Cowlan Clivinn [Fini]

Sujet: Cowlan Clivinn [Fini] Mer 8 Aoû - 19:34

QUELLE PERSONNE ES-TU ?
Toi qui voyage sur ces terres oubliées

CLIVINN Cowlan
"Etre comme un coq en pâte"

SURNOM: Le musicien
AGE: 27 ans
SEXE: Masculin

PEUPLE: Yorka
CASTE: Ladrini
METIER: Voleur / Ménestrel

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ARMES PRINCIPALES:
. Deux gants griffés .

Spoiler:

. Une canne épée .
(Le pommeau est un catalyseur, taillé en sphère, maintenue dans une pâte de volatile en argent)

Spoiler:

AUTRES POSSESSIONS:
. Une mandoline .
. Une flûte .
. Un catalyseur blanc .
. Ustensile de crochetage .
. Trois couteaux .
. Une bourse .
. Une bougie .
. Des allumettes .
. Une sacoche remplie de sable .
. Un carnet ou note et parole de chanson se mélange .
. De l’encre et une plume d’écriture .
DON:
. Transformation complète en son essence animal : Le Coq .
POUVOIRS:
. Contrôle du sable .
(Il peut l’utiliser en attaque comme en défense. Plus la quantité manipulé est importante plus l’attaque sera puissante pour son adversaire et épuisante pour lui.)
. Voleur de rêve .
(Dans un état comateux ou tout simplement endormi, Cowlan arrive à voyager dans les songes. Même à des kilomètres de vous il s’invite dans vos rêves et peut vous inviter dans les siens. Alors attention à ses cauchemars.)
. Musique enchantée .
(Grâce à une mélodie précise, joué avec n’importe lequel des instruments, Cowlan enchante les gens sans exception, sauf lui. Aujourd’hui il ne sait que bercer vos tympans jusqu'à vous faire dormir, mais dès qu’il s’arrête de jouer le charme s’évapore. Ce dons ne demande qu’à se développer, peut-être trouvera-t-il de nouvelle mélodie aux conséquences différentes.)
SPECIALITES:
. Voleur d’exception .
. Grande Agilité .

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Décris-moi comment je te vois...

Le peigne ? Ne lui en parler pas il ne connait pas. Sa chevelure hirsute plane sur sa tête comme un étendard, signe de sa fainéantise et de sa nonchalance. Fier de sa couleur roux tendant vers le rouge, teinte qu’il a surement hérité de son essence animal : Le Coq, il aime se pavaner dans les ruelles, telles qu’il est sans se soucier du regard des autres. Ses traits juvéniles malgré qu’il soit bien ancré dans l’âge adulte pour un Yorka, et ses quelques taches de rousseur qui parsème tel des graines éparpillées sur ses pommettes, nous fonds lui céder tous caprices.
Joie de vivre, voilà ce que veut dire son sourire, qu’il a facile et communicatif. Mais ce qui vous tient captif lorsqu’il vous parle où simplement vous regarde sont ses yeux d’un vert nature très prononcés. La figure du Yorka est une palette de couleur vive à elle toute seule, pleine de vie, de fantaisie et de malice.

Agile et fripon vous cri sa silhouette. Le Yorka n’est pas des plus grands hommes que vous pourrez croiser à travers Isthéria, mais son agilité vous surprendra et subtilisera vos bourses si vous n’êtes pas sur vos gardes. Guindé, il joue de sa canne qu’il maitrise redoutablement. Pour un voleur il est tout sauf du genre à se cacher et se dissimuler. Il préfère surprendre son public, les grands larcins en public a la vue de tout le monde sont son objectif, avec toujours une sortie, une échappatoire.

Avec sa canne il se donne des allures d’homme respectable, mais ses habits sont ceux d’un roturier. Chemise de coton mal taillé, pantalon au multiple raccord masquant les trous d’innombrables chutes. Le tout est rattaché par une épaisse ceinture ou est accroché bourse, sacoche et ses gants griffés. Dans ses bottes de chaque côté, un couteau y est dissimulé, un dernier se cache dans son dos. Il ne faut jamais dévoiler toutes ses cartes.

