Ivresse philosophique [terminé]

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_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
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_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

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 Ivresse philosophique [terminé]

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MessageSujet: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeMer 19 Nov - 22:09


    Digne, droit, puissant et plein d’un entrain certain Brom levait son verre en hurlant quelque chose que tout habituer de taverne comprendra surement sans le moindre souci, et comprendra toujours même dans un état d’ébriété avancer, le petit détaille qui fait que le sourire de n’importe quel être assis ce soir et même de celui derrière le barre revient mystérieusement :“C’est ma tournée !”Pourquoi tant de cœur ? Car l’ont ne remet pas ici en doute la bonté et la générosité du colosse qui garde à jamais ses airs de terreur et de monstre de puissance –monstre tout cours c’est plus véridique- mais un affaire avait été posé, bonne ou mauvaise, qu’importe madame le maire venant de quitter les lieux il est toujours bon de voir le bon coté des choses et de tirer une pinte ou deux de ce réservoir rempli d’urine et de quelques bulles. Car la taverne n’a rien d’une brasserie et on s’étonne facilement de voir un si grand homme dans un de ses cloaques –ou pas-, l’odeur y est prenant –Celle de Brom aussi-, la fumée suave et désagréable colle au plafond –Brom lui tient juste-, le bruahaha y est pour le moins infernal et les gens peu fréquentable –Brom non plus … Mais qu’importe les tables couvertes de saletés et les chaises branlantes, le vieux forgerons est rester à sa table seul et les coudes posés sur la crasse que le coup de chiffon tout aussi couvert de suif n’as pas suffit à enlever, il attend que la serveuse fasse passer les choppes aux soiffards avant de lui glisser quelques pièces dans la main et de lui demander de sortir quelque chose de vrai pour sa table car cette boisson commence à l’agacé. Ou du moins c‘est ainsi que la chose, des plus simple aurait dut se passé. Pourtant la première fois –et la seconde- en voyant le geste du forgeron dont la tête est enfouie dans la pénombre du plafond, la serveuse excisa un crie qui fit rire toute la salle et ce n’est qu’au bout du troisième passage qu’en rassemblant un semblant de délicatesse, qui ne lui ai pas courant, que la main de Bor réussit à se faire comprendre sans provoquer peur ou émois. Ou du moins pas de façon tel à ce que la fuite fusse la seule issue de la pauvre demoiselle devant quelque chose dont elle ne soupçonne pas la grandeur.Au bout de quelques instant il a donc, pour sa table vierge de tout autre occupant que sa masse herculéenne qui repose en équilibre sur un banc soutenu par deux chaises posées là pour pas que ce dernier ne plie sous sa grandeur –J’ai rien besoin de rajouté tellement c’est ridicule-, deux brocs de bières et quelques bouteilles d’alcool plus masculin et puissant sans oublié un poulet entier dont une cuisse craque brutalement entre les doigts de l’homme.C’est donc, alors qu’il se repait avec dignité –c’est-à-dire avec du gras qui coule sur sa barbe et des morceaux entre les dents- et une certaine dose alcool que son aura terrifiante semble perdre de son effet.


Dernière édition par Brom Ode'Bahalmarche le Jeu 3 Sep - 15:33, édité 1 fois
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeVen 21 Nov - 4:05

S’il y avait des Dieux qui veillaient sur le monde, ceux-ci avait une fois de plus su se montrer généreux envers notre baroudeur, lui offrant un jour de plus à sa misérable vie. Un jour de plus équivalait à un autre pas vers la rédemption de son âme… ou du moins c’est ce que certains lui diraient sans doute. Était-ce là la véritablement motivation derrière le changement de profession de celui-ci ? Est-ce que sa décision d’entreprendre un chemin différent de celui-ci qui semblait lui avoir été prédestiné lors des jours plus jeunes possédait comme motivation le désir d’être pardonné pour ses actions antérieures ? Il y avait sans doute une partie de son être qui désirait devenir un homme meilleure, d’être un peu plus juste, mais peu importe les choix qu’il allait faire durant les jours futures, il n’allait jamais lui être possible de renier sa nature. Jamais il ne pourra devenir un saint, sa présence en cette taverne est sans doute l’un des plus grands signe démontrant cette impossibilité. Une autre pinte était levée, dépassant petit à petit les gains de jours récents. Recherchait-il dans le font de la pinte un peu de réconfort à chaque gorgées qu’il avalait, ou peut-être des réponses si l’alcool était capable de lui porter conseil. Cette boisson n’était jamais bien réputé afin d’être la graine qui sème le fruit des sages décisions, mais qui sait, avec un peu de chance cela pourrait bien changer, non ?

Dans ce trou misérable, notre protagoniste un peu amoché après quelques bagarres durant les jours précédents ne semblait cependant point être triste. Non, son visage n’affichait aucune expression morose, à vrai dire celui-ci affichait un léger sourire en coin. Décapuchonné, il affichait son visage à ses confrères de buverie tout en levant sa pinte pour faire un toast à il ne savait jamais trop quoi. Le fait d’être là, d’être en vie peut-être… qui sait vraiment. Pour être tout à fait franc, que très peu d’hommes et de femmes en ce misérable semblait être malheureux en ce moment. Les âmes un peu plus malheureuses s’étaient peu à peu assoupies, dormant presque un verre en main et marmonnant leurs malheurs de façon incompréhensible. Parfois il s’agissait simplement d’une question de dialectes, mais généralement le dialecte parlé était celui-ci de l’ivrogne, une langue très commune dans toutes les tavernes du monde. Notre baroudeur ne pouvait pas trop les blâmer, lui-même avait parlé cette langue à quelque reprises ici et là, mais aujourd’hui sa langue d’alcoolique possédait l’accent de la bonne humeur. Il faisait partie du brouhaha ambiant, s’exprimant occasionnellement haut et fort tout en répondant aux chansons d’un voisin!

Certains diraient que toute cette joie est qu’un masque, qu’il ne fait que temporairement nier la réalité qui l’entoure… mais n’est-ce pas là le but même de boire ainsi ? Boire à en oublier le monde, à oublier les drames d’hier et les soucis de demain ? L’alcool, cela n’était certes pas un remède aux grands poisons de la vie, mais au moins ça aidait à moins avoir mal durant un moment, un pansement sur le cœur en attendant que le temps soigne le tout. Il possédait comme tous en ce lieu sa dose de bon moment et ses tragédies. La vie qu’il menait était loin d’être une fantaisie, un poème épique où le héros est plus fort que tout. Non, sa vie, elle connaissait des hauts et des bas, elle n’était bien différente que celle de la plupart des gens qui se trouvait en ce taudis. Il ne cherchait pas à oublier, car il était bien conscient que tôt ou tard tout finis par rattraper un homme. Qui sait, peut-être qu’un jour il sera lui-même le gibier pour un autre comme lui… qui sait… mais là le cœur n’était point aux idées sombres ! Surtout pas avec la bonne nouvelle qui venait de faire écho dans la taverne !

‘’C’est m’a tournée!’’ Avait-il un haut et fort un colosse !

Voilà des belles paroles qui étaient toujours apprécié dans un tel endroit. La générosité d’un compagnon, voilà une bonne raison de lever sa pinte tout haut vers les cieux et de crier, tous en chœurs afin de démontrer l’appréciation pour le bon samaritain. Suivant l’offre du généreux inconnu, prenant la pinte qui allait être sur le bras de celui-ci, notre baroudeur posa son regard sur le généreux personnage. Un homme bien généreux, certes, mais aussi bien seul semblerait-il. Sa table était vide de compagnon de buverie, une triste image dans un portrait si enchantant. C’est donc pinte en main qu’il se faufilait à travers la masse d’heureux gens habitant l’endroit. Évident quelques êtres maladroit, saluant au passage quelques vagues connaissances avant de se retrouver face à l’inconnu qui avait vidée un peu plus sa bourse afin d’apporter un peu de joie dans le cœur de tous ! Notre baroudeur poussa d’abord une chaise afin de prendre sa place, puis déposa vigoureusement sa pinte qui se vidait déjà que trop rapidement sur la table.

‘’Te voilà bien généreux l’ami, quelque chose à célébrer’’ dit alors notre protagoniste tout en démontrant d’un geste de la main le fait évident qu’autour de l’inconnu il n’y avait personne.

Pourquoi payer la tournée ? Généralement les gens qui font cela sont bien heureux et cherche à partager leur bonheur avec les autres, mêmes les inconnues. Cependant, celui-ci semblait bien seul, sans bonne compagnie afin de célébrer quoi que ce soit. Avec un peu de chance, il allait connaitre la raison pour laquelle celui-ci avait fait preuve d’une telle générosité… sinon il lui aurait tout simplement porter un peu compagnie durant un moment de la soirée.
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeVen 21 Nov - 20:40

    D’un geste de la main il écarte la question tout en tendant tel une lame et le sourire au lèvre une cuisse de poulet rôtie couverte d’huile et de sauce surement pour caché le fait que la viande, rancie par le temps aurait un gout poussant à ne pas la consommé. Mais la sauce, le mélange d’épice et de vin, la douceur suave de ce sucre qui a fondu apporté par les alcools courbé doucement sur la force d’un condiment qui se perd dans un autre pour finir par une note de girofle si souvent utilisé pour ce genre de chose ne trompe pas, l’odeur est bonne et la lame que l’homme porte, d’un geste de poignet tournoie et redevient ce qu’elle est une cuisse de poulet, belle et aussi grasse que la main qui la propose cachant ce sourire bien heureux. En faite, l’exploit vient plutôt de l’agilité de ses mains trop grandes pour l’objet et de cette huile qui semble vouloir perler pour que personne, jamais ne puisse tenir l’objet sans qu’il ne s’échappe.

    “Tient prend l’ami, prend et assez toi, vient tâter de vrai alcool, de chose forte et puissante, de quelque chose qui rabote le fond de la gorge et fait vivre les vrais hommes comme il doit plutôt que de posé des questions bêtes.

    Mais je vais te dire mon secret, quand tu fais deux têtes de plus que n’importe quel homme ici, que tu dépasse la largeur d’un zélos et que n’importe quel chaise craque sous ton propre poids personne ne vient à ta table avant d’avoir débité une bonne bouteille, pour la simple raison que le simple visage d’un vieux forgerons fait peur, alors quand comme moi il a quelques écailles sur les bras et qu’il se parle à lui-même, il faut être fou, imbécile, ivre ou dans le besoin pour partager une tel table. Qu’en penses-tu ? Et surtout dans quel catégorie te classe-tu ?”


