Le crépuscule des Pies [Partie I]

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 Le crépuscule des Pies [Partie I]

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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Le crépuscule des Pies [Partie I]   Le crépuscule des Pies [Partie I] Icon_minitimeMar 17 Juil - 22:28

    Spoiler:

    Cadoras, dit La Main (Cf correspondances d'Umbre) avait retrouvé sa vieille chambre "et" son nom.
    Contrairement à leurs assertions, les autorités de Tyrhénium n'avaient pas la mémoire longue...
    La semaine dernière, il s'était vu accusé d'une tentative de vol qui avait bien faillit l'entraîner sur le sable chaud de la grande Arène, coincé entre les cris des condamnés et les hurlements de la foule en délire.
    À Tyrhénium, l'accusation et la condamnation étant quasiment la même chose, Cadoras avait été traîné dans les geôles de la cité et supplicié. Il était sur le point d'avouer lorsqu'une missive cachetée était arrivée entre les mains de l'intendant. L'homme avait sourcillé un instant avant d'afficher ce genre de moue qui évoquait à Cadoras la face d'un Nephilim, ces créature voraces que l'on trouvait parfois dans les landes d'Eridania, et à qui l'on avait subtilisé un morceau de viande particulièrement tendre et alléchant.
    Deux heures plus tard, le petit homme crasseux comparaissait libre.
    Quelqu'un avait payé sa caution et manifestement acheté le silence de ses geôliers.

    Un inconnu...?
    Pas tant que ça.
    Un assassin qu'il connaissait bien.

    Avec des regards nerveux à la ronde pour s'assurer qu'il était seul, il se plaqua tout près de la porte histoire de cacher ses gestes à d'éventuels observateurs invisibles et entreprit de désactiver la dizaine de pièges mortels disposés des deux côtés du chambranle, de haut en bas. Muni d'un trousseau de clés, il ouvrit ensuite trois serrures, désarma un autre mécanisme : explosif, celui-là, poussa la porte, entra, la referma, et réactiva les sécurités. Le tout lui prit plus de dix minutes, mais chaque fois qu'il revenait chez lui, il respectait scrupuleusement ce rituel.
    Il repensa à l'assassin.
    Sans crier gare, cet homme était entré dans sa vie, lui promettant monts et merveilles s'il exécutait certaines de ses besognes...
    ...lui donnant aussi à voir ce qui l'attendait s'il le décevait.

    Une dernière fois, il re-vérifia les verrous de sa porte d'entrée.
    Tout paraissait normal.
    Pourtant il sentit sa nuque se hérisser...un signale subtil, une brise intangible qui lui signalait que quelque chose ne se trouvait pas à sa place habituelle. Il regarda autour de lui...sonda les ombres...examina les plis des rideaux devant une fenêtre murée par ses soins, puis son lit à la tenue impeccable avec les draps et les couvertures tirées sans un faux pli, et méticuleusement glissés sous le matelas afin de laisser le plancher, dessous, parfaitement visible...
    Cadoras se pencha légèrement et regarda sous le lit.
    Personne ne s'y cachait.

    La teinture alors ?
    Prudent, le voyou adopta une approche détournée afin de ne pas pousser l'intrus dans ses retranchements.
    Puis il attaqua d'un mouvement vif, dague brandie...peine perdue. La teinture écartée, il constata qu'il n'y avait personne.
    Amusé par sa paranoïa, il rit, soulagé...et se tétanisa de frayeur lorsqu'une main se plaqua sur sa bouche, la fine lame d'un couteau lui frôlant la gorge.


    "Vous avez les infos que je vous avais demandées ?" Lui chuchota une voix familière à l'oreille.

    Il y avait dans ce murmure une force et un calme étonnants.
    L'agresseur fit passer ses doigts de la bouche de Cadoras à son front pour lui incliner la tête en arrière et lui rappeler la vulnérabilité de sa position.
    Le voleur, tremblant, ne répondit pas. Comment renverser la situation à son avantage ? La fuite était l'une des possibilités les moins probables qui s'offrait à lui. Le gaillard, musclé, maintenait la lame contre sa gorge d'une main beaucoup trop ferme. Il n'avait pas d'échappatoire...


    "Alors, ces infos ? Je fatigue..." Chuchota de nouveau l'inconnu.

    "C'est vous ?", articula Cadoras avec peine.

