Elaën, mercenaire solitaire

Sujet: Elaën, mercenaire solitaire Sam 15 Juin - 23:13

QUELLE PERSONNE ES-TU ?
Toi qui voyage sur ces terres oubliées

Elaën
"La solitude est la patrie des forts "

SURNOM: Le Solitaire
AGE: 250 ans
SEXE: Masculin

PEUPLE: Sylphide parasite d'un Sindarin
CASTE: Cavalier de Sharna
METIER:Mercenaire

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ARMES PRINCIPALES:
L'épée que lui a légué son maître, elle est forgé dans un métal noir, certains disent qu'elle se nourrit du sang que son possesseur lui procure, ce qui est certain c'est que son tranchant et sans égal et ceux qui n'en étaient pas certains ne sont plus là aujourd'hui pour le mettre en doute. Il porte également un bouclier, et a donc fait de ces deux armes son style de combat, exploitant le corps svelte mais agile en sa possession.
AUTRES POSSESSIONS:
Elaën est également en possession de l'armure noir, symbole des cavaliersde Sharna qu'il porte fièrement et avec un zèle sans pareille.
DON:
Sens développé
POUVOIRS:
Régénération, Contrôle de la glace, Télékinésie
SPECIALITES
Excellence spécifique en arme, Tacticien

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Décris-moi comment je te vois...

Il s'agit de faire la description physique de votre personnage. (8 lignes minimum)

Elaën à l'apparence du Sindarin qu'il a parasité. Il mesure 1m88 pour 75kg, de par son corps Sindarin il conserve une allure svelte bien qu'endurcie par des années d'entraînement. Sa peau est d'une pâleur divine , de plus ces cheveux sont aussi blancs que la neige. Il est affublé de grandes oreilles pointues, caractéristique du peuple Sindarin. Son regard gris et vide semble être dépourvu d'empathie, surement voit on là le résultat de la cruauté des vivants. Son visage, très fin et d'une incroyable beauté ne laisse transparaitre que très peu d'émotions, c'est un Sindarin qui n'en est pas un.
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Décris-moi comment tu penses...

Il s'agit de faire la description mentale de votre personnage. (8 lignes minimum)

Bien qu'être divin à la base, la vie d'Elaën fut ponctuée de haine, de violence et de sang. Le chemin qu'il a décidé de prendre l'a pour tout jamais changé Le Sylphide est une personne calme ne semble jamais perdre son sang-froid, cet attitude fait de lui un homme respecté et écouté, mais plus encore c'est le changement qui s'opère sur les champs de bataille, en effet toute la haine et la violence emmagasiné explose, le désir de tuer devient plus fort que tout, seule une violence exacerbé lui permet de ressentir quelque chose, il en a besoin pour vivre. Même si diabolique en combat, Elaën garde quelques traits de son peuple d'origine, il est en effet avide de savoir, et ses heures passées à étudier lui ont donné une soif de connaissance inextinguible. Les moyens sont encore obscurs, mais les objectifs du Syplhide sont clairs, se venger de ceux qui l'ont trainé dans la boue, qui l'ont meurtri. Ce cœur restera de pierre jusqu’à la fin de sa quête, son absence d'émotion lui permettra d'user des pires stratagèmes, mais personne ne reste insensible toute sa vie et ce cœur lui fait de plus en plus mal.

Raconte-moi ce qu'a été ta vie...

Il s'agit d'écrire la biographie de votre personnage (15 lignes minimum)