    Car le noble forgerons était pour le moins non avenant, et lorsqu’il, vide rapidement son verre et le remplit à nouveau d’alcool fort d’une des bouteilles qui trône sur la table le baroudeur peux voir de plus près la main du géant. Elle faite pour tenir le marteau et des barres de métal hurlants sous la chaleur, des charges monstrueuses et des armes lourdes, mais en aucun cas des verres ou des petits objets. De plus en observant plus sérieusement on peux voir sa vraie nature, quelques écailles semblent vouloir percer sous la peau tanné et rendu dure par les travaux manuels. Pourtant ses cheveux ne sont pas blanc comme ont pourrais s’y attendre, mais l’odeur du travail laisse supposé plus qu’une teinture.

    Qu’importe les détailles toujours avec son sourire qui rend son visage –acceptable, le mon que tu cherche est acceptable- agréable –presque-, il pose le verre devant l’homme et commence à attaquer la carcasse du poulet. Mais avant ça, ou plutôt entre deux bouché il continu sa discutions fort peu interrompue par cette manœuvre :


    “Et vous, que venez vous faire dans ce troue ? Vous me semblez trop bien pensant pour les hommes de ce coin perdu, je doute que vous soyez là à demeure et que ce soit votre coin de détente favori, au moins choisissez en une où la pinte mérite son prix et se boit pour autre chose qu’essayer d’y trouver du gout dans l’eau.

    Quoi qu’il en soit, comme vous êtes le premier courageux qui n’avez pas d’affaire à réglé avec moi servez vous, tapez là dedans sans souci et faite vous plaisir vous me rembourserez en conversation, l’affaire que j’ai conclu il y a quelques minutes vos bien plus que ces quelques boissons et l’odeur qui se profile à l’horizon me fait dire que j’aurais bientôt assez d’argent pour en offrir d’autres bien plus agréable …”

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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeLun 1 Déc - 2:14

Ah les tavernes! Existe-il en ce monde un meilleur endroit afin de faire la rencontre de parfaits étrangers ? Sans doute, mais pour les rats du bas monde, les tavernes sont les endroits de rencontre idéal. Dans un tel trou, où de nombreuses âmes misérables sont venues d'ici et de loin afin de trouver un peu de bonheur dans le fond d'une pinte, n'est-il pas naturel de souhaiter connaître un peu plus le généreux personnage n’ayant fait don de sa bourse pour une tournée? N'est-ce pas là la bonne chose à faire ? D'aller personnellement remercier le bon samaritain devrait être, pour tout homme possédant un peu d'appréciation réel, la chose logique à faire, n'est-ce pas? Enfin, dans un tel endroit, les gens bien éduqués sont sans doute plus rare qu'ailleurs. Notre baroudeur même est loin d'être le personnage le plus courtois de ce monde et c'est sans doute le bonheur du moment en harmonie avec l'alcool qui avait fait en sorte qu’en ce moment celui-ci s’était approché de la table vide du géant afin de le remercier. Certes, les premiers mots qui avaient sorties de sa bouches ne sonnaient pas nécessairement comme les plus fleuris remerciements, mais si c’était ça qu’une personne cherchait ici, cette dite personne s’était de toute évidence tromper d’endroit c’est assuré!

Le corps et l’esprit légèrement engourdi par les précédentes pintes avalées l’une à la suite de l’autre avait rendu notre rustre un peu plus agréable qu’à son habitude. Ayant pris place devant le colosse, alors qu’il attendait la prompte réplique de son nouveau compagnon de beuverie, notre blondinet avala une autre gorgée du miraculeux liquide. Oui, l’alcool est une chose miraculeuse, elle réchauffe le cœur des voyageurs venu de loin après un long une tournée, fait en sorte qu’un tas de charmante et moins charmante personnes se rassemble et socialise. Bien entendu, elle est aussi à l’occasion l’huile qui prendra en feu pour une bonne bagarre… c’est là l’autre côté de la pièce, comme quoi rien n’est parfait, même pas l’alcool ! Cependant, malgré ses défauts, notre chasseur de primes l’apprécie. Une pinte est une bonne amie durant un moment, elle ne le juge pas et une fois qu’il a fini d’elle, elle ne sera pas en colère contre notre protagoniste s’il en prend une autre ou plus. Oui, l’alcool est une bonne maitresse, elle n’est pas jalouse, elle ne se lamente jamais, mais elle est aussi une maitresse dangereuse, abusé d’elle et vous risquer la gueule de bois au matin – une conséquence commune, mais qui n’est pas la pire. Enfin, là n’était le temps de songer aux tourments des lendemains de veilles, mieux valait porter une oreille a la réplique du colosse !

Aux paroles de celui-ci, il semblait être un personnage fort charmant cet étranger! À ses mots, notre baroudeur n’avait pu s’empêcher d’afficher un petit sourire amusé à ses lèvres. Bien entendu, le visage de celui-ci affichait déjà depuis un moment une certaine joie de vivre, mais les mots de l’inconnu, dit forgeron, avait su l’amuser et l’intéresser un peu. Il est vrai que celui-ci pouvait sans doute facilement avoir peu sympathique, mais cela pouvait être aussi facilement dit à propos d’un tas de gens que notre protagoniste connaissait, sa personne étant sans doute aux yeux de certains dans cette catégorie. Un personnage bien particulier celui-là, le genre d’homme dont la compagnie était sans doute agréable lorsqu’un homme possède l’envie d’être un philosophe ivre ! Il parlait avec une certaine sagesse, une chose rare dans un tel trou pourrie et il était même du genre à poser les bonnes questions ! Quel genre d’homme était notre baroudeur ? C’était là une question qu’il se posait parfois lui-même. Enfin cela n’était que la toute première interrogation du géant, quelques autres avaient suivis. Sans doute, tous aussi justifiable que notre protagoniste alors qu’il avait approché ce dernier. Il laissa donc celui-ci terminer avant d’offrir la réplique, car c’est ainsi qu’une discussion fonctionne.

‘’Un fou, sans doute un peu… imbécile, c’est une question de point de vue… ivre, un peu plus à chaque gorgée… mais dans le besoin… ‘’ Dit-il avant de se retourner vers la masse de gens derrière sa personne, puis il ajouta ‘’je crois que tout le monde est un peu dans le besoin à sa façon…’’
Un bref moment de silence puis en se retournant à nouveau vers sa pinte, il finit par retrouver dans son champ de vision le visage de son nouvel ami a qui notre baroudeur fit un petit sourire amical

‘’Je ne sais pas quel genre d’homme je suis, sans doute le genre d’homme qui fait un peu parti du décor de ce genre de troue… sans doute. ‘’

Pui il leva sa pinte afin de porter un toast à son nouveau compagnon

‘’Si c’est les bonnes affaires que vous célébrez ce soir mon ami, alors il me fera plaisir de célébrer avec vous et de vous rembourser en conversation… ‘’

Un toast et puis une dernière gorgée afin de trinquer à peu importe ce qu’il avait à célébrer ce soir. Les bonnes affaires ? Si c’était ce que l’homme devant ses yeux avait à célébrer, qu’il en soit ainsi. Il pouvait peut être en dire autant pour sa part, mais il faut dire que dans son métier, Ridolbar avait toujours su être une ville généreuse pour les affaires. Avec son nombre grandissant de rats, un félin pourrait sans doute chasser jusqu’à la fin de ses jours. Déposant sur la table la pinte qui se vidait rapidement, notre baroudeur fit signe au barman toujours aussi grincheux de faire venir d’abord deux pintes… et puis quatre… oui quatre c’est mieux. Au rythme où elles se vidaient, mieux valait prévenir!

‘’Les prochaines, elles sont sur mon bras… car quand les affaires sont bonnes, il faut savoir les célébrer’’



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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeLun 8 Déc - 11:38

    D’un œil toujours aussi enfoncer mais rendu brumeux et volatile par les vapeurs ou simplement l’alcool il se pose sur le bras de l’homme. Plutôt correcte baroudeur au moins, aventurier plus probablement, un habituer des tavernes, mais la question que pose l’œil n’est pas là, elle est bien plus profonde, bien plus vivante, et bien plus saoul au fond. Car malgré son âme de chevalier et son corps de titan Brom peux, comme tout ceux de sa ligné, se saouler à en perdre quelques notions. Hors, il se trouve que, après avoir vidé quelques bouteilles d’eau de vie et deux trois, six, huit… un nombre de cruches de bières, même un Ode Bahalmarche se retrouve à quelques pas pressants de la lie de l’humanité, celle qui se votre avec allégresse dans le stupre et la luxure puis plonge dans l’alcool pour oublié les dernier détailles troublant que les gardes encore éveiller en cette nuit où … Car, sans vouloir jouer les chimistes, alchimistes ou grand scientifique, l’alcool est une solution. C’est un fait même si elle ne l’est pas à tout, tout en le restant tout cours.

    Mais il n’empêche la solution, à tendance à troublé les pensé comme la vue et ne parlons pas du jugement, c’est donc, fixant le bras de l’homme, qui restait simple et n’avait pour le moment aucun envie de se dédoublé, que les premières notions de la présence d’éthanol dans le circuit décisionnel et de la réflexion font leur apparition.

    “Mon cher, je doit vous avouer que je ne suis pas sur que votre bras soit assez large, j’ai l’intention de dormir ici quelques part entre la chaise et l’étage en fonction de la possibilité qu’auront mes jambes dans quelques heures et la solidité de l’escalier à supporter plusieurs quintaux … Je doute donc que votre bras, aussi fort et couvert de cicatrice soit-il convien… con … Puisse supporter ce qui vas suivre à lui seul ! Et ce malgré tout votre courage.

    Mais puisque nous somme sur se bras conté moi donc son histoire et je vais prendre une cruche en sont honneur sur ce dernier avant de repasser à ma bourse pour nourrir ma soirée de guète transfaite et de bruit sourd qui cache le brouhaha désagréable des hommes qui hurlent gaiment. Pour une raison que j’ignore il faut que l’alcool soit profondément encré en moi et commence à remplacer le sang pour que je puisse vraiment apprécier la foule et ces pleutres.”


