[EVENT : La Fièvre] - Séjour au coeur de l’inconnu (TERMINÉ)

Un peu de sommeil avait fait le plus grand des biens à notre Sindarin, bien que le tout fut relativement bref. Ce cher Jhaelune n’a jamais été connu comme étant du genre à dormir bien longtemps. Un peu de repos, puis de retour au travail! Bien certainement ce bon vieux Archimède n’était pas d’accord avec ce type de routine et préférait dormir plus longtemps, voir aussi longtemps que possible. Notre historien, connaissant très bien les habitudes du félin n’allait pas le déranger. Son retour à la conscience se fit donc dans le silence, seul dans cette petite chambre qui lui avait été assigné au coeur du Palantil. un lieu de repos, et rien de plus.


Allumant une bougie, trouvant facilement son chemin jusqu’à la cuisine de l’établissement, l’Eclaris croisa quelques visage ici et là, mais très peu de gens étaient debout à cette heure. Celui-ci pris quelques minutes le matin afin de préparer du thé, puis grignoter un peu question d’avoir l’énergie nécessaire afin de se lancer une fois de plus au coeur de l’inconnu et du mystère. Rien de mieux qu’un bon petit déjeuner classique de Canopée, quelques fruits, un peu de pain, un petit bonheur dans sa journée.


Il y avait tant de livre à consulter, tant de possibilité, mais si peu de réponse. À chaque piste qu’il trouvait la voie se divisait encore plus, créant cet étrange et complex toile où l’érudit devait trouver les liens. Les pistes précédentes l’avait mené vers la précédente épidémie, cherchant à voir un lien entre les occurrences, craignant possiblement le pire. Ayant connu des gens affectés par le tout, si notre érudit pouvait prévenir une telle situation il allait le faire. Bien entendu, là n’était pas son expertise, et avec chaque piste potentiel celui-ci rédigeait certaines notes qu’il allait être en mesure de transmettre à l’un de ses confrère à Amaryl, utilisant la force des Eclaris.


Il pensait aussi au médecin qu’il avait rencontré l’an dernier lors de son retour à la cité, le sympathique Zélos. Il se demandait où ce dernier pouvait bien être, s’il avait une idée de la cause… et comment il s’en sortait dans tout ça. Enfin, se perdre dans ses penser n’allait pas de aider la productivité de sa matiné, et une fois la dernière bouchée avalée, le Sindarin se remit en route vers les archives. Le pas léger il y avait à peine un écho alors qu’il marchait à travers les long et somptueux couleur du grand collège.


Trouvant une place, non loin d’un des grands vitrail de la salle, Jhaelune remis ses notes sur la table, faisant un petit récapitulatif de ses recherches précédente. Souhaitait-il poursuivre dans cette route ? Les symptômes, il devait étudier le symptômes même, et voir toutes les portes qui allait se présenter, puis ouvrir celle qui semblait avoir le plus de points commun avec la situation. Cette fièvre, si simple en surface, si complexe une fois qu’on y plonge.


D’un côté il divers textes médicaux, du jargon avec lequel il était peu familier au départ, mais su rapidement comprendre le sens. D’un autre côté il y avait ses recherche et les textes sur la précédente épidémie. Toutefois, parmis tout cela un vieux tome écrit en Ellendë su piquer sa curiosité. Peut être s’agissait ici d’un point absurde, une coïncidence et rien de plus qui allait mener à rien du tout, mais ça lui coûtait rien d’explorer, du moins un peu.


Le texte faisait mention d’un peuple cousin aux Sylphides, mais estimé extinct depuis bien longtemps. En principe, ce texte n’aurait nullement su attirer l’attention de notre historien, mais c’est alors qu’il pondérait sur le symptôme qu’il eut souvenir de d’une mention d’un symptôme. Enfin, peuple, d’écrit ici il s’agissait plutôt d’un parasite, du moins selon le point de vu de l’auteur qui était un Sylphide Les Syliméas, des parasites capables d’habiter, voir voler le corps d’un humanoïde sans même que ceux-ci s’en rendre compte. Il y avait la mention d’une forte fièvre comme symptôme, mais aussi certains trouble de comportement, voir perte de mémoire. L’ouvrage était très bref, sans aller en profondeur sur le sujet. Peut-être qu’il allait devoir se rendre à Cimmerium afin d’y poursuivre les recherches, si telle était la pistes qu’il voulait suivre.


Les notes personnels de Jhaelune concernant tout ce qui s’était présenté actuellement était très brèves, mais peut être qu’à consulter un peu plus d’autre experts en la matière, à voir s’il y avait autre chose qui s’était développé chez certaines personne affecté par la maladie. Il n’y avait pas suffisamment d’information pour former une théorie, connecté les points, mais si quelqu’un devait être en mesure d’aider, l’une de ses collègues habitant dans la cité Céleste serait en mesure de lui offrir quelques réponses.


