Rencontre entre frères. (PV La Force Écarlate Members)

Assis sur la simple chaise de bois, l'homme porta une plume au parchemin
étendu sur la table du même matériaux que l'objet qui le soutenait. Un verre
de bois posé près de lui avec une grande cruche d'eau était a sa disposition
ainsi qu'une assiette encore chaude d'un ragoût au air très appétissant.
Plongeant sa plume dans l'encre de son encrier près de lui, l'homme continua
sans cesse d'écrire sans toucher a son assiette ou sa son verre, complètement absorbé par l'écriture de la lettre qu'il allait envoyer d'ici peu.
Le faible éclairage qu'offrait la bougie sur la table avait peine a écarter l'obscurité qui engloutissait la cave emménagé comme un bureau dans le sous-sol de
l'auberge Pourpre, l'auberge appartenant a Marcus. Coucher près de sa
table, la panthère ouvrit les yeux et leva la tête pour lâcher un grand
bâillement et reposer sa tête sur ses pattes pour s'endormir a nouveau,
laissant l'homme seul dans l'unique son qu'était sa plume sur le parchemin.
Foisonnant et jetant a plusieurs reprise des bout de papiers mal écrit, il
jura dans sa barbe, il n'arrivait pas a écrire les mots juste mais il savait
qu'il finirait pour écrire le bon message. Il était impératif qu'il garde un minimum de secret dans ses messages car même envoyer parle ciel, il était facile pour un archer d'exception d'abattre l'oiseau en vole et lire le message, encore pire... Un magicien d'un roi.Surtout qu'il était surveiller de partout, un roi qui ne voulait pas le voir grandir, un groupe de cavalier qui tenait toujours a sa mort pour avoir libérer un esclave qu'ils avaient acheté et continue la nombreuse liste de gens qui n'aime pas du tout L'homme brisé et sa troupe de soldat.

Finalement, Marcus se leva avec la lettre qu'il avait besoin. Inscrivant son
surnom, L'homme brisé, il roula le message pour ensuite y posé son sceau via
une bague qu'il avait modeler a partir d'un petit bout de métal. Une plume sur
une larme de sang. Ayant entendu son maître se lever, la panthère suivit
l'homme qui monta a l'étage et qui déposa la lettre sur le comptoir.
Donnant des ordres stricts sur l'envoie de la lettre et la personne, il quitta les lieux,suivit de sa panthère pour se dirigé a un endroit bien précis.
Habiller le plus simplement, Marcus ne portait pas son armure ni ses armes, il était habiller comme un simple citoyens, avec sa tunique de lin et sa grande et typique
cape rouge.
La seule arme qu'il portait était un poignard attacher a sa ceinture
a la base de son dos, une simple lame en cas de besoin malgré le fait que
ses poings et sa force état supérieur a une lame.
Le temps était pluvieux et humide, Marcus maudit cette température et il souhaitait que cela change rapidement ou qu'il se dépêche lui même d'atteindre le lieu ou il devait se rendre.
Durant une dizaine de minute, l'homme toujours prudent, prit différent chemins et ruelles, évitant les mauvaise surprise et pour se rendre a son
objectif de façon
sécuritaire. Se retrouvant devant une porte, Marcus frappa deux fois rapidement et deux fois lentement pour entendre un loquet se déverrouiller tendit que la porte s'ouvrit par la suite. Entrant rapidement, toujours suivit de sa panthère, il ouvra
une série de porte en bois pour terminer son chemin dans un espace circulaire, la ou deux hommes lustrait et semblait examiner quelques choses. Une armure.

-Bonsoir Sir, votre armure a été polie et ajusté selon votre demande.

-Bien, je vous suis redevable, votre du vous attend a l'auberge comme toujours.

-Je vous remercie Sir, si vous le souhaitez, nous pouvons entretenir les armes et armures entreposé ici si vous le souhaitez.

-Vous est des hommes libres, votre temps vous appartiens.