    "À votre avis ?", répondit l'autre, un soupçon d'amusement dans sa voix sombre et acérée.
    D'un geste vif, il le repoussa violement et le saisit par l'épaule pour le forcer à se tourner vers lui.
    Des mèches d'obsidienne sous un capuchon d'armorweave noir, un visage d'albâtre, trop lisse et harmonieux pour appartenir à celui d'un Terran et des yeux ambres, scintillant dans la pénombre d'une rémanence inquiétante.
    L'homme...le Lhurgoyf aurait été séduisant si son regard n'avait pas été aussi froid et rogue.
    Un regard que Cadoras n'avait que trop croisé ces derniers temps.
    Peu de temps après sa sortie de prison, l'homme l'avait chargé de récolter des informations sur les Pies, un groupuscule sommaire qui sévissait dans le nord de la région.
    Si la mission avait ressemblé à un contrat de routine, le malandrin avait parfaitement compris qu'il n'en serait rien.
    Il avait sillonné la région par monts et veaux pendant plusieurs jours à la recherche de registres, assez fiables pour être exploités, sur cette guilde de magiciens aux objectifs tordus. Il avait même infiltré plusieurs planques apparentées au Ladrini.
    Il avait bien faillit y laisser des plumes d'ailleurs.

    La dague, qui n'en n'était pas une en réalité, s'enfonça un peu plus dans la gorge du ladre, le ramenant à la réalité. L'arme, une lame de vingt centimètre, finement ouvragée, semblait émerger du mince manchon de cuire sombre qu'il arborait à bout de bras. L'autre posé sur le pommeau de son cimeterre arborait le même étrange mécanisme.
    Cadoras tressaillit.
    Malgré toutes ses précautions, l'Homme Sombre - car c'était bien de lui qu'il s'agissait - s'était introduit dans son repaire, s'y cachant à merveille...La Main s'avisa que les draps étaient froissés.
    Ne venait-t-il pas de les voir impeccablement lisse ?


    "Les rouleaux sont dans le tiroir de gauche, sous le bureau." Dit-t'il, son visage se crispant fortement tandis qu'une goûte de sang perlait de sa nuque.
    Sa lame, toujours plaquée sur la gorge de sa victime, l'assassin s'avança jusqu'au bureau et farfouilla dans le tiroir.
    Il en tira deux rouleaux jaunis aux bordures crasseuses.
    Relâchant Cadoras, il en déplia un d'un geste habile et laissa courir ses iris d'or sur la vieille calligraphie.


    "Parfait..." Murmura t'il.

    Se détournant, il gagna la porte et sous l'oeil de Cadoras, décrivit plusieurs arabesques de ses mains pour déjouer tous les pièges et lever les verrous.
    Là où il lui avait fallu plusieurs minutes, de clés réputées impossibles à reproduire et une connaissance approfondie des mécanismes, il suffit de quelques secondes...et de ses mains nues...au visiteur qui se retourna pour jeter quelque chose aux pieds du voleur médusé.
    Un ressort.


    "Celui du piège du bas était trop relâché pour servir encore." Expliqua-t'il. "Je l'ai remplacé."

    Sur ces mots, le Lhurgoyf sorti et referma derrière lui. Des cliquetis ponctuèrent la réactivation expresse de toutes les sécurités.
    À pas prudents, Cadoras approcha du lit puis tira sèchement les couvertures. Le trou pratiqué dans le matelas était de la taille d'un homme.
    Il éclata de rire malgré lui.

    ...d'un rire sans joie. Jaune et nerveux.


    --------------------

    Spoiler:

    Les pans de sa cape sombre virevoltant avec élégance sur son passage, Anakiel Salyrann remontait l'une des avenues principales de Tyrhénium
    Ses lèvres pâles pincées dans une expression médisante, l'assassin conservait son regard amer dans le lointain, en proie à ses sombres pensées.
    Il avait parcouru les registres de Cadoras. Et ce qu'il avait lu lui avait suffisamment mis la puce à l'oreille pour reconsidérer les agissements (et les objectifs ?) de ses "bienfaiteurs".

    Deux semaines plus tôt, il avait reçu la visite de Mariabronne, un intermédiaire oeuvrant pour le compte des Pies. Le contrat était simple, s'infiltrer en Val-Wyvèrne, un duché bordant la jonction des terres Eridiannes au domaine Cimmerian pour en assassiner les Maître-séant. Il serait épaulé par un équipier durant l'accomplissement de ce contrat, un assassin qui tout comme lui, avait été recruté sur le tas pour ses aptitudes un peu...spéciale.
    Anakiel n'en n'avait pas été enchanté. À vrai dire, seule la prime, s'élevant à prêt de cinq mille dias l'avait empêcher de décliner promptement la proposition.