Il prit donc un morceau de parchemin, puis débuta la rédaction d’une lettre

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Chère docteur Telena,

J’espère que cette lettre sera vous trouver. Je n’ai nul doute que vous êtes déjà au courant de l’épidémie. Mes recherches à Canopée ont su trouver quelques pistes, cependant peu d’information semble être disponible à ce sujet. Ci-joint se trouve une copie de mes notes. Vous y trouverez une listes des symptônes remarqué et déclarer, ainsi que quelques théories personnels. Un ouvrage d’origine Sylphide écrit en Elendë, Biastag seann saoghal par Alisto. La copie disponible ici semble incomplète, mais elle fait mention d’un peuple du nom des Syliméa, et leur description semble avoir quelques points commun avec la situation actuel. Ceci est possiblement aucunement lié, mais j’aimerais explorer et votre expertise dans le monde médicale et votre accès à des ressources à Cimmerium peuvent être un grand avantage.

Cordialement

Jhaelune.

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Le Sindarin espérait ne pas avoir fait trop de bêtise dans sa lettre, l’Elendë n’était pas sa langue maternel, et les règles grammatical lui échappait parfois, mais avec un peu de chance le docteur Telena allait être en mesure de comprendre.

Il s’aggissait ici d’un autre jour de recherche intense, les pistes des jours précédents n’avaient que su créer d’autre chemin à explorer pour le Sindarin. L’un de ses chemins impliquait une association avec l’une de ses estime collègue, le docteur Telena. La missive avait été lancé, il ne restait plus qu’à espérer qu’elle puisse parvenir sous peu à lui offrir une réponse.

Il s’agissait ici d’une piste sur laquelle le Sindarin avait travaillé la journée précédente, fouillant à travers les divers tomes du Palantil, cherchant toute autre texte aborder le sujet, et cela aussi vague que cela pouvait être. Toutefois, à son grand désarroi le sujet était très rare, très flou et parfois de qualité suspectes. Si la plupart des textes étaient d’origines Sylphides, notre historien savait qu’il allait avoir plus de chance à Cimmerium. Toutefois, certaines connaissances de ce peuple étaient un grand mystère pour les étrangers… avec un peu de chance l’une des estime collègue sera le guider.

Que dire, que faire si autre que poursuivre les recherches et prendre le plus de notes possibles. L’érudit avait consulté un peu plus tôt les apothicaires locaux, cherchant un peu à voir leur point de vu sur le phénomène, sur cette fièvre. Cependant, la plupart d’entre eux semblait être tout aussi bafoués. Certain remède semblait aider, certaines plantes avaient des effets positifs, mais il y avait toujours cette résistance.

Il était à se demander si tout était entièrement biologique. La Convergence avait su changer le monde, tout comme les Colosse avant et puis l’épidémie, et si ses recherches sur la Convergence, sa théorie de répétition de ce chao ne faisait que passer à la prochaine étape ? Le tout n’était pas dans l’air qu’ils respiraient, pas comme lorsqu’il y avait eu le myste rouge… ce myste d’ailleurs, combien des victimes avaient été exposé à ceci ? Est-ce qu’il y avait un lien ? Voilà une autre piste potentiel, car les effets de ce phénomène étaient si peu connu.

Un coup de génie, ou simplement un moment de folie, le Sindarin tenta se souvenir des textes d’Eucléis, ils les avaient relus récemment en lien à ses recherches pour la reine, est-ce qu’il y avait mention d’un tel moment dans l’histoire ? N’ayant pas vécu au même moment, au même endroit, le Sindarin ne pouvait que se fier aux textes… enfin en partie. Il y avait toujours une façon de vérifier la vérité, mais cela était parfois un peu problématique.

Retourna à ses notes, il y avait la mention et le lien à Sarnahroa, puis il y avait les mystérieux Syliméa, pour ensuite passer à quelques idées en lien à ses recherches plus récente et le fameux myste qui avait su s’étendre sur Istheria. Son carnet de note commençait à manquer d’espace… et cela avec que quelques jours de recherches. Il était loin de la conclusion, il avait trop de portes devant lui et il devait trier le tout… à savoir si certaines avaient la même destination avec des routes différentes….

Le silence de la grande bibliothèque savait calmer les âmes les plus enflammée. Face à la connaissance, face toutes les possibilités de cette grande égnime, les case vides se remplissait et d’autre se créait. Son esprit affamé dévorait l’information sans trouver la satisfaction. Le Sindarin lisait et rédigeait jusqu’à la dernière lueur du jour, allumant quelques bougies afin poursuivre à travers l’obscurité jusqu’à ce que son cerveau n’en puisse plus. Ignorant le monde autour de lui, déchiffrant les mystères et questionnant l’univers… il avait tant de possibilité.


Tout n’était que théorie, il n’avait pas de preuves devant lui, il manquait le lien entre les éléments du casse-tête, mais il savait que la réponse se trouvait là, juste un peu plus loin, au delà ce qu’il pouvait percevoir dans l’immédiat. Un coup d’oeil à ses notes, quais illisible si on n’était point familier avec l’étrange sténographie de notre érudit. Il ne s’agissait pas ici du travail digne d’une publication, d’un grand ouvrage, mais plutôt le chaos de ses pensés, qui pourtant pour ce dernier était parfaitement organiser. Lire les notes de notre historien est tout comme observer les étoiles… a première vu les milliers de bulbe lumineux semblent posséder aucun sense, mais pourtant pour un oeil attentif il y a les constellation qui se présente dans tout ça… il fallait simplement savoir comment les trouver.