Comme tout les Sylphides, Elaën est venu au monde sous sa forme éthérée, ses premiers souvenirs, une lumière qui brillait au fond d'un couloire sans fin empli de ténèbres, puis des êtres l'accueillant, lui offrant une première enveloppe charnelle. C'est à ce moment que débute la véritable histoire d'Elaën. Comme tous les nouveaux nés, une éducation lui fut fourni très rapidement, bien que normalement assez courte, effet aucune éducation religieuse n'étant à enseigner, les question de philosophies et les discours réalistes ne sont pas présents. Cependant le jeune Sylphide fut prit d'une soif de connaissance qui ne sembla jamais s'épuiser, tout l'intéressait, que se soit du domaine des sciences, de l'économie ou de la politique mais plus encore l'histoire et la fameuse guerre de Taulmaril et les questionnements qui s'en suivirent, pourquoi cette violence, cette haine?
Après 164ans à emmagasiner savoirs et connaissances, le sylphide décida qu'il était temps de parcourir le monde pour répondre aux questions qu'il se posait. Il résidait dans la capitale Sylphide, Cimmerium, et avait décidé que sa première destination serait Canopée, la cité des Sindarins, peuple qui le fascinait. Dans son engouement, il omit certains facteurs, comme le fait de n'etre jamais sortit en dehors de sa ville, et d'être partit à pied. Rapidement épuisé dans cette enveloppe provisoire, il se maudissait de ne pas être aller demandé un corps de son choix, mais il était trop tard. Bien qu'au courant de sa position et aidé d'une carte, il eut rapidement fait de se perdre, peut être est-ce à cause de l'ancienneté de sa carte, ou par une décision pris à la va vite, toujours est-il qu'une rencontre va changer sa vie. Après 5 jours de marche, la capital semblait encore loin, le Sylphide était épuisé et perdu. Le destin semblait l'avoir abandonné et les premières neiges de Nivéria semblait l'achever, quand en pleine nuit il tomba sur un jeune Sindarin, il n'était pas encore adulte, il avait le corps et les traits d'un adolescent, de par leur longévité impressionnante ceux-ci n'atteignaient l'âge adulte que vers 100ans, celui-ci ne devait pas avoir plus de 70ans. Il était en mauvaise état, une mauvaise chute l'avait prolongé dans le coma et le sang s'écoulait lentement de son crâne. Le Sylphide n'allait pas mieux, son enveloppe était trop fait, et il était bien trop loin de chez lui, sa forme éthérée ne durerait pas éternellement, il savait qu'il allait à l'encontre des principes des siens, mais pour survivre il fallait qu'il parasite le Sindarin, de plus il pouvait sauver une vie, bien qu'il en prendrait possession par la suite. Il s'extirpa de l'enveloppe, un autre monde s'offrait à lui sous cette forme, il ne posa pas de question et commença le parasitage du corps, très mal en point celui-ci ne sembla pas opposer de résistance, mais cela fit plonger le Sylphide dans un profond coma. Ou était-il? Le temps ne semblait plus avoir cours là ou il était, seul un murmure faisait écho dans sa tête "Elaën"... "Elaën"... Se devait être le prénom du Sindarin, il se présenta à lui avant de lui céder la place à jamais. Enfin il se réveilla, cette sensation, il avait réussi son pari mais il avait transgressé l'une des plus importante loi de son peuple, il venait de se mettre à dos les siens. Après s'être accommodé à ce nouveau corps, il décida de finir son voyage et de découvrir Canopée, les souvenirs du jeune Sindarin refaisait surface et les paysages semblait familier, la cité était enfin en face de lui. Sa première aventure s'achevait enfin, il y était arrivé. Heureux, il se présenta aux portes, cependant il ne reçut pas l'accueil espéré. En effet en gagnant le corps Sindarin,il n'était pas devenu l'un des leurs pour autant, ce n'était qu'un parasite, rien de plus. Quelques coups après Il parti, rejeté par le peuple de son hôte, ou aller, lui qui ne pouvait retourner chez lui. Il marcha donc vers le nord, durant plusieurs jours et s'effondra non loin des gorges de Paramis. Quelqu'un semblait jouer avec la vie du Sylphide, pourtant athée, ce déchainement de malheurs semblait trop pour n'être que le fruit du hasard. C'est à ce moment la qu'une rencontre aller définitivement le changer. Un convoi de caravanes qui revenait de la cité de Hellas, trouva le corps Sindarin en piteuse état sur le bord d'une route, toujours à l'affut de corps, les marchands décidèrent l'emmener non loin de Mavro Limani, le Sylphide, de par ses années à étudier connaissait la réputation de la région et se savait en danger, mais les mercenaires protégeant le convoi lui firent perdre tout espoir de fuite. C'est en effet par un concours de circonstances étranges que le Sylphide est devenu prisonnier de ce corps, il ne peut le quitter et revenir à sa forme astrale, se suicider serait une preuve de lachetée qu'un Sylphide ne saurait supporter.
