[RP Achevé] Chaînes rouillées

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 [RP Achevé] Chaînes rouillées

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Anonymous Invité
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MessageSujet: [RP Achevé] Chaînes rouillées    [RP Achevé] Chaînes rouillées  Icon_minitimeSam 15 Mar - 22:19

C'est clair ?

Humpf.

Massacre-le.

Humpf...


La dextre sur l'épaule, les yeux dans les yeux, le maître questionne, l'esclave répond ; le maître exige, l'esclave s’exécute. Le même rituel, toujours, et cet homme qui ne laisse transparaître ni crainte ni excitation. L'injonction est d'ailleurs d'une morgue méprisable. Gahrr n'est qu'un instrument, que la masse qui enfoncera les os de son adversaire malheureux, que la lame qui fauchera sa tête. Il ne semble éprouver aucun doute non plus. Pense-t-il réellement que Gahrr ne perdra pas ce combat ? Ou bien se moque-t-il du devenir de son Vétéran ?
Quelle que soit la réponse, cela n'a plus d'importance.

Le maître, d'un signe sec de la tête, approuve la concentration et la détermination apparente du Zélos, puis passe à côté de lui en lui assénant deux tapes franches sur l'épaule. Le signal. Gahrr s'harnage de son lourd plastron de cuir ocre, sanglant ce qui doit être sanglé, attachant ce qui doit être attaché. Tandis qu'il se livre à sa routine mécanique, un Terran discret se glisse jusqu'à lui, faisant crisser la crasse qui s'accumule jour après jour sur le sol pierreux que les Fosseurs foulent avec ardeur. Ses deux lames lui sont présentées dans leur fourreau respectif, prêtes à être souillées du sang de celui qui attend dans l'arène. Gahrrulfdor, sereinement, se laisse manipuler, juste le temps que l'esclave s'assure de la bonne fixation des fourreaux.
Finalement, une main presse son flanc. Il s'avance. L'épaisse porte de bois pivote sur ses gonds massifs et il s'engouffre dans le boyau obscur débouchant sur l'Enfer.


***
Ses premiers pas pressent lourdement la terre argileuse de la Fosse tandis que ses narines s'accoutument lentement à l'odeur tenaillante qui règne ici-bas. Une moite fragrance de sueur, de sang, de rouille, de boue et de déjections. Un supplice en soi. Devant lui, et alors que la foule hurle à s'en déchirer gorge et tripes, se tient une haute silhouette, engoncée dans une armure de maille et de plaques. Le regard noir, le souffle froid, elle déborde d'une volonté étouffante. Motivée par les harangues sadiques de cette foule assoiffée de violence, elle se met en mouvement. Un pas après l'autre, s'appuyant légèrement sur une épaisse lance d'acier qu'elle tient de sa senestre décharnée. Une voix forte et grave l'arrête cependant. La foule se calme.


Ce soir, Mes Seigneurs avinés, ce soir sonne la rencontre tant attendue entre deux Vétérans de nos Fosses boueuses ! Affichant son habituelle nonchalance, Le Vieux Gahrr sera opposé à L’Innommable, le Gorgoroth aux cent victoires !
Qui prendra l'ascendant ? Qui aura le fin mot ? Les paris sont ouverts !



Après une courte pause, la voix, sur un ton sinistre et plus rauque encore, ajoute : Que le combat commence.


Gahrrulfdor connaît bien l'Innommable, de par sa réputation. Il ne sait pas ce qu'est vraiment cette chose, mais il est sûr de la manière dont la tuer. On lui a dit : « Soit la tête, soit tout le reste... Mais ne t'embêtes pas, massacre-le. ». Il sait qu'il va devoir le mettre en charpie et, honnêtement, ça ne le réjouit guère. Il préfère les mises à mort nettes et rapides. Le Vieux Gahrr, Vétéran des Fosses, combattant dans les Trous depuis des décennies maintenant, ne s'est toujours pas fait à la faim dévorante des spectateurs, ce malsain désir de voir la terrifiante scène d'un carnage organisé.

Qu'importe, il n'a pas le choix. La bête, désormais, rampe vers lui, le fixant de son regard meurtrier. Le Zélos frissonne, un instant, puis pose ses battoirs sur les gardes de ses lames et les tirent au clair. Jambes fermement ancrées dans la fange, muscles bandés, volonté affûtée. Mais alors que la créature arme son bras, Son visage apparaît soudainement dans son esprit. Comme souvent depuis ce jour, Son souvenir le hante. Ses traits se crispent, contractés par tout ce qu'Elle représente et par tout ce que cela implique. Un mélange de puissants sentiments l'envahit, tandis que le Gorgoroth est presque sur lui. Et lorsqu'enfin Son image s'évanouit, un éclair argenté perce avec célérité l'obscurité de la Fosse. L'Innommable a frappé.


***
Le mollet perforé, la face tuméfiée et la dégaine incertaine, Gahrr fend la foule nocturne du quartier résidentiel de Thémisto, à la recherche d'une fontaine ou plutôt d'un bénitier. Se tâtant le côté, il grogne, espérant le trouver au plus vite afin de proprement se faire soigner. Après tout, il aura bientôt besoin de toutes ses forces. Et puis il n'aime pas les regards que certains lui lancent. Pas menaçants, mais évidemment curieux. Comme s'ils épiaient ses déplacements.

La rue qu'il parcourt est l'une des artères du quartier, bordée de maisonnées à l'aspect froid et vétuste. Il ne peut s'empêcher de penser qu'il s'agit là d'un joli quartier, agréable à parcourir de journée comme de nuit. Après tout, les rues sont pavées - ou presque -, les maisons tiennent debout - pour la plupart - et la vie y est paisible - surtout lorsque l'on est grand, large et que l'on est un Vétéran des Fosses.
Un peu perdu dans ses pensées et ses souvenirs, il constate soudainement qu'il se trouve face à un carrefour. Là, l'artère croise une rue, plus modeste. Là, au croisement des deux, dans une sorte d'alcôve, trône ce qui semble être une statue. Ou plutôt ce qui fût une statue.
Il plisse les yeux, essayant de discerner, malgré l'obscurité, ce qu'elle est censée représenter. Difficile à dire. Elle est dans un piteux état. Sa surface de pierre est noirâtre et bosselée, couverte de mousse par endroits, mais quelque part au centre de cette forme étrange et biscornue, il discerne le discret symbole. Un dernier regard curieux adressé à la silhouette de pierre, puis il quitte l'artère.

L'allée qu'il sillonne désormais est plus sombre, plus étriquée. Les quelques volets qu'il voit de part et d'autres sont clos et leur pourtour demeure éteint. De plus, personne ne semble arpenter ce chemin. S'il n'était pas si pressé de rencontrer son contact, et s'il n'était pas si aguerri, il pourrait frémir de cette atmosphère lugubre. En tout cas, d'autres préfèrent éviter ce genre de venelles.
Toujours est-il que le Zélos ne prête pas attention à ce cadre sinistre, bien trop occupé à se demander si c'est une bonne idée. Ce qu'il s'apprête à faire... Il attend ça depuis qu'il L'a rencontrée. Cette Sindarin. Mais le danger n'est pas loin, il le sent. Alors que, bien malgré lui, il commence à se crisper, il aperçoit, à seulement quelques enjambées, le lieu du rendez-vous.
Dans le mur, sur sa droite, se trouve une petite fontaine, taillée dans la roche. L'eau n'y coule certainement plus depuis longtemps et le lichen dévore la finesse du travail, masquant presque l'entièreté de l’œuvre. Enfin, il se tient à l'endroit désigné... Il ne reste plus qu'à attendre.


Dernière édition par Gahrr le Ven 20 Juin - 22:49, édité 1 fois
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: [RP Achevé] Chaînes rouillées    [RP Achevé] Chaînes rouillées  Icon_minitimeSam 15 Mar - 23:45

Ses recherches avaient enfin portés ses fruits. Marcus avait dépêcher beaucoup de ses sources un peu partout pour y découvrir des recrus potentiels. Il avait réussi a attiré de nombreux guerriers mais a la longues, il lui fallait une unité d'élite supérieur. Un de ses Sans-Visage lui informa la présence d'un Zelos, particulièrement coriace et qui ne voulait pas mourir. Sa présence dans les fosses était signe qu'il ne profitait pas de la liberté. Un droit que chacun devrais avoir de la naissance a la mort. Rien de plus gratifiant que libérer un esclave et faire disparaître la pourriture qui était son maître. On lui annonça également qu'il allait combattre d'ici un moment et justement, Marcus allait se déplacer lui même pour juger les talents guerrières de ce Zélos.

Dans l’immédiat, il savait qu'il allait devoir s'organisé rapidement. La ville de Thémisto n'était pas la ville la plus fréquentable a son actif et Marcus allait avoir besoin de préparer ses déplacement. Ayant fait rassemblé rapidement des cartes de la citée, il ce fixa un trajet. Étudiant les rues, ruelles et autres passages, il savait désormais comment passer de rues en ruelles au cas s'il ce faisait suivre. Une fois ses préparatif fait, il se dirigea vers un coffre. Un coffre qu'il n'avait pas ouvert depuis longtemps. La poussière remplis alors la pièce, laissant qu'un masque au fond du coffre. Un masque d'acier dont de fines gravures ornaient le métal et deux larmes en obsidiennes étaient incrustés près des yeux. Prenant cet objet, il le posa sur son visage et entama son voyage.

