Avec le ciel pour témoin

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• Civils: 15

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- Walter cherche de Preux chevaliers.
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Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

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 Avec le ciel pour témoin

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MessageSujet: Avec le ciel pour témoin   Avec le ciel pour témoin Icon_minitimeLun 3 Fév - 14:14

Les jardins de pierre, le vieille homme s’y était arrêter, posé pour être exacte car il était allonger sur le sol, le regard vers les cieux qu’il regarde si rarement et qu’il aime toujours autant contempler. Comme certaines personnes le font il a pour habitude de passé de temple en temple pour connaitre les avis de ses Frères et de leur maitre, pour prendre la température de cette décoction instable qu’est la politique des prêtres. Mais aujourd’hui il avait quelques jours d’avance sur son programme et son programme était formel, il devait en profité.

C’est donc couché sur le dos en regardant le ciel et le vent dessiné dans les nuages qu’il en profitait comme il se doit : pleinement. Ainsi un observateur non avertit aurait put croire que la chose était un monticule de crasse et d’autres affaires posé là, un véritable assemblage fait depuis des générations vue la taille disproportionné de cette amas caché dans une clairière, ou alors, probablement la maison d’un sans abris. En aucun cas un être humain, ni même un Zélos ne faisait cette taille, et puis ces mèches blanche au milieu de cheveux brun, ou plutôt ces cheveux blanc taché de brun, mal coloré, et surtout la voix, rendait la chose vivante. Pas grosse, mais imposante masse de muscle gardant l’odeur de l’homme qui à marché à pied depuis quelques jours et à vu de l’eau la veille ou à l’extrême rigueur le matin même … Enfin, il avait tout pour évité les rencontre inopportune car les quelques paroles qui sortait de sa bouche était de l’ordre de la folie :


-“Tu voix ça Cœur ? Celui là me fait pensez à une lame, celle que j’ai sortie de la forge avant de partir, dansante … Et ce chant d’oiseau, tu entends ça Cœur ? Il va parfaitement avec la danse que cette personne pourra lui donné, qu’en penses-tu ? Elle le mérite vraiment ? Une lame de Cœur ? Peux être la rencontrerons nous un jour …”

Mais le ciel dessine des rêves et les rêves jamais ne se perdent dans le vent, alors à quoi bon espéré, il faut prendre en main les choses, querir l’envie et prendre le temps de la modeler, de la façonner, de l’attraper, cet espoir qui fuit si on l’oublie. Alors autour de lui sont posé des croquis, des esquisses, belles, au trait clair de l’être qui à toujours dessiné, qui connait les mesures et ce qu’il fait, elles courent de ci de là et éveille le grain. Le fusain lui à été posé, bout de cendre sur l’herbe et la pierre reflétant le soir qui tombe.

Car le soir comme le temps n’as que faire des hommes et la coloration orange des nuages n’en est que plus fascinante pour le premier prêtre de Bor. Mais après tout qui viendrais le prendre en embuscade ? Qui viendrais ne serait-ce que discuté avec lui si ce n’est lui-même ? Alors tranquillement il regarde le ciel. En pensant autant à la forge et à l’artisanat qu’aux mouvements qu’il devra faire prochainement.

Il sait qu’un assassin à été envoyé à ses trousse par des hommes qu’il aurait mieux fait de tuer plutôt que de les laisser dans son temple, il sait qu’une autre manigance se monte dans son dos, c’est pour cette vrai raison qu’il a quitté le temple, que les gens parlent plus haut et qu’il puisse entendre le son de leur voix et non pas seulement des murmures, pour ne pas frapper au hasard sur des fondation qu’il s’est efforcer de renforcé. C’est le lot de tout politicien, courir après ses ennemi pour porté le coup le premier, il n’aimait pas ce rôle, il voulait juste être la main de Bor.

Et puis, en son âme, un petit être s’éveille. Il sourit, et s’étire, il se blotti contre l’âme du géant en ronronnant comme un chaton, il aime sa prison de chair. Alors le vieil homme se passe la main dans les cheveux, comme une caresse et le monstre ronronne de plus belle –Je ne ronronne pas ! Je transmet juste ma satisfaction !. Car c’est un méchant monstre –ouaip- des plus dangereux –aussi- qui vie en son âme.


“Alors Cœur, qu’en dis tu ?”

Fut les paroles qu’il prononça avant que les choses prennent un autre ton.
Dans le silence des feuilles une flèche siffla, puis, l’écureuil laissa son camouflage derrière lui et un être tomba des branches alors que la flèche percutait le bras droit du géant avec un bruit sourd fort étonnant pour le contact d’une arme avec la chair. Alors que le poison se déversait dans les veines du géant et qu’un sourire presque fou se posait sur ses lèvres –je n’aime pas quand il fait ça-, sa main rencontra une arme, un cure dent de la taille d’une dague classique jaillissait de sa botte pour courir vers le point de chute.