    Il avait prononcé le dernier mot un peux fort, pour voir si des gens oserait bouger leur digne postérieur et venir lui chercher noise. Mais, si les esprits commençaient peux être à chauffer aucun n’était encore assez sou pour se mettre en face de quelqu’un qui à des bras de la taille de votre torse. Peux être une autre fois ? Car le sang chaud du noble forgeron n’était plus maintenu par la présence de Cœur qui déjà se noyait tranquillement dans l’alcool et le sourire de Brom toujours aussi présent bien que légèrement de travers. Tranquillement il ne restait plus pour veiller sur lui que toute sa grandeur et son dieu dont l’œil jovial ne le quittait jamais vraiment sans pour autant se manifester autrement qu’à travers lui.

    Pourtant, et malgré le bonheur que peux procurer la sensation de liberté que réserve l’alcool sur les géant quelque chose en lui, plus retenu par cœur attendait patiemment que les gens les esprits se chauffes sur les petites piques aimables du géant… Assez pour que l’alcool fasse le reste et la foule finisse les choses. Oui bientôt le monde serait probablement sans dessus dessous pour le plaisir de certains.

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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeJeu 18 Déc - 2:51

Une de moins et quatre à venir, ce soir les pintes descendaient comme jamais ! Le voyage jusqu’à Ridolbar avait été long pour notre baroudeur et le trajet fut bien sec, du moins en matière d’alcool, donc voilà une raison de plus de célébrer les récents succès de celui-ci en levant le coude dans son trou pourrie favoris. Cette taverne, oh il la connaissait que trop bien! Cet établissement semble avoir toujours été là, selon ses souvenirs. Certes, lors de sa jeunesse elle appartenait au paternel du propriétaire actuel faisant de celle-ci une charmante entreprise familiale ! Chaque coins de cet endroit possédait son histoire, les planches anciennes qui tentait le toit au-dessus leur tête émettait le parfum historique… ou peut-être que c’était l’alcool et la crasse acculé avec le temps qui donnait cette impression, qui sait? Cela ne changeait que très peu de chose au charme de l’établissement… qui résidait sans doute plus dans les yeux de celui qui avait soif que de l’inconnue d’une noble lignée. Il fallait sans doute être un des rats de bas-fonds afin d’apprécier un endroit possédant un tel caractère. Les gens entrants dans cette taverne possédaient tous, à leur façon, des traits similaires. Un passé semblable, un mode de vie relativement identiques à celui de leur voisin… mais une chose était certaines, tous étaient unis grâce à l’alcool qui coulait à flot chaque soir, levant le coude ensemble. Les tavernes du monde étaient à leur façon tous une grande maison familiale où les membres de la dite famille échangeaient leur histoires. Comme toute famille, les querelles dans les tavernes sont des plus naturelles… une famille qui ne de dispute pas est une famille qui ne se parle pas!

Alors que notre baroudeur attendait la venue des prochaines pintes en compagnie du colosse, il continua de converser avec celui-ci qui semblait toujours en avoir long à dire. Cela n’était pas nécessairement une mauvaise chose, car il faut bien qu’un des deux parle ! Notre rustre n’étant pas exactement réputé pour être un homme bien bavard appréciait parfois la présence de personnes qui inversement à sa personne avait la parole un peu plus facile. Il connaissait très peu de chose de cet étranger qui lui avait un peu plus tôt payé une pinte, toutefois alors il allait sans doute finir par connaitre un peu mieux celui-ci après chaque pinte partagé.

Son nouveau camarade de buverie semblait mettre au défi la capacité de notre protagoniste à tenir l’alcool ? Tentait-il d’heurter l’égo de notre baroudeur ? Quel mauvaise chose de dire à un homme ayant déjà bu plus d’une pinte qu’on ne le croit point capable d’en boire une autre de plus ? Il y a toujours de la place pour une de plus, du moins jusqu’à ce que la dernière vous assomme complètement bien entendu. Ou peut-être doutait-il des fianances de notre protagoniste. Il faut dire que ce n’est pas généralement les gens les plus riches qui traînent dans un tel endroit. Mais une bonne prime sur une tête à prix fait en sorte qu’il peut bien se le permettre. De plus… les Dias gagné, il faut bien les dépenser, non ? Puisqu’il est fort probable qu’il va mourir jeune, aussi bien vivre la vie pleinement ! Il offrit alors une réplique aux paroles du géant qui se trouvait devant lui.

‘’Ah ce bras… il possède une histoire en effet, de nombreuses pintes furent levé dans les tavernes de notre monde par ce bras, mais son histoire ne se limite pas seulement au buverie… d’autres souvenir habite ce bras, certains plus jovial que d’autres c’est un fait…’’

Il se retourna donc un peu accueillant la charmante dame qui leur avait apporté les pintes commandés. Celle-ci étant une charmante Terranne, notre protagoniste ne put s’empêcher de lui offrir un sourire tout aussi charmant en l’accueillant. Il continua alors de converser avec son nouvel ami tout en sortant les quelques Dias dû pour les pintes apportés.

‘’Je ne crois pas qu’un homme possédant une certaine présence d’esprit vient dans un tel endroit sans devoir lever le coude à son tour afin de supporter…. Et n’ayez aucune crainte cher ami, je compte bien vous suivre à chaque pinte, car il les bons compagnons prêt à suivre sur cette route son rare, j’ai perdu de nombreux confrère après qu’ils aient but une pinte de trop! ‘’ Dit-il avant d’attraper la prochaine pinte. ‘’De plus, j’ai une réputation à maintenir ici!’’ ajouta-t-il jovialement !

Il prit alors une première gorgé de cette nouvelle pinte avant de la redéposer sur la table. Semblerait-il qu’il avait trouvé chez cet homme un potentiel compagnon de buverie qui n’allait pas l’abandonner après quelques pintes. Un homme de taverne un vrai! Cela est toujours agréable en une telle soirée, car boire comme il boit habituellement seul est presque triste. Parlant de chose triste, voilà que du coin de l’œil il remarqua une vieille connaissance entrer dans la taverne. Vous savez le genre de connaissance que l’on préfère ne pas mentionner, même possiblement oublier. Voilà le genre d’homme qui était entré dans la taverne. Enfin, notre baroudeur était ici afin de passer un agréable moment, de boire jusqu’à ce qu’il n’arrive plus à marcher, mieux valait tout simplement oublier l’homme qui venait d’entrer dans la taverne. Il retourna donc à son compagnon.

‘’J’espère que vous n’avez rien d’important de prévu pour l’aube, car je compte bien boire jusqu’à en oublier mon nom!’’

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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeLun 5 Jan - 14:25

    Digne et fier le colosse sourit, et, à cause de la boisson ce monstre perdait un peu du charisme de son sourire pour garder que quelques lettres qui poussent plus vers la carne.

    Car les bières vivent, disparaissent aussi vite qu’elles sont portées et discrètement se glissent dans le gosier, en grande partie, et autour de ces derniers car il est vrai que la bouche devient pâteuse à force. Et quand on parle de force on est bien obligé d’y arrivé quand les cadavres, bien que souvent mener et ramener semblent vouloir peuplé un peu partout dont le sol que le bras du titan atteint sans problème et qu’il peuple avec ce même sourire enjôleur qu’un gamin. Pourquoi ? Peux être à cause des histoires de choppes qu’ils se racontent, ou qu’elles se racontent en murmurant. Ou surement à cause de son imagination qui, pousser par l’alcool lié aux alcools forts qu’il avait commencé à siffler gaiment avant que l’homme prenne place, s’imagine déjà la serveuse tournoyant gracieusement entre les choppes dans le but de venir en servir d’autres, et qui se trouve, par mégarde propulsé sur le sol par un pas mal posé dévoilant ses charmes …

    Ses charmes, le sourire s’éteint et il regarde le sol, oui l’alcool monte, il sait déjà qu’il sera saoul et qu’il ne profitera pas de toute la mémoire de cette soirée si il continu à boire à ce rythme … Mais qu’importe à vrai dire ? Mais il sait aussi qu’il est trop vieux et trop … étonnant pour profité des charmes d’une dame sans la payé, et trop volubile, trop fou pour avoir la chance de se posé avec une des seules qui admettrait de bien vouloir se lié avec lui … Pourquoi ces questions ? Le chevalier au grand Cœur n’a pourtant pas l’alcool triste habituellement. Alors il les balaye d’un regard vers les choppes à terre et promet de profité tout de même du spectacle si la serveuse tombe, juste pour le plaisir des yeux, puis il l’aidera à se relever veillant à ce que personne n’en profite autrement que des yeux … Chaque être est digne.

    Alors qu’il relève ses yeux dont on parle temps le sourire est à nouveau sur ses lèvres et il tend le bras vers une de ces nouvelles choppes, une de ces nouvelles bières ou alcool, à vrai dire il ne sait plus vraiment à cette instant, son odorat est saturé et quelques de ses papilles commencent une douce anesthésie, certes il sentira la différence, mais il n’est pas sur de vouloir la faire avant, pas de ses yeux, juste au gout, à la sensation qui descend, prenante, vibrante, puis aux pétillements. Alors, ce fut une eau de vie, prune, mal distillé, trop le gout d’alcool, pas assez de prune, triste mais vrai. Il jette un nouveau regard sur le baroudeur, perdu dans ses pensés il n’as pas vue l’œil de ce dernier couvrir l’entré de son ami :


    -“Comme vous l’avez remarqué l’ami, je bois, je parle, mais je n’ai que ça à faire, pourtant, mon grand plaisir vient d’écouté les histoires des autres, alors, j’aimerais que vous me contiez l’une de vos histoires, triste ou gaie, pleine de sang ou de joie je prends tout mais c’est mon prix pour les bières et les verres que je vous ai offert. Racontez moi donc l’histoire de ce bras, l’histoire de ces cicatrices, l’histoire de ces pays que vous êtes le seul à avoir visité vraiment, de ces êtres que vous avez rencontré, car je ne suis qu’un forgeron et vous, vous avez vécu l’aventure, c’est à vous de parler pas à moi d’émettre des borborygmes infâmes pendant que je ne suis pas encore tout à fait prit par l’alcool, ce qui, je dois l’avoué, ne saurait tarder …”

    Il pose sur la table quelques pièces d’or payant au fur et à mesure et même plutôt d’avance, étant sur de ne pas avoir toute sa tête plus tard durant la soirée, et croyant à la possibilité de devenir avare lorsque l’alcool lui aura murmuré que le prix de la bière ici, est du vol pure et simple… C’est fou comme parfois l’alcool vous rend lucide sur les vérités de la vie et vous permet de quitté toutes ces barrières qu’impose la civilisation …