Le convoi arrive quelques jours plus tard à Mavro Limani, bien que cherchant à mieux se faire voir dans Istheria, le pays n'avait pas perdu son goût pour le crime et les affaires douteuses. Le Sylphide fut exhibé devant une horde d'acheteurs prêt à débourser d'importantes sommes pour se payer un Sindarin d'une tel beauté. Ce fut un jeune marchand d'une 30aines d'années qui remporta la vente. Celui-ci exportait d'importants stocks d'alcool dans tout Istheria, légalement ou non, et avait rapidement amassé argent et réputation. Mais plus qu'un simple esclave, il avait trouvé la un jeu qui l'occuperait longtemps. Pour mieux comprendre, il faut savoir que le marchand n'a jamais été vu accompagner par la même femme, certains pensaient que qu'il était volage et amateurs des plaisirs de la chair, d'autre qu'il était un sorcier qui changeait ses amantes en animaux. Mais ils étaient bien loin de la vérité, en effet celui-ci avait un léger penchant pour la violence, peut-être du à un traumatisme vécu durant l'enfance, mais peu importe, le fait est qu'il torturait toutes les femmes qui tombait sous son charme. Mais ses délires pervers ne le satisfaisaient plus, les femmes étaient de bien trop faibles cobayes, c'est là que l'idée d'acheter un Sylphide prend tout son sens. A peine arrivé, le Sylphide comprit rapidement qu'il ne serait rien de plus qu'un jouet dans les mains d'un monstre de violence. Chaque jours était fait de violences, de tortures, celles-ci pouvaient durées du matin au soir, le maître n'en avait jamais assez, les blessures se refermant d'elles mêmes, le sadique marchand trouvait toujours un endroit pour y enfoncer une lame, ou le marquer au fer. Les années passèrent, et lentement le Sylphide tomba dans la folie, seul le murmure qui faisait écho dans sa tête lui faisait garder espoir, cependant ses croyances sur les vivants avaient changés, rejeté, réduit à l'état de bête, il s'abandonna à la violence et à la haine. Les années passèrent et le corps du Sindarin avait presque atteint sa taille d'adulte, celui-ci était plus rapide, plus fort, bien que parasite il s’accommodait parfaitement à ce corps. C'est lors d'une promenade comme disait le maître qu'un plan naquit dans l'esprit, du Sylphide. Le domaine était toujours bien gardé, et les mercenaires veillaient au grain quand au bien être et à la protection du marchand, cependant un évènement allait changer la donne. Une prestigieuse réception était organisé par le marchand pour la venu de quelques chevaliers, les mercenaires étaient donc occupés et le maître plus vulnérable. C'est lors d'une promenade, terme donné par le marchand pour parler d'une chasse à l'homme, que le Sylphide prépara la première étape de son plan, il courut en direction d'un bois qu'il connaissait bien, le maître participait souvent à ce jeu et cet endroit servait souvent de refuge. Il en profita donc pour découper une belle branche, assez longue pour pouvoir en faire une dague, une fois celle-ci cachée, il se rendit au maître, qui dans un délire d'alcool et de violence fit acte de ses instincts les plus primitifs. Mais l'important était là, il avait son arme. Le marchand avait fait une deuxième erreur, il pensait le Sindarin totalement dévoué, et l'avait exhibé durant son banquet. Le Sylphide ne se fit pas privé, à peine arrivé dans la salle, il plongea sur le maître sa dague de bois en main et lui transperça la gorge, non content de son acte, il réitéra l'action trois fois, dans la stupéfaction et l'incompréhension la plus complète, tous purent voir, horrifiés, un sourire lentement s'afficher sur le visage de l'esclave. Cette violence, cette acharnement, cela l'avait excité, enfin depuis tant d'année quelque chose l'avait remuer, cette sensation, rarement il l'avait ressenti. Rapidement les gardes l'attrapèrent le ruant de coups et posèrent sa tête sur la table, l'un des gardes sortit son épée du fourreau et la plaça au dessus de sa tête, il allait l'abaissé quand un invité du banquet se leva. Celui-ci, de carrure imposante, portait une armure d'une pâle noirceur, et son visage, défiguré par les cicatrices, témoignait d'une importante expérience des arts de la guerre. De par cette action, le garde rengaina son épée, l'homme devait être important, après avoir longuement observé le jeune Sindarin, il finit par parler :
" Comment t'appelles-tu jeune homme?"
L'écho qu'il entendant si régulièrement lui revint en tête, son nom de Sylphide? Il n'était qu'un renégat, Elaën..
" Je suis Elaën" répondit-il en le regardant droit dans les yeux.
"Cet acte que tu viens de commettre, ce n'est pas anodin, on devrait normalement te décapiter ou te soumettre à une mort bien plus lente et douloureuse."
A ces mots, le regard grisée de l'esclave restait vide, cela émerveilla le chevalier.
" Cependant, tu m'intéresses, et je vais te faire une proposition que tu ne pourras pas refuser, je fais parti de l'ordre des cavaliers de Sharna. "
A ces mots, Elaën se remémora ses livres d'histoires, les cavaliers qui sont à l'origine de la guerre... Ses faits de violence... C'était la solution, enfin il savait.
" Et je suis à même de te faire devenir l'un des nôtres, je te formerai et t'éduquerai dans nos valeurs et nos traditions ! "
Le Sylphide réaliserait sa vengeance, il allait pouvoir faire exploser sa haine au reste du monde, et s'exalter sur les champs de bataille.
" C'est avec honneur que je vous rejoins mon seigneur"