Rien en semblait sortir l’érudit de sa transe, sauf peut être les moment occasionne où celui-ci allait remplir sa tasse de thé, ou lorsque le vieux Archimède prenait la décision qu’il était le temps d’une pause. Le tout était devant ses yeux, il devait simplement le voir…


Et voir, il n’avait pas vu l’étrange félin qui s’approchait de notre érudit, il ne l’aurait pas remarqué si ce n’était pas qu’Archimède y porta attention. Non loin du Sindarin un autre chat se baladait. Cela su piquer la curiosité de notre Sindarin, cherchant rapidement autour du félin à qui celui-ci appartien. Toutefois la salle semblait vide ou presque.. L’heure était tardive et les âmes errantes se faisaient de plus en plus rare en ce lieu. Observant le félin les approcher, notre Sindarin accueille le curieux être, Archimède tant qu’à lui trouvait cet étranger suspect, s’interposant entre le curieux félin et son maître.


-Mais voilà un visiteur… à qui appartiens-tu ?

Murmura doucement le Sindarin, cherchant à trouver une réponse à cette question si simple. Peut-être s’était-il égaré ? Qui sait… parler aux animaux n’était pas sa spécialité. Connaissant cela, Archimède miaula, répétant surement la question à l’étranger…. Peut être qu’à deux ils auront une réponse?

Que pouvons-nous définir en tant que vérité absolu dans notre univers ? Est-ce que la définition de réalité se limite à ce qu’on peut voir, ce qu’on peut toucher ou même sentir ? Si tout ça est vrai, alors le voile qu’on place par dessus cette réalité est toute aussi véridique si ont peut la voir, la sentir, la toucher ? Pourquoi cette étrange question existentiel ? Voilà une excellent question n’est-ce pas ? Non, Jhaelune n’avait pas ici un moment de doute sur la matière, sur ce qui était vrai, car pour un esprit ouvert au monde, être septique est tout à fait normal. Sans le doute on accepte tout comme réalité et vérité absolu, et cela fait de nous des abrutis. C’est donc devant ses prunelles c’était dessiné cette silhouette féline qui était venue jouer, enjoler, charmer le Sindarin, enchanter l’enchanteur! Le chat était bien réel, il pouvait le voir, le sentir et même le toucher au besoin, toutefois, notre érudit appris rapidement que malgré cette réalité il ne s’agissait pas ici d’une véritée. Car voyez-vous le dit chat n’en était point un.


Il ne s’agit pas ici de la première fois où ce qui se trouve devant ses yeux n’est pas ce qui est. Le monde autour est rempli de phénomène ésotériques. En tant qu’historien il sait que ce qui est écrit n’est qu’un point de vu, le scepticisme fait parti de la lecture.


Alors que le félin s’était éloigné, Archimède observant cette intruse tel un garde à son poste, notre Sindarin en profita pour ramasser ses notes, fermer les ouvrages et puis contenir tout ce qu’il voyait nécessaire pour les prochains étapes dans son sac sans fond. Le Sindarin observa du coin de l’oeil les déplacement secret du félin, observant les ombres danser, se transformer par magie. Oui par magie, car telle était la source de cette illusion, la magie. Une astuce trompeuse et intelligente, un talent intéressant et fascinant aux yeux d’un enchanteur possédant une fascination avec les art ésotérique. S’agissait-il ici d’un talent par nature ou bien relevait-il d’une manipulation de l’essence divine ?


Suivant la disparition temporaire de cette étrangère, voilà que devant les yeux ébahis de notre érudit se présentait une silhouette féminine. Une femme, dont dans sa présentation d’elle même laissait peu de liberté à l’imagination. Certes, elle était couverte, de façon improvisé dans le moment, il y n’y avait aucun doute que d’une forme certains éléments ne pouvait point suivre. Le Sindarin lança un regards circulaire dans la grande salle, voyant très clairement qu’en cette heure avancée en cette journée il était seule avec cette inconnue.


- Parrrdonnez-moi, je suis rrestée un peu trrop longtemps chat, mes manièrres ne sont pas bonnes.


Divergeant son regards de celle-ci afin de lui offrir tout le respect possible, notre Sindarin devait avouer un peu embarrassé dans cette interaction des plus tumultueuse.

- Je me nomme Manat, enchantée.


-Eh...enchanté… Manat.. Répliqua-t-il sans faire un contacte directe avec la dame, nul besoin de vous excuser, mais je crois que vous n’êtes peut-être pas au bon endroit…


Ceci était évident aux yeux de l’historien. Elle n’avait pas sa place ici et il ignorait la raison pour sa présence, et même ses intentions. Peut-être était-elle un peu perdue? Mais se perdre ici, dans un tel état, il devait avoir une explication nettement plus logique à tout cela. Archimède tant qu’à lui n’avait pas quitté la dame des yeux, et le dos de celui-ci était tout rond, exprimant son doute sur les intentions de l’étrange dame.