    Et ainsi lorsqu’on est droit est digne tout au fond de son âme, il arrive même que ce dernier corrompe les infimes partie de vie qui ne sont pas de pure bonté, il arrive qu’il murmure des choses, il arrive que la nature revienne à ce qu’elle fut, violente et bien plus vrai que ces basses courbettes qui ont lieu tout le temps même dans les tavernes les plus malfamé. Alors on parle de famille qui se dispute, mais ce sont plutôt d’animaux qui ne s’attardent pas sur l’importance des liens sociaux et de la survie de l’autre qu’il faudrait parlez, on dit même, au pays de Brom, que l’alcool rend vrai et fait oublié ce qui vous momifie, quelques instant le chevalier se demande quel est le vrai ce rodeur qu’il a en face de lui et si il ose, dans la vie être proche de ce vrai ? Ou si tout ses ont dit ne sont qu’aberration et que l’alcool est un vis comme le défendent certains temples … Alors, dès qu’il y a un blanc dans la conversation il pose sa question :


    “Au fait, mon cher, que pensez vous de l’alcool ?”
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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeJeu 15 Jan - 3:28

L’alcool savait attendrir notre protagoniste, ou du moins elle savait comme l’aider à oublier les petits soucis de la vie ! L’un des soucis était la personne qui venait de faire son entré il y a de cela un instant, mais aussi rapidement que cet être est apparue, l’alcool a su détourner l’attention du chasseur de primes. De plus, converser avec son compagnon de beuverie actuel était nettement plus fascinant que de revoir des vieilles connaissances de jours anciens. Oui, l’alcool savait comment s’occuper de notre cher Áedh, ce qui était une bonne chose, car il y avait en ce monde que très peu de gens prêt à s’occuper de lui ! Enfin ce n’est pas comme s’il demandait à ce qu’on s’en occupe vous savez… il était un grand garçon après tout, bien capable de se débrouiller tout seul ! Mais parfois, le fond d’une pinte possédait quelque chose de magique, de magnifique ! Et puis si le fond d’une pinte ne faisait pas l’affaire, il y avait toujours de la chaleur à trouver entre les cuisses d’une femme! Cependant, le moment présent n’était pas voué à la séduction, car aussi charmant que son compagnon pouvait être, aussi fascinant qu’il pouvait être de discuter avec celui-ci… il demeurait un ‘’il’’ ! Cette taverne ne possédait sans doute pas une quantité suffisante d’alcool afin de le faire changer d’avis sur ce point, puis même si c’était le cas, une telle consommation allait sans doute le tuer. De plus, selon l’impression que notre rustre à de son partenaire de buverie, ce dernier n’a pas l’air non plus du genre à prendre plaisir à ce genre de chose avec des gens comme notre baroudeur! Certes, les apparences pouvaient parfois être trompeuses, c’est bien entendu… mais même ivre, notre chasseur de prime était capable de juger ce genre de chose !

Levant le coude une fois de plus et puis une autre, il continuait donc de discuter avec l’inconnu. Il ne connaissait pas son nom, mais cela n’avait ici aucune importance. Dans un endroit tel que celui-ci, il est parfois préférable de ne pas posséder de nom, ou si vous en donner un… il est vaut parfois mieux qu’il soit faux, sauf si bien entendu vous ne tenez pas à votre réputation ou à votre nom. Notre baroudeur, son nom était déjà partiellement connu dans les trous du genre… ici plus que les autres, mais il faut dire qu’il est né dans ce coin merdique du monde, donc il est un peu difficile de passer pour un parfait inconnu. Les prunelles devenant de plus en plus brillante à chaque gorgé, il demeurait tout de même concentrer sur sa conversation, sur sa pinte et ignorait en partie ce qui se passait possiblement derrière. Bien entendu, ses instinct, ils étaient là… il ne pouvait pas tout ignorer, mais il savait tout de même comment faire en sorte que ça ne paraisse pas trop à travers ses gestes. Avec un peu de chance, à la prochaine pinte les instincts allaient faire la sieste pour un moment, laissant celui-ci simplement passer du bon temps.

L’homme devant lui, il buvait, il parlait et venait en ce lieu afin d’écouter les histoires ! Un vrai homme de taverne celui-ci ! Aux paroles de celui-ci, le chasseur de primes n’avait pas pu s’empêcher d’afficher un sourire amusé. Il souhaitait entendre une histoire, qu’elle soit triste… ou heureuse… peu semblait l’importer. Une histoire en échange d’une bière… voilà une offre plutôt raisonnable, non ? Des histoires… il en avait surement, mais des bonnes histoires, alors là peut être moins. Il s’agissait sans doute d’une question de point de vu à sur ce qu’est une bonne histoire. Aux mots de son compagnon, notre rustre se mit à rire avant d’offrir une réplique.

‘’Eh bien, l’ami, le forgeron… des aventures, j’en possède quelques-unes derrières moi, c’est un fait… si les mes aventures devraient toutes êtres racontés… j’en sais rien, mais si pour une bonne pinte tout ce que tu demandes c’est une histoire, alors j’en ai sans doute quelques une, pas trop flous, qui peuvent être raconté sans devoir les murmurer… laisse-moi y penser un instant… hm…’’
Il s’appuya alors le dos contre le dossier de la chaise, tenant sans pinte tout en réfléchissant et puis soudainement il dit ‘’Ah!’’ Il prit ensuite une grosse gorgée avant de replacer vivement la pinte sur la table tout en se rapprochant.

‘’Peut-être qu’il y a celle-là que je peux te raconter… c’était il y a de cela quelques années, en Moomé si je m’en souviens bien… ou peut-être en début de Tiria, je ne suis pas trop certain, enfin c’était à Mavro Limani, je visitais le couteau sanglant, charmante taverne tu devrais la visiter, ‘’dit-il tout en gesticulant avec sa main gauche

‘’II y avait ces trois marin qui semblait être là pour bien s’amuser, des type un peu comme toi et moi, quelques pintes plus tard, commençait à prendre des paris et mettre aux défis les gens. Un jeu de couteau, pourquoi pas, c’est bien raisonnable quand t’as bu nom ? Le type me met donc au défis, ayant déjà quelques pintes, pourquoi pas ! Alors il place sa main sur la table’’ À cela notre baroudeur plaça sa main sur la table

‘’Et puis il a sorti sa dague’’ d’un geste vif, il en fit de même avant de planter la pointe entre son majeur et son annulaire

‘’ Le type il commencer à plante r la dague entre ses doigts, rapidement… de gauche à droite et puis de droite à gauche… alors je me dis, bon pas mal et je peux faire aussi! T’as sans doute déjà vu ce genre de jeu’’ Le chasseur de primes commença à passer la pointe de la dague entre ces doigts l’entêtement sans quitter des yeux son interlocuteur

‘’Ce fut en à mon tour et puis le sien et ça recommence, toujours le plus rapidement possible! Et puis BAM!’’ C’était-il exclamer en plantant la dague entre son pouce et son majeur

‘’Il s’est coupé le pouce si rapidement qu’il s’est retrouver dans la pinte du Zélos à côté! Là t’as le type qui hurle de douleur et le Zélos à coté qui ne s’est pas rendu compte que sa pinte a un pouce dedans ! Il prend une gorge, s’étouffe et le recrache sur la table ! Tu peux t’imaginer qu’il n’était pas content ! Enfin ce n’a pas si mal fini que ça, on a payé une nouvelle pinte au gros, je me suis fait une nouvelle dague et j’ai même un tatouage pour me rappeler de la soirée! Depuis cette soirée là les surnomme le type neuf doigts!’’ Il termina son histoire en buvant une grosse gorgée de sa pinte, qui heureusement n’avait pas de pouce d’extra à l’intérieur!

‘’Mais toi, le forgeron, tu dois en avoir quelques histoire intéressante aussi, non?’’ L’interrogeait-il à son tour, un peu insouciant de l’attention qu’il avait pu attirer sur lui en se laissant emporter dans ses récits.
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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeMar 20 Jan - 8:50

    Posé sur le visage calme et digne du vieux forgeron le sourire jouait en fonction de l’histoire et semblait raconté son approbation envers et pour les vers que le rodeur, joyeux ou rendu joyeux par la faible proportion de sang dans son alcool échanger contre sa prochaine rasade. Le chevalier lui, jovial, ne manquait pas d’ajouter à son bien connu sourire un petit hochement de tête ou un mouvement, un accroche du regard, pour bien montré qu’il payait l’histoire mais qu’il s’y intéressait au plus au point malgré le fait que, doit-on l’avouer les hochements était moins définit ou même définitif qu’ils n’auraient dût l’être et la vie plus bancale …

    Ainsi doucement, et de part son empoisonnement à l’alcool et à la liqueur, principalement à la liqueur d’ailleurs, qui au fur et à mesure de la soirée s’affinait en gout et atteignait un raffinement hors du commun. “Drink until she’s cute” comme disent les gens de sa contré, et étonnamment, si depuis longtemps le chevalier à admis, à tord, qu’aucune demoiselle, même ivre, ne voudrais partager sa couche sans une rémunération, cela faisait aussi effet sur la finesse de la liqueur et la douceur de cette bière brassé avec les pieds et qui, au début de la soirée, en gardait un peu le gout.

    Alors quand vieux son tour, il tourne rapidement un œil, rendu torve par l’eau-de-vie, vers l’assemblé et sans attendre sur penche un peu plus sur la table qui, non préparé, se repent en craquement sinistre tant et si bien qu’il redresse sa masse titanesque de muscle et d’armure.


    “Mon ami, j’ai des histoires, des histoires de la précédente guerre, des histoires de taverne, des belles histoires et des histoires affreuses, mais j’ai assez peu d’histoire contable et je n’ai pas ta ferveur et ton habilité pour faire d’une petite histoire une histoire digne d’un skald. Je vais donc rester aux petits choses et aux ajouts sans formes et te murmuré l’histoire d’un de mes disciple :

    Ce dernier, dans les premier moi de son apprentissage de la forge, avait encore le corps d’un gringalet et l’âme pleine, c’est donc, alors qu’il rentrait chez lui pour revoir sa famille, les poches pleines de son premier salaire, chantonnant sur les routes désertes des campagnes qu’il fit une rencontre fort peu accueillantes, trois hommes, armés, et bardé, prêt à en découdre et surtout à récupéré l’argent dont ses poches avait eut le plaisir de voir la couleur.

