La nuit, tous les chats sont gris - Acte II

News & Infos

C'est ici que vous trouverez les dernières infos du moment, les utiles et moins utiles.

Temps actuel

Effectifs

• Eryllis: 3
• Ladrinis: 9
• Eclaris: 5
• Prêtresses: 5
• Cavaliers de S.: 5
• Nérozias: 6
• Gélovigiens: 3
• Ascans: 0
• Marins de N.: 4
• Civils: 15

Lien recherché

- Walter cherche de Preux chevaliers.
_ Raël veut des clients.
_ Deirdre a besoin d'employé!

Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

Code par MV/Shoki - Never Utopia



 
AccueilAccueil  FAQFAQ  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


Le Deal du moment : -45%
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre ...
Voir le deal
339 €

Partagez
 

 La nuit, tous les chats sont gris - Acte II

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: La nuit, tous les chats sont gris - Acte II   La nuit, tous les chats sont gris - Acte II Icon_minitimeLun 23 Jan - 14:33


Une nuit sans lune. Un ciel de ténèbres gonflé par de gros nuages noirs. En cette heure, Thémisto plus que jamais, méritait son surnom de Thémisto La Sombre. Les ruelles, dédale vertigineux de bâtiments et de coupe-gorges, labyrinthe délabré ponctué d’une misère omniprésente, crachaient sur les pavés informes, des rigoles d’eau de pluie. Les gouttes, quoique peu nombreuses, continuaient de s’écraser sur les persiennes des maisons, roulant sur les vitres comme des larmes sur les joues d’un enfant.

Deux silhouettes, ombres gracieuses ou spectres nocturnes, filaient au travers des rues. Côte à côte, sans se retourner, sans hésitation, elles parcouraient silencieusement un chemin vers une destination qu’elles seules connaissaient. Aucun tire-laine, brigands, ou autres malandrins n’osaient emprunter leurs pas sous cet orage grondant au lointain comme le glas d’une mise en garde. Le danger. Ces deux êtres, arrachés au tissu des ténèbres pour quelques instants possédaient l’assurance tranquille des prédateurs et non des proies, ils s’enveloppaient d’une étrange aura. Un fou ou un désespéré se serait essayé à les voler mais les hommes de raisons, s’éloignaient, sans coups férir.

La Dame, silencieuse, son capuchon dévorant les courbes parfaites de son visage, accompagnait le Lord dans ses pérégrinations nocturnes. Vêtue d’ébène, elle se sentait damné dans cette cité noire, suivant le parcours des pleurs et des âmes vers le cimetière des condamnés. Si les rues, identiques, défilaient avec monotonie, apparut bientôt une enceinte moribonde. Sur le mur crevassé de mousse grisâtre et de fissures, de hautes piques d’argent formait une ceinture de barreaux en fer forgé. Le portail, gigantesque et impressionnant, alliait le sens du pratique et celui d’un art douteux. Les motifs du fer, s’apparentaient à tour de rôles de serpents ou de formes torturées alors qu’une plainte lugubre gémissait des gonds sous les assauts du vent.


« Charmant » lâcha Esméralde.

Ils entrèrent. Les allés courraient ordonnées entre les murailles de pierre, caillouteuses et entretenues, signe certain de la présence assidue d’un fossoyeur ou deux. Les tombes, quand à elle, jaillissaient de terre sous formes disparates. Tantôt stèle de marbre ornée, tantôt planche de bois rongée d’humidité. La Dame poussa un léger soupir. Trouver un chat dans cet endroit relevait de la chance.