***

Le voila enfin dans la cité noire. Portant sa grande cape rouge, le forgeron, incognito, marchait dans les rues caché par son masque. Il était en avance sur son estimation et il en profita alors pour exploré en profondeur les rues. Il était venu rarement ici et habituellement on l'avait rencontré a l'entré de la cité. Mais la, il était seul dans une ombre inhospitalière. Sa présence ici serait prit comme une menace car malgré ses hommes, il n'était pas le seul a avoir un système d'espion et d'information. Son rôle dans la force militaire dans les Colonnes d'Ébreus avait rapidement été dépisté par les plus malins mais restais fermé au reste du monde. Au dessus de lui, un aigle plana pour se percher sur une maison. Il n'était pas tant seul au cas ou. Bien entouré dans sa grande cape rouge, il ne passait pas inaperçue mais au moins, personne ne savait qui il était grâce a son masque. Il était temps d'aller admirer le guerrier dans son combat.


Le combat venait a peine d'être annoncé. Le forgeron avait eux de la difficulté a trouver l'endroit et surtout, a entrer. Suite a quelques pièces glissé ici et la, il avait réussi a passer. Le rapport qu'il avait reçu n'était pas faux. Le Zélos était une méchante pièce. L'air sauvage mais déterminé. Comme si une flamme brûlait dans son regard, une flamme d'espoir... d'avenir. Pour sa part, Marcus examina les alentours. Il ce concentra plus sur la garde qui ce tenait ici pour empêcher tout débordement. Il était certain qu'il n'allait pas tenter quelque chose ici. Trop d'ennemis potentiel. Il allait admirer le combat tranquillement .


Satisfait de ce qu'il voyait, Marcus ce permis de quitter les lieux. Laissant une plume d'aigle sur le rebord de bois qui servait d'estrade au spectateurs. Sa longue marche le mena a une fontaine, depuis longtemps assécher et ou le lichen était devenu légion. Adosser au mur, seule une longue poignée d'épée dépassait de son dos, il attendait. Attendait que la personne ciblé ce présente et comme toute attente, la voila. Blessé et amoché, le vétéran des fosses avait survécu. Telle son regard, il voulait survivre, il allait survivre. Il avait une mission, et cette mission il ne pouvait la faire seul, il allait avoir besoin d'amies, d'une famille sur qui compté et cette famille, Marcus était ici pour lui offrir une place. Le regardant depuis sa position, le Zélos c'était assis, histoire de soufflé de son état. Allant le rejoindre, le forgeron resta a une petite distance alors qu'il regarda devant.

-Beau combat, Sir Gahrr. Votre force et votre talents au combat s'avère vrai selon mes aigles. Mais on ma aussi appris pour votre rang d'esclave. Mais votre regard va au loin, vous souhaiter accomplir quelque chose mais ont vous a privé de liberté, une liberté reçu a la naissance. Souhaite tu re-découvrir cette liberté Gahrrulfdor ? Ce que tu souhaite, je peux te l’offrir.

Le forgeron eux légèrement de la difficulté a épeler le nom complet du Zélos mais il c'était chargé de l'apprendre pour ainsi faire monter la curiosité dans la conversation. Mais ce n'était pas tout, Marcus c'était uppercut depuis un moment qu'on le suivait, il allait devoir faire vite.

-Le temps va nous presser, si vous le souhaitez, je peux vous faire sortir d'ici rapidement mais il risque d'y avoir du bouchant.

Le forgeron garda sa cape bien fermer, dissimulant deux petites lames cacher dans le creux de ses mains au cas ou il devrait ce débarrasser rapidement des deux gêneurs qui le suivait.
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: [RP Achevé] Chaînes rouillées    [RP Achevé] Chaînes rouillées  Icon_minitimeLun 17 Mar - 21:27

Les yeux embrumés par la fatigue, la douleur et la lassitude, Gahrr repose son dos meurtri et son côté froissé contre la froide pierre du mur. La fraîcheur se répand lentement à travers le cuir de son plastron encore entaché de gouttelettes de sang, de sueur et de boue. Une bise légère s'engouffre par à-coups dans l'entonnoir de cette petite allée et vient jouer avec ses favoris, chatouiller ses paupières qui se font soudainement bien lourdes. La sensation est agréable.
Ainsi doucement bercé par le calme de la nuit, il n'entend pas les pas, ne sent pas la présence et n'aperçoit pas l'inconnu qui pourtant s'approche.


-Beau combat, Sir Gahrr. Votre force et votre talents au combat s'avère vrai selon mes aigles. Mais on ma aussi appris pour votre rang d'esclave. Mais votre regard va au loin, vous souhaiter accomplir quelque chose mais ont vous a privé de liberté, une liberté reçu a la naissance. Souhaite tu re-découvrir cette liberté Gahrrulfdor ? Ce que tu souhaite, je peux te l’offrir.

Ce n'est que quand la fin de sa tirade résonne contre le rempart et les façades, s'étirant en un triste écho, que Gahrr sort de sa torpeur. Levant ses yeux encore vitreux, il cherche un instant la provenance de la voix masculine. Finalement, son regard tombe sur ce qui a la carrure d'un Terran. Un Terran plutôt grand et large. Ce dernier revêt une ample cape d'une couleur rendue indistincte par la nuit. Du marron. Peut-être du rouge. Mais ce qui attire indéniablement le regard du Fosseur, c'est le masque étrange que porte son nouvel interlocuteur. Un masque à l'aspect lisse mais aux contours flous. La faible luminosité offerte par les astres blafards ne lui permet que d'apercevoir un reflet métallique, rien de plus.

-Le temps va nous presser, si vous le souhaitez, je peux vous faire sortir d'ici rapidement mais il risque d'y avoir du bouchant.

Sortir d'ici ? Du boucan ? Gahrr se trouve légèrement confus par la soudaineté des mots, leur presque précipitation. Pourquoi voudrait-il s'enfuir maintenant ? S'enfuir de Thémisto ne serait certainement pas impossible, mais... Mais comment peut-il se douter du désir secret du Zélos ? Après tout, si Gahrr est ici, en cette nuitée, c'est qu'il attend simplement celui qu'on lui a recommandé, celui qui saura répondre à ses questions. C'est ce qu'on lui a promis, tout du moins.
Posant une main à terre, il se relève lentement, lâchant un « Humpf » bien involontaire au passage, puis, s'étirant discrètement, observe l'inconnu d'un regard emprunt de méfiance et d'incompréhension. Sa raison le pousse à la prudence. Son instinct demeure muet.
Son étude indécise se fait longue, peut-être trop au goût du Capé hâtif. Finalement, dans un râle rauque, il expire quelques mots :


Je ne crois pas qu'on doive se presser.

Après une brève quinte de toux grasse, il ajoute : Ce genre de rencontre est plutôt commun ici, étranger.

Gahrr est dans le vrai. Thémisto pourrait être une ville comme les autres, dans une région comme les autres, mais ce n'est pas le cas. Thémisto est une citée de Phelgra où règne la corruption, le vol, le mensonge, le vice... Bref, c'est une citée où deux personnes peuvent mener des affaires discrètes en relative sérénité. Il y a bien toujours quelques oreilles qui traînent, néanmoins, rien de bien dangereux.
Dans un geste maladroit, le Grise-Peau invite son interlocuteur à se déplacer, pas tant pour empêcher les fameuses oreilles d'entendre ce qui doit demeurer murmure, que pour se détendre le corps et l'esprit. S'il ne veut pas se dépêcher, c'est aussi qu'il sait qu'il aura une meilleure opportunité, bien meilleure que celle de courir en pleine nuit avec un corps meurtri et un inconnu pour seul soutien. Thémisto est une ville dangereuse pour les esclaves aux chaînes rouillées. Les gardes ne les laisseraient jamais partir et les témoins seraient nombreux. Autant de risques que les Cavaliers de Sharna apprennent trop vite sa fuite de Phelgra. Les Cavaliers de Sharna...


***
C'était il y a deux semaines, lors d'une soirée fraîche comme celle-ci. Le Zélos venait de combattre un groupe de Terrans. Ou plutôt, le Zélos venait de massacrer un groupe de Terrans. Depuis quelques temps, les combats étaient - ou semblaient - plus faciles. Depuis qu'il possédait le statut de Vétéran, depuis qu'il avait remporté quelques centaines de combat, il avait l'impression que ses duels n'étaient plus que des mises en scène, du pur divertissement pour les foules vicieuses. C'était une impression étrange, tenaillante, car s'il ne combattait plus pour que pour le spectacle, il n'était même plus un Fosseur, juste un boucher.
Ruminant donc ces pensées amères, tandis que les serviteurs de son maître s'affairaient à nettoyer la souillure de son corps, une ombre mystérieuse se glissa dans l'embouchure de l'arche taillée dans la pierre qui donnait sur « la salle de bains ». Le temps pour Gahrr de lever les yeux, et il ne perçut alors que le bout d'un manteau épais balayant le sol crasseux. Les visiteurs étaient rares et il s'agissait indubitablement d'un visiteur. Les esclaves ne portent pas de manteaux. Son maître non plus.