Deux trait parallèle traverse en diagonal l’intérieur de son avant-bras gauche. Les deux cicatrices de la taille d’une brindille des vastes herbes qui couvre les plaines d’Eridiana, sont le souvenir de son passé de voleur au sein d’une guilde indépendante, ‘les Arpenteurs’.
Une autre marque en forme de demi-lune qui est autre qu’un coup de fer à cheval qu’il a reçu au flanc gauche lui rappel a qu’elle point il a peur de monté à cheval depuis ce jour.
Ses pieds son unique, c’est le moins que l’on puisse dire. Recouvertes d’écailles d’un jaune pâle qui s’arrêtent jusqu’en haut de ses chevilles, elles lui offrent en plus d’une idée sur son essence animal, une résistance accrue pour des longues marches ou traverser des milieux hostile même pied nue.

Enveloppé dans sa cape où il dissimule ses broches de crochetage et autres, mandoline dans le dos, sa canne épée en artifice et sourire aux lèvres, Cowlan Clivinn parcourt Isthéria en quête de gloire.

Décris-moi comment tu penses...

Voleur rime souvent avec vagabondage, prison, poursuite, famine, solitude, paranoïa, injustice, bagarre, etc… Cowlan, a connu ça toute sa vie. La misère fut son quotidien bien trop souvent. Il a appris à vivre avec, il s’est forgé avec cette vie de criminelle. Il en a gardé des cicatrices sentimentales, mais a survécu et aujourd’hui, voleur pour lui rime aussi avec, liberté, folie, euphorie, belle vie. Il ne se verrait pas faire autre chose ni vivre autrement. Voler est un état d’esprit, dans son enfance il a dû voler pour survivre, aujourd’hui il peut se permettre de voler pour le plaisir, bien que l’appât du gain ne soit pas très loin. Mais c’est l’enjeu et le défi qui le motive en premier.

Mais voleur ne suffit pas a la qualifier. Il est Yorka et bien que dans son enfance sa lui a pesé, aujourd’hui, il est fier de son peuple et prône l’égalité des peuples. Les Yorkas sont souvent traités comme une race inférieur, mi humanoïde mi bestiale, ils sont incompris et crains de par leurs différences par certain. Cowlan a connu des personnes qui pensées comme ça, et en a fait les frais. Aujourd’hui il ne tolère aucune intolérance, il est citoyen d’Isthéria, représentant des Yorkas et fier de l’être.
De plus son essence animal n’était pas très flatteur, souvent mis de côté. Le coq ! Alors qu’il grandit parmi des Yorkas aux affinités ours, tigres et autres félins et rapaces puissant et tellement utiles. Le coq, est à la limite attendrissant, mais pas terrible au combat, il n’est pas non plus agile, l’animal ne vole même pas. Mais il a sue s’accepter et utilisé à bonne escient ce don naturel, le voyant plus comme un atout, que comme une tare.

Comment ne pas sombrer dans la délinquance facile ? La musique la guidé. Autodidacte en la matière, le Yorka c’est passionné pour cet art tout en finesse et en habilité. Après s’être essayé à plusieurs instruments, flûtes, violon, percussion, c’est vers la mandoline qu’il se spécialisa. Le son de l’instrument l’enchante et rythme ses longues marches solitaires à travers les terres d’Isthéria. Et c’est aussi un atout dans un groupe. L’esprit de camaraderie que créer la musique est souvent rechercher par le voleur. Il aime s’amuser, profiter des bonnes choses de la vie et la musique en fait partit.

Voilà ce qui la conditionner et ce qui l’anime aujourd’hui… Mais il est voleur professionnel et bien qu’il accorde sa confiance assez facilement il n’est pas stupide. Un brin naïf, il ne peut pas croire qu’une personne soit complètement bonne ou mauvaise et c’est à cette partie qu’il croira.
Il a une joie de vivre communicative et reste positive même un peu trop parfois dans des situations dramatiques. Toujours friands de bonne blagues et de surprises, s’est tout naturellement qu’il s’est rapproché des croyances de Gréis, la divinité des jeux et des saisons.