Ainsi le meurtre du marchand fut oublié, grâce à l'autorité du chevalier qui prit sous son aile le Sylphide. Au courant de ses origines, il se décida à le former aux arts de la guerre, et ce par un long et vigoureux entraînement. En effet, le chevalier décida d’emmener son apprenti aux quatres coins du monde, tout en évitant soigneusement les frontières Sylphide et Sindarine, le formant aux grès des voyages, louant leurs services de combattants aux marchands, ou à de petits seigneurs, polissant ainsi leur capacités. Son maître mourut à l'âge de 70ans sur le champ de bataille, mais Elaën comme il se faisait désormais connaître était encore jeune, son corps de Sindarin lui garantissait une impressionnante longévité. Il décida de voyager encore quelques années, son maître lui léguant une épée, un bouclier et une armure, symbole de l'ordre des cavaliers de Sharna, tout en répandent les croyances et les valeurs de l'ordre par la violence. Il décida à l'âge de 250ans (Sylphide) de rentrer à Thémisto pour être véritablement reconnu dans l'ordre. Il arriva donc devant le manoir, à pied comme à son habitude et accompagné de son Loup ñwalme , un nom qui lui rappellerait ses années de calvaire. Il fut ainsi accueilli par les représentants de l'ordre, tous avait entendu parler de ses faits, certains peut être le désignait trop avide de violence, mais tous s'accordaient à dire sa loyauté et sa ferveur envers l'ordre. Elaën fut donc nommé membre de l'ordre des cavaliers de Sharna, connu comme le solitaire, abandonné par tous et avide de revanche, il est maintenant maître de son destin et de sa vie, prêt à faire face à ce destin qui l'a maudit. C'est ainsi que commence les aventures du cavalier Elaën.