« Humm… quelque chose me dit, que notre félin ne sera pas facile à coincer »

Comme une réponse à cette affirmation, le vagissement du vent entre les tombes s’agrémenta de plusieurs miaulements. Sérénade féline au cœur de la nuit.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: La nuit, tous les chats sont gris - Acte II   La nuit, tous les chats sont gris - Acte II Icon_minitimeVen 3 Fév - 14:17

Ses appétits... Ision ne les connaissait que trop bien, mais Esméralde se fourvoyait, cette chaleur, ce désir qu'elle pouvait sentir en lui, n'était que l'attrait pour le pouvoir et la mort, nullement un désir sexuel envers tout ce qui pouvait bouger ou même remuer au loin, ce n'était pas un simple terran et pour qu'une femme partage sa couche, il fallait qu'elle soit réellement désirable et qu'elle ait un intérêt quelconque pour lui. Ision ne couchait pas pour le plaisir d'un acte, mais pour le plaisir que cela lui apporterait après, un bénéfice non négligeable quoiqu'il en soit. Aussi garder cette "liaison" comme "pur" n'était pas véritablement un soucis pour le lord mais il était conscient que tant qu'Hespéria ne trouverait pas un nouveau sujet de conversation, leur relation resterait au premier plan. Et à vrai dire, le sujet n'avait pas changé parce que Ision le désirait ainsi, sa prétendue relation lui permettait d'effectuer d'autres actes passant inaperçus pour la cours et les gens de la noblesse, ce qui lui avait déjà fait dégagé un profit conséquent sur l'importation et l'exportation d'un certain nombre de produit.
Et quand bien même ce Prince déciderait de s'en mêler... Ision pouvait le briser, pourquoi ne pas l'avoir fait encore? L'équilibre avec le maire était stable et il avait donné une parole sylphide à Esméralde de ne pas s'en prendre à lui, aussi tant que l'accord ne bougerait pas, Thimotée avait une chance de resté en vie plus longtemps qu'aucun autre membre de sa royale famille.

Le jeu du chat et de la souris mis en place entre eux n'était pas pour lui déplaire, c'était un jeu sylphide, bien plus prenant qu'une simple cours à faire à une de ces innombrable noble dont Ision se lassait de plus en plus.


"Votre indépendance Esméralde? N'êtes vous pas lié à moi plus encore qu'à la couronne? Ne devrions nous pas plutôt parlé... d'interdépendance?"


Ision avait eut un petit sourire et avait commencé son discours sur les légendes et ce qui les amenait ici. La nuit tout les chats sont gris hein? Hum... Ision espérait plutôt qu'il fut noir, ceux qui portent malheur sont les plus à plaindre et par conséquent, ce dont il est le plus délectable de supprimer l'existence. Car même au travers de leur soit disant volonté de mourir, ils ne rêvent que de vivre, toujours un peu plus, toujours quelques temps de plus, pour espérer devenir ce qu'ils ne seront jamais.


Ision remit simplement son manteau, il ne comptait pas que cette expédition puisse durer plus d'une nuit, des affaires l'attendaient à Hespéria et surtout, plus d'une journée en extérieur apporterait certainement sur sa peau, certaines contrariétés qu'il n'était pas forcément prêt à assumer.


Lorsqu'ils furent dehors, ils étaient seuls, sous cette nuit sans lune, eux, magnifique sylphides dissimulé pour passer inaperçu, même les cheveux blanc d'Ision semblaient n'être qu'une fugace lumière dans cette obscurité totale. Il marchait surement, aucun de ses pas n'était furtif, ceux d'Esméralde non plus d'ailleurs, il étaient triomphant, sûr d'eux, calmes, ils ne pouvaient échouer de toutes façons, eux des sylphides, eux, liés par un serment puissant.

Lorsqu'ils arrivèrent devant le cimetière, Ision le reconnu sans mal, il n'avait pas changé depuis les quelques mois où il était venu à Phelgra. Dans son incroyable morbidité. Ision y entra sans frémir, les fantômes, les êtres d'un autre monde, les anges, les démons, il ne les connaissait que trop, il les avait côtoyé, un homme aussi rationnel que lui ne pouvait avoir peur, car l'on a peur de quelqu'un chose que si l'on pense que l'on doit en avoir peur. Et Ision n'avait peur de rien... pourquoi avoir peur, quand on est immortel?