Raconte-moi ce qu'a été ta vie...

Enfance d’esclave, enfance pleine de rancœur…
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Ridolbar, ville corrompue laissé aux mains des plus forts. Les lois existent mais ne sont pas toujours appliquées. Un manque de force royale ? Une bêtise collective ? Trop de corruption ? Il ne serait l’expliquer. Mais pourquoi autant d’injustice ?
Sa seule erreur pensé t’il a cette âge, être nait Yorka. Ce peuple prit comme inférieur par les contrebandiers, vivaient du commerce de l’esclavagisme de cette race en majorité. Vendu alors qu’il était encore au chaud dans le ventre de sa mère, d’un père inconnu il va naître esclave dans une taverne de la ville.

Ce sont les années les plus noirs de sa vie. Des cauchemars reviennent même quelque fois le hanter. Levé avant les deux astres qui berce de lumière Isthéria, un comble pour un coq, travail jusqu'à l’usure, et coucher bien après la nuit tombé. Les heures de travail à la taverne s’enchainer. Nettoyage, épluchage de légume, vaisselle, et autre corvée des plus ingrates. Mais le travail et les heures sans dormir n’étaient rien pour le jeune Cowlan. Il aurait doublé son travail si sa pouvait éviter les atrocités que le gérant infliger à sa mère. Fouet, coup et autre vice corporel qu’un enfant de son âge n’aurait jamais dû seulement imaginer. Et toutes ses personnes, clients, grossistes, simple aventurier de passage plein de bonne parole qui ne faisait rien. Combien de larmes avaient pu couler sur ses joues suppliant qu’on arrête de battre sa mère.

C’est alors qu’on s’en prenait à lui. Oh non ! Pas physiquement surement une faveur accorder a sa mère, bien que quelque poing ont souvent trouvé ses joues, arcade sourcilière et estomac. Mais surtout psychologique. On l’humilié. Comme les fois ou sous la pression de tabasser sa mère on l’obliger à se métamorphoser en coq et on le mettait dans la cour derrière la taverne l’obligeant à faire le pitre entour des poules et cochons, dans la boue et le crottin. Yorka ne veut pas dire animal, n’avait-il pas le droit au respect ? Les maltraitances et le rythmes des journées auront raison de la force de vivre de sa pauvre mère. Elle mourut dans l’irrespect la plus total, seule Cowlan la pleuré. Qu’elle repose en paix, elle est surement bien plus heureuse là-haut, enfin libre.

Le vol pour survivre…
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A la mort de sa mère, il n’avait plus personne a protégé dans ce trou a rat. Il devait s’occuper de lui, il était seul désormais. Il s’échappa, sa haine le poussa à mettre le feu a la taverne qui avait volé son enfance et tué sa mère. Puis il partit sans un regard en arrière.
Plus tard il apprendra que le jeune fils du tavernier avait périe dans l’incendie, mais que l’établissement avait survit aux flammes. Tant pis l’heure de la vengeance aurait son moment. Seule dans les rue de Ridolbar, sans dias, ni vêtement digne de ce nom, du haut de ses 9 ans son inquiétude était de se réveiller le lendemain, vivant.

Pour survivre il se mit à voler sur les étalages de marché et dans les portagés. Au début ses petits larcins à la volée lui récolté plus de coup de pied des marchands que de vrais denrée à se mettre sous la langue. De faite, les nuits avec l’estomac vide qui crié famine entre deux grelotement de froids se succédèrent plus que le tolérable. Mais à force de récolté des coups, sa capacité d’esquive, sa vitesse de mouvement et son agilité s’accentuèrent, jusqu'à lui valoir plusieurs pomme, pain et même quelque fois un bon vin. Sa plus belle prise fut toute fois un luth, arracher à la volée des mains d’un luthier qui ajuster les cordes de l’instrument. Mais ça dextérité lui suffisait a peine à se nourrir. En pleine croissance il se retrouva vite sans habit à sa taille. Ses besoins nutritionnels et vestimentaires s’alourdissaient. Il en était même à regretter sa vie à la taverne. Au moins il avait un lit, de la nourriture et surtout un toit. Très vite il dut se rendre à l’évidence, seul il rejoindrait sa mère très vite, il lui fallait intégrer une bande des rues.