    Lui n’avais qu’une dague, et sa chanson, sa chanson ? Pourquoi ? Pourquoi il fit ça ? Pourquoi les dieux lui on indiquer cette voix-ci ? Je n’en sais rien et lui raconte toujours sa frayeur qui le pris après, se rendant compte de sa stupidité … Mais donc, pour en revenir au noir mouton qui peuplait le ciel en ce jour là, il se mit à se parler à lui-même en déformant d’un rictus sauvage son visage gentillet le rendant méconnaissable.

    “Hoo, mais regarde, regarde qui voilà, tu sais, tu sais, ça vas être drôle, mais le monsieur de la prison, le monsieur il a dit qu’il était interdit de massacré des gens, et que je ne devais plus manger leur cœur encore, ho non, comme c’est triste, mais si ! Ho si il a dit que la légitime défense ça compte, ho oui c’est bien ça ! Ca compte ! Ca compte. Alors on joue a jeux, vous me frapper d’abord, que je saigne un peu et après je me légitime défense et je vous massacre. Puis plus je saigne plus c’est crédible alors vous, vous vous défendez !”

    Et en disant ses mots il s’avance vers ses assaillants, les bras ouverts et les yeux fous. Alors, tout de vide emplit, les imbéciles ont pris la fuite avec la dignité qu’il leur restait pour aller voir ailleurs s’ils n’avaient pas mieux à faire. Pendant ce temps là mon disciple se rendit compte de ce qu’il venait de faire et lorsqu’il me raconta son histoire il en avait encore les genoux tremblant …

    Ce n’est pas le genre de chose qui risque de m’arrivé, les hommes sont stupide et peureux, ainsi je n’ai jamais put essayer à mon tour cette technique car ceux qui s’en prennent à moi ont déjà affronté leur peur. Mais les gens de tout les jours, les imbéciles, les brigands, et je suis sur, la plus par des gens qui peuple cette taverne ne sont que des lâches qui n’ont que leur faiblesse pour détrousser ceux qui trime …”


    Il avait encore une fois regardé les hommes en jeter un regard alentour alors que sa voix de centaure, même dans un murmure, avait surement percuté les tympans de la moitié des êtres de la taverne …
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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeVen 30 Jan - 2:19

Le récit d’une aventure avait été raconté, Cette histoire, elle n’était pas une grande épopée et n’avait rien de poétique ou même de bien charmant ! C’est le genre d’histoire que l’on peut sans doute entendre mille et une fois dans les tavernes du monde, les mésaventures de l’ivresse. Oui de l’ivresse, sans philosophie, sans profondeur, tout simplement à sa forme la plus pure et la plus absurde. L’histoire d’un homme qui a tenté sa chance, qui a choisi de jouer à un jeu dangereux sans réfléchir à ce qui risquait d’arriver. Cependant, les histoires qui commencent sur un coup de tête, une idée folle à laquelle on n’a pas réfléchis sont souvent les plus divertissantes! Avec leur fin, que très rarement heureusement, ces histoires semblent avoir trouvé dans le cœur des gens une place particulière. Peut-être qu’elles font en sorte qu’on se sent un peu moins con, qu’on voit que malgré nos bêtises, il est difficile d’être un plus grand abrutis que le crétin qui c’est coupé un doigt. Il s’agit là du genre d’histoire qui nous fais rire, car oui, créature tordu que nous sommes, nous rigolons en voyant la tragédie d’autrui! Du moins, parfois… il y a des moments certes plus sombres faces auxquels nulles âmes saines en ce monde n’oseraient afficher l’ombre d’un sourire ! Toutefois, des histoires de tavernes telles que celle-ci, elles sont capable de réchauffer nos cœurs et nous aide à se sentir moins misérable malgré le manque de fortune qui nous accompagne telle une ombre. Les hommes joyeux qui visent ce genre d’endroit, est-ce que cela existe ? Sans doute… des simples d’esprits… mais toute personne possédant la moindre conscience, tout homme ayant vu le monde pour ce qu’il est ne vient pas dans un trou à rat tel que celui-ci sans raison. Il tente souvent de noyer le monde, une pinte de plus et puis les soucis nous quittent, même si ce n’est que pour qu’une nuit.

Et cette nuit, il avait raconté une histoire à son nouvel ami, compagnon de buverie, ivrogne attitré ! Il avait raconté la mésaventure d’un autre pour le plaisir de celui-ci. Une bonne histoire pour un verre, un malheur pour une autre pinte. Mais n’étant pas raconteur, il n’allait pas passer sa soirée à raconter des histoires. Non, bien au contraire, notre rustre avait toujours été du genre à préférer écouter les récits des autres… les découvrir à travers la conversation et les paroles dites. Bien entendu, parfois ce plaisir ce faisait à l’insu du raconteur alors qu’il portait l’oreille au son d’une rumeur. Un mot clef qui captait son attention, et toutes les paroles dites ensuite allaient être écouté. Cela dépendait aussi en parti de son état d’être, un esprit trop engourdis ne portait pas aussi bien attention, oubliait et cesse même de transcrire le tout dans la mémoire ! Et une histoire, oui, son cher ami en avaient sans doute à raconter. Des histoires de joies… cela il s’en doutait énormément. Il n’aurait nullement eut besoin de le mentionner… notre rustre aurait sans doute pu s’en douter. Cet homme devant le regard d’acier du baroudeur ne semblait point être l’idiot du village… donc sa présence en un tel lieu indiquait sans doute qu’il possédait une ou deux histoires où même au fond de l’abysse elles ne sont que murmurées.

Dague sur la table et pinte en main, il portait à son tour une oreille attentive à son compagnon. Il ne but nul gorgé durant le récit de celui-ci… une histoire des plus particulière il devait l’avouer. Il écoutait chaque mot du récit… une histoire qui n’appartenait point personnellement à ce dernier, mais à un être qu’il connaissait, ou qu’il avait connu… qui sait. Une fois la conclusion, le rustre fit un petit sourire en coin avant d’offrir réplique et commentaire.

‘’Des lâches… des couards… il en a partout… c’est un fait… j’en connais plus d’un, mais sans peur… il n’y a pas de courage… qui selon à qui tu parles, n’est qu’une forme de stupidité. Comme certains disent… il est impossible de vaincre sans mener le combat… ton apprenti… il est loin d’être un couard… il aurait pu chier dans son pantalon, il aurait quand même été chez les braves… il savait qu’il n’avait aucune chance, donc à quoi bon courir si ce n’est que pour mourir fatigué… ‘’

À cela, il regarda la bière dans sa pinte, le regard jovial s’était légèrement assombris.

‘’À quoi bon courir… si t’as rien à perdre… si t’as rien qui t’attend’’

Un léger silence, se laissant emporter vers d’autres songes plus sombres. Un moment, quelques secondes… quelques minutes, qui sait… il n’aurait su le dire ayant perdu un peu la notion du temps. Mais l’air misérable n’était pas pour lui ce soir, il refusait de se laisser emporter par les ténèbres. Il leva donc sa pinte, vidant celle-ci qui était plus pleine que vide d’un s’un seul levé du coude avant de la reposer vigoureusement sur la table.

‘’C’était une sacré aventure qu’il a vécu et c’est sûr… un gaillard comme toi l’ami, faudrait être un con comme moi pour venir t’emmerder ! ‘’ Dit-il en riant tout haut. ‘’ C’est sûr qu’il n’y a aucun des abrutis du coin qui viendraient venir te faire chier, du moins pas sobres et avec toute leur esprit… enfin moins que le peu habituel! ‘’

Oh il n’avait pas sa langue dans sa poche et ses paroles se faisaient sans aucun doute entendre aux tables à proximité et même au-delà pour toute oreille attentive. Il devait se douter que sur sa personne quelques regards mécontents avaient été jetés, mais il s’en foutait ! Il n’allait pas pour mentir et dire qu’en ce lieu il n’y avait que des braves gens !

‘’La plupart d’entre eux n’hésiterait pas à vendre leur mère pour sauver leur propres peau!’’

En d’autres lieux, cela aurait pu être qu’une façon de parler… mais pour certains cas ici, c’était sans doute une histoire vraie ! Peu de brave homme… de nombreux êtres fourbes, couards et mécréant de la pire espèce! Voilà ce que forge cette cité ! Il devrait le savoir, il est né ici ! Il n’est certes pas mieux, étant loin d’être un homme vertueux lui-même ! Il n’était pas sans vices et sans fautes, mais plus bas que lui, il y en avait ici !

‘’Où des gens qui vendent la tête de leur amis pour quelques Dias !’’ Dit alors une voix au loin.

Ah cette voix… que trop familière. À ces mots, notre protagoniste pencha la tête en avant et afficha un léger sourire sur ses lèvres.

‘’Car on oubli à quel point tu es noble toi ! ‘’ Continua la voix tout en s’approchant.

Il pouvait entendre les pas se rapprocher, progressivement sur le parquet de la taverne les bottes claquaient alors que silence avait envahis les lieux. Un pas et puis un autre, il progressait vers notre protagoniste avant de poser sa main sur l’épaule de celui-ci afin de tenter de le retourner. Suivant son instinct et notre rustre attrapa le bras de celui-ci le tirant en avant d’une main avant de lui plaquer le crâne contre le bois légèrement imbibé d’alcool de la table à moins d’un centimètre de la lame planté un peu plus tôt. Le ton ténébreux du baroudeur ce fit alors légèrement entendre alors qu’il dit en un murmure :

‘’Je lui avais donné une chance, malgré le fait qu’il ne s’était pas montré aussi gracieux par le passé…. Je lui ai tendu une chance… ‘’

La main de notre baroudeur écrasait le visage de l’homme contre la table… lui tenant toujours le bras, maintenant derrière le dos. En un seul mouvement de la main il pouvait le défigurer… voir même le tuer, mais il ne le fit point. L’atmosphère étaient devenu lourd… nul âme osait s’avancer.
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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeMar 24 Fév - 8:46

    Les épaules du colosse gravissent la chaise, il se redresse de toute sa hauteur et le simple mouvement fait craquer le banc, assis il fait la taille d’un homme posé sur ses deux jambes, et toise les nouveaux venues qui joue avec son compaire de beuverie …

    Enfin toise, voilà qui est vite dit car à cause de la boisson et de la concentration d’alcool son œil est vitreux et sa voix bien plus pâteuse que de part son habitude. Est-il important de signalé que sur la table gisent assez de bouteilles pour tuer les deux hommes qui l’entourait calmement en lançant juste quelques vérité à l’entourage ?