"Le faire prisonnier sera facile, je ne compte pas courir après lui, mais le tuer... nous ferions bien de penser à comment tuer un mort..."

Ision s'arrêta, s'asseyant sur l'un des tombe tout proche du miaulement, il croisa les bras, comme pour entrer en méditation dans une position proche du lotus, il ouvrit son esprit, Esméralde pu le sentir, à toutes les âmes et environnantes, comme pour capter quelque chose qu'il ne pouvait voir, la plainte, la douleur peut être... une étrange lumière entoura Ision, une lumière qu'Esméralde ne pouvait avoir vu chez lui, comme des particules s'étendant dans le cimetière, Ision devenant une lumière pour ces âmes égarées...


"Esméralde... l'esprit des sylphides, laissez vous porter, transportez et prenez au piège l'âme que vous jugerez bonne, celle de l'être que nous sommes venu cherché..."

Il n'en dit pas plus, il savait que les mort pouvaient encore avoir peur de mourir, les gorgorth, certain se monterai surement, attiré par cette lumière étrange qui émanait d'Ision... une tombe apparue, plus brillante que les autres, comme si une âme plaintive en sortait, ses miaulements, tout venait de cet étrange mausolée...

[HRP : Copieuse de réplique du SDA :p]
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: La nuit, tous les chats sont gris - Acte II   La nuit, tous les chats sont gris - Acte II Icon_minitimeMer 8 Fév - 16:02

[J'avoue.... et m'excuse par avance de la médiocrité de ma réponse miteuse]

« N’êtes vous pas plus liée encore plus à moi qu’à la couronne ? »

Les ombres squelettiques des arbres susurraient en écho aux pensées de la Dame, ces quelques mots. Ision, sélénite dans son écrin de nuit, diffusait les rayons argentés de son esprit méditatif. La lueur graduelle caressait les pierres des tombes, coulait entre les interstices, plus liquide que lumière. Et dans cette phase, le fil tressé entre eux vibrait d’une légère musique rappelant à Esméralde, ces propos erronés dont elle avait tu l’erreur. Omission volontaire… certainement. Quoique alliés et unis, elle ne souhaitait pas lui offrir une emprise sur son âme autre que celle qu’elle lui avait accordé de son plein gré, mais elle savait cependant qu’il lui faudrait aborder ce problème… peut-être plus rapidement qu’elle ne l’avait considéré originellement.

« … sommes venus chercher… »

Elle leva sur lui ses grands yeux sombres, consciente du moment inadéquate de cette réflexion. Tôt ou tard le sujet reviendrait, mais pour l’instant elle se contenta de se détourner, ouvrant comme il le lui suggérait son esprit. Dans ce cimetière baigné de cette aura, l’ombre et la lumière dansaient sous les soupirs éthérés d’une brise. Là, dans cette étoffe nocturne, spectrale et vacillante, une tombe brillait sous des particules spirituelles, semblable à de toutes petites lucioles blanches.

Esméralde s’approcha. De la parcelle correctement entretenue où poussait une herbe verte coupée ras, ne surgissait pas une simple pierre tombale comme elle l’avait cru un instant plus tôt, mais un étrange mausolée. Derrière les grilles ouvragées, en fer rouge, elle entendait une symphonie de miaulements plaintifs. Elle poussa cette porte en fer forgé et passa les colonnes en briques écarlates dont les gravures de faciès déformés grimaçaient étrangement.

Tout était sombre, nappé d’obscurité, d’une odeur oppressante de poussière et d’humidité. Laissant simplement sa vue s’accoutumer au noir, elle attendit quelques secondes avant de distinguer les contours d’un gisant, un petit autel brisé dans le fond, et quelques morceaux de vases éparpillés sur le sol entre feuilles mortes et flaques d’eau. Les miaulements du félin avaient changé pour un ronronnement sonore, pourtant la Sylphide ne parvenait pas à apercevoir un poil de sa pelure.