La chance avait-elle tourné ?

Il se fit facilement accepter dans une bande de gosse des rues. Les capacités qu’il avait développé seul, l’avait énormément aidé à se faire respecter et adopter. Car au final ils étaient tous dans la même merde.
De ce moment sa changea. Finie la famine, fini les coups de poing et la solitude. Bon-jour à l’entraide, la camaraderie et les vols organisé. Alors certes il ne mangé pas tous les soirs à sa faim et les coups foireux existé toujours, comme la fois ou dans une écurie ou ils avaient mis les chevaux en panique et réveiller toute la maison. Cowlan avait d’ailleurs hérité de cette nuit un coup de sabot qui lui laissa en plus d’une vilaine trace sur son flanc gauche, une peur bleu des chevaux. Mais il était heureux. Dans les moments de blues, il sortait son luth et gratter les cordes, c’est à ce moment qu’il choppa son surnom du ‘musicien’. Et avec tout ça la découverte de son premier pouvoir, lors d’une course poursuite ou il trébucha sur un sac de sable et se retrouva le nez aplatit au sol, mais pas le sable. Qu’elle étrange pouvoir, le contrôle du sable. Pour sa sécurité il garda son pouvoir secret. Il ne voulait rien changer à sa vie. Il avait tant souffert jadis. Son enfance avait été malheureux on ne lui volerait pas son adolescence, oh ça non ! Il s’était fait plus que des amis, il avait trouvé une famille parmi cette bande des rues ou les toits de Ridolbar étaient devenus leurs maisons.

La guilde des Arpenteurs…
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Les ruelles de Ridolbar étaient devenues trop étroite pour les ambitions du voleur. Il voulait vivre, il aspirait a plus de liberté à de grand espace. Et au final, cette bande de voleur qu’il adorait plus que tout était au final qu’une bande de malfrat qui voler pour survivre, il valait mieux, il valait tous mieux, mais ils ne le suivirent pas.
C’est l’époque du changement pour Cowlan. A 14 ans, avec le seul qu’il le suis hors des rues de Ridolbar,Grimech, avec qui il faisait partit de cette petite bande de voleur, ils partirent sur les routes, en avant, découvrir Isthéria…

Luth sous le bras, les deux amis marchés heureux en rythme poussé par la musique. Grimech s’avairait être un bon parolier d’ailleurs. Mais c’était bien beau de vouloir voyager à travers Isthéria, mais les deux jeunes voleurs vont découvrir un monde encore plus cruel qu’en ville. Car sur les route pas de marché pour voler une viande ou un poisson, pas de maison bourgeoise pour renflouer sa bourse et pas de baraque abandonner ou de repère pour s’abriter. Cowlan et Grimech vont apprendre la lois de la nature et vont être obligé de s’adapter.
En plus des problèmes de voyage ils vont se rendre compte que comme en ville, il y a des bandes ou plutôt des guildes sur les routes. Dont la plupart plus dangereuse que ce qu’ils ont pu connaitre a Ridolabr. Ici pas de règle, pas de loi. Les premiers moi ont été bien compliqué pour les deux amies, mais leur compétence de voleur était tel qu’ils s’adaptèrent a se rythme de vie.