Le soir tombe, il est le temps des intrigues et des meurtres, des mouvements et de la chair, le temps de la mort et de la peur, le temps béni de la fourberie et de la mort. Debout au milieu de la clairière le géant regardait fuir un assassin, il ne pourrait jamais courir assez vite pour rattraper l’être sans brulé toute le jardin, il aurait voulut l’interroger mais il lui laisserait juste le souvenir d’un saignement, lui regarda sa plaie, son bras était court de sang mais la blessure n’était que superficiel ce qui l’inquiétait plus était les reflets vert de la flèche …

Il ferma les yeux et son corps se mit à chauffer…

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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Avec le ciel pour témoin   Avec le ciel pour témoin Icon_minitimeMer 30 Avr - 15:46

Le croassement rauque d'un corbeau se fit entendre, une fois. Elle arrivait tard. Peut-être aurait-elle du agir plus vite, plus tôt. Sans doute ne l’aurait-elle pas put. Il y avait de ça dans les assassinats qui rendait les actions si vives, et la tentative de les déjouer si difficile. La certitude qu’elle avait, au final, était celle qu’il n’était pas trop tard.
Une masse comme celle de Brom Ode’Bahalmarche était assez difficile à manquer. Un géant pareil, quelle curiosité ! Certes, immobile, on aurait pu penser à une masse informe de détritus, mais l’œil du corbeau ne s’était pas laissé abuser. Les cieux n’étaient plus vides, mais déjà, le géant ne les regardait plus, ayant fermé les yeux.

------

Elle y avait passé, du temps, sous sa forme d’oiseau, à guetter les environs. Le voyage des Gorge de Paramis jusqu’au jardin de pierre aurait dû lui prendre un peu plus d’une semaine à pied. Elle avait mis bien moins de temps, à l’aide de ses ailes, n’ayant qu’à suivre une ligne droite pour avancer, portée par le vent. Néanmoins alourdit par une sacoche qui contenait ses dagues, une bourse, deux lettres et quelques fioles et herbes utiles, le voyage avait été plus long et fatiguant. Rien de folichon, ni de lourd pour un humain. Mais pour le corbeau, la charge était déjà bien imposante, et elle ressentait la douleur dans ses muscles. Mais elle avait du travail, et peu de temps pour se reposer.

Sa première action fut de situer le Haut prêtre de Bor, alors encore en mouvement. Chose peu difficile, vu le personnage.
Le myste rouge trainait dans le coin, mais n’affectait pas – bien heureusement – sa transformation en corbeau, ce qui lui permit de reprendre forme humaine et de se procurer des vêtements. Puis, cachant ses affaires à proximité du « campement » de Brom, elle avait attendu, tout simplement. Si on cherchait à le supprimer, il valait mieux attendre les assassins. Puis s’occuper d’eux au moment venu. Avec sa stature, peu oserait s’approcher de l’homme une dague à la main afin de l’égorger. Alors à tous les coups ce serait le jeu du poison. Avec de la chance, l’assassin penserait qu’il n’aurait qu’à toucher l’homme isolé pour en finir avec lui, et ne chercherait pas à l’abattre directement, ne comptant que sur le poison.
C’était un pari risqué. Mais si ce Brom n’était pas tout simplement stupide, il n’aurait pas choisi de s’isoler sans prendre quelques précautions, comme surveiller les alentours autant que possible. Il y avait peu de chance qu’il ne meurt stupidement.

Son empathie lui manquait. Il lui aurait été plus facile de repérer un éventuel assassin avec. Mais elle pouvait bien se débrouiller autrement, et elle le chercha plus longtemps. Et lorsqu’elle le trouva – car elle le trouva, elle l’observa attentivement, préparer son coup sans se douter que l’oiseau à l’œil morgue qui l’observait n’était pas là pour un repas.