« Minou… Minou… » Appela-t-elle d’une voix caressante sans obtenir autre réponse que le ronflement de plaisir du petit animal « Où te caches-tu ? »

Et comme pour répondre à la question de la Dame, un nouveau miaulement s’éleva du dessous du caveau, juste sous les gisants. Les prunelles ébène d’Esméralde se plissèrent alors qu’elle traçait d’un doigt les contours d’un visage de pierre. Que faisait le félin en dessous de cette plaque de granit blanc, à même le tombeau. Avec une moue entre étonnement et interrogation, elle sortit du mausolée.

« Ision, il est ici… apparemment, venez voir ! » interpella-t-elle le Lord encore en pleine méditation.

Elle entra à nouveau, sans prendre le temps de l’attendre.


« Hum… un peu de lumière ne serait pas de superflue » disait-elle en se parlant toute seule.

Rejetant en arrière sa pèlerine qui gênait ses mouvements, elle ouvrit l’aumônière qui pendait à sa ceinture. Ses doigts fouillaient avec vigueur et sortirent rapidement un briquet à silex. Avisant du support d’une torche, elle la retira et l’alluma. Une lumière tamisée envahit la pièce. Des peintures grotesques, aux faces grimaçantes et obscènes dansaient en frise sur les murs d’un rouge écaillé. Les éléments qu’elle avait notés un peu plus tôt apparaissaient clairement à présent. Le gisant, homme de marbre couché sur son lit de roche croisait ses mains sur sa poitrine, les yeux clos dans une position de repos. Entre ses doigts, le sculpteur avait représenté les perles d’un chapelet terminé par un étrange symbole runique.


« Les miaulements viennent du dessous de la stèle… » annonça-t-elle au Lord avec une moue dubitative.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: La nuit, tous les chats sont gris - Acte II   La nuit, tous les chats sont gris - Acte II Icon_minitimeMer 15 Fév - 19:48

"J'arrive..." Avait il simple répondu en entendant la voix d'Esméralde, la chasse au chat n'était pas véritablement l'un de ses passe temps et une étrange raideur au niveau de sa nuque. Aller sous terre n'était bon que pour les morts et les nains, soient deux espèces que le lord évitait de croiser, les premiers pour ne pas les rejoindre, les seconds, pour ne pas capter leur odeur. Quoiqu'il en soit il brisa sa méditation et reposa ses pieds à terre, décidément, plus cette histoire avançait, plus il se demandait ce qu'il avait à gagner dans l'histoire...

Et pourtant, il se rappela cette nuit, où il avait eut une fatigue presque mortelle, où elle l'avait porté, il lui avait montré les étoiles, son jardin, puis ... il n'arrivait pas à se souvenir. Esméralde pouvait ressentir ce trouble dans le lien qui les unissait, elle savait ce à quoi il pensait, du moins elle ressentait, elle ne pouvait pas voir, mais les "émotions" qui remontaient à la surface étaient communes... oh Esméralde qu'aviez vus donc fait à ce lord? Ce lien... il était plus fort, plus compliqué que ce que lui même avait imaginé et... il ne pouvait pas dire qu'il n'appréciait pas cela, il se souvenait, de cette puissance, ce pouvoir quasi divin qu'ils étaient capable de déployer? Qui donc avait désormais la puissance de s'opposer aux forces mentales d'Ision Lorindiar et D'Esméralde de L'Epine et à l'union des deux sylphides?! Cette pensée le fit sourire... la réponse était évidente... personne, comme personne jusqu'à présent n'avait tenté une telle expérience, pas même lui ne s'y était risqué.

Il arriva dans cette semi pénombre, son visage pâle et ses cheveux blancs le rendant presque cadavérique, il avait cet air inquiétant, balançant en arrière son capuchon, il observa, levant un sourcil devant l'affirmation d'Esméralde...


"En dessous? Hein... je crois qu'il va venir bien d'autres choses d'en dessous... nous avons besoin de beaucoup plus de lumière..."