Approchant de son armure, Marcus défit les attaches pour défaire le plastron
et enfiler la protection de métal dont l'ornement sur le devant était une paire
d'aile ouverte et une épée en son centre. Il suivit avec les larges épaulettes
en lamelle, qui eux était sous la forme d'une tête d'aigle et que le bec pointait
sur ses épaules. Les brassard eux étaient aussi magnifique que le reste. Recouvrant entièrement l'avant-bras, des lanière de cuire retenait la protection
a l'avant bras et le dessus représentait des griffes acéré prêt a déchiqueter sa
proie. Les jambières de leurs côtés semblait ordinaire mais les rebords du métal semblait laisser des embout dépassé, comme des pics mais avec un regard plus approcher, il était facile a remarquer que les détails laissait voire a des plumes
qui dépassait, tout ça relier par des lanière de cuire au sandales du porteur,
ou un crochet en acier dépassait du talon, idéal pour un bout coup de talon
pour surprendre l'ennemis. La dernière pièces de l'armure était le casque.
Le splendide panache noir qui dépassait sur le dessus du casque qui recouvrait
une bonne partie du visage, laissait deux grandes fentes pour les yeux et la bouche, tendit qu'un protège nasal séparait l'espace et que les gravures ou
marques présent sur le casque le rendait encore plus beau.
Une fois équipé, un homme approcha derrière lui, portant quelque chose dans ses mains.

-Vous est digne du dieu Sharna lui même Sir.

-Ne me compare pas a un être qui n'existe que dans les livres, moi je suis bien réel.

-Pardonnez moi sir... Je ne voulais pas vous offenser. Votre épée.

L'homme approcha lentement, tendant l'arme. Une magnifique épée a deux mains
dont le manche était en ivoire sculpté avec une garde en T et une lame large a
la base et qui s’amincissait au fur qu'elle s'approchait de la pointe. Une si belle arme, qui causa presque la mort de son porteur dans le passé.

Enfin prêt, il sortit par les mêmes portes qu'il avait emprunter pour entré dans l'une des nombreuses armurerie qu'il avait fait placer dans les différents endroit pour que Sans-Visages et Dolofonos en mission puissent ne jamais manquer d'arme. Une fois a l'extérieur, Marcus remarqua que le climat n'avait pas changé. Il pleuvait toujours et il pouvait entendre le bruit de l'eau tomber sur son armure et il ne put s'empecher de repenser au message qu'il avait envoyer.

Contenu du message codé a écrit:: -L'homme au masque d'acier et a la crinière noir comme la nuit t'attendra la ou tes ancêtres sont tombé en héro. De si petit nombre tenant tête a des marrées, la ou les chants de gloires retentis a jamais et que leurs noms ne soit jamais oublié. Trouve la statue pointant la maison de tes ancêtres et la tu trouvera celui que tu cherche.

Il parlais de ce qui restait de l'ancien palais... Maintenant en ruine ou jonche les os blanchis de grands guerriers tombés. Il pouvait maintenant partie vers Taulmari

l

Le vent était fort, la pluie était puissante, l'orage grondait tel un fauve affamé depuis trois jours. Les arbres était écraser sous la poigne des vents du sud et leurs branches grincaient sur les vieux bâtiments. L'ombre déchu mais pourtant si majestueuse de Taulmaril la magnifique semblait épouser les frondaisons de l'empire et créer un halo d'obscurité. Les routes étaient vaseuses, la noirceur écoeurante et les conditions plus que déplorables. Mais un homme marchait, il marchait depuis quelques jours maintenant. Son allure était dure et sa marche très déterminée, il semblait parfaitement habituer du chemin. On ne pus le distinguer dans sa noirceur, mais une longue arc pendait derrière son dos ; l'arc semblait être fait d'ivoire et les flèches noirs comme l'enfer. Dans sa main droite, il serrait un bout de papier d'une étrange couleur et de son autre main, il tenait sa dague orné d'un rubis rouge. Puis, le vent se mis à écraser la pluie contre son visage, il dû allez se réfugié sous un gigantesque chêne qui trônait par là.