-Si vous voulez, je peux vous aider à trouver la sorti… ou des vêtements… oui des vêtements semble une bonne idée…


Le Sindarin pris son sac, fouillant à l’intérieur, le bras jusqu’au coude alors que cela aurait semblé impossible en regardant les dimension externe de l’objet. Il cherchait, ce concentrant sur ce qu’il souhaitait trouver et ignorant, ou du moins tentant d’ignorer, la dame dans toute sa splendeur, pour éventuellement sortir des vêtements qui lui appartenait. Il s’agissait de vêtement additionnel qu’il pouvait utiliser lors des voyages, mais au moins le tout était propre… et plus important allait couvrir la pudeur de la dame. Déposant le tout sur la table, il poursuivit.


-Je crois que cela est nettement plus… pratique pour votre respectable personne.


Les formes féminine n’était pas inconnue à notre Sindarin, ayant connue celle-ci par le passé à travers une toute autre relation. Il avait tout simplement un certain respect, et surtout qu’il ne connaissait aucunement cette jeune femme. Si leur relation était nettement plus intime, la réaction aurait été certes différente, mais là, il s’agissait d’une situation possédant certaines particularités, pour ne pas dire étrange.

L a vie d’un érudit est rarement rempli de péripétie, et définir ce mode de vie comme étant tranquille est presqu’un euphémisme afin de bien décrire le tout. Notre Sindarin à rarement eu d’étrange évènements depuis qu’il a rejoint les Eclaris, le plus particulier fut son aventure récente sur l’Île El Bhari et le fait que grâce à sa position et ses connaissances il eut le plaisir de rencontrer et d’avoir une conversation avec sa majesté la reine de Canopée. Donc il est facile de comprend que ce dernier ne s’attendait aucunement à se retrouver dans une telle situation, surtout pas au cœur de la grande bibliothèque du Palantil.

Une journée qui avait débuté par des recherches, une aventure au cœur du savoir et des théories. Tout ce qu’il désirait en ce jour était d’étudier, trouver une solution au problème actuel et puis passer aux prochains ouvrages. Il ne s’attendait nullement à faire une rencontre aussi particulière en ce jour, mais même lui qui possède par occasion le don de prédire l’avenir n’aurait su s’attendre à une telle situation.

Certes, la situation actuelle était nettement plus facile à gérer qu’il y a un moment où l’inconnue qui se trouvait sous ses yeux s’était montrée un peu plus révélatrice.

- Est-ce mieux ? Lui avait-elle dit une fois qu’elle avait su enfiler les vêtements prêtés par notre Sindarin.

Il était nettement plus facile d’avoir une conversation cordiale en ce moment, maintenant qu’il y avait moins de risque d’accidents. Il pouvait maintenant poser son regard sur la dame, dont le vêtement plus ample avait su bien couvrir celle-ci. Il fallait dire qu’elle portait en ce moment des vêtements plutôt humble

- Si je vous embête vrrraiment je peux parrtir

Avait-elle ajouté et à cela, dans un ton plus posé le Sindarin offrit réplique.

-Non, bien sûr que non

Il n’était pas ici embêté par la situation, tout simplement et entière stupéfait par celle-ci. Il y avait surement une explication à cette situation, tout en ce monde en possédait une et cela même si elle allait parfois bien au-delà de notre compréhension. Il ne fallait qu’observer, chercher et écouter afin de révéler la solution au mystère. Et à une révélation il eut droit alors qu’il écouta cette dame s’étant présenté

- En fait.. je ne suis pas perrdue. Je suis venue à cause de la rrumeur, qu'ici on entendait les rrécits des gens.. sur la Converrgence.

Voici ici le début d’une explication. Toutefois, notre érudit avait un peu de difficulté à croire à tout cela, mais il n’afficha sur son visage aucun sentiment de doute, laissant la dame poursuivre son monologue.

- Je ne suis pas intelligente comme vous.. mais j'aime bien lirrre.. puis.. je ne voulais pas dorrmir avec tous les autrres..

Avait-il été maladroit en lui disait qu’elle n’était surement pas au bon endroit ou s’agissait-il ici d’un étrange jeu auquel elle jouait ? Notre Sindarin était nullement un expert dans l’art de la tromperie, et une partie de lui regrettait ses paroles, lui faisait légèrement balbutier à lui-même.

-Ce n’est pas…

Il se laissa un peu distraire par ses propre pensé, cherchant une façon de se rattraper, et ne fut que sorti de ses propres songes lorsqu’elle lui dit

- Est-ce que je dois parrtir ?
-Oh… non… enfin, je ne sais pas, il est assez tard… et personne dans cet établissement fait des recherches en lien à Covergence à cette heure… enfin… il y a moi… mais pas en ce moment. C’est juste qu’il y a, comme vous pouvez vous en doutez, de meilleure façon et meilleur moment afin démontrer ses intentions pour de tel recherche… et puis, je ne suis certainement pas la meilleure personne à qui parler pour joindre le cercle de recherche… vous voyez madame…

Le Sindarin cherchait ses mots, ce genre de conversation n’était pas son fort… enfin la plupart des conversations ne l’était pas c’était ici un fait.