    Pour être véridique, si le vieux forgerons aurait surement put se débarrassé de son ennemi et sans souci à la place d’Aedh, il n’aurait surement pas put lui faire une clef de bras ou verrouillé une clef comme le faisait prestement le rodeur, une simple action de cette ordre et ont aurait vue les effets que peuvent avoir l’alcool sur le corps humain.
    De plus la dite action était complexe et nécessitait une rotation de la main dans le mouvement pour tiré puis verrouillé le bras … Et tout en gardant le contact, Brom, bien que maitre d’arme fut ébahie par cette maitrise.
    Et même si la dose dans l’organisme du chevalier est diluée dans une masse au moins dix fois plus important que chez la moyenne des hommes d’Istheria tailler comme des rocs, la quantité ingurgitée est elle aussi spectaculaire.

    C’est donc avec la douche légèrement anesthésier de la troisième bouteille ou vingtième bière, qu’il s’adresse aux étrangers en pleine discussion, soit dit en passant très noble et passionnante, avec son partenaire :


    -“Mes chers amis, je me doute que vous ne tenez pas à vos vie et que votre imbécilité fait passé la vengeance avant toute considération concrète, mais sachez que ce monsieur est en train de boire avec moi, ce qui signifie que si il doit se faire taper dessus il est de mon devoir de rendre coup pour coup ce qu’il prendra dans vos visages bien heureux. Est-ce à peu près claire ?”

    En disant ça il a attrapé une des larges choppes de chêne qui siégeait près de sa main, puis contractant sa poigne de fer il a fait entendre un premier craquement qui s’est appuyer sur son sourire, puis un deuxième ses yeux profond planter dans les hommes qui lui font face, enfin la choppe explose et il ouvre la main en tenant juste une écharde entre ses gros doigt, une écharde pointu et semblable à une arme. Il sourit de plus belle, un sourire plus amène à sa race, plus carnassier :

    “Un ami à moi avait une jolie phrase : Il y a deux types d’hommes, le premier, lorsqu’on leur plante une main dans la table, ils pleurent comme des gamins, des bébés, ils sont indignes d’être des hommes et doivent mourir, les second, les second ils te fixe dans les yeux, te défie de planteur un deuxième objet. Ces gens là sont des héros, il n’y a pas de place pour les héros dans une ville comme ça, les héros doivent mourir, et vous vous êtes quoi ?”

    Bougeant son pouce il laisse sortie la partie pointue de l’écharde de sa main, quelques pouce, assez pour traverser une main, puis dirige sa main au dessus de la main de l’homme qu’Aedh à figer sur la table, toujours assis sur son banc … Le temps se suspend, mais il est temps d’imposé son temps et de faire quelque chose, sinon il reprendra son cours, un cours où les yeux du veux forgeron sympathique, de l’ourson, son rouge de sang et de volonté de guerre.
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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeSam 28 Fév - 6:16

La soirée qui aurait pu être si tranquille avait pris une route bien différente depuis un moment. Non, fini la tranquillité et la douce buverie en bonne compagnie, cela n’était que chose du passé. Il avait connu le plaisir de raconter des belles histoires avec son nouvel ami de buverie, mais les anciennes connaissances ne semblent point avoir désiré laisser notre protagoniste bien tranquille. Bien entendu, ses paroles dites à hautes voix avaient sans doute pu causer un peu de provocation chez certains, le rustre ici présent est en partie à blâmer aussi pour les emmerdes qui allait lui arriver. Dans un lieu tel que celui-ci, une fois que l’alcool à su suffisamment couler il en suffit de peu afin de mettre le feu aux poudres! Une paroles mal placé, un égo blessé et BAM voilà qu’on se retrouve en plein cœur d’une mêlée ! Voilà pourquoi les trous merdiques dans ce genre n’est pas fait pour les gens faibles. Voyageurs souhaitant passer un moment tranquille sans trop de problèmes devraient être avisés de rester loin des tavernes s’ils ne croient pas être en mesure de pouvoir encaisser un crochet de la droite sur le bord de votre gueule ! Il est possible qu’il ne soit point soit pas de leur faute et qu’ils ne la mérite point, mais au cœur d’une bagarre de taverne les gens tabasses et puis questionne après.

Heureusement pour le moment le tout semble être demeuré relativement sous contrôle. Notre rustre tien en clef de bras l’abruti qui est venu foutre le bordel alors qu’il passait un bon moment. Si prêt de la lame d’une dague, un homme a souvent tendance à remettre en question la chaine de décisions qui l’ont mené jusqu’à là. L’ombre blanche n’a nullement l’intention de relâcher celui-ci avant qu’il se calme, sinon dès qu’il va lâcher prise il doit s’attendre à ce qu’il tente de lui balancer un bon coup en plein dans les dents! Bien qu’il est déjà un peu amoché, il n’a pas bien envie d’être encore plus moches, Des cicatrices sa passe, mais des dents manquantes c’est bien moins charmant.

La taverne était devenue des plus silencieuses et quelques curieux avaient déjà détourné leurs regards vers les deux hommes ayant en ce moment quelques différents. Bien que son attention fût principalement sur l’homme qu’il tenait en clef de bras, l’ombre blanche pouvait tout de même remarquer du coin de l’œil son compagnon de buverie qui ne semblait point avoir été choqué par la scène qui se déroulait sous ses yeux. Il est fort probable qu’il a vu pire et que son regard a su être déjà bien usé par ce genre de scène. Il possède un regard ancien, il a sans doute dû en voir des emmerdes! Mais ce qui avait de plus agréable n’était pas son manque de surprise, mais plutôt le fait qu’il avait gentiment prévenu les autres idiots de la bande qu’il était préférable de ne pas s’en mêler. Voilà le genre de compagnon de buverie qu’on aime bien avoir de son côté! Des gens comme ça il faut en prendre soin et ne pas hésiter à leur payer une pinte ou deux afin de leur démontrer qu’ils sont grandement appréciés. Toutefois, il allait le remercier un peu plus tard, là il devait régler le petit souci qu’il tenait sous la main.

‘’Je ne suis pas venu ici pour les emmerdes… toi et ta bande de rats vous allez nous foutre la paix ou jfais en sorte que tu ne fasses plus chier personne de façon permanente….
-Va t’faire foutre!
-Je vois…’’

D’un mouvement vigoureux notre rustre fit craquer les os dans le bras de l’homme qu’il tenait. Celui-ci ne put s’empêcher de démettre un hurlement de douleur qui sut faire réagir la masse de gens derrière eux. Certains souhaitaient s’en mêler, mais la simple silhouette du colosse de l’autre côté de la table les faisaient changer d’avis. C’est vraiment pratique d’avoir un ami comme ça qui s’occupe de régler les petits détails.

‘’Désolé, je crois que je t’ai bien compris la première fois…
-D’accord d’accord ! Merde ! Lâche-moi maintenant espèce d’enculer! ‘’

Il ne s’agissait pas d’une belle promesse ou de belles excuses, mais c’est sans doute tout ce qu’il allait obtenir de celui-ci. L’ombre blanche balança alors l’homme au loin le faisant tomber sur une chaise un peu plus loin. Deux de ses compagnons s’étaient alors immédiatement précipité afin de l’aider à se relever. L’ombre blanche tant qu’à lui retourna à sa pinte, la pris dans sa main, but un bonne gorgée et s’adressa à son compagnon de buverie.

‘’Tu pourras presque la raconter celle-là à ton prochain compagnon de beuverie l’ami’’

Oh mais s’il croyait qu’il allait être en mesure de retourner à sa pinte…. Le chasseur de primes n’était pas si con que ça, il savait bien trop que ce genre d’interaction se termine rarement ainsi. Derrière il pouvait entendre l’abrutit et sa bande de rat se rassembler, c’est à croire qu’il n’avait pas eu sa leçon et selon le brouhaha qui se faisait derrière… une seconde ronde allait venir d’ici peu…
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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeJeu 26 Mar - 14:49

    Le malotru envoyé valsé au loin le chevalier s’adossa à nouveau à sa chaise, toute trace de velléité s’était efface de son visage étonnant et son sourire était revenu autant sur ses lèvres que dans ses yeux plein de ce charme si particulier. Puis prenant sa pinte dans sa main il la vida d’une traite, lui non plus n’était pas née de la dernière pluie et il connaissait les dangers de toutes ses choses et de ses passages étonnants et détonant. Il la posa donc avec un certain fracas sur la table en bois histoire que les dernier qui ne complotait pas contre eux, qui gisait dans leur effluves et les bile, ou qui ‘avait simplement oublié de garder les yeux ouvert puissent comprendre les choses allaient venir et que tout ceux qui serait présent serait considéré comme dangereux.

    Déjà dans le fond un petit mouvement avait eut lieu et des hommes comme des femmes sortaient discrètement par la porte alors que le barman descendant le grand miroir qui trônais fièrement derrière le comptoir avec l’aide des serveuses et serveurs. Vue les protagonistes supposé qu’il n’y aurait pas de dégâts était stupide et outrageux, et pour savoir à qui faire payé les vrai dégâts se serait encore une autre histoire pleine de complications et de politique. Il fallait donc en premier lieu évité ces dernier pour les gestionnaires de la dites taverne et c’est pour ça qu’un ballais s’était rapidement mise en place pour rentré les objets, bouteilles, chaises et autres choses qui pourrait couté plus que les quelques piécettes de cuivres qui serait récupéré sur les corps des vaincu à la fermeture …

    Souriant à se ballais Brom, grand seigneur décrochât une petite bourse de sa ceinture avant de rentré les autres contre sa peau histoire qu’elle ne se perde pas en route et en combat, cela manquait certes de classe mais avait une utilité certaines : évité les pertes inutiles. Puis vérifiant qu’elle était bien fermer, il lança la petite bourse au gestionnaire de la dite taverne, sans plus de précision que cela mais suffisamment pour que l’homme la rattrape au second essaye, le clin d’œil fort peu discret suffit à lui expliqué qu’il payait sa part d’avance, n’étant pas vraiment sur de où sa finirait et n’ayant aucune envie de jouer avec la justice fort aléatoire de ce pays qu’il connaissait bien pour y avoir son temple.