QUI M'ACCOMPAGNE
Toi l'animal qui me suit

PRENOM:
ñwalme
RACE:
Loup
SEXE:
Masculin
POUVOIR:
Télépathie
DESCRIPTION:

Loup blanc comme l’hiver, de grande envergure dompté et élevé par Elaën, totalement dévoué à son maître.

QUI ME PORTE
Toi ma vaillante monture

PRENOM:
Aucune
SEXE:
Aucune
DESCRIPTION:

Il se déplace rarement à cheval, préférant la marche, surtout par soucis de mobilité, en effet il est bien meilleur au combat à terre et sa technique prend toute sa puissance à ce moment. Il utilise donc les caravanes ou ses jambes pour se déplacer à travers Isthéria.

Sujet: Re: Elaën, mercenaire solitaire Lun 17 Juin - 13:19

Bonjour et bienvenue sur Istheria!

Je vois que tu as commencé ta fiche, par contre, je vais faire une petite remarque puisque tu as choisi, on va dire "la difficulté" au niveau du peuple mais il y a des petites choses à noter :

_ Pour l'âge : tu ne notes que ton âge véritable, celui de ta naissance, c'est à dire, celle du sylphide.

_ Pour le peuple, note clairement que tu es un sylphide qui a parasité un sindarin.

_ Le don, tu dois mettre celui du corps, c'est à dire, celui du sindarin, sens développés. En parasitant un corps, tu acquiers des caractéristiques du parasité, tu seras aussi sensible à la douleur. Certes, sur le principe, l'esprit sylphide reste immortel mais cette immortalité ne tient qu'au corps possédé. Note aussi que en choisissant de parasiter un corps, tu t'exclus de la société sylphide qui ne tolère pas le parasitisme. Tu ne pourras pas leur demander d'obtenir une enveloppe sylphide donc tu te condamnes à parasiter des corps et aussi ne pas être le bienvenue à Cimmerium.

_ Tu as choisi aussi d'être cavalier de sharna, il faut aussi que tu prennes en compte que les sylphides ne sont pas des religieux et des croyants. Ils n'ont pas cette éducation. Il te faudra expliquer pourquoi tu choisis de servir un dieu (les cavaliers restent des croyants) et le cas échéant, si ton sylphide n'y croit toujours pas comme il est normal chez un de sa race, pourquoi il choisit ce groupe qui est un peu à l'opposé de leur nature. Bref, une explication cohérente.

_ Pour ton arme, juste un petit détail "certains disent qu'elle se nourrit du sang que son possesseur lui procure ", note qu'il s'agira que d'un mythe et non d'une réalité. ^^

Voilou

Préviens moi lorsque tu auras terminé et surtout n'hésite pas à me poser des questions si quelque chose te chiffonne. Ma boîte mp est ouverte.

Bonne continuation.

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Sujet: Re: Elaën, mercenaire solitaire Lun 17 Juin - 14:15

Bien je prends notes des changements !

Pour le don je n'étais pas vraiment sur du coup j'ai mis celui Sylphide, donc je changerai ça.

Je suis également au courant, que mon personnage ne fait plus parti de la communauté Sylphide, je pensais que sa ressortait un minimum dans mon histoire...

Pour la caste, j'ai choisis les cavaliers, non pas pour leurs croyances à proprement parler, mais plutôt pour leur gout du sang, et leur facilité a répandre le meurtre et la violence. On va dire que c'est plus un moyen d'arriver à ses fins. Même si il reste un fière représentant des cavaliers, sa violence et ses humeurs reflétant parfaitement cette appartenance...

Après pour l'épée c'était surtout un petit délire, c'est vraiment dans la but de faire peur aux plus simples d'esprits, il s'agit tout simplement d'une arme de très bonne facture.

Je vais donc procéder à ces quelques changements. dites moi si vous n'êtes pas en accord sur certains points.

Cordialement
Elaën

Sujet: Re: Elaën, mercenaire solitaire Lun 17 Juin - 14:29

Pour l'instant, tout est bon.

J'attends que tu es complètement fini ta fiche pour me lancer dans la lecture de l'histoire et des descriptions. ^^

N'hésite pas si tu as besoin d'une information particulière.

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Sujet: Re: Elaën, mercenaire solitaire Mar 18 Juin - 17:28

Etant donné que ta fiche est finie et que tu as apporté les modifications demandées (ici et par mp), je n'ai qu'une chose à dire :

Fiche validée

Tu vas pouvoir dès maintenant faire une demande de rang dans la zone évènementielle, mais aussi y indiquer ta nation et patrie.
Ensuite, tu pourras ouvrir ton compte en banque, ton journal et et boîte aux lettres.

Bon rp et bon jeu parmi nous!!!

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