-Si vous voulez bien m’accompagner… je crois qu’il serait préférable de consulter les gens pouvant mieux vous guider, afin de mieux assigner vous assigner une fonction appropriée pour vos talents. Je ne tien nullement à remettre en doute votre brillance et votre initiative, bien que sous une forme particulière, de désirer appuyer les recherches sur la Convgergence sont bienvenue madame Manat.

Il devait retourner la conversation, en savoir un peu plus, mais à savoir comment aborder le tout sans trop sembler discourtois, là était un défis.

L’Eclaris n’avait jamais été le maître de la communication, préférant la compagnie d’anciens ouvrages et de l’histoire aux gens de façon générale. Il était évident que ses aptitudes dans cet art était plutôt manquante et à voir la réaction de son interlocutrice et écouter avec un peu plus d’attention la réplique de celle-ci il sentit un peu l'embarras monter en lui. Elle avait dû élaborer afin que notre Sindarin puisse bien comprendre et delà des lignes écrites. Alors qu’elle s’exprimait, intérieurement une voix criait ‘’Pourquoi n’ai-je pas compris la première fois?’’. Il pouvait ici dire qu’il était tout simplement épuisé, qu’il avait besoin d’un peu de sommeil, mais le Sindarin savait que le manque de sommeil n’était pas la seule raison pour cette incompréhension.


-Oh, je vois, répliqua-t-il doucement, tentant de masquer son embarra dans sa maladresse. En effet cela fait nettement plus de sens, désolé, je dois avoir mal compris vos intention initial.


Il fallait dire que l’introduction fut un peu particulière pour ne pas dire complètement étrange. Il aurait pu passer la soirée à imaginer une variété de scénario possible pour une rencontre en cette soirée et celui-ci était bien loin d’être en haut de la liste, à savoir si une telle situation aurait même eu une mention.


-En effet, il y a des quartiers, mais je peux vous assurer qu’ils sont sécuritaires… mais si un peu de sécurité additionnel est un de vos soucis je peux vous aider avec cela…


Il s’agissait ici d’un point avec lequel il pouvait théoriquement réellement l’aider… étant capable de verrouiller magiquement une porte. L’érudit n’avait jamais réellement pensé au fait qu’une demoiselle seule pouvait possiblement ressentir un manque de sécurité au coeur du Palantil. Il s’agissait ici d’un lieu qu’il a fréquenté pour une grande partie de sa vie, un lieu où les principes d’éthiques Sindarin faisait parti du quotidien. Toutefois, elle indiquait ici un très bon point, il y avait beaucoup d’étranger d’ici et de loin dans certains logis temporaires, et une chose que ses quelques voyages lui avait enseigné c’est que la sécurité que peut ressentir un citoyen de Canopée n’est pas nécessaire répandu sur l’ensemble du continent. Puis il y avait aussi la possibilité d’insomnie, elle cherchait sûrement à trouver de quoi occuper son esprit. Ayant laissé ses mots suspendu dans l’air, il poursuivis, toujours utilisant le ton doux et chaleureux, typique à Jhaelune.


-Vous pouvez accéder à certains ouvrages disponible au public si vous cherchez à occuper votre esprit…


Le Sindarin, d’un geste balayant l’air avec grâce pointa alors vers certains ouvrages auxquels elle pouvait accéder au besoin. Il y avait certes du matériel où il y avait certaines restrictions, aux membres du Palantil ou même invité particulier tel que notre Eclaris. Cependant, avant même de pouvoir entrer un peu plus dans l’explication de à quoi elle aurait accès, voici qu’une question lui fut posé


- Sur quoi vous rrréfléchissez, si tarrd ?


Il ne s’attendait nullement à ce que les gens prennent la moindre intérêt à ses recherches, et ses théories.


-À quoi je réfléchit? Ceci est assez… comment expliquer, il ya plusieurs choses auxquels je réfléchissait ce soir. La Convergence en est une, puis il y a aussi une panoplies de projets personnels, je ne désir nullement vous ennuyer avec ceci madame.


Ses théories étaient rarement fascinante d’un point de vue externe, sauf si bien entendu il s’agissait d’une rare occasion où l’autre partie partageait une passion pour le même sujet. Théories de relative au temps et à l’espace, ses recherches un peu folle en lien à l’épidémie, la Convergence, tout ce qui concerne la matière première de la création et la manipulation de tel matière… pour ne nommer que quelques une de ses pensés du moment. Son esprit, toujours actif, absent du monde réel virevoltent dans un ouragan de pensées. Il était si absent de la réalité par moment qu’il oubliait occasionnellement de bien se présenter… comme ce fut le cas actuellement.


-Toute mes excuses… madame, c’était plus fort que lui d’utiliser ce terme lorsqu’il s'agissait d’une personne avec qui il était peu familier, je ne crois pas m’être présenté… je me nomme Jhaelune E’eendar… enfin… si vous souhaitez demeurer réveiller et puis faire un peu de lecture, je ne vais pas vous empêcher… pour ma part, je crois qu’un peu de sommeil ne me fera pas de tord.

Le Sindarin frotta ses yeux légèrement, la fatigue commençait à réellement l’affecter.