    Une calinotade accentuée par le fait que cette guilde était régie par des sorciers...des êtres qu'Anakiel avait toujours considérés comme capable de la pire férocité.
    Peut-être leur entendement supérieur leurs épargnait t'ils les tourments suscités par leurs actes. Peut-être l'arrogance, fréquente parmi les intelligences hors du commun, leur permettaient-t-elle de se dissocier des personnes ordinaires...comme un homme ordinaire écraserait un cafard sans remords. Ou peut-être était-ce parce que les sorciers attaquaient généralement à distance.
    À la différence des guerriers dont les coups fatals plongeaient souvent dans le sang chaud de leurs ennemis, les thaumaturges pouvaient jeter un sort de loin et observer ses effets destructeurs sans en êtres directement affectés.

    Ils formaient un groupe complexe et dangereux, ces lanceurs d'enchantements, hautains, et, en définitive, cruels...

    Bifurquant dans la ruelle jusqu'au poisson fringuant, il traversa une allée bondée...dissuadant les mendiants de l'approcher d'un regard noir.
    Un voleur à la tire prétendit couper les cordons de sa bourse, sur son flanc, et Anakiel le laissa recroquevillé dans le caniveau, le poignet entaillé.

    Sans un regard en arrière, il poussa la porte de la taverne et pénétra à l'intérieur.
    Il y avait peu de monde, et ses yeux de braise repérèrent instantanément la silhouette de Mariabronne au fond de la pièce.


    "Vous êtes en avance." Décréta l'autre à voix basse, tandis que l’assassin s'installait en face de lui avec sa décontraction naturelle.
    Le tueur le jaugea d'un regard et laissa poindre un sourire cynique sur la pâleur de ses traits.


    "Comme à l'accoutumé." Murmura t’il du tac-au-tac.

    La nuit promettait d'être longue...
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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: Le crépuscule des Pies [Partie I]   Le crépuscule des Pies [Partie I] Icon_minitimeJeu 19 Juil - 12:27

Hesperia


Il n'avait guère fallu de temps pour que Lonielle Harsan, une simple servante de taverne d'Hesperia en apparence, remette la lettre qu'elle avait reçu d'un mystérieux individu à celle qui la payait pour quelques services. Il fallait dire qu'avec le procès, Siriel était dans la cité ce qui facilitait énormément les choses. Un procès dont l'issue avait été surprenante. Elle s'était attendue à ce que l'accusé soit pendu haut et court faisant office de bouc émissaire et au final il n'en avait été rien. Les choses étaient décidément différentes depuis quelques temps sur Isthéria. Se replonger dans le travail était plutôt une bonne chose pour se tenir plus loin de tout ceci et revenir dans un semblant de normalité. Du moins de son point de vue.

L'assassine avait lu avec attention la fameuse lettre. visiblement l'homme avait eu certaines difficultés pour la joindre, ce qui était normal et volontaire. Mais le fait qu'il persiste montrait sa détermination et qu'il en avait les moyens financiers apparemment. Pas de nom, pas de surnom, mais un cachet, un cheval de pie. Sans les connaître véritablement, elle avait entendu parler de ce petit groupe de sorcier en quête de pouvoir et de richesse. Une confrérie n'étant pas encore immense mais qui perdurait et qui avait des moyens. La mission était de tuer deux personnes, avec un autre assassin et un autre individu. Elle fit une moue, elle préférait travailler seule, mais cela pouvait être intéressant et lui apporter de nouveaux contacts et contrats. Soit, elle irait au rendez-vous, fixé dans cinq nuits. Cela serait aussi l'occasion de voir son contact Thorsten Thorkelson, un individu aussi efficace que sale et puant l'alcool.