Et voilà, le moment était venu de lui dévoiler son autre pouvoir, sans montrer pour autant sa dague fixée sur son avant bras, pourtant, la lueur dans les yeux du lord devint lumière dans sa main, une lumière qui se fractionna en des millions de particules qui se parsemèrent dans la salle telles des lucioles, les éclairants dans ce lieu lugubre... des tombes, partout autour d'eux, et cette tombe au milieu, plus brillante que les autres. Il recula un peu, Esméralde derrière lui, il envisagea un instant de rebrousser chemin mais il entendit derrière lui un grincement... la porte du mausolée se refermait...


"Magnifique... rappelez moi de vous demander une petite compensation pour tout ce petit.. désagrément..."


Un premier bruit, puis un chant, comme venu d'outre tombe, un psaume offert par les morts pour ceux qui allaient bientôt les rejoindre. Mais Ision ne l'entendait pas réellement de cette oreille, il tenait à sa vie, il l'aimait et même s'ils mourrait ici, les murs étaient trop épais, jamais leurs âmes ne pourraient s'échapper. Il jaugea un moment Esméralde, il ne se rappelait pas l'avoir déjà vu se battre, ni même avoir une arme. Un bruit sourd... puis deux... les caveaux s'ouvraient, délivrant un mort vivant, puis deux, un ou deux squelette également...

"Esméralde, vous aimez ce que nous pouvons devenir? Vous aimez votre vie? Défendez la!"

Il lui jeta une dague et une épée courte, simples mais efficace quand on savait que leur alliage était fait d'argent et de mithril...

"Tranchez leur la tête, si vous n'y arrivez pas, coupez leur les jambes, ils seront toujours plus lent ainsi, n'essayer pas de pénétrer leurs esprits ils n'en n'ont pas et si jamais vous vient l'idée de leur arracher leur coeur, ne vous gênez surtout pas. Bougez avec moi, ayez confiance en moi et vous vivrez, écartez vous un seul instant et vous mourrez..."


Ils se mirent dos à dos, encerclé par 6 morts vivants et squelette, Ision ferma les yeux et partagea sa vision avec Esméralde, elle voyait chacun es mouvements qu'elle devait exécuter, pour la première fois, Ision lui lui faisait profiter de ce pouvoir qu'il avait de voir chacune des actions des autres avec une ou deux secondes d'avance, juste assez pour rester en vie... . Il bougeait bien, vite, mais s’essoufflait aussi rapidement, il profitait du lien qui les unissait pour ne pas avoir à partager trop difficilement ce pouvoir. Mais pour le moment, ils étaient résistant, trop résistant et sans un ordre de sa part, Imnia ne bougerait pas, ce n'était pas le moment... il tranchait, faisant chanter Shinigami, sa lame de katana, les geste était précis, court, tout pour tenir la distance, c'est alors qu'il eut cette vision, cette petite pierre, là bas dans le renfoncement. Le lord guerrier, du moins autant qu'il le pouvait, poussa Esméralde contre le mur, se retrouvant presque collé à elle...

"Le renfoncement dans le mur... appuyez, nous verrons bien, mais ne trainez pas..."

Pour la première fois depuis plus de 400ans, Ision faisait fit de sa personne au profit d'une autre. Il avait scellé un pacte avec Esméralde, il comptait bien le respecter.
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé

MessageSujet: Re: La nuit, tous les chats sont gris - Acte II   La nuit, tous les chats sont gris - Acte II Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
La nuit, tous les chats sont gris - Acte II
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» La nuit, tous les chats sont gris - Acte I
» La nuit, tous les chats sont gris! Le design aussi!
» Les chats.
» Les gris font le ménage. [PV Erard]
» Les Gorgoroth, ce qu'ils sont et ce qu'ils étaient...

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Istheria, le monde oublié :: La Communauté & ses échangesTitre :: • Corbeille :: • Les vieilles aventures-
Sauter vers:  

(c) ISTHERIA LE MONDE OUBLIE | Reproduction Interdite !