------

Si Brom Ode’Bahalmarche ne pouvait pas rivaliser en vitesse avec l’assassin, elle était capable de le faire. L’oiseau fila à la poursuite de l’assassin, sans se préoccuper pour le moment du blessé. Il lui fallait savoir quel poison avait été utilisé, et le meilleurs moyen de le savoir était d’aller vérifier à la source. A pied, il était bien lent, comparé à elle. Elle plongea sur son visage, et ses griffes rencontrèrent la chair sensible du visage, alors que par deux fois, sans lui laisser le temps de réagir, elle plongeait son bec de charognard dans les yeux de sa victime.
Elle se dégagea rapidement pour ne pas être attrapée, et se posa à deux mètres de lui, amorçant une transformation rapide et peu agréable. Elle n’aimait pas se transformer rapidement. Elle avait l’impression que son corps explosait avant de se reformer. Mais pas le temps de s’attarder sur les fourmillements dans ses membres. Elle attrapa un bâton sur le sol, et donna un grand coup derrière la nuque de l’homme, dans le but de l’assommer. Aveugle, il n’irait pas loin, mais elle était nue, et n’avait pas l’intention de le fouiller en lui laissant la possibilité de la toucher, sans compter les hurlements qui aurait pu attirer quelqu’un.
Elle trouva rapidement ce qu’elle cherchait. Elle ne prit pas le temps d’attacher l’homme, retournant vers Brom. Traiter le poison était maintenant l’urgence, aussi elle reprit forme animal pour gagner du temps sur le déplacement. Elle fit un rapide passage vers sa besace, ou attendait les herbes préparées pour l’occasion, puis ce fut en temps qu’humaine, nue, qu’elle apparut à côté du géant.

« - Besoin d’aide, mon seigneur ? »
Demanda-t-elle, avec un léger sourire.

Elle ne le toucherait pas sans sa permission. Peut-être pouvait-il gérer le poison seul, qui savait. Alors elle aurait en poche l’arrestation du coupable. Elle aurait sans doute dû prendre un vêtement, mais à vrai dire, elle avait été prise par l’urgence. Tant pis.

[HRP : Ce  n'est pas la dame au cheveux Blanc, j'en ai bien peur, mais une au cheveux bleu. En provenance de ce rp.]


Dernière édition par Randiel Wyrdam le Mer 30 Avr - 19:48, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Avec le ciel pour témoin   Avec le ciel pour témoin Icon_minitimeMer 30 Avr - 16:33

[Hrp : Bonjour, cela fait longtemps que j’attends quelqu’un sur ce Rp alors même l’envoyée de mon ami serpent me va !]

Son corps comme son âme était brulante, c’était le début des effluves du myste et ses pouvoirs s’en furent aussi vite qu’ils étaient arrivés, comme si la simple présence de cette brume rouge haute dans le ciel pouvait couvrir la puissance d’un petit –hum hum- de la féroce créature vivant en son sein. Mais il avait déjà traversé un des pans de la brume et si, la première fois il avait ressenti un semblant de peur autant qu’un soupçon de frayeur il savait maintenant s’y faire.

A première vue et si l’on en croit le peux d’expérience qu’il possède de la chimie et des poisons, une grande partie si ce n’est tout le problème avait été mis à mal par la brève chaleur qui ne refluait pas aussi vite qu’à son habitude. Car si le myste l’avait coupé de cette magie son corps à l’instant de la coupure, n’en restait pas moins bien plus chaud qu’un homme enfiévré… Ce qui est, contre toute attente, inapte à la survit d’un humain normal sur le long terme -ha bon ?... Ces narrateurs !.

Il se laisse donc tombé sur son séant avec la grâce d’un ours touché au flanc par quelques dizaines de piques et un demi-régiment de cavalerie –c’est pour dire- et laisse son regard rendu flou par la fièvre observer l’horizon –Y’a pas à dire c’est bien dit.

C’est à ce moment là que ce décide à apparaitre une femme nue qui le contemple de toute sa hauteur –soit à peu près la même taille que lui sauf que lui est assit- et semble vouloir lui dire quelque chose qui met quelques temps à parvenir à ses oreilles. Pendant ses quelques instants, trop longs où la voie n’arrive pas encore au cerveau et où la vue elle contemple le ciel et le corps qui se mélange suivant les pulsations du sang trop chaud qui court dans ses veines en hurlant. Le géant délire doucement et sans bruit en ce demandant si il est déjà mort et si les paradis de Bor ressemble à ce Walhalla dont parlent certain récit ancien … Mais Bor n’est ni un dieu guerrier, ni connu pour récompensé ses fidèles avec des femmes nue –bien plus de gens le prierais si c’était le cas, ça serait une bonne idée de rentré ça dans les textes, ils sont déjà faut de toute façon, tu rajoute des beaux guerriers pour les femmes et tu deviens riche !

Il retourne donc rapidement à sa triste condition sur les délires de splendeur de son petit et eternel compagnon qui s’amuse à murmuré des idées consistant à corrompre des textes divins pour la richesse personnel et aussi un temps soit peux d’amusement… Et sa vue s’accommode soudain alors que ses pupilles retrouve une taille plus standard.

Enfin quelques mots sortent de sa bouche alors qu’il menace de s’effondré sur le dos avec cette douceur qui semble le caractérisé :


-”Oui, poison ok, mais …sassin, …apturé, et chaud … che…ise … air … …rais“

C’était surement un long discourt plein d’un grand sens philosophique qui aurait dût sortir mais contre toute attente ce fut plutôt un amas de mots plus ou moins compréhensible, plutôt moins que plus d’ailleurs, qui sorti de la bouche du titan. Et puis, dans un bruit sourd il se laissa tomber sur le dos toujours gracieusement.