-Il est facile de me trouver au besoin… je loge actuellement dans l’aile ouest, la dernière porte à gauche du troisième couloir.


Il ne s’agissait pas ici d’une invitation, mais elle avait actuellement ses vêtements, et puis il fallait se montrer hospitalier. ?

Un esprit agile remarque tous les détails, ou presque.  Toutefois, avec ce type d’observation l’esprit commence à faire certaine priorité, à voir ce qui semble le plus important durant le moment, mais il n’oublie point les autres petites choses perçus.  L’esprit de notre Sindarin fonctionne souvent ainsi, remarquant les détails, suivant le cycle des priorité le mieux possible selon l’état de celui-ci. Certes en cette heure tardive ce dernier commence à ressentir les effets du temps et l’appel du sommeil, son talent pour l’observation est donc un peu moins évident et actif qu’à son habitude.


Il y avait un détail, quelque chose en arrière scène qui cherchait à faire surface, mais dont notre Sindarin n’arrivait pas à pointer du doigt rapidement. Alors qu’il tentait d’entretenir la conversation avec la charmante inconnue qui s’était présenté devant lui, une partie de lui rejouer la scène précédente, cherchant les détails manquant. Elle tenait quelque chose, elle tenait quoi exactement ? Le lien se fit avec le présent et son regard se détourna sur ce qu’elle tenait entre ses mains, le livre qu’elle avait même mentionné mais qu’il avait complètement mis de côté.

Ayant trouvé le détails manqué, le regard du Sindarin se posa sur l’objet en question, cherchant à reconnaître l’ouvrage, lire le titre si celui-ci en possédait un sur sa couverture d’un regard discret sans toutefois briser le lien établis lors de la conversation.


- Je vous rremercie monsieur E'eendar pour le temps que vous avez bien voulu m'accorrrder, cela à égaillé ma nuit dans cette grande cité où je n'ai pas de rrrepère.


A ses mots son attention divisé fit un retour entier, ou presque, vers leur conversation qu’il ne pouvait se permettre d’oublier.

- Je vais sans doute rrrester ici et pourrrsuivre mes lecturres. La nuit porrte conseil dit-on je crrois, je vais l'attendrre dans un coin.

-C’est effectivement ce que disent certains, l’épiphanie nocturne est une chose réelle, l’esprit peut librement s’abandonner à tout ce qu’elle a retenu en arrière scène…  par ailleurs, il s’agit d’une lecture intéressante qui vous attend en cette nuit. Dit alors le Sindarin faisant mention de l’ouvrage entre les mains de la dame. Peut-être que Les récits de maladie par Iniepis Cullinius vous intéressera, c’est un ouvrage un peu lourd par sa plume, et dans un vieux style de terrania, mais un peu dans la même branche de ce que vous avez en main en ce moment.  Si personne ne l’a sorti, bien entendu, il devrait se trouver dans cette section.

Ajouta-t-il en démontrant plus ou moins avec précision où chercher.  Il ignorait les intentions de cette dernière, mais il n’allait pas empêcher un esprit curieux de chercher surtout connaissant les mesures de sécurités établis sur même les ouvrages le plus publique.

-Ce fut un plaisirs de faire votre rencontre, je dois malheureusement vous quitter pour le moment, en espérant que la nuit saura me porter conseil.




L'enchanteur s'inclina légèrement avant de tourner les talons et de s'éloigner.  Ce dernier s’éloigna silencieusement, le pas léger et presque inaudible sauf pour les plus fines oreilles.  Retrouvant son chemin jusqu’à ses quartier au coeur du Palantil, le Sindarin déposa ses affaires sur une table de travail, puis se prépara à dormir. Étendu dans son lit, il fixa le plafond, se laissant sombrer dans les songes, une réflection sur la journée, ses théories et les évènements plus récents.  Tranquillement, avant même qu’il puisse s’en rendre contre son esprit sombra vers le monde onirique.  Même en rêve, l’esprit de l’érudit demeure actif, laissant la nuit lui porter conseille jusqu’au matin.



Il ne pouvait voir ni sentir le soleil se lever, puisque sa chambre se trouvait sur la face Ouest du Palantil, mais son horloge interne lui indiquait que l’heure était venu de se lever.  L’estomac du Sindarin émit un léger gargouilli, un signe qu’il devait répondre à ce besoin.  Non loin de sa personne, le vieux Archimède dormait encore… et dormira encore surement quelques heures… et puis s’il souhaitait s'aventurer ce dernier avait ses façon de s’échapper des quartiers du Sindarin.


Reprenant le rythme de la journée précédente, un peu de nourriture, un peu de thé et puis il s’agissait d’un retour dans la salle d’étude pour l’Eclaris.  Lors de son retour sur ses notes, ce dernier lança un regard circulaire sur les membres présent dans la grande salle, cherchant à voir si l’étrange dame de la soirée précédente si trouvait toujours. Elle avait fait mention qu’elle désirait partager certaines informations, peut-être avait-elle besoin d’un guide ?