L'arbre était tellement gigantesque qu'il aurait fallu au moins dix hommes pour l'encercler, les racines était noueuses et profondes. Le feuillage semblait retenir la pluie ce qui offrit à l'homme un précieux réconfort. Mais le plus cadeau fûs lorsque la lune apparu et illumina le chêne de toute sa splendeur. L'Homme éblouis se releva et ne compris pas ce qui venait de se produire. L'écorce avait été gratté partout sur l'arbre et des dessins de toute sorte y était gravé. On pouvait y voir ce qui ressemblait à des soldats s'entraîné dans une cour impérial, une famille unis autour d'une table ; et une petite fille seul devant ce qui pouvait être une pierre tombale. Le plus choquant était de voir que certaine scène semblait être fidèlement reproduit et racontait une histoire. Mais vu la texture et la qualité de la gravure, il semblerait que cela soit l'oeuvre d'enfants, c'est-bien ce que croyais l'homme emmitouflé dans sa capuche.

Taulmaril était juste à côté, cela pouvait-être plausible que des enfants vienne jouer dans ces sentiers. Le spectacle fûs magnifique de voir ces oeuvres d'arts survivre au passage du temps, mais l'une d'elle capta l'attention de l'homme. On pouvait y voir un homme debout avec l'épée dégainé, puis on le voyait étendit mort par terre avec la petite fille tout près, un autre personnage apparu mais on ne pouvait pas voir la suite car une longue déchirure sur l'arbre empêchait de finir le dessin. Comme si, quelqu'un avait asséner un coup d'épée et que la personne ne pûs jamais finir. Une étrange nostalgie et un frisson parcouru le corps de l'espion tel un éclair frappant la montagne. La tragique histoire de Taulmaril et la mort de sa civilisation est douloureuse, surtout pour lui qui était un héritier de cet lignée maudite. Il se releva sans plus tarder avec un goüt amer, un mélange de peine de rage et vengeance. Une mixture très dangereuse, il pris quelques bonnes respirations puis décida de reprendre son chemin.

Enfin, devant lui se dressa les majestueuses portes blanches du grand empire de ces ancêtres, tué et trahi par leurs avarices. La vision de ces portes était un tel cauchemard pour Kadvaël qu'il plissa des sourcils et se redressa les lèvres, pour évoquer ce qui semblait-être une honte rongé par la solitude. Il était seul la cité était silencieuse, le lieu était chargé d'énergie de douleur, de malheur rien de bon n'émanait de Taulmaril, sa beauté d'antan s'était déjà envolé, il ne restait là que des morceaux. Certaines personnes disaient que les esprits des morts revenaient hanter le lieux et crier leurs haines sur les courageux visiteurs. L'espion dégaina son arc et encocha une flèche par réflexe de défense, il exarcerbait ces sens pour être prêt à paré n'importe-lequel situation. Cet homme était incroyablement accrocher à la vie, noir de parure coeur blanc comme les cieux.

Il avait rendez-vous avec quelqu'un, une personne de la plus haute stature et importance. Un homme à qui, il à juré une allégeance sans faille. Un seigneur redouté puissant, mais à la fois aimés et respecter. Le seigneur Marcus Archéon ; juste ce nom suffit à effrayer le plus courageux des soldats. Sa réputation était connu cet homme n'avait pas de preuve à faire pour être l'idole de Kadvaël. Même si, il était son chef ; chaque chef a besoin de son plus fidèle second pour l'épauler des tout ses fardeaux et dilemme difficile. L'espion était un homme qui choisissait la mort plutôt que de désobéir à celui qui est son chef et qu'il partage les mêmes rêves et dévotion. Kadvaël tourna à droite près d'une statue ce qui semblait être le lieu de rendez-vous. Chaque seconde pesait, et Kadvaël d'une attitude nonchalante mais confiante attendais son capitaine.