Intrigué, son instinct le poussa à suivre l'ombre, à découvrir ses desseins. Passant de galeries en corridors, le Zélos en arriva bien vite au boudoir où son maître aimait recevoir clients et invités. Et c'est alors qu'il entendit quelques bribes d'une conversation douloureuse. Les Cavaliers de Sharna gardaient un œil sur lui. Ils le voulaient. Son maître n'avait aucune raison de refuser, après tout, les Cavaliers dirigeaient Phelgra. Ainsi donc, d'esclave boucher, il passerait à esclave boucher de grande échelle. Sombre perspective.

C'était il y a deux semaines, lors d'une soirée fraîche comme celle-ci. Le Zélos venait d'apprendre que son avenir ne dépendait que de la volonté inexorable du temps. Le Zélos venait d'acquérir la certitude d'une nécessité grandissante : il devait fuir.


***
Qu'en est-il de Ka... de ma sœur ? Vous savez quelque-chose à son sujet ? Je crois que c'est une chose que j'ai mentionné à notre... ami commun. C'est d'ailleurs pour ça que vous êtes là, non ?

Ils viennent à peine de faire quelques pas et n'ont même pas encore quitter l'allée, que le Zélos se tourne légèrement vers l'étranger, lui présentant sa trogne égratignée. Il n'a pas l'intention de parler de ses plans à cet homme tant qu'il ne saura pas pour sa sœur. Il ne quittera jamais Phelgra sans elle.


Dernière édition par Gahrr le Jeu 20 Mar - 4:52, édité 1 fois
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: [RP Achevé] Chaînes rouillées    [RP Achevé] Chaînes rouillées  Icon_minitimeMer 19 Mar - 3:28

Marcus se demandait si c'était par orgueil ou par simple volonté que le Zélos ne restait pas en place, amoché comme il était. C'était quelque chose que Marcus respectait. L'orgueil était une force mais aussi une faiblesse. Pour une guerrier, elle pouvait être une force, ne voulant pas posé genoux au sol, ce tenir debout sur le champs de bataille alors que le combat n'est pas terminé. Pour sa part, elle allait être un problème puisque déjà que sa présence était sans doute déjà alerté, le fait de bouger avec un Zélos blessé, réclamé par ses ennemis, il allait encore plus être visible. La prudence allait devoir être de mise, surtout dans un endroit regorgeant d'assassins ou personnalité louche facilement traître et corrompu prêt a poignardé son prochain pour une poignée de diaz. Il le suivait des yeux, comme tout ce qui bougeait au tour de lui. Le fait intéressant, c'est que sa stature et son physique le faisait ressembler a un géant, un géant que personne ne voulait s'attirer sa colère et a juste titre. Surtout que sa voix était altérer par son masque, la rendant plus grave et caverneuse qu'elle l'était, ajoutant a cela ,deux pupille bleu acier illuminé qui ressortait des orifices du masque.

Bien que suspicieux, il se leva a son tour. Suivant des yeux le Zélos, Marcus le suivit. Il n'avait pas d'autre choix, s'il voulait entendre ce qu'il disait et l'aider, le forgeron devait suivre le blesser.

-Je ne suis pas la bienvenu ici Sir Gahrr, vous devez vous en doutez. Les cavaliers n'aimes pas la présence de mes Sans-Visages et certains sont morts par leurs mains, j'en ai que peu installer dans les environs, et ils sont surtout mes plus discrets pour évité la mort mais moi, je ne tiendrais pas longtemps s'ils devaient me trouver.

Marcus remarqua a nouveau la présence des deux suiveurs. Il ignorait s'ils étaient la pour essayer de le tuer, le dépouiller ou simplement le suivre. Dans le pire des cas, il resta dos a eux et en faisant un étrange signe , la main plaquer contre son torse, il entendit simplement un aigle passer au dessus de sa tête, lâchant un crie. Il allait être débarrasser des gêneurs.

-Avec tout le respect que je vous dois, je n'ai croisé aucun guerrier telle que moi ici, simplement les plus louches de la crèmes qui font affaire ici. Je suis facile a voir, a trouver et s'ils le veulent, me tuer par de simple archers sur les toits. Si en plus, ils découvre que je suis avec vous, vous connaissez la suite. Vous devriez aller vous faire soigner. Même si vous est résistant, une infection a coucher bien de grand guerrier, moi même j'ai négliger cela et j'ai bien failli en mourir.


Il était vrais que négliger une infection avait coûter la vie a beaucoup de guerrier. Il avait former, combattu et assisté a la mort de beaucoup d'homme mais, la mort par une infection était la pire. Elle vous ronge de l'intérieur... vous faisant souffrir telle mille aiguille. Il en avait vue souffrir et mourir par cette douleur. Il était pas rare dans les campagne militaire que la principale mortalité était la maladie et infection. Mauvaise entretiens, vêtements trempé, environnement inapproprié... blessure négligé.

-Votre soeur. J'ai envoyer plusieurs aigles a sa recherche quand j'ai su par ''notre ami commun'' que vous ne voyez que elle, comme toute être vivant sur cette terre, vous avez une raison de vivre et c'est de la retrouver. Votre passé a été dure mais, il faut vous tourner vers l'avant et ce concentrer sur le future. Je suis ici pour vous aidez a crée votre future, un future de gloire et de liberté.
Marcus posa sa main sur l'épaule de Gahrr. Je suis ici avant tout pour aider ceux qui le mérite. Tu tes mis dans cet position pour ta famille, une valeur que je respecte hautement. C'est pourquoi je suis ici, en personne. Si tu souhaite des information, tu a le dirigeant en face de toi mon ami et je me déplace rarement en personne pour des contrats, notre ami commun ma supplier que ce soi moi qui vienne.


Marcus ignora le risque, même s'il était connu par les Cavaliers, il pris le risque de se dévoiler au Zélos. Après tout, il était vrais qu'il voyait une flamme brûler dans son regard, une juste cause qui méritait attention. C'était le pourquoi de son ordre, venir en aide a ceux qui en ont réellement besoin. L'injustice. Il resta près de lui, la main sur son épaule, retirant lentement son masque, un sourire en coin, les poiles gris de sa barbe alors que ses cheveux argenté retombait de sa capuche.

-Je suis la pour toi mon ami, tu retrouva ta soeur, j'en fait le sermon.

Il replaça lentement son masque et tout ce qu'il remarqua c'était deux femmes qui s'approcha de lui. Une avait une plume tatouer sur le coin du visage. L'autre avait une marque au fer rouge sur l'avant bras.

-Les deux gêneurs étaient des pions des Cavaliers et j'ai repérer trois qui te cherche activement. Ci tu veux sortir, c'est maintenant ou prépare toi a te battre. Si vous le souhaiter, appeler nous, des renfort sont a proximité au cas ou.

A peine qu'elle eu terminé, elle disparu dans une ruelle transversale.

-Les voilas ... Je ne crois pas que tu sois en position de te battre. C'est pourquoi je veux que tu aille en sécurité, prend cette rue et frappe trois fois sur le bois avec ton poing, ma panthère y est cachée. Retrouve moi aux porte. Sinon reste avec moi mais prépare toi au combat car je ne laisserais pas ces cinglés me suivre et poursuivre indéfiniment, encore moins t’enrôler de force dans leurs quête sanglant de sang et d'atrocité.
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: [RP Achevé] Chaînes rouillées    [RP Achevé] Chaînes rouillées  Icon_minitimeSam 22 Mar - 14:05

Le regard à moitié posé sur le Terran, à moitié perdu dans le vide, Gahrr semble un instant désabusé par sa propre question. Sa sœur. La raison de sa présence ici, la raison qui l'eût jadis poussé à perdre la propriété de son corps. Où est-elle, en cet instant ? Que fait-elle ? A-t-elle au moins cherché à le retrouver ou bien a-t-elle pris sa défection pour une trahison ? Cette idée, il ne l'aime pas. Malgré le souvenir tortueux de toutes ces décennies damnées, il ne peut oublier le lien l'unissant à « sa moitié » ; il ne peut l'imaginer l'abandonnant, quoi qu'il puisse faire. Elle est sa sœur, il est son frère, ce lien est robuste, coriace, infrangible. Toutefois, après tant d'années... peut-être a-t-elle cessée d'espérer, de croire qu'il puisse encore être vivant ; peut-être a-t-elle abdiquée.

-Je ne suis pas la bienvenu ici Sir Gahrr, vous devez vous en doutez. Les cavaliers n'aimes pas la présence de mes Sans-Visages et certains sont morts par leurs mains, j'en ai que peu installer dans les environs, et ils sont surtout mes plus discrets pour évité la mort mais moi, je ne tiendrais pas longtemps s'ils devaient me trouver.

La voix rauque du Capé-masqué rebondit une fois de plus sur la pierre de la venelle, résonnant aux oreilles du Zélos, le sortant de sa pensée douloureuse. Pendant un instant, il a presque réussi à oublier l'inconnu, son inquiétude, sa hâte. Mais le voilà maintenant qui parle de « Sans-Visages ». Des siens. Gahrr ne saisit pas vraiment ce qu'il entend par « Sans-Visages ». Cela sonne un peu comme un nom de Fosse grandiloquent, toutefois le fait qu'il parle de « ses » Sans-Visages, lui fait penser qu'il n'est pas exactement l'homme qu'il s'attendait à voir. Lorsqu'il avait demandé les services d'un mercenaire, il avait pensé à un homme seul et non à une guilde... Sa bouche se tord en un rictus léger mais grossier. Il n'a pas de quoi s'offrir les services de toute une guilde. Et quand-bien même il le pourrait, n'est-ce pas un peu trop pour ce qu'il est ? N'est-ce pas là la promesse de beaucoup de moyens, juste pour un pauvre esclave esseulé ?
Il en vient à penser, avec un peu de présomption sans doute, qu'il est l'objet d'une convoitise partagée, qui le dépasse un peu. L'idée lui paraît tout de même saugrenue.