Ce qui fut fait après ne fut donc pas vraiment sous son contrôle car son esprit, en bon héros, décida de coupé cours à toute discussion avec la réalité pour aller voir ailleurs si on état pas plus en sécurité que dans un corps dépassant largement les quarante degré et pesant plus de cinq quintaux …

-----

Mais c’est aussi en bon héros qu’il réinvesti les lieux quelques longues dizaines de minutes plus tard. Et sans ouvrir les yeux il chercha a sonder ce qu’il y avait autour de l’un avec un simple murmure de remerciement … Il y avait encore bien trop d’inconnu …
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Avec le ciel pour témoin   Avec le ciel pour témoin Icon_minitimeMer 30 Avr - 20:45

[Hrp : A la bonne heure !]

Non, de toute évidence, il ne pouvait pas évacuer le poison tout seul, ou alors le remède semblait pire que le mal. Il se mit à baragouiner quelque chose qu’elle eut du mal à comprendre. Le poison était ok ? Il était aussi question de la tentative d’assassinat, évidemment, mais aussi de chaleur ? Et de chemise ?
Pas le temps d’y réfléchir, il fallait agir maintenant. Dieu qu’il était grand ! Elle sursauta lorsqu’il tomba en arrière avec fracas. Elle se précipita vers le front du géant, posa sa main sur le front de Brom.

« - Bon sang ! »

Elle retira vivement sa main, fronçant les sourcils. Ce n’était pas possible qu’il soit aussi chaud ! Le poison utilisé n’était pas aussi fulgurant que ça, et ne provoquait pas une fièvre aussi extrême.
Le corbeau s’activa aussitôt, ouvrant sa besace, choisissant quelques flacons. L’avantage, c’était toute l’eau qu’il y avait à proximité. Il avait bien choisit son endroit, c’était déjà ça.

Ses affaires furent rapprochées, et de l’eau apportée. Elle avait du travail.
Elle retira la flèche, heureuse qu’il ne fût plus conscient pour se plaindre. Même s’il semblait costaud et capable de résister à la douleur, s’il était douillet, il n’avait qu’à abattre son poing pour la faire entrer sous terre. Littéralement.
Elle déchira sa tunique après un court choix, se morigénant de ne pas avoir prévu plus qu’un pantalon et qu’un haut, puis elle passa la plaie à l’eau, la couvrit d’un rapide bandage.
La priorité était de faire baisser la fièvre, alors elle ouvrit la chemise de Brom. Pas étonnant qu’il en ai parlé juste avant, son corps était anormalement brûlant. Elle ouvrit une fiole, qu’elle vida sur un morceau de tissu, puis appliqua le linge humide sur son front. Elle rafraichit le corps en arrosant largement le torse massif du géant.
Il ne semblait pas atteins par les symptômes du poison, pourtant violent, alors le problème semblait bel et bien réglé. Néanmoins, cette fièvre – si cela en était une – était capable de le terrasser, alors au grand maux les grands remèdes. Elle prit une fiole d’achillée mille-feuille, utile pour faire transpirer et baisser la température. Tant pis s’il n’était pas conscient, il fallait qu’il avale. Ce qui fut une entreprise plus ardue que prévue, mais elle y arriva tant bien que mal, le forçant à avaler.
Elle nettoya ensuite la blessure correctement. Elle n’avait rien d’un médecin, mais savait quelles étaient les bonnes herbes, ainsi que les mauvaises. Elle broya grossièrement quelques herbes fraiches sélectionnées avec soin, puis les appliqua sur la plaie avant de faire un bandage.
Il ne lui restait plus qu’à attendre, en contrôlant la température. Elle ne pouvait faire guère plus, avec la saison morte qui ne laissait que peu de diversité végétale.
Elle n’osait pas partir vérifier l’état de l’assassin. Il n’irait pas loin de toute manière. Elle changea le linge qu’elle avait posé sur le front, et attendit le réveil du haut prêtre de Bor.

------

Elle s’était allongée à proximité du géant, certaine de sa bonne santé. L’état de Brom n’avait pas empiré, alors, les bras croisés derrière la nuque, c’était son tours de regarder le ciel, pensivement, tâtant comme du bout des doigts ses pouvoirs dont l’absence l’indisposait légèrement. Elle n’y était pas accros, ne comptait pas sur eux, mais cette impression d’être coupée des autres à cause de l’absence d’empathie lui donnait l’impression d’être sourde, et seule. Heureusement que la température était clémente. Si elle avait pu mettre son pantalon, elle restait torse nue. Situation comique s’il en est.

