Les choses ont toujours été belle dans les cours des nobles, une simple et ridicule chaussette se transforme en bas par la magie des mots, une botte devient bottine –parce que tout ce qui est petit est mignon- et on change le gilet en pourpoint. Cela reste la même chose mais la distinction fait le reste, c’est donc accoutré de ses atours et non de simples vêtements que l’homme est avec l’armée, mais pas n’importe quelle armée, celle de la mort d’un clan tout entier, celle qui doit écraser les moucherons que sont les ennemis d’Hesperia. Cinq fois plus nombreux, personne ne craint la mort, personne sauf lui, il ne craint pas la sienne mais celle de son petit frère, après avoir vendu son père et tué sa mère –ça ce n’est pas moi, c’est le cyanure, elle en savait trop …- l’homme n’avait plus que lui comme attache et il était là pour qu’il ne meurt pas inutilement en défendant des idéo stupides –vous avez bien appris votre leçon, bravo. Ayant le droit de vie ou de mort sur nombre il avait donné aux hommes qui devaient le savoir la description de son frère, il le voulait vivant et le faite que ce soit une guerre ne lui importait pas, il voulait, il allait avoir, règle de noblesse.

Ainsi débute ce qui n’était pas prévisible, sa fin, le jour sombre sous les nuages de la rage et les mânes de la magie, pourtant tranquillement assit dans sa tente il ne voit pas le sang couler trop près de lui, il ne voit pas son frère voler au milieu des ennemis en rependant le sang, en laissant sur des croix, fichés dans le sol, des gens aux idées différentes, il ne voit pas le monde qui sombre devant lui et la tornade d’horreur qui avance, il ne voit pas et jugera pourtant … Autour de la toile fine mais précieuse –je ne savais pas que cette toile était trop bien tissé et qu’elle coupais trop des sons !- caractéristique de la noblesse et de son argent dont elle ne sait quoi faire –donnez-moi donc le vôtre, je sais quoi en faire-, les choses se passe tel qu’elle n’aurais jamais dût se passer pour lui et les Hésperiens, telle que l’histoire ne le retiendra que par bride -l’histoire est écrite par les vainqueur et ici les vainqueur ont renoncé à leur pouvoir- et tel qu’aucun général n’aurait pu le prévoir : Le clan, armée parmi les armées, monte et gagne le terrain qu’elle aurais dût perdre en quelques instants.

C’est ainsi que meurt Bor, Archiduc de Parmis, maitre des clefs et grand conseillé, oublié dans une tente, sans rien voir, dans un rayon de lumière blanche qui passe par l’entrée de sa tente, un rayon qui le torture, qui l’expose et l’explose, un rayon de souffrance –mauvais souvenir- qui ne laisse de lui aucune trace si ce n’est un pendentif de Sphène, une pierre. Un homme, assez fou pour cela, a compris puis oublié que l’essence divine pouvait être enfermée dans une pierre, et un autre homme ramasse la pierre, cette homme est Dolan Khan, juge du clan, ami d’Aliore. Cet homme vois dans le reflet le frère endormi, ce qu’il a pensé ne se trouvera pas ici, ce qu’il a fait ne sont que des sons, des sons et des pertes. Ils étaient deux –êtres abjectes-, ils seront deux –hommes sans vergognes- à faire le mécanisme et deux à remettre une montre à Aliore, à l’homme qui était parti chasser sans rien voir d’autre que la rage d'un démon.

Voici la fin, la fin de Bor l’Archiduc et frère du charpentier. Au-dessus de la tombe vide il n’y a que son nom, son père lui a céder son titre en partant comme esclave, sa mère en l’apprenant à but un verre de cyanure -par inadvertance- qui trainait là –par hasard- en essayant de comprendre, et son frère, son frère savait aussi mais il avait choisi le peuple alors qu’il aurait dû être à ses côtés.

L’histoire finit toujours par retrouver ce qui est perdu, jamais dans un conte l’homme ne retrouve en aucun cas sa sœur, jamais dans une histoire la princesse ne reste seul –c’est beau-. Ainsi le frère retrouve son frère, le frère parle à son âme, essaye de le sortir de là, le change mais si le clan explose, il reste, il vit, il est présent. Ainsi se fait le Départ :
Assis sur un roc, dans les vêtements de son métier –on dit : de mauvais gout-, Aliore regarde une montre qui tournoi sans fin. Devant lui deux de ses amis sont sur le banc des accusés de son esprit, deux amis à qui il en veux sans pouvoir leurs retirer sa confiance, la guerre est un bain de sang et Bor est venu en personne s’opposer à eux, deux amis qui savent son secret, ce qu’il porte au cou; la marque qu’il attache de l’importance à celui qui fut un de leur plus grand ennemi, lui qui était presque un assassin, main de fer dans le gant de velour de son département, chef et protecteur de ses hommes qui savent tout de l’autre côté, garde sur lui la marque.