-Avec tout le respect que je vous dois, je n'ai croisé aucun guerrier telle que moi ici, simplement les plus louches de la crèmes qui font affaire ici. Je suis facile a voir, a trouver et s'ils le veulent, me tuer par de simple archers sur les toits. Si en plus, ils découvre que je suis avec vous, vous connaissez la suite. Vous devriez aller vous faire soigner. Même si vous est résistant, une infection a coucher bien de grand guerrier, moi même j'ai négliger cela et j'ai bien failli en mourir.

Le silence et la voix de l'homme s’enchaînent, créant un contraste entre le calme insouciant du Zélos et l'impatience de celui qui lui fait face. Un certain malaise s'installe même chez Gahrr, qui, quelque part, s'en veut de rester coi devant cet homme impliqué. Et voilà qu'il se préoccupe de son état. La gêne s'accentue. Non pas qu'il n'apprécie pas l'attention ou qu'il soit trop fier pour montrer son handicap actuel - il sait d'ailleurs fort bien qu'il n'est pas en état - mais le paternalisme transpirant à travers les mots le dérange. Pourquoi un mercenaire s'inquiète-t-il autant pour un client n'ayant point encore payé ? Et pourquoi ce ton cérémonieux ? « Sir », « avec tout le respect que je vous dois »... c'est bien le problème, il ne lui doit rien. On ne lui a jamais rien dû. Le Zélos d'ordinaire négligent, perçoit pourtant ce curieux comportement. Il demeure cependant incapable de l'expliquer. Quelque-chose lui paraît déplacé.
Mais alors que Gahrrulfdor réfléchit laborieusement, et sans doute le silence aidant, la voix de Marcus retentit une nouvelle fois.

-Votre soeur. J'ai envoyer plusieurs aigles a sa recherche quand j'ai su par ''notre ami commun'' que vous ne voyez que elle, comme toute être vivant sur cette terre, vous avez une raison de vivre et c'est de la retrouver. Votre passé a été dure mais, il faut vous tourner vers l'avant et ce concentrer sur le future. Je suis ici pour vous aidez a crée votre future, un future de gloire et de liberté. Je suis ici avant tout pour aider ceux qui le mérite. Tu tes mis dans cet position pour ta famille, une valeur que je respecte hautement. C'est pourquoi je suis ici, en personne. Si tu souhaite des information, tu a le dirigeant en face de toi mon ami et je me déplace rarement en personne pour des contrats, notre ami commun ma supplier que ce soi moi qui vienne.

Kahrr est enfin évoquée. Peut-être a-t-il confondu le silence confus du Zélos pour une exigence aussi inflexible que silencieuse, pour la détermination farouche d'obtenir enfin quelque nouvelle à propos de sa sœur. Hélas, pas de nouvelles. Une grande déception l'envahit, précédant un vif sentiment. Frustration. Le fait est qu'il doit quitter Thémisto, qu'il doit échapper au regard des Cavaliers, mais qu'il ne le peut sans elle. Sa mâchoire se serre, ses crocs proéminents venant labourer sa lèvre ; son corps se tend. Le Terran continue, sans trouble apparent, et lui assène désormais des promesses insipides, des maximes plates et semble se targuer de son apparente importance. À ce moment précis, Gahrr ne peut réprouver une sensation notable d'antipathie pour cet homme. Le soudain tutoiement et la main sur son épaule y ajoutant une certaine incompréhension. Un instant plein d'obséquiosité, l'autre d'une familiarité complaisante... Singulier.

-Je suis la pour toi mon ami, tu retrouva ta soeur, j'en fait le serment.

La promesse d'un serment est une chose importante. Gahrr le sait. Il ne peut être sûr qu'il tiendra parole, mais le seul fait qu'il y ait une chance pour qu'il le fasse... C'est toujours une chance. Surtout si l'homme possède autant de moyens qu'il le laisse entendre. Alors la bouffée qu'il a ressenti s'échappe lentement, laissant son corps plus décontracté et son esprit légèrement apaisé.
Soudainement, deux ombres sveltes émergent des ténèbres, évoquant des Cavaliers et des renforts. Pour que les Cavaliers semblent effectivement suivre l'homme encapé, le Zélos a visiblement mésestimé quelque-chose. Soit l'importance de son interlocuteur, soit la sienne propre. Toujours est-il que son contact prend désormais une ampleur autre. Il n'est vraiment pas un mercenaire lambda.


-Les voilas ... Je ne crois pas que tu sois en position de te battre. C'est pourquoi je veux que tu aille en sécurité, prend cette rue et frappe trois fois sur le bois avec ton poing, ma panthère y est cachée. Retrouve moi aux porte. Sinon reste avec moi mais prépare toi au combat car je ne laisserais pas ces cinglés me suivre et poursuivre indéfiniment, encore moins t’enrôler de force dans leurs quête sanglant de sang et d'atrocité.

Sortant finalement de son observation passive, Gahrr s'ébroue lentement. Les choses semblent sérieusement s'accélérer et s'il n'y prend pas garde, il pourrait bien laisser passer sa chance. Maintenant qu'il a un espoir, il ne peut se permettre de le perdre.

Bien... je ne crois pas non plus être capable de vous suivre. Mais se battre dans Thémisto... Ce n'est sans doute pas une bonne idée.

Se grattant pensivement la trogne, partagé entre l'envie de croire en celui qui semble prendre tant de risques pour lui et la réserve que lui impose la prudence, Gahrr hésite. Un instant. Lui révéler ce plan qu'il a pensé récemment, c'est un pari osé. Si le Capé est un Cavalier, s'il lui tend un piège pour le tester... Il ne passera pas la nuit.
Toutefois, son instinct, malgré sa persistante réserve, lui dicte de se laisser aller et jusqu'à maintenant, son instinct s'est souvent révélé bon conseiller.


Écoutez. Dans cinq jours, je dois être envoyé à Umbriel pour un combat. Dans cinq jours je serai sur les routes, au sein d'une petite caravane, simplement gardée par une poignée de mercenaires. Nous partirons au matin et quelques heures après le coucher du soleil, nous serons assez loin de Thémisto pour combattre. Peut-être même que nous nous arrêterons pour la nuit. Il n'y aura pas de meilleure chance, pour vous comme pour moi.

Cependant qu'il évoque l'éventualité d'un sauvetage romanesque, le Zélos se tourne vers la rue indiquée par l'homme masqué. Trois coups sur le bois avec son poing. Une panthère. Qu'est-ce qu'une panthère ? Gahrr l'ignore. Dans son inculture, il pense qu'il s'agit-là du nom que l'homme donne à l'un de ses subalternes. S'il savait...

Je ne suis pas en état. Je dois au moins retourner dans mon Trou pour récupérer mes affaires et me faire soigner, ajoute-t-il à voix basse en se tâtant le flanc.
Si vous pensez qu'il vaudrait mieux partir plus tôt, envoyez-moi un message... vous pouvez faire ça, humpf ? Sinon, si vous gardez le silence, nous nous reverrons dans cinq jours sur la route d'Umbriel.

Ceci étant dit, Gahrrulfdor tourne finalement le dos au Terran, le laissant gérer ce qu'il a l'air déterminé à gérer. Et alors qu'il s'enfonce dans la rue enténébrée, et que mille questions tourmentent son pauvre esprit étourdi, il prend conscience qu'il s'agit-là de sa plus longue conversation depuis des années. Il est rouillé. Indéniablement. Bien malgré lui, ses lèvres se troussent en un sourire maladroit tandis qu'il frappe sur le battant de bois.


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MessageSujet: Re: [RP Achevé] Chaînes rouillées    [RP Achevé] Chaînes rouillées  Icon_minitimeDim 30 Mar - 5:36

Thémisto était la ville la plus sordide, la plus sombre et dégoûtante. Pour Marcus c'était l'enfer, il ne voudrais point vivre ici. Il déteste venir ici, même envoyer ses hommes ici. C'était comme une lueur qui écrasait la lueur réconfortante du soleil, dans son esprit il ne pouvait jamais être calme, reposé ou ne pas être sur ses gardes. Il se sentait épier de partout, aucun repos possible en cet endroit aussi sombre que la plus creuse des prisons. Venir ici était une plais pour lui, contrait a ses principe et surtout un problème si sa personne était remarqué dans ce troue a rat. Malheureusement, sa présence était nécessaire, nécessaire pour la liberté d'un être.

Utilisé comme un jouet pour le sang et l'argent. Tous sa sur le dos d'un simple et innocent Zelos. Sont visage ne laissait rien voir, simplement les blessures et un regard vide, vide d'espoir. Un espoir vivement ranimé par une nouvelle importante, enfin une nouvelle qui comptait énormément pour ce pauvre Zelos livré a lui même dans la souffrance et la solitude. C'était pour cela que Marcus ce présenta dans un endroit aussi indésirable soit-il, ranimé le coeur de Gahrr mais aussi, lui offrir ce qu'il c'est privé par principe pour sa famille. La liberté.