Elle l’entendit s’agiter avant de le voir. Elle se redressa, ne comprenant pas ce qu’il avait bien pu murmurer. Elle resta à distance, l’observant. Il n’avait pas encore ouvert les yeux. Il ne semblait pas vouloir se débattre violemment d’un coup, aussi elle s’approcha sans vraiment se relever, et posa une main sur le front de Brom, retirant pour cela le linge humide. La température avait baissé.

« - Vous êtes conscient ? »
Demanda-t-elle alors, haussant un sourcil curieux.
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Avec le ciel pour témoin   Avec le ciel pour témoin Icon_minitimeLun 5 Mai - 15:45

Le gros bébé, ou très gros vieux monstre serait plus juste, avait bien dormi, c’est le moins que l’ont puisse dire alors que d’autre –comme moi- parlerais plutôt de coma et d’état végétatif, lui en grand héros avait juste décidé de se reposé quelque instant. Pour des raisons inconnues même lui, ne le voyait exactement pas comme cela …

Alors que son réveille et son esprit furent un peu plus présent que furetant avec la vaillance d’un chanteur de pop musique devant un danger imaginaire, et plus dans l’état normal et flegmatique de l’ours en hibernation, il put en fin sentir la présence du linge sur son front et marmonné un remerciement plein de bonne volonté. Cependant la barbe et la bouche légèrement pâteuse rendirent surement ce détaille peu audible car la demoiselle près de lui se posa la question de la pertinence du réveille.

Il réfléchit donc quelques instants à la question, ou plutôt en profita pour essayer de retrouver la fonction de son corps et surtout les articulations de la mâchoire permettant de formulé autre chose qu’un grognement tirant plus du ronflement que du digne rugissement –honnête ? Depuis quand ?-. C’est donc avec une certaine joie et une joie certaine qu’il s’entendit parler de façon à peu près intelligible :


-“A première vue je dirais que oui, vous êtes seule à vous occuper de moi, le décore est le même, vous avez des plumes trop noir, pas assez de seins, j’en déduis que je ne suis pas dans une vie après la mort ou que les Dieux ont plus d’humour que ce que je ne le croyais. Donc je suis vivant et je ne me suis pas fait bouffé par le poison qui à dût être arrêté par la chaleur.”

Ouvrant finalement ses yeux torturés et rainurés par le travail de la forge il tente de bouger faiblement en disant cela et laisse des informations plus larges arrivé à son cerveau. En quelques cours instants tout est présent et il se remet vraiment à réfléchir –pour une fois- tout en remerciant Bor de l’avoir sauvé –faux espoir-.

Pourtant une douleur est présente, la flèche à pénétré bien plus que de raison dans son bras, la rougeur qui vie dans les cieux fait bien plus de mal qu’elle n’y parait.


“A première vue l’assassin a compté sur le Myste, et à bien réussit son coup. Je ne sais pas si je serais vivant sans vous, ou du moins si vous avez fait plus que me mettre un linge humide sur le front et déchiré votre chemise. Non que je ne sois pas sensible à l’attention et je vous cède la mienne bien volontiers même si elle vous fera une tunique … Ou plutôt une robe…”

Tout en disant cela il hotte sa chemise et montre son torse à la mesure du reste de son corps, rendu difforme par l’amas exceptionnel de muscle qui semble se battre en duel pour savoir qui sera le plus gros, le plus puissant et le plus aillant. Beaucoup plus musclé du bras droit par l’utilisation du marteau, les muscles bloqueurs du gauche sont plus que présent mais le tout essaye de garder un semblant d’harmonie dans la démesure. En rajoutant ici et là autant de blessures que de marques de brulures que le gagne par le dure apprentissage et surtout à essayer d’apprendre aux autres, on retrouve le bloque de granite tailler par un sculpteur peu précautionneux qui lui sert de torse. Mais surtout on y voit quelques écailles qui semblent vouloir poindre et sortir de la peau étonnante.

Qu’importe car il a déjà remis son gilet et son tablier de cuire et tend le bout de tissu qui sur lui ressemblait surement à une chemise -mais qui tient plus ici du bout de tissu crasseux que d’un quelconque vêtement prestigieux-. Utilisons plutôt le mot usé car il relève surtout d’un tissu noircit sous les feux de la forge et rendu rêche par une utilisation fréquente, il ne sens que –que- les quelques six heures de marches qu’il a fait pour venir, une belle odeur de champs, de poussière de la route –en plus de celle de celui qui l’a porté.