Du haut de la colline qui surplombait l'ancienne et majestueuse Taulmaril, Marcus c'était emmitouflé dans sa grande cape rouge. Une cape portant l'unique couleur qu'il vénérait, celle du sang. Cette couleur qui lui était atypique le représentait aussi bien auprès des siens, sur le champs de bataille que dans un lieu publique. La ou il y'a la cape rouge il y'a Marcus Archéon et sa fidèle panthère noir. Balayant du regard le paysage chaotique qu'offrait la tempête et les ruines abandonner de Taulmaril frappa l'esprit de Marcus. La dernière fois qu'il était venu ici, c'était pour affronter une créature invincible, un titan... venu des autres ages et responsable de la maladie de pierre qui failli le tuer. Il ce tenait la, devant un endroit avant majestueux et magique mais désormais réduit a néant par les caprice Terran. Que se serait il passé si autres que des Terrans auraient dirigés cet endroit ? Personne ne le saura jamais. Malgré cela, si il y'a bien quelque chose que Marcus attend, c'est de rencontrer ceux qui ce sont battu ici pour les leurs et qui en sont mort. De grand combattant, général et fidèle a leur cité, qui ont décidé d'offrir leurs vies pour les autres et malgré leurs sacrifices honorable, qu'ont ils reçu ? Rien. Aucun chant d'honneur, aucune gloire, aucune stèle.... Malgré cela, il y'avait une chose qui restait encore casi-intacte de la destruction de ce lieu. L'arbre des mémoire. Un chêne d'une grandeur et d'une largeur a en faire trembler le titan de Taulmaril. Un arbre portant les mémoires de ses prédécesseur, leurs histoires gravé dans un arbre qui serait impossible a détruire car sa beauté est aussi immense que son fort tronc, c'est a ce demander si les dieux eux même ne protège pas ce chêne....

Entamant la marche, Marcus prit son épée a deux mains contenant une longe ligné d'histoire sur se personnage que l'ont pouvait nommé chef de guerre, commandant, chef, maître forgeron ou simplement homme parmi les hommes. L'eau perlait de son casque ce qui lui permettait de garder une bonne vision sans recevoir d'eaux directement dans les yeux mais la lourdeur de sa cape tremper se mêlant a la boue le dérangeait puisque qu'il n'aimait pas la sensation du métal mouiller sur sa peau et de ses sandales couvertes de boue. Après tout, il ne pouvait rien y faire, la fureur de la nature pouvait le tuer d'un seul coup de tonnerre si elle le souhaitait mais d'après lui, après avoir survécu a de nombreux combat et défié la mort un nombre incalculable de fois, il savait son jour loin d'arriver. Sa panthère, discrète et mortelle se déplaçait sans problème dans l'obscurité au tour du Commandant Myrmidons, son flaire offrant un repérage très efficace en temps normal, était obstrué par la violente pluie qui faisait rage. Il allait ce fier uniquement que a ses yeux si quelques choses arriverait.

Rien a signaler se dit il. Mais combien de fois sa vue l'avait trahis dans de telle circonstance. Il devenait vieux et en temps normal un homme de son âge perdait la vue progressivement, son dos devenait faible et ses muscles devenait que poussière telles ses ossement. Mais Marcus n'était pas pessimiste au point de s’apitoyer sur son sort et rester assis a son lit a attendre la mort, non. Il voulait choisir sa propre mort, le lieu et le moment, personne n'allait choisir pour lui, encore moins le destin. Mais dans son âge, une soudaine sensation le poussa a aller vers ses pairs et apprendre a les connaître. Il ne voulait pas quitter ce monde alors que beaucoup allait le connaitre sous le nom de maître forgeron ou d'un commandant militaire ou d'un simple homme aidant les personnes en difficulté. Non il voulait mourir et connu en tant qu'amis, frère voir même comme un père si la vie le voulait bien mais avec le peu de chance que Marcus possédait, sa seule chance fut anéanti de la même façon que son coeur. Comment pourrait il aimer a nouveau. La réponse se trouvait partout au tour de lui, son ordre, ses frères. Il les aimaient autant comme des frères que des fils, des fils qu'il n'a jamais eux. Celui qu'il tenait a partagé un moment était Kadvael, l'un des rares hommes a porté avec honneurs et fierté sa descendance de Taulmaril, d'ou la raison de sa venu ici.