    Et alors que les murmures baissait signent d’un assaut prochain il tendit son énorme pogne au baroudeur qui lui faisait face :


    “Celui qui finit conscient vérifie l’état de l’autre et met son corps au lit, tu me devras le reste de tes histoires et des bières la prochaines fois, je suis sur qu’on se reverra un jour. Ha oui, pense aussi à te tiré dès qu’on a réglé assez d’affaire, il y en a un qui est sorti dans le flux des fuyards … Je suis certain que c’est des pleutres mais ils sont surement allé chercher de l’aide. Et de l’aide pour tabasser un homme à terre ici sa se trouve à tout les coins de rue …

    Danse.”


    Il tire sur la main du baroudeur pour le mettre debout alors que le première homme s’élance vers, enfin le premier homme, la première salve d’une marré humaine constitué de plusieurs malandrins ayant une fâcheuse envie de se mettre à dos deux hommes qui buvait tranquillement. Il n’est pas question de qui à tuer qui ou pourquoi, mais bien de fêter quelque chose dignement, les gens n’ont donc aucun honneur ?

    Alors qu’il lève son compagnon de beuverie si habile malgré la cuite qu’il a prit il en profite pour renverser la table vers le flot d’humain en envoyant volé quelqu’un alors que les autres passent, sautent, et esquive en se protègent derrière un pilier de la taverne sur lequel ricoche la dite table envoyé avec la force du titan.

    Mais une fois debout le navire tangue et l’histoire se complique. En premier lieu car Brom à toujours détester la mer et les voyages en bateau, en second lieu car il n’a jamais eut le pied marin, et en dernier point car ça l’empêche de prendre de bon appuis. Il se laisse donc chuté avec une grâce toute particulière vers ces ennemis du jour se rattrapant de ses grands bras à ce qu’il peu, une tête, un corps, un visage pas trop déformé encore que sais-je. Et alors que sa masse fantasque semblait destiné à s’écrasé sur le sol peuplé d’homme posé là pour lui faire un beau cousin, il réussit à se rattrape d’un bras à quelque chose et tourne sur lui-même avant de se reposé sur ses appuis.

    Déjà il n’y a plus d’amis, plus d’ennemi, juste un flot de coup, et un craquement sinistre d’une chaise qui vient d’explosé sur son dos, et qui lui fait remonté une violente douleur vers son système nerveux fort engourdit. Ses poings se ballade, à droite et à gauche, de temps et autre et par coup de chance ils interceptent un coup et en profite pour envoyé volé le donneur de leçon, mais il n’en a pas pour très long à tenir debout dans cette histoire, car le sol tangue à nouveau…

    Des yeux il cherche un bas ou une chaise dos au mure, si il n’as pas à essayer de diriger quatre membres si disparates et seulement une façade à surveiller il s’en sortira peu être avec moins de bleu … Pourtant dans ses yeux, suite à la douleur, une lueur sombre s’éveille doucement et un croc ripe hors de ses lèvres …

    Oui il doit trouver un coin.

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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeVen 17 Avr - 4:10

La tristesse de cette soirée n’était pas dû au fait qu’une vieille connaissance avait su débarquer afin de foutre le bordel, forçant ainsi l’arrêt des bonnes histoires et beuveries, non là il n’y absolument rien de triste. Ce qui rendait cet événement des plus misérables était la fréquence de scénario fort similaire, une scène qu’il avait déjà vu et revue bien trop souvent. Avec le travail, un homme finir par ses faires quelques ennemies. Certains plus gros, certains plus petits, certains sont seul et d’autres sont nombreux, mais peu importe le résultat final est souvent le même. Toutefois, Ridolbar possédait une place particulier dans le cœur du chasseur de primes, sans doute était-ce là un peu relié au fait qu’il avait grandis dans les rues de cette cité, qu’il s’agissait de l’endroit où il avait d’abord pris la décision de changer de voie, chaque retour en ville possédait un grain de nostalgie et les vieilles connaissances avaient la bienveillance de lui remémorer les histoires du passé. Bien sûr, ils ne choisissaient pas toujours les meilleurs moments, de venir emmerder l’ombre blanche lors d’une buverie était pas exactement ce qui avait de plus brillant. Toutefois, quand on y pense vraiment fort, il n’y existe sans doute pas un moment que l’on pourrait définir comme étant idéal… sauf possiblement lorsque c’est leurs têtes qu’il vient ici chercher. Tenter d’évoquer le passé peut aider à faire en sorte que le chasseur de primes se montre un peu plus sympathique, ou il y existe la possibilité du contraire… pour ce qui était du cas actuel, il ne s’agissait pas d’une joyeuse réunion et cela le compagnon de buverie l’avait bien remarqué.

Un homme bien, du moins c’est l’impression qu’avait eu notre protagoniste par les actions de celui-ci. Il n’aurait pas pu demander mieux c’est un fait, mais autant ne pouvait pas être dit pour l’inverse. Oh certes, notre blondinet offrait les pintes, mais il avait su attirer les emmerdes pour une soirée qu’il aurait sans doute souhaitée un peu plus tranquille et festive. Toutefois, l’ami ne semblait pas vraiment afficher le désir de se débarrasser de notre rustre, car il était toujours assis à la même table. Si seulement il pouvait avoir plus d’ami ainsi, peut-être qu’ils finiraient par avoir une bonne influence sur les décisions de notre petit blond… oui ici il était petit. Son compagnon, oh il pouvait sans doute en manger deux comme notre rustre le matin! Un sacré colosse et l’ombre blanche l’avait que réellement remarqué lorsqu’il s’en était un peu plus rapproché et lors du petit incident et il devait avouer qu’il était bien heureux de l’avoir eu de son côté.

Toutefois, l’incident précédent semblait être que le début des affaires. Heureusement que cela ne semblait pas avoir su atteindre l’humeur de son ami ! D’une certaine façon, à observer le visage de celui-ci il serait possible de croire qu’il avait été assis là dans son coin toute la soirée dans l’espoir qu’un homme tel que notre baroudeur apporte une belle trainée d’embrouille avec lui. Payer une tournée alors que le chasseur de primes était dans la taverne semblait avoir fait l’affaire. Voyant la main du géant tendu vers lui, d’une poigne ferme notre rustre s’en empara avant de se faire relever du confort tout sauf royal de sa chaise. De toute façon, à y rester plus longtemps il aurait fini avec une écharde dans le cul. Répondant d’abord aux belles paroles de celui-ci avec un sourire, le rustre rétorqua alors :

‘’Ont dit que danser est bon pour la santé’’

Ici, il s’agissait d’une phrase un peu ironique puisque la danse était une belle bagarre à venir. Il n’y rien de très bien pour la santé dans ce genre d’événement, surtout pas quand la plupart des partenaires de danses aiment bien marcher sur les orteils et désir vous faire perdre la tête… littéralement perdre la tête. Les pas suivant cela avaient été plutôt rapide alors que son compagnon semblait avoir presque perdu le pied en balancer la table. Une petite vrille de la part de notre rustre, un peu moins gracieuse qu’une ballerine fit en sorte qu’il sut faire face à ceux qui venaient l’emmerder. Avec autant de grâce et d’agilité qu’il pouvait avoir, le baroudeur attrapa le collet d’un des crétins qui s’était caché derrière un pilier. Sa main droite prit un peu de recul formant un poing qui s’était ensuite déposé ô si délicatement sur la mâchoire de ce malheureux avant d’être relâché. Faisant trois pas à reculons et perdant presque l’équilibre sur une des pattes de l’ancienne table, le rustre s’adressa à la foule qui avait su faire son entrée.

‘’D’accord… soyons ici civilisé… un à la fois ?’’ Puis il en pointa un du doigt ‘’Toi?’’

Mais bon, être civilisé ici était chose impossible alors que ses nouveaux ennemis semblaient vouloir l’entourer.

‘’C’est comme vous voulez…’’

Puis le début de la mêlé ! Il balança un coup et en reçu un autre, une échange rapide de coup de poing, pieds et le coup de tête occasionnel consistait ici d’une chorégraphie un peu chaotique. Alors qu’il s’apprêtait à tabasser le premier crétin qui se trouvait devant son regard, un d’entre eux le tira avant de l’envoyer planer puis s’écraser contre une chaise un peu plus loin. Étendu sur le sol et secoué, notre chasseur de primes tentait de s’éclaircir les idées se demandant un peu ce qui en était du géant. Un petit coup de main serait le bienvenu.
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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeVen 24 Avr - 15:28

    Un coin ? Non un angle, c’était cela qu’il lui fallait un angle d’attaque, perdu dans les coups de ses ennemis qui pleuvait il avait vue du coin de l’œil son collègue être mise à mal par des gens de petites vertu et le nombre d’ennemi, sentant la victoire proche, ne cessait de croitre pour ressembler de plus en plus à une marré humaine qui déverse sa haine. La situation dérivait rapidement, courant de mal en pire avec une passion folle. Il fallait donc, pour y remédier, un angle d’action posé et définit.

    C’est ce que cherchait son regard courant et parcourant ce petit espoir qui pouvait se trouver n’importe où, dans chaque chose, dans chaque être, dans chaque instant autour de lui. Ses poings parcourait les masses qui l’entourait avant de revenir se positionné en pate d’ours avec vigueur protégeant son visage. Son corps, malgré les affres de l’alcool était devenu une carapace d’écaille vivace comme il devrait tout le temps l’être, comme il semble avoir été forgé, sortant de sous son épiderme déjà bien trop résistant et résiliant. Mais surtout il cherchait, courait des yeux sur les tables, les chaises, la petite fenêtre qui se situait là bas, au loin, en direction de son baroudeur de collègue …

    Une petite fenêtre, des tables, des chaises …
    Une fenêtre, du bois …
    Une sortie, du bois.

    Il avait son plan, et si son esprit était d’une finesse indue marque de la grande noblesse de son âme, parfois ses action pouvait semblé d’une simplicité ubuesque, pourtant c’est un forgerons et lorsqu’il faut faire une épée il frappe plutôt que tapoté le métal en lui faisait la cours … Il a apprit que bien souvent chercher plus loin était inutile, l’important était un espoir appeler efficacité. Il se prépare donc à son plan.