“Je ne voudrais pas me montré offensant ou non reconnaissant, je le suis, mais une question me reste dans la gorge, vous avez fait quelque chose de l’assassin ? j’aimerais lui posé quelques questions, douce et délicates …”
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MessageSujet: Re: Avec le ciel pour témoin   Avec le ciel pour témoin Icon_minitimeMer 30 Juil - 21:27

Conscient, il était conscient, et parvenait à répondre de manière intelligible. Elle hocha la tête avec satisfaction, pour elle même.
Certes, il ne devait pas être dans la meilleurs des formes possibles, peut être affaiblit, fatigué par le poison et déshydraté par la chaleur. Peut être aurait-elle put empêcher la douleur de son bras en neutralisant l'assassin avant qu'il n'agisse, mais alors, aurait-il put ressentir une once de reconnaissance envers elle ? Lui aurait-il accordé autant de confiance ? Il ne fallait pas oublié le but premier de sa mission, aussi égoïste que cela put être. Il n'y avait rien de mieux qu'une blessure bien contrôlé pour lever des frontières, initier la confiance.

Dans tous les cas, le géant ne manquait pas d'humour. Elle jeta un léger coup d'oeil à sa poitrine, puis haussa vaguement les épaules. Elle fut tentée, un instant, de la cacher de ses bras, mais cela ne lui donnerait qu'un vague air timide dont elle n'avait que faire en cet instant.
La question fut réglée lorsqu'il ôta sa chemise, révélant une musculature aussi extravagante que sa taille, et, plus révélateur, quelques écailles qui attirèrent l’œil du corbeau. Ces quelques écailles trahissait la nature du géant de manière presque aussi explicite que les plumes de la demoiselle.

"- Merci bien." Dit-elle en attrapant le vêtement, l'enfilant sans tenir compte de sa crasse apparente.

Une chemise dix fois trop large, trop longue, noire et usée valait mieux que rien, et si le corbeau avait apprit à aimer la douceur de la soie, il savait encore se contenter du nécessaire. Elle attrapa un ancien morceau de sa chemise, puis le noua à sa taille pour resserrer le tissus contre son corps. Le vêtement baillait encore largement au niveau de son cou, si bien qu'elle n'avait qu'à se pencher pour dévoiler sa poitrine. Mais elle était habillée, pas assez coquette pour chercher à rendre plus esthétique la large "tunique", pas assez pudique pour s'inquiéter de ce qui se voyait encore.

Le géant l'interpella, et elle fit semblant d'être tirée de ses pensées. Elle quitta des yeux son bras en secouant légèrement la tête, puis planta son regard... Du moins tenta de planter son regard dans celui de Brom.

"- Hum ? Oh, l'assassin."
Fit-elle, sans se préoccuper des formules de politesse dont il avait fait part. "- Oui, c'est vrais." Elle hocha la tête.

Elle eu un sourire, d'abord amusé puis désolée.

"- Je n'ai pas trop eu le temps de m'attarder sur lui, il est vrais. Je l'ai laissé la-bas - elle indiqua l'endroit d'un geste de la main.- Il n'était pas conscient lorsque je l'ai laissé, et, même s'il a reprit ses esprits, je ne pense pas qu'il soit dans la capacité d'aller bien loin." Dit-elle.

Et, sans plus attendre, elle se mit en route, invitant Brom à la suivre d'un petit mouvement la tête. Elle n'était pas pressée, mais autant en finir avec ces "formalités".
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MessageSujet: Re: Avec le ciel pour témoin   Avec le ciel pour témoin Icon_minitimeJeu 31 Juil - 13:26

    Il sourit, même si elle n’avait absolument rien d’un ange il aimait bien gamine, à première vue une professionnelle, plutôt espionne ou assassin, voleuse ou maraudeuse, un de ces êtres dont un s’allie si facilement et dont on se sert à foison pour un nombre de mission aberrante qui en font des choses oublié de leur passion initiale. Pourtant il y avait en elle une espèce de sympathique plume d’esprit et de bien être qui l’avait fait, entre autre, ne pas se cacher stupidement et peu être un semblant de dignité, qu’en savait-il. Par contre il lui manquait quelques légères brindes d’information qu’on a souvent au premier regard mais qui échappe parfois lorsque l’ont voit une montagne du genre de Brom. Car il faut avouer que malgré sa constitution fantastique et sa musculature exceptionnelle –ont dit : difformité- il venait de se réveiller d’une petite cure au poison, qui, bien qu’atténué par le feu, n’était pas forcement fort sympathique pour un corps aussi fantastique soit-il –donc on ne parle pas de celui de Brom-.