Emmitoufler dans sa cape chaude de Bor, Marcus regarda le Zélos au travers de son masque. Son esprit était répugner de voir tant d'argent passé sur son dos, sont sang, rependu pour le plaisir des autres, son corps utilisé comme un objet. De la répugnance a l'état pur. Il ne pouvait, par principe, resté ainsi et ne rien faire.


Sa respiration était rauque, son masque laissait un aspect imposant et terrifiant pour les simples vagabonds. Le simple fait qu'il ressemble a un homme de métal, son masque presque fusionner a son visage... Son plastron en acier ou un aigle au ailes déployer ornais le devant et les larges épaulette (Ressemblance romaine) Déformaient les plis de sa cape... De quoi faire frissonner beaucoup. Il ne quitta pas le Zélos du regard, tant de chose ce passaient dans son esprit, il n'était point sure de saisir l'occasion qu'il lui offrait. Un piège pourrait être fait... Était il fidèle au cavalier... Rien n'était sure pour Marcus mais son calme, son allure posé et sa certitude lui disait d'écouter Gahrr. S'il devait mourir d'un piège organisé par celui-ci pour débarrasser une tête montante, alors le destin en aura décidé ainsi sinon... le future serait différent de ce qu'il avait décidé.


Le forgeron ne dit point de réponse. Il regarda le Zélos partir comme si il était qu'un simple fantôme apparu brièvement. Cinq jours. Cela allait être suffisant pour rassembler une légère force de frappe. Il allait devoir ce dépêcher, quitter les lieux avant que les têtes qui avaient placé les deux gêneurs n'apprennent leurs disparition et surtout, d'être certain de l'identité de celui qui c'était infiltré légèrement dans Thémisto pour briser les chaîne de leurs ''acquisition''. Son devoir l'avait pousser a se rendre en terrain hostile, seul, pour respecté ses choix qui est de donner la force et son aide a ceux qui le mérite. Aucun prix ne pourrait faire changer d'idée a un homme aussi déterminé a voir un esclave sous la joug de des rapaces, libre. Aucun.


***

Cela faisait 5 heurs qu'il c'était séparé du Zélos, quitté Thémisto et regrouper avec sa panthère et un groupe de Sans-Visages du secteur. Les ordres étaient simples. Surveiller le Zélos, assurer que rien ne lui arrive en cas de découverte de ses projets. Surveiller son Maître mais aussi les sujets des Cavaliers. Pour son cas, il allait envoyer un message par la voie aérienne pour recevoir en vitesse une troupe rapide en préparation de la libération de Gahrr. Le terrain était a découvert sur une partie du chemin et selon ses estimation, le groupe allait être peu surveiller. Quelques mercenaires que disait le Zélos. Soit s'ils ont un peu d'intelligence, ils allaient camper dans un endroit recouvert et non en pleine route a découvert, si c'était le cas, l'attaque ce passerais a merveille. Rapide et mortel. Sinon il devrais entouré le campement pour nettoyer de façon sécuritaire l'endroit. 7 Dolofonos et 3 Sans-Visages allaient faire l'affaire pour cette mission puisque des Mercenaires ne feraient pas le poids faces a ses hoplites bien équiper par ses soins. Qui dit mercenaires, dit soldats de basse qualités mais, Marcus ne ce fiait pas a cela, rien ne prouve que les cavaliers ne viserait pas dans le luxe niveau recrutement de mercenaires. Seul le temps nous le dira.
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MessageSujet: Re: [RP Achevé] Chaînes rouillées    [RP Achevé] Chaînes rouillées  Icon_minitimeMer 2 Avr - 11:36

Les quartiers de la Fosse s'éveillent doucement dans la douce fraîcheur du matin.
Dehors, le soleil darde déjà quelques timides rais orangeâtres, qui peinent à franchir le rempart de bois et de pierre formé par les demeures alentour. Dans le Trou, l'obscurité règne en maîtresse, comme à son hautaine habitude.
Dehors, une bise balaye les rues encore désertes, faisant voleter la poussière en quelques tourbillons gracieux, portant feuilles et détritus dans un balai abstrait. Dans le Trou, l'air stagne, chargé de l'humidité saline de la sueur des Fosseurs. Il s'épaissit même à mesure que le temps passe. On pourrait le couper au couteau tant il semble épais.
Dehors, Thémisto prend vie, peu à peu. On entend déjà les travailleurs matinaux s'acharner à remplir leurs tâches quotidiennes ; on sent déjà les odeurs de l'âme citadine, les fragrances du pain chaud, du ragoût et de la bière, mais aussi les relents aigres des « bas-quartiers ». Dans le Trou, un silence sépulcral demeure. La nuit dernière, quelques combattants du Maître sont restés dans la Fosse. L'humeur est à la mélancolie. Et les seules odeurs embaumant les lieux sont celles du potage de gruau et de l'épaisse et poisseuse pâte qu'on applique sur les plaies des blessés.

Gahrrulfdor est étendu sur son lit de pierre, le regard tourné vers le coin le plus sombre de sa « chambre ». Il tente vainement de se remémorer son rêve passé. C'était le genre de songe que l'on fait sans se souvenir de détails particuliers, mais avec l'impression qu'il était important. Ce n'est pas la première fois. Il ne sait même plus combien de rêves de ce type il a déjà fait, combien de fois il s'est éveillé tantôt en sueur tantôt chagriné pour une raison inconnue. Quelque chose, une voix dans l'ombre de ses pensées, lui murmure que cela a un rapport avec sa sœur, mais il doute. Peut-être ne veut-il pas se souvenir de sa sœur, peut-être ne veut-il pas en rêver non plus. Il se demande parfois, alors qu'il baisse la garde, ce qu'elle est devenue et l'imagine insouciante, vivant la vie qu'elle eût méritée. La même voix lui souffle qu'il n'en est rien, qu'elle lutte quelque part contre les tourments de sa condition de naguère et de celle de son frère qu'elle croit ailleurs. Elle se bat pour des idées. Pour lui aussi. Un peu.
Secouant sa trogne grossière et sa chevelure hirsute, le Zélos s’assoit finalement sur le bord de sa couchette et pose ses pieds immenses sur le sol crasseux de la cave. Il passe une main sur les contours anguleux de sa mâchoire, jouant un instant avec l'articulation.

Au même moment, des bruits de pas résonnent contre la roche, semblant se diriger vers la pièce et son occupant. Le Zélos attend patiemment, guettant l'arrivée de son – ou ses, semblerait-il – visiteurs.


Gahrr, le convoi est là. Tes affaires sont dans la carriole. Je te laisse y aller seul, je n'ai pas le temps d'aller suivre ton combat à Umbriel. Tâche de reprendre des forces, suis les instructions du mire et sors vainqueur de la Fosse. C'est compris ?

La voix de son maître rebondit sur les quatre murs, formant un écho fantomatique. Gahrr n'aime pas cet écho, c'est d'ailleurs pour ça qu'il évite de parler dans son Trou. Ailleurs, il n'a pas de mal à se parler à lui-même, il trouve ça relaxant même. Ici, les mots semblent plus froids, plus austères. En tout cas, il perçoit chez son Maître, une certaine inquiétude, conséquence probable de la mauvaise nuit passée. Les pertes ne sont pas d'une grande importance, mais une perte est une perte.

Humpf.

Un mouvement d'air et son Maître n'est plus là, seule reste une présence, moins marquée, plus discrète. Elle s'avance vers lui, posant une main sur son mollet, effleurant les contours du trou qu'a laissé la lance de l'Innommable. Avec le temps, son corps semble avoir pris l'habitude de cicatriser plus rapidement, mais en quelques jours, point de miracle. La plaie est encore douloureuse, le muscle, fragile.
Le mire, posément, applique la pâte odorante, à base d'herbes et de minéraux. Le Zélos grimace, tant pour la vivacité de la sensation de sa chair meurtrie au contact du mortier curatif, que pour l'émanation entêtante s'en échappant. L'homme se relève, passe une main sur le torse du géant, jaugeant l'aspect de son côté encore sensible, puis de son visage dont la tuméfaction est déjà presque résorbée. Enfin, il dépose délicatement un petit paquet de cuir et indique dans un souffle soumis :


Les cahots de la route vont sûrement ébranler votre ossature. Mâchez ça toutes les trois heures... ces herbes vous aideront à ne pas ressentir les affres du trajet.

Inclinant légèrement le chef, par un respect mécanique, l'homme se retire finalement, laissant le Zélos se déplier, prêt à partir sur la route... La dernière qu'il arpentera les fers aux poignets.

***
Paresseusement ballotté par la houle des nids-de-poule, Gahrr baille, gueule grande ouverte. Plusieurs heures déjà ont passé. Le temps semble s'étirer afin de lui faire goûter ses derniers instants d'esclavage. À ce propos, le Fosseur n'est pas tellement préoccupé. Il doute encore du Masqué, ne sait pas trop qu'en penser. Peut-être tiendra-t-il promesse, peut-être que non. De toute manière, ce qui lui importe, c'est sa sœur. Qu'importe s'il est libre, s'il ne peut retrouver trace de Kahrrill, sa liberté ne vaudra guère plus que la plus sombre des geôles. Il espère que le maître des « Sans-Visages » tiendra parole.