    Rapidement, profitant d’un coup trop haut qui le vise en tête il met en place son plan, son appuie droit s’evise faisant tombé son genoux vers le sol, puis se renforce et propulse au même instant où sa main tente d’attraper l’homme dont le coup fut stupide contre une patte d’ours.
    Sa main est flasque, ses reflexes émousser par la gnole et la bière, il ratte, sens la main qui s’échappe, tâtonne, et puis referme ses griffes sur quelque chose qui craque, au bruit c’est un os, au hurlement de l’homme c’est un os innerver, important, et à la taille de l’objet on pourrait croire à une cote qui tente de ressortir du plastron de l’homme qui se débat et cherche à se rattraper à ce qu’il peut … Ce qu’il peux alors qu’il est déjà lancer dans une charge folle par un être d’une masse inconcevable.

    Les deux premier pas ont déjà résonné sur le sol de la taverne alors qu’une lumière semble vouloir sortir des mains et des épaules de Brom, rougeoyante comme la flamme d’une forge, mortelle comme l’espoir, une légère fumerolle digne d’une tourbière s’échappe du col de sa chemise alors que son regard est toujours aussi fou.

    Troisième bruit de pas et sa main libre percute une des chambranles de l’établissement qui se met à hurler, comme le bois pris de cours, hurler comme un objet dans laquelle la pression est monté brutalement et …
    Déjà un nouveau pas, et une table subit la même tape amicale elle ne réagit pas de la même façon, en premier lieu l’enduit de cire fume et puis le bois se met à émettre de la lumière à son tour, il a franchit la température d’auto-inflammation.
    Un nouveaux bruit sourd de botte ferrer qui résonne alors que la masse folle en charge percute le groupe qui s’attaquait au baroudeur, et à l’aide de sa canne à pèche souffrant entre sa cote brisé et la chaleur de la main qui se diffuse dans son dos, il essayer d’attraper l’homme.

    Essaye car malgré sa bonté, son art de la guerre et son aptitude hors du commun il n’est ni plus ni moins qu’être attaqué par l’alcool et l’instant qui ne peu faire de miracle si son acolyte, qui a réussit à chercher noise à assez de gens pour mettre toute une taverne contre eux, ne fait pas d’effort.

    Mais qu’importe sa charger est lancer, il oublie la douleur du coup violant qu’il a reçut sur l’épaule, la douleur de l’écharde qui a réussit à se planter dans sa jambe et qui fait la taille d’un pied de chaise, la douleur folle et omni présente, du feu qui le dévore, il sait, il connait, il le vit, il n’y attache plus d’importance. Il ne peut l’arrêter, ni sa charge, ni le feu, en tout cas pas comme ça, alors il se lance il continue son plan complexe quoi qu’il arrive.

    Autour de lui la chaleur naturelle de son être semble ne plus vouloir s’arrêter, déjà la chambranle à prit, comme la table propulsé au loin, elles brulent toutes les deux avec passion comme un bon feu imbibé d’alcool et de suif. Car après tout qu’est ce qui brule mieux qu’une taverne en bois si ce n’est une taverne en bois où l’on a renverser de l’alcool sur le sol car vos mains n’était plus tout à fait cabale de trouver votre bouche ?

    Et puis il se jette avec force vers la fenêtre bien trop petite reprenant sa canne a pèche et l’homme qui a dut s’y accrocher contre lui, percutant le bois rendu fou par la chaleur de son corps, explosant dans un bruit sourd le mure qu’il a choisit car il n’est pas porteur, car il n’est pas épais, il soutient l’une de ses petites fenêtres qui ne peux rien tenir … Et en entendant le bois céder il remercie Bor de lui avoir appris l’architecture qui fait partie des artisanats les plus complexes. Il serre un peux plus les deux hommes et dans un souffle attend de sentir le sol contre de dos et dans un souffle il se relève et cours toujours à en perdre haleine, il ne jette pas un œil pour savoir si ils ont maitrisé le feu et oblique à droite, et dans un instant vole…

    Puis dans un grand bruit de souffrance se laisse tombé dans le fleuve qui traverse la ville alors qu’une lourde fumé monte et qu’il lâche la gamin, invisible, quelque part remonter sur la berge il pose l’homme sur le sol :


    “Fuit par la rivière, moi je ne peux pas, je coule, c’est mal fait le monde, je vais me cacher par là puis disparaitre à nouveau, on se reverra surement un jour l’ami et la prochaine fois, débrouille toi pour qu’ils soient moins de vingt contre nous, alors on aura un combat à la loyal et je serrais d’accord pour le faire à tes cotés. Aller disparait tu mets plus ma vie en danger en restant avec moi que sans gamin, bonne chance.”

    Il se met à marché dans la brume qu’il a crée vers les ponts et les bouches de catacombes qui semble vouloir garder les morts par des grilles en fer …
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MessageSujet: Re: Ivresse philosophique [terminé]   Ivresse philosophique [terminé] Icon_minitimeJeu 7 Mai - 5:23

Parmi le chaos qui fut créé avec les malheureux événements s’étant produit il y a de cela un instant, le chasseur de prime tentait de regagner control de sa vision après l’avoir perdu sous l’impact. Son crâne avait dû cogner durement le sol afin de brouiller son regard. Enfin, soit c’était le coup, soit c’était causé par tout l’alcool que son foie avait abordé jusqu’à présent, mais si on devait lui demander son avis, notre blondinet allait plutôt parier sur le coup qu’il avait reçu à la tête. Si celui-ci n’avait pas suffisamment bu afin d’avoir une sacré gueule de bois et un mal de crâne qui allait lui faire souhaiter la décapitation, la bagarre de ce soir allait aider la cause ! Secouant un peu la tête, il fut bien heureux de reprendre ses esprits avant la prochaine vague. L’un de ses adversaires du moment semblait croire que la taverne ne possédait pas suffisamment de dégât alors qu’il avait choisi de balancer une chaise ! Mieux valait tenter de se pousser de la trajectoire et c’est donc ce que notre protagoniste fit, du moins c’est ce qu’il avait tenté de faire. Celle-ci avait tout de même réussi à percuter sa jambe gauche… comme quoi celle-ci n’avait pas suffisamment connu de misère. Notre baroudeur ne comptait plus le nombre de blessures, les coups qu’il avait reçu lors de sa misérable existence, surtout qu’il avait un peu de mal à bien se remémorer la plupart ; cela devait être un peu causé par les nombreux coups porté à sa tête, car ça ne peut pas être très bon pour la mémoire.

Roulant un peu sur le sol avec une certaine maladresse, le baroudeur réussi à s’éloigner et se relever afin de mieux faire face à ses adversaires. Lui qui aurait pu espérer au moins un jour de congé, non, il se devait de taper sur la gueule des abrutis du coin. Il s’agissait d’un jeu qui pouvait certes intéressant par moment, quelques bagarres ça fait du bien, ça garde un homme actif, mais il ne faut pas pousser quand même. Reprenant ses esprits, il repositionna son corps afin de continuer le combat. L’adrénaline qui parcourait ses veines mélanger avec l’alcool créa une sensation si étrange, mais si familière ah les mêlées au sein d’une taverne, que du plaisir !

Parlant de bonne chose, notre rustre avait su retrouver du coin de l’œil son cher ami, cette espèce de montagne ambulante sur pattes ! Il ne l’avait pas quitté, ce qui était tout aussi surprenant qu’apprécié il faut dire. Peut-être faisait-il parti de cette espèce de gens un peu fou dans la tête appréciant une bonne bagarre… ou bien peut-être qu’il était tout simplement le genre d’homme capable de démontrer un peu de loyauté même envers un étranger qu’il avait rencontré qu’un peu plus tôt ! Il y existait aussi la possibilité qu’on ne lui avait pas vraiment laissé le choix de faire partie de l’affaire, mais peu importe la justification pour sa présence, le fait qu’il était là à taper sur la gueule des autres abrutis aidait grandement les chances de survie de notre chasseur de primes. Oui il était dans une mauvaise situation, mais il avait connu pire… oh oui… et même seul, c’est donc pour ça qu’il tentait de demeurer positif face à la situation actuel.

Dans cet élan de grand positivisme, il reprit aussi son élan vers la bagarre et balança un bon crochet sur le crétin qui lui avait lancé une chaise par la tête! Une échange de coup, il en reçut, il en donna, bref demain les participants à cette affaire allait se réveillé avec quelques bleus, peut-être même des os cassés qui sait. Évitant adroitement un coup de poing, le chasseur de primes profita de l’élan de son adversaire afin de lui balancer un bon coup de genoux dans l’abdomen, puis un coup de coude derrière la tête avant de changer de cible.

Jetant un coup d’œil rapide sur son compagnon de bagarre, notre chasseur de primes fut des plus surpris en observant tout ce que l’homme touchait prendre en feu. Il était d’accord avec foutre des baffes, recevoir des baffes et que les conséquences de cette bagarre était quelques meubles cassés, mais là, avec ce que faisait cet espèce de montagne sur pattes, les dégâts n’allaient point être uniquement limité à ce genre de petits détails. Le tenancier s’en était sans doute rendu compte, expliquant pourquoi sa mâchoire avait tombée jusqu’à ses genoux avant se foutre le camp. Une très bonne décision. Une que notre protagoniste aurait dû prendre lui aussi par lui-même, mais cela fut un peu hors de son contrôle, courtoisie de la montagne ambulante. Sans le moindre avertissement, non car à quoi ça sert si ce n’est qu’à retirer le plaisir de la surprise? Ce faire plaquer ainsi et passer à travers une fenêtre, voilà qui était excellent pour la santé!

Passant du confort de la taverne au plaisir rafraichissant d’une baignade nocturne… ah oui c’était là totalement le plan de notre baroudeur. À vrai dire, rien n’avait été exactement comme prévus, mais cela fait partie de la vie. Reprenant un peu sons souffle après avoir remonté à la surface, le rustre tentant de retrouver son compagnon parmi l’épaisse brume qui les entouraient, chose qu’il n’aurait sans doute pas su faire si celui-ci n’avait pas pris la parole

‘’Hey le grand, t’es où?’’ Dit alors notre rustre en tentant de l’apercevoir à travers la brume.

‘’Fallait vraiment que tu foutes la taverne en feu merde?’’

Aussi misérable qu’était cet endroit, il s’agissait d’un lieu qu’il reconnaissait comme étant un petit chez soi, donc savoir que l’établissement allait être réduit aux cendres ne lui plaisait pas vraiment, mais il n’avait rien à faire. Le baroudeur nagea jusqu’au bord de la rivière observant les flammes grandissante.

‘’J’espère seulement qu’il ne va pas réclamer que je rembourse les dommages…’’



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