Tyrhénium

L'auberge du Poisson Fringuant de Tyrhénium...un lieu réputé pour tous les malfrats de la ville, situé dans le quartier le plus malfamé, bondé de monde, avec des voleurs et coupe-jarrets à chaque coin de rue. L'auberge était à l'image du quartier, avec son lot d'ivrognes, de marchands en train de négocier, de voleurs en pause dépensant le fruits de larcins. Cependant, elle n'était pas bondée comme les rues. Il y avait des parties de cartes ou de dés dont la moitié devaient être truquées et un barde avec sa danseuse dont la musique et la voix ne couvrait même pas les voix de la clientèle qui peu nombreuse était bruyante. Assit dans un coin, se trouvait Thorsten Thorkelson, un zelos, ancien Ladrini dans le sens qu'il avait préféré se mettre à la retraite (alors qu'il n'était pas un vieillard) avant de finir poignardé par un jeune concurrent aux dents-longues. Devant son verre, il buvait son rhum tranquillement. Malgré les apparences, qui faisaient de lui juste un ivrogne en pleine activité, il travaillait. Pour assurer ses revenus, en plus de ses économies, il travaillait pour une assassine qui n'était pas ingrate et payait convenablement. En l’occurrence en ce moment il surveillait les clients guettant un intermédiaire devant rencontrer sa patronne. Le profil parfait, personne le suspecterait d'espionner pour elle. L'individu attendu finit par arriver, il n'eut guère de mal à le repérer car il dénotait un peu avec l'ambiance et surtout, lui qui connaissait tout le monde ne l'avait jamais vu. La confirmation vint quand un autre individu se joint à lui, sans doute l'autre assassin. Il le sentait, il avait se regard d'assassin.

*Bon pile au bon moment* se dit-il, ayant finit son verre.

Il poussa un rôt et se leva. Enfin il essaya, car même s'il tenait bien il n'était pas immunisé à ses effets. Finalement il avait plus bu que prévu étant arriver trop tôt pour guetter l'intermédiaire. Il sortit de l'auberge à moitié bourré, traversant les ruelles. Il déambula dans les rues environnant l'auberge, se trompa de rue évidemment, mais retrouva son chemin pour arriver dans une petite ruelles sombre où la première chose qu'il fit fut de vomir.

- Tu es vraiment irrécupérable Thorsten Thorkelson dit une voix venant de l'ombre, dans laquelle on ne voyait pas sa propriétaire.
- Ha ça va hein, pas ma faute si j'ai attendu ton bonhomme trois heures.
- Cela ne t'obligeait pas à boire comme un trou, surtout quand il s'agit du travail.
- Bon ça va, ça se reproduira plus.

Siriel avança et sortit de l'ombre se tenant devant son intermédiaire.

- J'espère bien, je ne travaille qu'avec des gens fiables, tu le sais depuis le temps. Bon il est arrivé alors ?

Thorsten se releva s'essuyant la bouche.

- Yep, à l'avance, au fond à droite dans le coin et il n’est pas seul, celui qui semble être ton partenaire vient d'arriver également.
- Connu ?
- Un type bien bâtit, cheveux noirs, longs, à son attitude c'est un vrai assassin, pas un coupe-jarret touche à tout et bon à rien.
- J'ai en tête un ou deux indépendants qui correspondraient, mais bon ta description est aussi floue que doit être ton esprit imbibé. Enfin peu importe du moment que cela ne soit pas un boulet.
- Mouais je comprend pas pourquoi deux assassin, t'es la meilleure c'est suffisant non ?

Siriel haussa des épaules.

- Ils ont les moyens et sans doute veulent s'assurer que cela n'échoue pas et quand il s'agit de gens de magie, va savoir ce qu'il y a derrière. Difficile de juger comme cela.

L'assassine rajusta sa cape, s'assurant que tout son équipement était bien dissimulé.

- Bon, il est l'heure, va cuver j'aurai peut-être besoin de toi demain. Et un conseil, lave-toi aussi tu refoules.
- A tes ordres patronne.

Thorsten ne rechigna pas, parce qu'il savait à quel point Siriel pouvait être dangereuse et parce que c'est elle qui payait. De plus elle avait raison, car cela faisait bien une semaine qu'il ne s’était pas lavé. Siriel se dirigea vers l'auberge, poussant la porte à son arrivée. Elle inclina la tête devant le patron qui la connaissait l'ayant vu quelques fois mais sans plus et elle se dirigea d'un pas léger mais assuré vers le fameux intermédiaire et l'autre homme. Elle les dévisagea sous sa cape avant de s'assoir.

- Présents à l'heure et peut-être même en avance, une bonne chose, je n'aime pas qu'on me fasse perdre mon temps. En espérant que cela ne soit pas le cas pour le reste également.


Siriel avait des prétentions assez élevées et n'apprécierait sans doute pas d'avoir traversé la moitié du continent pour un contrat minable. Déjà qu'elle devrait « supporter » un co-équipier et une autre personne dont elle espérait qu'elle ne serait pas un poids. Si cela n'était pas pour grand chose et sans perspective de travailler avec eux à plus long terme, elle aurait clairement perdu son temps...
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