C’est dans ces conditions que le clan explose –et perd ses droits de vainqueurs. Dans ses conditions que le monde s’effondre autour de lui et qu’il reste seul avec sur sa main la marque de la rose et sur son cœur la marque de l’ennemi qui lui parle sans arrêts.

Personne ne sait ce qui s’est passé après, ce qui s’est passé pendant ces centaines d’années où il n’as pas été vue. On dit même qu’il a plongé dans le temps pour n’en ressortir qu’il y a quelques temps, ont dit aussi chez les moins croyant qu’il se serait simplement exilé loin de tout à entrainer son corps pour laisser son esprit réfléchir à son passé et ses actions. Une chose est sure, le temps n’est rien pour les gens de sa race, rien d’autre qu’un espace digne des jours des humain, un espace à combler dans le sens de sa vie.

Ce qui importe vraiment après le Départ, le début de tout reste le présent pour poser une histoire. Le passé ne fait pas tout, ne relie pas les mondes entre eux et ne tient pas en respect la mort, la présent le fait lui. Némésis a pris son temps mais il a répondu à l’appelle du Cheval, l’aigle est revenu vers ses croyances plus étonnant que jamais, plus loin et secret aussi. Mais qui voudrais d’un chef des renseignements qui peut perdre ce qu’il tient dans ses mains ? Un homme qui ne sais pas donner des ordres et trier des informations ?

Certains l’ont déjà revu, certain se souvienne d’un clou posé sur une table devant eux et de quelques paroles avant la douleur, une douleur violente et fulgurante, les paroles sont là :

-“Vois-tu l’ami, il y a deux sortes d’hommes, et quand on leur plante un clou dans la main on peut les différencier. Les premiers vous regardent droit dans les yeux, une sorte de défi, ceux-là sont des héros, les héros sont une plaie pour le monde et il ne mérite pas de vivre. Les autres ? Les autres ont le regard qui fuit, ils vont même jusqu’à pleurer et eux sont des lâches, des lâches et des traitres à la vie, ils ne sont pas capable de prendre la vie pleinement, eux non plus ne mérite pas de vivre. Et toi qui est-tu ? Veux-tu le savoir ?”

La main bloquer sous sa poigne trop ferme les hommes se mettent souvent à parler avant même de savoir qui ils sont –J’aime mon frère dans ses instant !-, la violence résout parfois bien des soucis –Comme il dit si bien, si la violence ne résout rien, c’est que tu n’as pas frappé assez fort.

-N’oubliez jamais, lisez plus loin que les mots, personne n’est assez bête pour laisser une direction à un homme stupidement violent, à un simple fou … Lisez plus loin sinon vous serez surpris par la finesse des choses, la violence est une issue, la peur passe souvent par elle pour ouvrir des portes trop longue à ouvrir. Tuer n’est plus un souci, alors les choses peuvent aussi passer par cette voie.-





FAMILIER
L’oiseau

Spoiler:




Aliore Némésis [Terminée, Plus ou moins] 544362gauche


Sexe : Male
Race : Callopsitte élégante
Pouvoir : Liaison télépatique avec Bor -moi- qui le contrôle en grande partie
Aliore Némésis [Terminée, Plus ou moins] 754502droit
Description : L’oiseau –Cefus Merlin de son vrai nom …- est une callopsitte, une petite perruche, ou pour être exacte La petite perruche de son frère -Une de celle de cette longue lignée ...-. Disons qu’une Callopsitte blanche passe mieux dans une soirée mondaine que sur un champ de bataille … Il n’empêche, depuis le Départ Aliore c’est retrouvé affublé de cette bête qu’il nomme lui-même L’oiseau.
Il est à noter que L'oiseau à la capacité de dire quelques mots, et bien souvent avec un son de voix similaire à celui d'Aliore... -Et de faire moultes sons !-

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MessageSujet: Re: Aliore Némésis [Terminée, Plus ou moins]   Aliore Némésis [Terminée, Plus ou moins] Icon_minitimeVen 29 Juil - 20:45

Bonjour et bienvenue sur Istheria!


Je vois que tu as rempli toutes les conditions requises pour la fiche ainsi que celle du persos prédéfinis.

Fiche validée


Tu vas pouvoir dès à présent t'ouvrir un compte en banque, un journal ainsi que ta boîte aux lettres. Il te faudra aussi faire une demande de rang personnalisé dans la zone évènementielle.


Bienvenue parmi nous!
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