Ils vont se spécialiser dans la recherche de relique rare, surtout dans les ruines de Tahulmaril. Ils vont faire quelque belle découverte et surtout se faire une petite notoriété. Dans le milieu on va commencer par les appeler ‘les Arpenteurs’. Ceux qui arpentent le sentier oublié d’Isthéria. Ils vont même créer une guilde et faire rentrer trois personnes de plus dans leur petit groupe, dont la belle Izibel. La belle Terran avait séduit le cœur de Cowlan et de Grimech. Sans choisir elle jouer un jeu dangereux entre les deux amis. Malgré tous ses périodes furent prospères. Les trouvailles de la guilde leur permirent de faire beaucoup dias, et ils connurent même la richesse. Mais quand l’amour vous échappe vous perdez vos moyens et été prêt à faire n’importe quoi, surtout quand vous êtes jeunes. D’ailleurs le symbole de la guilde vient de là. Les deux hommes voulant prouver jusqu’où il était prêt a allez pour la belle Izibel se coupèrent l’avant-bras de 2 trait parallèle en diagonale devant représenter pour un des trait lui-même et pour l’autre la Izibel. Qu’est-ce qu’on pouvait être idiot a cette époque.

La petite guilde tournée bien. Cowlan et Grimech élaboraient les plans et les trois autres venait apporter leur esprit critique et leur talent. C’est à cette époque qu’il jeta son luth pour l’achat d’une mandoline de bonne qualité en remplacement de son vieux Luth qui commençait à sortir des mélodies au son bancal, pour accompagner Izibel avec sa flûte que la belle jouait admirablement. Grimech s’était même donner le luxe de s’offrir un catalyseur blanc qu’il portait autour du cou.
Mais Izi et Cowlan se rapprocher de plus en plus, Grimech allait être sur la touche. C’est grâce à l’apparition d’un nouveau pouvoir que Cowlan gagna entre guillemet le cœur de la belle voleuse. Alors que son compagnon, Grimech la voyait que le jour, Cowlan pouvait d’invité dans ses rêve a elle pour y resté toute la nuit. Leur affection l’un a l’autre s’accru alors que sans le vouloir et sans le voir il détruisait son amitié fraternelle avec Grimech.

Et c’est quand on croit avoir enfin trouvé le bonheur absolue que le malheur s’abat sur vous.

C’était une mission des plus banal, mais c’était surtout une soirée fantastique pour Cowlan. Izibel s’offrait à lui ce soir-là, ils étaient tous les deux sur un petit nuage, amoureux, il était ivre de bonheur. Mais Grimech les surprit s’en était trop pour celui qui convoité la même âme sœur que Cowlan. Une fille ne devrait jamais être un rempart à l’amitié. Mais l’amour est bien le sentiment le plus compliquer à contrôler. Quoi qu’il en soit une dispute violente éclata entre les deux hommes, se finissant avec un œil au beur noir pour Grimceh et l’arcade sourcilière en sang pour Cowlan. La prise de bec n’était pas finie mais en professionnel ils firent une trêve le temps de la mission.
Ce soir-là la guilde des Arpenteurs devait s’introduire dans une crevasse au fin fond du désert des colonnes d’Ebreus. Nul personne s’avait de quelle profondeur était la cavité, mais d’après leur commanditaire une bande de voleur lui avait dérobé un objet précieux, un diadème. Alors qui de mieux que des voleur pour arrêter d’autre voleur ? Le plan ? Rien de bien compliquer Cowlan et Frazer les deux Yorka de la guilde devait en apparence bestiale s’introduire dans leur repère pour faire un état des lieux : Nombre d’individu, sortit possible, armement, et si possible localisation du diadème. Puis leur rapport effectué Izibel a l’aide de son pouvoir de fumer empoisonner, neutralisait le maximum de voleur et les autres s’infiltré pour finir le travail.
Mais Cowlan ne l’explique pas encore aujourd’hui. Peut-être l’énervement, ou la peur de perdre son ami. Mais la concentration et la cohésion d’équipe ni était pas du tout. En même temps pouvais-t-il prévoir qu’un des voleurs était un Lhurgoyfs insensible au poison ? La coïncidence était tel qu’il aurait pu croire à un guet-apens. La bataille fut rude dans la crevasse, ce fut le pire soir de sa vie. Il perdit son ami et sa fiancée. Il les regarda sans rien pouvoir faire chuter dans les profondeurs du cratère. Leur voix criant son prénom résonne encore dans sa tête quelque soir lui laissant des frissons effroyables. Seule lui et Aquilly un Terran qui s’état joins a la guilde en même temps qu’Izibel en son ressortit vivant.
Cette soirée-là fut la fin de tout. La guilde des Arpenteurs n’était plus, Son amour avait péri et son meilleur ami, son frère était mort en le haïssant.