    Il finit donc de se redresser avec difficulté pendant qu’elle prend la route en s’appuyant dignement –tant bien que mal- sur son bras qui n’a pas été touché pour reprendre une position plus digne. Autant s’assoir et tendre une chemise n’as pas été trop complexe, autant la fièvre et peu être des restes de poison semble lui expliquer que le monde est un magnifique bateau lorsque les deux pieds sont les seuls rivets que l’ont a avec ce sol rieur et plein d’humour. C’est donc appuyé contre un de ces grands et tortueux chênes millénaires qui semble frêle mais incontestablement beau et digne à ses coté qu’il reprend la parole :


    -“Je vais encore abuser de vous, bien que je n’ai pas eut le plaisir de savoir en quoi je l’ai fait la première fois, mais le sol à une fâcheuse tendance à ne pas vouloir suivre mon bon vouloir et je n’aime pas quand il crée des collines sous mes pas. Pourriez-vous donc aller le chercher pour moi ? Car je crains que vous ne puissiez me servir de pilier ou de canne même si il n’y a que quelques mètres à faire, je suis sur qu’il existe quelqu’un qui m’en voudrais si par malheur vous deveniez encore plus plate que vous ne l’êtes.

    Par contre, si il est trop lourd n’hésitez pas à enlever quelques bouts, tout ce que je veux c’est qu’il puisse parler et qu’il ne tombe pas dans les paumes, sont équipement et les restes sont à vous, je sais que ce n’est pas grand-chose mais dans le doute …”


    Il y avait quelque chose d’une demande sympathique et sincère dans le flot de parole de ce –anti-héros souffrant dignement pour ne pas trop incommoder une demoiselle, malgré le fait qu’elle semble plus tenir de l’amazone que de celles qu’on entraperçoit dans les codes de chevalerie.

    C’est donc avec cette dignité digne d’un ours se grattant le dos –autrement dit proche du zéros pointé-, qu’il attend adossé –vautré- à l’arbre, qui par coup de chance n’a pas –trop- plier sous un poids à la –dé-mesure du reste de sont corps. Pour autant, déjà est revenu dans ses yeux le sourire et la marque de la folie et de la joie qui semble toujours l’habité. Bor lui a donné une vie –haha- à mordre à pleine dent, et des instants à profité alors il ne laisse aucun d’eux troubler cette philosophie.
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MessageSujet: Re: Avec le ciel pour témoin   Avec le ciel pour témoin Icon_minitimeMar 19 Aoû - 23:15

Quelle stupidité. La carrure fantastique du géant lui avait fait oublié qu'il pouvait faire preuve de faiblesse, et qu'après tout, il n'en restait pas moins "mortel". C'est ce qu'elle comprit lorsqu'il se laissa tomber - du moins par rapport à sa propre perception - contre un arbre. Et les paroles de Brom ne firent que confirmer ce qu'elle venait, un peu tard, de comprendre.
Aussi laissa-t-elle échapper un simple petit rire, poussant la mimique jusqu'à placer le bout de ses doigts contre sa bouche, prenant une expression entre l'amusement et la "gêne". Amusée, elle l'était. Gênée, absolument pas. Mais elle avait un personnage à respecter, et une confiance à gagner.

"- Veuillez pardonner mon étourderie. Je vous rapporte le colis aussi vite que possible." Répondit-elle simplement.

Et, laissant le géant seul, elle se mit en marche d'un pas rapide. Elle ne voulait pas le laisser seul trop longtemps. Elle n'avait pas peur qu'il s'en aille, certes pas. Et même s'il n'y avait que peu de chance, l'ombre d'un deuxième assassin n'était pas à écarter.
Et alors qu'elle s'éloignait de Brom, les pensées noires qui l'habitait reprirent le dessus, et son expression s'assombrit. Son esprit s'égara vers Tekum Seh, et les problèmes liées au Myste rouge, loin vers la capitale, puis vers sa mission sur la frontière. Et comme parfois lorsqu'elle s'éloignait de lui pour une longue période, un sentiment de désespoir se réveilla, au plus profond d'elle, comme un lac gluant qui lui rappelait combien elle avait envie de lui plaire, et le nombre de fois ou elle avait faillit à cette mission.
Elle secoua la tête, chassant ses pensées en même temps qu'elle arrivait à l'endroit ou elle avait laissé l'assassin. L'homme n'avait pas reprit connaissance. C'était à la fois une bonne chose, et une mauvaise nouvelle. Randiel n'aurait pas à le chercher. Par contre, elle allait devoir le déplacer, et ce n'était pas la une mince affaire.

Elle vérifia le souffle de l'homme,, puis, satisfaite, l'attrapa sous les épaules, et entreprit de le tirer, maudissant la distance qui la séparait du géant, l'incapacité de ce dernier à se mouvoir avec une telle tonne de muscle, et le poids de l'homme qu'elle n'avait pas envie de découper pour alléger. Il laisserait trop de marque derrière lui, et le sang qu'il perdrait pouvait bien le tuer. Elle n'avait pas de temps à perdre à accorder des soins à un homme qui allait mourir ensuite, peut être par sa main.