Il s’agissait ici d’une tentative d’un retour à la routine. Cette routine que le Sindarin avait établis depuis son retour à Canopée pouvait certes être ennuyante pour certains, mais il s’agissait d’une zone de confort pour le Sindarin durant cette épidémie. Le confort de l’isolation, le simple plaisir de la lecture, de l’écriture et des folles théories. Il y avait entre les murs du Palantil que quelques collègues, jeunes étudiants et les rares témoins ayant fait le choix de traverser le monde jusqu’à la cité afin de discuter avec les membres de l’assemblée.

L’isolation pouvait être difficile pour certains être aux habitudes plus sociales, mais si notre érudit pouvait éviter les grandes assemblées et les long voyages il était relativement heureux. Certes, c’est à travers certains voyages qu’il sut faire de formidables découvertes, certaines bien documenté dans son journal, et bientôt un mémoire en cours de rédaction, mais ceci est tout autre sujet.

Cette routine demandait une tasse de thé, puis un retour dans la grande bibliothèque. Si certaines de ses théories faisaient un peu de sens il allait sûrement devoir s’aventurer là où le communs des mortels n’a généralement pas accès au Palantil. Sa connection avec les érudits chez les Eclaris et ses faveurs au sein de la cours de la reine lui offrait une certaine liberté et il souhaitait en profiter, mais sans non plus en abuser. .


Bref, il le temps était précieux, flexible, mais précieux, et le travaille n’allait point progresser sans efforts. Il survolait ses notes de la soirée précédente, non parce qu’il n’avait aucun souvenir de ce qu’il avait écrit, bien au contraire il s’en souvenait parfaitement, mais tout simplement parce qu’il cherchait les liens manquants. Il avait des pistes, il le savait, peut être complètement éloigné de sa cible et voir suivant même une toute autre route sans jamais croiser la destination… mais cela ne rendait pas le tout moins fascinant pour autant.


Sautant d’une page à une autre, regardant même des notes de recherche en date de plusieurs années pour une toute autre raison, le Sindarin assis solitairement appréciait le moment, mais songea aussi à ce qui était à son agenda pour la journée se rappelant de la date. Lançant un regard vers la fenêtre notre érudit pu évaluer le temps, encore quelques heures. Quelques heures de plus avant son rendez-vous, quelques heures de recherches, de théories et de lectures… ou presque.

- Bien le bonjourrr monsieur E'eendar.

La voix familière de l’étrange dame le sortit de ses pensés. Le Sindarin détourna son regard vers celle-ci, qui visiblement avait su retrouver ses affaires.

- Je suis désolée, je n'ai pas encorre pu les laver mais si vous souhaitez les récupérrer.

-Nul besoin de vous excuser madame Manat, je peux me charger du tout. Répliqua alors le Sindarin en reprenant ses affaires avant de les remettre dans son sac sans fond. J’espère que vous avez été en mesure de vous reposer.

Cherchait-il à faire la conversation ou était-ce ici un simple signe de courtoisie? Cela restait à voir, mais connaissant le Sindarin, il s’agissait sûrement et simplement ici d’une politesse, mais parfois ce dernier peut avoir des comportement un peu plus curieux, du moins… selon la direction de la conversation.

Le Sindarin avait un retour à la salle d’étude commune, là où il était entouré de jeune étudiants, et confrères en grande partie, et puis il y avait cette étrange dame. Celle qu’il avait rencontré la soirée précédente, celle dont la présence et l’approche était un peu particulière. Certes, des gens qui se balade à toute heure du jour et de la nuit n’est pas un phénomène d’une extrême rareté au coeur d’un tel établissement. Les esprits les plus vifs sont souvent des esprits un peu insomniaque à leur façon. Bien entendu, la précédente présentation était étrange, du moins aux yeux de notre historien, mais il était difficile pour lui de posséder l’image entière. Son esprit ne lui permettait pas de voir tous les faits, car si peu était présent, mais il avait la possibilité de stipuler, d’extrapoler selon les données qui lui était présenté. Évidement, avant de s’avancer sur une théorie ou une autre, il avait besoin de plus d’informations.


Cette discussion, ce retour à leur conversation allait être une source d’informations. Écoutant avec attention la réplique de la dame, observant celle-ci, sans la dévorer du regard, mais avec une certaine attention aux subtilités, le Sindarin demeurait silencieux. Il n’avait pas l’habitude de lire les gens, les interactions sociales n’avait jamais été sa force, mais il savait comment bien se conduire.

-Tutut, je vous ai dis, juste Manat.

Lui répéta la dame du nom de Manat, mais le Sindarin avait son éducation, ses manières et sa façon d’approcher les gens. Une telle familiarité était rare, et malgré le fait qu’elle insistait tant à utiliser un tel ton dans leur conversation, Jhaelune aurait bien de la difficulté à l’adapter.

À cela, le visage de notre Sindarin demeurait presque stoïque, mais sans autant être froid. Il ne faisait que s’assurer de ne pas trop clairement jouer toutes ses cartes, intrigué par ce qu’elle avait à dire et ce qu’elle disait.


- Est-ce que.. il y a une sorte de rréserve secrrète à Palantil ? Un endrroit réservé peut-êtrre ?