Ladrini un jour, ladrini pour toujours…
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Les années passèrent sans réussir à guérir la blessure de son cœur et de son âme. Inconsolable Cowlan était devenue un cœur sans vie. Une âme errante qui cuver son chagrin dans les tavernes de Tyrhénium, ou il lapida toute sa fortune amassé.

On dit qu’avec le temps les blessures guérissent. Baliverne !

Il avait passé la vingtaine maintenant et de son passé glorieux ne resté plus rien. Plus d’argent, plus d’amie, plus de famille, plus d’amour, plus d’amour propre, plus d’âme. Il était un clochard, vivant dans les rues, ivres du matin au soir grâce au quelque pièce de dias voler sur des passant les plus malchanceux. Puis un son le réveilla comme un coup de foudre atterrissant directement sur son âme. La voix d’une jeune femme, une voix cristalline qui chanté une chanson de héro du passé. Mais ce n’est pas la chanson en elle-même qui l’immobilisa, ni la douceur de la voix de l’enfant, mais la mélodie qui l’accompagner. Cette musique sortie d’une flûte était celle d’Izibel. C’était sa chanson. Cowlan courut et alla se plaquer contre la fenêtre d’où provenait la mélodie. Mais le musicien n’était pas Izibel. Son cœur se tordit de douleur, il fallait se faire une raison ils étaient mort dans cette fosse et lui avait survécu. Pourquoi ? Aucune réponse… Mais cette musique il devait la faire vivre, ce sera la parole d’Izibel à travers son propre instrument qu’il jouera dans toutes villes d’Isthéria, en la mémoire de la belle Terran, l’amour de sa vie et pour Grimech il le jura ce soir-là. Il fera les plus hauts vols d’Isthéria devenant une légende.

La vie revenait en lui doucement. Il commença a se sevrer des tavernes. Retoucha a sa mandoline, comme jadis sur les route avec Grimech quand la guilde n’était encore que eux deux. La chanson d’Izibel était devenue son registre le plus joué. Sa façon de volé se modifia. Fini les cachette et les larcins en pénombre. Il élaboré des plan de folie, que peu de gens voulait suivre mais il trouver toujours des âmes désespéré qui se lancer dans l’aventure avec lui.

Il était un grand voleur s’était dans son sang.

Il était nait esclave, avait trouvé refuge parmi les gosses des rue de Ridolbar effec-tuant ses premier larcin. Il avait connu ses heures de gloire au sein d’une guilde indépendante des Ladrini. Et aujourd’hui il revenait a ses début, un Ladrini en quête de gloire pour honorer la mémoire de ses amis.

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Que l’aventure commence…

Sujet: Re: Cowlan Clivinn [Fini] Sam 11 Aoû - 13:41

Bonjour et Bienvenue sur Istheria!

Charmante histoire! J'ai adoré et très agréable à lire! Je n'ai même aucune remarque particulière à faire, si ce n'est juste une limite par rapport à ton pouvoir de charme musical. Il te faudra prendre en compte que certains personnages possèdent la spécialité Force mentale donc il pourrait être éventuellement résistant (et je compte pas ceux qui ont beaucoup plus d'expérience).

Mais en attendant, félicitation :

Fiche validée

Tu vas pouvoir faire une demande de rang personnalisé dans la zone évènementielle, mais aussi ouvrir ton compte en banque, ton journal et ta boîte aux lettres.

~ Sighild's Theme ~
See what I´ve become