Hey ! J'te cause !

Levant les yeux vers la provenance de la voix, Gahrr lève la main devant ses yeux, en pare-soleil de fortune. La course du soleil décline maintenant depuis cinq heures et sa lumière se teinte doucement de ses couleurs les plus chatoyantes. Ainsi, à contre-jour, il croit reconnaître le dénommé « Meren », un mercenaire d'apparence plutôt commun. Harnaché de cuir et de mailles, une épée longue au flanc, une bourse à la ceinture... Bref, rien d’extraordinaire. D'ailleurs, globalement la troupe n'est guère impressionnante. Gahrr en a vu d'autres. Les premières escortes étaient musclées, probablement parce que son maître le pensait assez effronté pour tenter de s'enfuir, assez malin pour avoir feint son agonie d'esprit.
Sur la huitaine de « gardes », il n'y en a qu'un que le Zélos craint un tant soit peu. Pas une montagne bardée de plaques, non. Une svelte créature à la démarche féline, au pas assuré. Une femme. Deux épées courtes croisées dans le dos. Sa confiance apparente et son regard d'acier trahissent une certaine expérience. Elle le connaît de renom. Elle s'est tenue devant lui sans trembler, sans même détourner le regard. Bien peu ont le courage de porter sur Gahrr ce genre d'attention, même lorsqu'il est enchaîné. Mais cette femme... Bor, qu'il déteste cette femme pleine de grâce et de confiance !

Délaissant la vision de cette « chose », le Zélos finit par répondre au mercenaire, dans un grognement sourd :


Qu'est-ce que tu veux ?

On va bientôt arrêter l'convoi pour la nuit. Pas d'bêtises, hein ? J'veux pas qu'tu traînes près d'tes affaires... et garde tes distances avec nous, hein ?

Dire que l'escorte transpire la peur serait beaucoup dire. Néanmoins, la plupart ne sont pas tranquilles. S'attendent-ils à la venue du Masqué ? Ou bien n'est-ce que son imagination ? Ne sachant que répondre, Gahrr hoche simplement la tête, lâchant un « Humpf » de rigueur.
Le temps passe. Quelques dizaines de minutes. L'obscurité tombe finalement sur les alentours, comme un manteau charbonneux. Le convoi interrompt sa progression et s'engage alors sur un chemin de terre, juste assez large pour permettre son usage par la troupe.


***
Le petit campement s'est établi près d'une alcôve rocheuse, plus proche de la tanière que de la grotte. Un honnête feu ronfle paisiblement, attisé régulièrement par un homme à l'air mélancolique. Gahrr a oublié son nom. Les autres dorment déjà, se relayant parfois pour prendre le quart.
Le Zélos, lui, est à l'opposé. Proche du feu, mais loin de l'escorte et de ses effets personnels.

Guettant le bruit annonciateur de sa prochaine libération, il se perd dans la contemplation de la Femme, qui elle, ne dort pas. Elle semble même ne pas en avoir besoin. De temps à autres, elle saute agilement d'un rocher à un autre et observe les environs. Elle ne semble rien guetter en particulier, elle observe simplement. Ses courbes menues mais toutefois féminines, sa démarche animale, ses cheveux d'un noir aussi profond que la nuit...

Soudainement, elle s'arrête, se tend et s'étire comme une bête à l'affût. Aurait-elle perçu quelque chose ? Un son étouffé ? Un mouvement furtif ? Gahrr se tend également, aux aguets. Il est prêt. Enfin, autant qu'il est possible de l'être lorsque l'on est blessé, brisé, enferré et entouré de mercenaires.


Dernière édition par Gahrr le Jeu 24 Avr - 10:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [RP Achevé] Chaînes rouillées    [RP Achevé] Chaînes rouillées  Icon_minitimeVen 4 Avr - 3:33

-Se soir, ce sera un moment de gloire pour vous !

-HAOU!

-Se soir ! Vous allez mettre en pratique ce que je me suis efforcé de vous apprendre !

-HAOU !

-Se soir. Si le destin le veux nous retrouverons nos frères et nous fêterons cette victoire !

-HAOU ! HAOU ! HAOU


Les 15 Dolofonos présent acclamèrent leur chef avec vigueur. Leurs voyage fut rapide mais rigoureux. La demande avait passé rapidement depuis Thémisto mais les guerriers ne c'était pas attendu a devoir débarqué aussi rapidement ! Marcus avait fait venir 10 recrus et 5 vétérans. Il était temps de faire couler le sang a ses recrus pour ainsi savoir s'ils étaient prêt.

-Se soir, le destin choisira si vous est digne de porter le titre de Dolofonos. Si vous mourrez, c'est que votre mission s'achève ici. Je ne crois pas aux dieux, si vous mourrez c'est que votre âme a une mission ailleurs. Si vous devez mourir , Mourrez l'arme a la main mes frères !

A peine qu'il eu terminé sa phrase, sa panthère galvanisa les hommes de Marcus d'un rugissement qui fit frémir même Marcus.

-Pour Marcus !

-Pour Eralyx !

-Pour l'ordre !


Chacun apportaient sont lots de paroles. Ils étaient libre de dire ce qu'ils voulaient avant de partir au combat. Après tous, même Marcus senti le long frisson qui passa dans son dos sous son armure a chaque mot que ses hommes exclamaient.
Il était temps de faire la guerre.

***

Le bruit du métal qui s'entrechoquait remonta dans l'esprit de Marcus. Il était installé confortablement devant un feu. Éloigné du sentier que devrait emprunté la caravane de Gahrr, le guerrier était seul avec sa panthère. Comme toujours, Dilios fut le premier a le rejoindre. Son cheval était attaché a un arbre près du feu et celui-ci était entrain de lui donner un peu d'avoine. De son côté, Marcus lança un peu de bois morts dans le feu qui, crépitait et laissa une douce chaleur percuté le forgeron qui réfléchissait a mille et un plan pour attaquer le convois de son future allié. Il pensa au nombre d'homme, leurs armements et disposition. S'ils étaient légèrement expérimenté, ils allaient placé leur campement de façon a être bien positionner pour ne pas se faire coincé et entouré. Sinon, la prise ne sera pas trop dure, faudra simplement s'assurer qu'aucun archer ou bretter se cache pour les prendre par surprises.
Le climat doux était parfais. La chaleur étouffante laissait place a de petites brise apaisante tendit que cela changeait de la chaleur mortel des déserts des Colonnes d'Ébreus.
Il restait deux jours, et ses hommes étaient en chemin. Deux jours et la caravane allait passer par ici. Deux jours et il allait rendre la liberté a un homme qui l'avait sacrifié pour sa famille. Marcus se surpris a sourire en repensant a cela. Quand on lui appris pourquoi le Zélos avait fait cela, son coeur s'emballa et il sa conscience ne lui dictait une chose. Se rendre au près de lui pour lui rendre ce qu'il avait lui même troqué. Il avait formé son ordre pour aider ceux qui le méritait. Rare était les contrats malsains qu'il acceptait. Quand il les acceptait, il faisait payer chère et il devenait malade durant quelques jours a y repenser. Ses Sans-Visages eux ne semblait pas s’embêter avec ça mais c'était eux qui géraient eux même leurs contrats. Marcus passait rarement au peigne fin pour vérifié qu'ils ne chute pas le vide mais tout semblait correct. Après tout, il avait confié les postes importants aux bonnes personnes. Son préférer restait Kadvael. Malgré son attitude, Marcus ne pouvait s’empêcher de l'apprécier pour son bon travail. C'était même lui qui appliqua la marque au fer rouge sur ses côtes.
Sortant de sa torpeur, Dilios était de retour.

-Demain, très tôt nos frères devraient nous rejoindre. Dit il alors qu'il s'amusa avec une brindille dans le feu.

Hochant de la tête, Marcus souffla en regardant le ciel, se laissant chuté vers l'arrière en posant sa tête sur ses bras. Ne disant rien, il fixa son casque et s'endormis rapidement. Un sommeil fort et rapide.

***

Alors que la nuit était a son plein, Marcus et ses hommes c'était équipé et ce déplaçaient lentement. Le vent c'était levé ce qui couvrait le léger bruit de leurs armures alors qu'ils avançait vers l'aclove rocheuse ou le feu de camp brûlait. Marcus ordonna a ses hommes de se dispersé en demi cercle, et de lancer leurs lances a son signale. Le chef de guerre ignorait combien de garde était disposé au tour du campement. C'était pourquoi il avait ordonné a cinq des siens de ne pas intervenir immédiatement dans le combat. Alors que les onze guerriers approchaient, Marcus n'avait pas pris de lance puisqu'il était guère un bon lanceur. Il c'était pratiqué mais avec sa force, soit il lançait trop haut, soit trop fort et manquait cruellement de précision.
Au tour du feu, 2 gardes étaient présent tendit que 3 autres au alentour a surveiller. Avec sa panthère, Marcus se laissa guidé par elle et dans un sifflement, cinq lances vola dans l'obscurité pour allé se figé dans trois des cibles visé. Un crie d'alerte fut crié et les hurlements de terreur et d'alerte résonnait contre la roche derrière eux. Avec leurs boucliers, les Dolofonos surgis leurs glaives de leurs fourreaux et les dix forma un demi cercle de bouclier. De son côté, Marcus entendit le rugissement faible de sa panthère et au loin, une démarche agile s’avança vers lui. D'un mouvement lent il dicta a sa panthère de ne pas bouger et son arme a deux mains surgie de son dos. Cet adversaire était pour lui.
Elle feinta sur la gauche pour frappa en diagonal sur Marcus. Levant la garde de son arme, le forgeron bloqua en la repoussant, ce qui fit que la faire revenir en plongeant en estoc. La pointe de son sabre percuta son plastron et surpris, Marcus secoua la tête.