Elle avait les épaules douloureuses et le souffle court lorsqu'elle arriva à Brom, mais elle tâcha de ne rien laisser paraître, souriant au géant et laissant tomber l'aveugle par terre sans délicatesse. De toute manière, le trajet avait déjà était mouvementé. L'homme remua vaguement, mais ne se réveilla pas. Puis elle s'étira, et dit :

"- Une douche froide devrait le réveiller efficacement. Je revient tout de suite."


Et elle repartit, récoltant un peu d'eau froide qu'elle déversa en trombe sur un assassin qui hurla, sans doute de surprise et de douleur.
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Avec le ciel pour témoin   Avec le ciel pour témoin Icon_minitimeVen 22 Aoû - 10:11

    Attendant tranquillement posé sur son arbre il récupéré le peu de dignité qu’il lui restait le temps que la demoiselle fasse l’allée retour avec l’être qu’elle trainait sur le sol agréable et doux du jardin de pierre. Mais, en pensant à ce qu’il risquait de subir, ce n’est pas les quelques petites douleurs au dos qu’il allait avoir qui pourrait être le premier de ses soucis.

    C’est donc avec un grand sourire et une dignité fort partielle, celle d’un géant qui tiens debout et sourit calmement en regardant un être qui risque d’être son prochain repas, sans les tendances de certaines connaissances partagées. Il s’extirpe donc d’un mouvement –et sans le grognement qu’on aurait put attendre- de l’étreinte de l’arbre quand le colis arrive et regarde la demoiselle partir avec calme.

    A partir de ce moment là il se déplace avec une habileté exceptionnel –celle d’un homme bourré- vue sa condition, et part dans un aventure dantesque -que compose les quelques mètres- qui le sépare du prisonnier. Les premiers sont habilement passés malgré la volonté –invisible aux autres- du jardin de pierre de mettre des obstacles sur le chemin du géant.

    Mais c’est lorsque le sol se dérobe sous ses pieds que les choses deviennent complexes, pourtant grâce un reflexe de maitre d’arme il évite de se retrouvé étalé sur sol et en quelques saut habile –malgré le bruit promulgué par son corps de quelques quintaux qui sautille gaiment- il arrive sans encombre ou presque à destination et s’accroupie avec un soupir de soulagement.

    C’est lorsqu’il voit la demoiselle revenir avec un seau d’eau glacer qu’il se met à rire. Il avait eut juste le temps de se placer à coté de l’homme et de l’observer pour savoir ce que ce jeune imbécile serait capable de supporté avant de mourir.


    -“Excusez moi, je pensais que la douche était pour vous après l’effort, j’avais mal comprit et je m’attendais à vous voir revenir, pour mon plus grand plaisir, avec la chemise mouillé, mais il n’en fut rien. Qu’importe, je vous laisse l’honneur de lui faire subir ce plaisant petit passage vers les souvenir glacé des chutes. Après tout je vous doit bien ça.”

    Il s’écarte d’un simple mouvement du torse, à première vue il semble bien récupéré de ces quelques problèmes, bien que les sons et la terre tassé sur le chemin entre l’arbre et l’être soient formels, il s’est hardiment battu pour arriver jusqu’ici.

    En quelques instants il hurle et se redresse, ou du moins tente car la main de Brom à été négligemment posé sur son torse et sa deuxième main autant que le reste de son corps vient se posé pour mettre vite fin aux mouvements spasmodiques. Contre toute attente, être écrasé sous plusieurs centaines de kilos mit vite fin aux mouvements sans pour autant chassé la peur dans le regard de l’être.


    “Bonjour messire, je vais être claire et rapide, j’ais quelques questions, pas nombreuses, mais je tiens à ce que vous y répondiez, mais cela tombe bien, vous avez quelques doigts, quelques ongles et quelques membres, et eux, tout gentils et bonne enfant m’ont susurré durant votre sommeil fort sympathique qu’ils étaient près à se sacrifié. Pour vous prouvez ma bonne fois je vais donc commencer par une question, vous avez quelques secondes pour répondre, sinon nous commençons à jouer :

    Qui vous envoi ?”


    Son visage était calme et dans ses yeux ont y retrouvait facilement la lueur de ceux qui ont vue tant de mort et de guerres que ces choses et ces détailles semblent plus que normal à leurs yeux froid et si profond que l’ont s’y perd. On dit d’eux qu’ils font de très bon soldat mais d’horrible compagnon car ils ont trop perdu pour être encore humain. Brom lui compensait cela par une espèce de folie fort sympathique appeler Cœur.


[Comme tu veux, soit je fais l’interrogatoire seul soit on le fait à deux, tu peux me répondre par Mp]
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MessageSujet: Re: Avec le ciel pour témoin   Avec le ciel pour témoin Icon_minitime

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Avec le ciel pour témoin
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