Il s’agissait ici d’une question intéressante. Possédait-elle une raison particulière pour s’intéresser à une telle section ? Notre Sindarin était loin d’être un imbécile, les charmes de la dames masquait ici les véritables désirs de cette dernière. À cette question, l’érudit souleva un sourcil, un peu surpris par la question, et curieux.

-Si nous discutons de ceci, cela ne serait plus véritablement d’un secret, n’est-ce pas? Répliqua-t-il en utilisant un ton certes chaleureux, amusé, mais aussi directe. Il y a surement certains ouvrages, moins publiques que d’autres entre les murs du Palantil, tout chercheur possèdes ses propres textes, et si vous avez des questions, il me fera certes un plaisirs d’y répondre ou vous diriger vers un spécialiste sur le sujet, mais je dois vous malheureusement vous informer madame Manat qu’il est impossible pour mon humble personne n’est pas en mesure de vous guider vers des tels secrets si ceux-ci existes.


Il retourna au silence, durant un moment, une gorgée de thé afin de demeurer bien hydrater, puis il poursuivis sous le même ton, ou presque. Jhaelune utilisait à présent un ton un peu plus léger.

-Peut-être, pouvez vous me dire ce que vous cherchez ? Et puis, si ma mémoire est juste, selon ce que vous m’avez dit hier soir vous possédez une certaine curiosité en ce qui concerne la convergence ?

Demandez concernant les réserves pouvaient être sans motif ultérieur, mais notre érudit connaissait que trop bien les textes se trouvant dans un tel lieu, et pourquoi le tout n’était pas publique. Pourquoi posait-elle la question ? Cela restait à découvrir.

Le monde est remplis de secrets et mystères, et notre érudit ne doute nullement que son interlocutrice en possède plus qu’elle aime bien laisser croire. Bien que Jhaelune accueil le tout avec une certaine ouverture d’esprit aux possibilité, ce dernier doit tout de même conserver un oeil et une oreille investigatrice. Ici il ne s’agit pas d’un manque de confiance, mais plutôt d’une méfiance éduquée. Cela peut être compréhensible selon les circonstances, et il devait avouer qu’elle possédait un certain charme, rendant le tout un peu plus complexe.

Assis, discutant un peu avec l’étrange dame, l’attention du Sindarin était entièrement sur celle-ci, alors qu’il devrait surement se préoccuper un peu plus de ses recherches. Suivant l'interrogation soulevé, il attendait la réplique, cherchant à connaître un peu plus les motivations, les intérêts particuliers de celle-ci. Elle lui avait demandé s’il existait une section un peu plus secrète, et bien qu’il était conscient de l'existence d’une telle section au sein du Palantil, le Sindarin savait mieux que de discuter de cela avec une inconnue, peu importe les intentions de celle-ci. Autant il croyait fermement que le savoir devrait être propagé, que les masses devraient être éduqués, l’historien est loin d’être naïf. Il a étudié l’histoire du monde et est bien conscient que la connaissance est entre les mauvaises main peut causer des désastre.

Cela dit, croyait-il ici sincèrement que l’étrangère se trouvant sous ses yeux est un être diabolique ? Était-elle capable de malice ? Il s’agit d’un être vivant et malgré les bonnes intentions… mais il devait lui offrir le bénéfice du doute, l’écouter, l’éduquer et l’aider au meilleur de ses capacités, tout en étant gardien de secrets.

Il y a plusieurs choses auxquelles je rrréfléchissais, la Converrgence en est une, puis il y a aussi une panoplie de prrojets perrsonnels, je ne désrrir nullement vous ennuyer avec ceci Monsieur.

La convergence, voilà un sujet d’étude auquel le Sindarin était lui-même intéressé, et à vrai dire il s’agissait d’un sujet qui avait su être le centre d’intérêt de nombreuses personnes. Toutefois, ce qui su attirer l’attention, et la compassion de notre Sindarin fut les mots suivant,

- L'un des miens est malade. La fièvre.

Cela expliquait en l’intérêt de celle-ci vers les secrets au delà de ce qui était publiquement disponible au sein du Palantil. Jhaelune comprenait un peu plus les motivations de celle-ci. La maladie avait su affecter de nombreuses familles, et nombreux sont venu en ce lieu afin de trouver des réponses, mais tout comme notre Sindarin, sont retourné les mains vide. La fièvre est un grand mystère, l’un de ses sujets de recherches actuels, mais pour lesquels il ne possède aucune réelle réponse.

-Je vois, dit-il doucement, je suis navré, et je peux comprendre votre intérêt pour l’obtentions de tels secrets, si cela est dans le but de sauver des gens proches de votre personne, cela explique votre désir de trouver des réponses… et j’aimerais sincèrement en avoir pour vous… mais cette maladie est loin d’être ma branche de spécialité… malgré mes efforts et mon désirs… il y a théorie d’un lien entre la Convergence et cette maladie, mais cela n’est que théorie… dite moi quels sont les symptômes de vos proches et où habitent-ils ?

Le Sindarin ne sortit ni carnet de note, ni plumes afin de rédiger l’information, désirant simplement écouter attentivements le récit de la dame. Offrant un aspect un peu plus sympathique que faire d’elle un simple objet d’études