*Ressaisi toi bon sang ! *

Il frappa a son tour , faisant un rapide tour sur lui même, pas assez pour son ennemis qui ne fit que s'abaissé pour frapper derrière le genoux de Marcus, qui le fit fléchir ou la pointe du sabre toucha a nouveau son plastron. Son adversaire était agile, très agile. Durant se temps, ses hommes était regroupé en cercle et une recrue avait été blessé a la cuisse. D'autres mercenaires avaient surgie de l'obscurité mais pour les vétérans, c'était un amusement. Pour les recrus c'était un défis de taille mais l'entrainement au retour allait être sévère pour celui qui n'avait pas assuré son rôle pour la blessure de son compagnon de droite. Revenant a son combat, Marcus pris une grande respiration et il entra dans une danse rapide, très rapide. Surprenant son ennemis qui se sentait trop confiance suite a ses deux touches sur le plastron du forgeron fut immédiatement surprise par les coups qui suivi. Le panache de son casque balaya l'air de droite a gauche, tendit que son adversaire dansait et se bougeait avec agilité et grâce pour éviter les coups d'épée a deux mains qui venait du forgeron. Son armure le ralentissait en partie puisque ses épaulettes bloquaient son mouvement mais, cela était mieux puisqu'il bénéficiait d'une protection supérieur qui faisait son oeuvre alors que l'âge avait fait chuté sa vitesse au combat.
La danse entre la guerrière et le forgeron dura. Après plusieurs coups échanger, elle n'avait pas réussi a touché Marcus a nouveau mais le forgeron était essoufflé, l'age faisait effet tendit qu'elle semblait encore en pleine forme.
Bientôt les hurlements et le bruit de combat cessa d'un coup et le duo ce fit encerclé par 14 Dolofonos en arme. La guerrière repris position et regarda au tour d'elle sans lacher son arme.

-Ne faite rien frères. L'ordre était clair, personne ne bougea.

Elle fonca a nouveau frappa par coups rapide a différent endroit. Marcus se servie de la longueur de sa lame pour bloquer les coups rapides, gardant son arme près de son corps. Le premier sang coula pour la femme alors qu'elle entailla le biceps de Marcus. Pouvant entendre un léger rire de satisfaction, Marcus plongea avec un puissant coup d'estoc que son adversaire tenta de bloquer mais qui la surpris totalement, la force la fit presque perdre son arme alors que la pointe de son épée entailla son épaule. Recula stupéfait par la force que le forgeron exerça avec son arme, elle plongea a son tour tentant de se collé le plus a Marcus pour annulé l'allonge de son arme. Saisissant trop tard son intention, Marcus frappa de haut en bas, se collant a son tour pour lâcher son arme dangereusement et saisir les deux poignet de son adversaire.

-Sa suffit, arrête je ne veux pas te tuer. La voix de Marcus était sincère et posé. Aucune agressivité n'était présente, simplement l'envie d'épargné une vie dans un combat incessant ou chacun avait leurs forces mais qui durerais des heurs.

La guerrière libéra sa poignet et plaqua la pointe de son sabre sur la gorge de Marcus.

-Va s'y, fait le. Mais sache que si tu le fait, quatorze guerriers vont te planté une lances dans le corps, tous sa pour rien.

Repoussant la point de son sabre , il s'écarta d'elle et il fit signe a ses hommes de le suivre. Après quelques mètres, elle était toujours la a le regarder, sa main tremblait. Il ignorait si c'était de peur ou de colère mais il était inutile qu'il y aille plus de mort cette nuit.
Arrivé au chariot, les Dolofonos se regroupa en une ligne bien droite. Voyant qu'il manquait un, il remarqua le corps plus loin. Couché sur le bouclier, lance sur son corps, c'Était celui qui avait été blessé a la cuisse.

-N'oublier pas son corps ici. Je veux qu'il soit ramener avec nous.

Ce retournant vers la caravane, il s'approcha en détachant sa jugulaire et retirant son casque. Son front était en sueur et il avait chaud. Le vent frais qui passa dans le moment fit du bien a Marcus.

-Gahrr ? Il est temps de partir. Si tu le souhaite toujours mon ami.

Le Marcus essoufflé semblait avoir rajeunis avec cette petite danse contre celle qui avait disparu quelques mètre plus loin. Simplement installé assis sur un rocher, son sabre sur les genoux regardant les cadavres de mercenaires morts au tour du chariot.
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MessageSujet: Re: [RP Achevé] Chaînes rouillées    [RP Achevé] Chaînes rouillées  Icon_minitimeVen 25 Avr - 9:07

La silhouette étirée se dressant dans la semi-obscurité, prodiguée par les rayons blafards d'une lune timide, disputée par de fins nuages d'une obscure nuance, s'élance dans la nuit. Ses oreilles affûtées ont perçu quelque chose, il est clair.
Bien vite, elle disparaît de sa vue. Gahrr grimace de déconvenue. Certes il sent en permanence une sourde irritation à l'encontre de la sentinelle mais il ne peut pour autant accepter la fuite de l'objet de sa contemplation. Inexplicablement, il se sent attiré par elle.  

Ceci étant, le Zélos demeure aux aguets. Il se redresse, se masse les cuisses afin de faire circuler le sang dans ses muscles et écoute. Il tend l'oreille comme jamais, tâchant de percevoir le moindre bruissement. Une légère brise balaye les quelques touffes d'herbes alentour et autres buissons. Le mercenaire-tisonneur murmure quelques paroles inintelligibles tandis que ses pairs roupillent ci et là, mêlant aux bruits ambiants leurs souffles et soupirs, parfois un ronflement, rarement un mot ou deux. Quelques créatures nocturnes semblent s'affairer dans les environs. Il entend grattouiller quelque-part. L'humble foyer rougeoyant ronfle paresseusement. Il crépite. Il siffle aussi. D'ailleurs, depuis quelques secondes, un long sifflement aigu s'en dégage, prémisse de l'éclatement d'une bulle concentrée en résine. Il ne s'est pas trompé. Dans le feu éclate la bulle, en un crépitement sonore.

Au même moment, la féline au regard d'acier surgit dans la lumière orangée du feu, une expression alarmée figée sur le faciès, alors que cinq lances semblent jaillir de la noirceur environnante pour fendre l'air, la chair et les os. Dans un craquement sinistre, elles s'enfoncent dans le thorax de leurs cibles, faisant jaillir le sang en de furieuses gerbes grenat. Gahrrulfdor, d'abord sonné par le brutal contraste entre le calme de tantôt et la violence et la rapidité de la mort de ses convoyeurs, bondit néanmoins sur ses lourdes jambes. Il passe par-dessus le feu, empoigne le tisonneur, resté bouche bée par la soudaineté de l'assaut et lui assène un violent coup de tête. Le mercenaire tombe, raide inanimé.
Gahrr enjambe le corps, et avec de grandes foulées, rejoint le petit paquetage comprenant ses lames et ses effets personnels. Lorsqu'il se retourne, lames aux flancs, le Capé de rouge est là. Ses guerriers également. Et alors que ces derniers, plus ou moins regroupés, s'occupent des mercenaires restants, leur chef croise le fer avec Regard d'acier. Sa mâchoire se crispe. Ses yeux restent fixés sur l'affrontement, sur les manières de la femelle Terran, sa grâce au combat. Son jeu de jambes est efficace, elle use de tous ses muscles afin de se rétracter pour mieux bondir, ses cheveux virevoltent, reflétant, par moments, les chatoiements rougeâtres du foyer encore vivace.