Approchant finalement de l'entré de la ville, la lune montra enfin son visage par les forts vents qui enfin, écarta les maudits nuages de cette belle sphère de lumière. Dans son souffle, elle éloigna lentement la pluie, ce qui laissa Marcus avec un grand soupir de soulagement, comme il avait horreur de la pluie telle un chat. Toujours armée de son épée, tenant l'arme a une main sans problème. Étant pourvu d'une musculature durement gagné dans sa jeunesse, Marcus était un colosse. Ses épaules rondes et sa beau basané et marqué par les marques de la guerre rendait son physique impressionnant. Pas étonnant qu'il soit maintenant un chef de guerre, sa connaissance du combat autant armée qu'a main nue n'était plus a prouvé autant que son talent de stratège. Il avait forgé une force de frappe d'une force létale encore non prouvé contre les grandes armées d'Isthéria mais dans les précédent combats qui ont suivit contre des bandits ou d'autres mercenaires trop confiant, cela n'était plus du combat mais un nettoyage. Sa phalange avait plusieurs principes. Le premier coup était la frappe de bouclier. Soudé par un instinct de fraternité, les Dolofonos formaient un mur impénétrable qui frappait l'ennemi de plein fouet. Les lances qui dépassaient des boucliers rendait le mur encore plus dévastateur. Mais loin d'être idiots, les ennemis de la phalanges avaient déjà tenté de contourner ce mur. Mais a peine il venait de sortir du périmètre du mur qu'une lance ou une flèche percuta les baladeurs de pleins fouet. Les Ilyaés étaient les tireurs d'élites de la Force Écarlate. Javelots et arcs étaient leurs armes. Un peu en retrait du combat, ils cherchaient a éliminer les archers adverse, les magiciens potentiels et les commandants ou générales souvent a retraient ou a cheval. Si l'ennemis n'avait pas déjà pris leurs jambes a leurs cou, les Aquilaés se chargeait de cela. Portant qu'un plastron pectoral,des brassards et jambière. Il ce faufilait avec la grâce d'un reptile et tranchait avec la force des griffes d'un lion aux travers des lignes ennemis. Leurs buts étaient le mêmes que les Ilyaés mais, différent aux tireurs d'élites, ils tentaient de faire le plus de pertes possibles tout en continuant leurs routes avec vitesses et agilité dans les lignes ennemis. La Force Écarlates allait devenir la force militaires la plus efficace et meurtrière de ce monde.

Reprenant ses esprits, Marcus se maudit d'avoir baisser sa garde mais ses oreilles n'avait rien détecté mais ses yeux oui. Des traces de pas frais lui indiqua que quelqu'un était venu ici avant lui. La pluie arrêté, il pouvait entendre et voir ce qui lui avait échappé et la tête de la statue lui était visible. Son panache visible, la grandeur de Marcus n'était pas difficile a rater et si Kadvael était déjà la, il l'entendrait en premier et le verrait aussi en premier. Stoppant sa marche, Marcus se penchant pour venir posé sa grosse main sur la gueule de sa panthère, caressant son crane pour recevoir en retour un bon coup de langue.

-Va ma belle, explore les environs et trouve le moins intrus, je compte sur toi, tu connais ma prudence.

Recevant un autre coup de langue sur le nez, Marcus ne put s'empecher de sourire face a l'amour partagé entre l'homme et la bête. Que ferait il sans elle, sa il ne voulait pas le savoir. Laissant la panthère disparaitre entre les murs délabré de la citée qui fut autrefois splendide, il reprit son chemin pour entendre d'inquiétant bruit dans les maisons détruite mais son sang-froid lui permit de continuer sans se laisser effrayer.

-Mon frère, désolé du retard.

Marcus venait d'arriver au point de rendez-vous. Il reconnu la silhouette de son fidèle avec facilité déconcertante, si il y'avait un de ses Sans-Visages en qui il était le plus fière, c'était bien Kadvael, son fidèle chef du département Information.

-Cela faisait longtemps mon ami, ces un grand plaisir de te revoir, surtout en ce lieu qui est chère a ton coeur.

Tendant son avant bras comme poignée de main, Marcus retira son casque, laissant ses grand cheveux noir tomber derrière sa tête, laissant le début de son tatouage tribal sur son trapèze et son cou. Le sourire au visage.