Elle dispose d'un net avantage de vitesse tandis que le Capé, plus lourd mais également plus fort, a pour lui une puissance sans doute bien supérieure. Maniant ses deux lames courtes avec dextérité, plongeant, esquivant, poignardant, la féline arrive par deux fois à toucher le plastron de son adversaire. Ce dernier semble finalement réagir, ajustant sa tactique à son opposante, preuve de son expérience apparente, et l'ascendant de la mercenaire prend fin. Alentour, les guerriers s'arrêtent pour observer l'affrontement, alors que les derniers mercenaires sont enfin défaits. Le Capé hurle ses ordres : la femme est à lui. Gahrr laisse un léger grognement s'échapper, un peu malgré lui, tout en suivant la suite des événements. Quelques passes plus tard, chacun arborent une plaie. L'homme au biceps, la femme à l'épaule. Trépignant dans son coin, le Zélos observe alors un fait étrange. Son « sauveur » énonce une phrase, plus bas que son injonction de tantôt, certainement à l'attention de la Féline. Puis une autre. Le combat semble s'achever sur des mots tandis que Marcus laisse ouvertement son adversaire prendre le dessus, au risque de sa vie. Gahrrulfdor ne comprend pas cette soudaine soumission, cet abandon. Le Capé aurait-il pitié de cette femme ? Serait-il davantage qu'un guerrier ? Ou simplement aurait-il crainte de voir le combat s'éterniser et tourner à l'avantage de Regard d'acier ?
Quoi qu'il en soit, cette dernière écarte sa lame de sa gorge et le Capé tourne les talons la laissant seule, défaite d'une curieuse manière. Gahrr l'observe, attentivement. Ses traits tremblent sensiblement. Est-ce dû à sa défaite ou bien n'est-ce là que le jeu des ombres et reflets des lieux ? Il ne sait. Elle tourne alors son regard vers lui, le toisant d'un air morne. Le Zélos soutient distraitement son insistance, quelques longues secondes durant avant de secouer brièvement la tête, chassant une quelconque trace de l'admiration qui aurait pu se transcrire sur ses traits. Elle le fixe, encore et c'est bien malgré lui, que, poussé par la crainte plus que par la colère, Gahrr s'avance vers elle. Se dressant de toute sa taille, de toute sa masse, il domine la femelle, cherchant sans doute à l'écraser sous son impressionnante envergure.


Vieux Gahrr... Tu sais ce qui m'attend, n'est-ce pas ?

La voix est plus douce que ne le laisse présager son gris et dur regard. Pas suppliante, mais timide. Le Zélos, calmé par cette docilité, hoche la tête indolemment. Il sait, en effet, ce qui attend la mercenaire lorsqu'elle rentrera, seule, de sa mission de convoyage. Si ce n'est son maître, ce seront les Cavaliers qui lui feront payer. Laisser un Fosseur prolifique s'échapper... Certes elle a pour elle la marque d'un combat, toutefois il n'est pas certain qu'elle puisse passer outre une quelconque forme de sanction. Et quand bien même elle ne serait pas directement punie par le Maître ou les Cavaliers, elle perdra sa crédibilité de mercenaire. Un mercenaire qui n'est pas bon à surveiller un seul bien, ne sert à rien. Maintenant, que lui dire ? Qu'il est désolé pour elle, qu'elle va certainement payer le fruit de son ambitieuse échappée ? Lui conseiller de quitter Phelgra ? Lui proposer de venir avec eux ? Si encore il n'avait rien à voir avec ses futures déconvenues... Mais il en est responsable.
Ne sachant pas quoi répondre, Gahrr reste simplement debout, face à elle. Après ce qu'il leur semble à tous deux un long moment, elle tourne finalement les talons sans mot dire et disparaît lentement dans la noirceur de la nuit.


-Gahrr ? Il est temps de partir. Si tu le souhaite toujours mon ami.


Derrière lui se tient le Capé. Ses hommes sont regroupés, un peu plus loin, déjà prêts à partir. Ils sont féroces, rapides et organisés. À dire vrai, Gahrr est surpris qu'une telle troupe puisse être aussi efficace, lui qui n'a jamais combattu que seul. Néanmoins, l'un des leurs semble touché, peut-être même mort.

Humpf.

Le Zélos ne trouve rien d'autre à dire. Il songe encore à Regard d'acier. Pensivement, il regarde son libérateur s'asseoir sur une saillie rocheuse et scruter les corps étendus à terre.

Pourquoi l'avoir épargnée ? Elle sait que votre... groupe... a libéré un Fosseur précieux. Ça ne vous inquiète pas ? Les Cavaliers auraient pu avoir des soupçons, avec ce qu'il s'est passé à Thémisto, mais là, ils en seront sûrs.

Après quelques secondes d'un silence retrouvé, Gahrr ajoute à demi-mot :

Elle se battait bien... Et elle n'a plus d'avenir ici.

Passant sa main dans ses favoris hirsutes, le Zélos pense à la manière de le dire. Prétendre qu'il aimerait qu'elle les accompagne serait mentir... plus ou moins ; dire qu'il se sent coupable pour elle serait révéler une faiblesse qu'il ne se plaît pas à afficher. Toutefois quelque chose l'empêche de la laisser partir.
Se raclant la gorge en un bruit gras, Gahrrulfdor porte sa dextre à son flanc, tâtant le pommeau en croissant découpé de son épée.


Je sais que je vous ai déjà coûté. Je suis désolé. Mais... la laisser partir... Je ne sais pas où nous allons, mais nous pourrions peut-être l'emmener avec nous...
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: [RP Achevé] Chaînes rouillées    [RP Achevé] Chaînes rouillées  Icon_minitimeDim 18 Mai - 6:30

Il était la, assis contre un arbre, un arbre ou c'était assis un mercenaire qui escortait la caravane. Il ce tenait la, assis au même endroit, regardant le feu mourant crépité sous l'ajout de bois mort. Sa longue et magnifique épée a deux mains appuyer sur son épaule, le manche touchant le sol tendit que la pointe pointait vers le ciel. Le manche en ivoire sculpté, la grande garde fine en acier polie alors que la grande et large lame reflétait les lueurs de la lune mélangé a celle du feu devant lui donnait lieu a une vague réfléchissante d'une beauté sans pareil. Il avait rejoint Gahrr peu après son combat contre la guerrière et le chef de guerre avait ordonné que le camps soit monté ici. Débarrasser des corps qui avaient été posé avec respect et délicatesse les un contre les autres un peu plus loin, ils avaient alors posé une grande toile pour les camoufler et ainsi éviter d'attirer des prédateurs affamés. Un autre sujet planait au dessus d'eux. La guerrière. Gahrr évoqua son sujet durant qu'il fixait les flammes. Elle ne valait plus rien désormais. Sa réputation était fendu en deux telle une hache fendant le bois pour un feu et elle serait sans doute morte une fois son échec évoqué et par sa seule présence qui signifierait pour ses employeur qu'elle c'est sauvée comme une lâche.

-Je crois savoir ce que nous ferrons d'elle. La tuer serais une pure folie, détruire un si beau talent... La laisser partir serais de même car les Cavaliers se chargeraient d'elle. Elle pourrait intégré mes Bretteuse Dolofonos, elle ne serait pas seule femme parmi le groupe. Il respectait la femme, c'était pour cela qu'il ne l'avait pas tué, elle avait gagné son respect.

Au même moment, une énorme masse noir approcha du chef de guerre, lente mais agile, la panthère alla se caler contre son maître tendit que celui-ci passa sa main sur le museau et le crane de l'animal au yeux dorés. Il porta par la suite son regard bleuté acier sur la femme toujours assis sur le rocher, caressant sa panthère avec affection. Celle-ci répondit par de léger rugissement ressemblant a un miaulement étrange et par de grand coup de langue sur la main du guerrier forgeron. Plus loin, les Dolofonos s'activaient a préparer le campement, levant tentes mais sortant aussi quelques matériels pour préparer un léger repas pour revigoré l'estomac perturbé des guerriers qui avaient fait un long chemin en peu de temps, après tout ils le méritaient bien. Il appela Dilios.

-Fait parvenir un Aigle a Hector et dis lui que si les vents sont favorable, il aura une nouvelle danseuse parmi ses rangs.

Comprenant parfaitement ce que Marcus voulait dire, Dilios disparu plus loin dans une des nombreuses tentes et pour uniquement ressortir quelques minutes plus tard, un aigles agripper a son avant bras protéger par son brassard de métal. L'animal s'envola, un message a la patte.

-Nous partons dans le sud Gahrr, j'espère que la chaleur ne te fais pas trop souffrir ? Car il fera très chaud, mais comme tout hommes et femmes présents, tu réussira a t'adapté ou si tu le souhaite tu pourra quitté si l'ambiance ne te convient pas, après tous tu est un homme libre désormais.

Il termina sa phrase avec un léger sourire toute en prenant son arme et la poser sur ses cuisses. Dire qu'il avait forgé cette arme avec la lame qui la abandonner lors de la défense de sa maison et qui avait coûté la vie a sa femme il y'a bien des années. Détachant la jugulaire de son casque, Marcus le posa près de lui, laissant le léger vent planer sur le long panache noir qui ornais le casque, dernier vestige de son ancienne carrière militaire et puis, il reposa son regard sur son arme.

-Elle est belle n'est pas ? Je n'aurais jamais cru pensé que l'objet qui ma apporté bien des malheurs et de la souffrance puisse devenir l'un des objets que je bénis le plus.

Dans ses paroles, le guerrier leva la tête vers le ciel, tripotant son menton recouvert de poile noir mélangé au gris et il souffla fortement. L'âge est bien cruel envers moi Gahrr...

-Bien, une tente a été monté pour toi mon ami si tu souhaite te reposé elle est a ta disposition et tu sera seul. Si tu le souhaite il doit y avoir de la place pour la guerrière si tu ne souhaite pas la laisser seule la bas. Le repos attend mon vieux corps fatigué.

Sans rien dire de plus, il se leva en grognant, prenant son épée et son casque avant de partir vers sa tente, ou plusieurs Dolofonos dormaient déjà, tête sur leurs boucliers, couché sur une paillasse légère. Il les avaient éduqué a ce qu'ils se contentent que du strict et Marcus n'était pas épargné. Il laissai le Zélos seul, avec quelques lancier Dolofonos qui surveillait les environs, boucliers reposés sur leurs épaules.
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