Soins prodigués par la Nature. [PV : Lïo]

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 Soins prodigués par la Nature. [PV : Lïo]

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Anonymous Invité
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MessageSujet: Soins prodigués par la Nature. [PV : Lïo]   Soins prodigués par la Nature. [PV :  Lïo] Icon_minitimeSam 30 Oct - 17:29

    Souffrance et douleur.
    Deux mots qui l'accompagnaient, tels de fidèles compagnons.
    Deux mots qu'elle supportait, tels deux horribles fardeaux.
    Et la Solitude, toujours présente telle une amie réconfortante.

    Voilà plusieurs jours que la jeune lhurgoyf vagabondait plus que voyageait vers la forêt de Sphène. Pourquoi là et pas à un autre endroit? Bonne question. Une force invisible semblait la pousser vers cet endroit. A moins que ce ne soit que le fruit de l'imagination de la démone. Aller savoir. Quoi qu'il en soit, les faits son les faits et les raisons n'ont parfois pas leur place dans ce monde.

    Une grimace se dessina sur le visage pâle d'Aïnomora. Foutu blessure. Le combat contre l'autre gamine et ses pantins articulés remontait à plusieurs jours mais la jeune lhurgoyf n'avait jamais prit le temps de se soigner. De multiples entailles zébraient sa peau d'une pâleur hivernal tandis que de gros hématomes prenant diverses teintes au niveau de ses avant bras, là où l'inconnue l'avait sauvage serré. Cet amoncellement de blessure lui infligeait une douleur permanente qu'elle trouvait curieusement plutôt agréable. Sauf quand elle prenait un peu trop d'ampleur.

    Soupirant doucement, elle releva la tête et regarda un moment le paysage au loin. Une lueur de soulagement s'alluma au creux de ses pupilles. Devant elle s'étendait l'immense lisière de la forêt. Enfin. Laissant échapper un second soupire, elle se mouva dans son forme de loup. Tout autour d’elle éclata alors d'une lueur nouvelle. Les traits dévirent plus nets, les odeurs plus prononcés et portait désormais chacune un nom tandis que chaque bruit résonnait à ses oreilles comme l'aurait fait le son d'une cloche. Tout avait changé. Son corps la faisait encore légèrement souffrir mais c'était tellement peu face à ce qu'elle ressentait quand elle était en humaine.

    Se sentant lentement gagner par l'euphorie de sa transformation, Aïnomora se mit à galoper vers les arbres. Le vent s'engouffrait dans son pelage tandis que des centaines d'effluves différentes venaient lui taquiner le museau. Poussant un peu plus sa vitesse, elle arriva rapidement à l'orée de la forêt, l'humeur légèrement par cette course si rafraichissante. Ne souhaitant pas abimer plus son corps déjà meurtrie par ses blessure et par cet effort soudain, la louve ralentie son pas et entra tranquillement dans la forêt, laissant derrière elle une vaste étendue herbeuse.

    Elle trotta un bon moment au creux de la nature, se délectant des sensations qui pulsait dans son corps animal. Elle aurait put y rester pour la vie. Tout était si beau. Si net. Si... réelle. Alors qu'elle se perdait dans l'esprit de la louve, elle sentit quelques choses se serrer au fond de son estomac. Son pouvoir s'épuisait. C'est avec lassitude qu'elle reprit sa forme humaine. Elle aurait voulu se glisser dans sa véritable forme. Dans sa véritable Nature. Dans celle qu'elle était vraiment. Seulement elle en était incapable. Pas assez puissante et bien trop faible.

    C'est en soupirant qu'elle s'accroupit prés d'un arbre. Un éclair oranger venait d'attirer son attention. La jeune lhurgoyf ne s'y connaissait pas vraiment en plante mais avait apprit, dans sa jeune enfance, les rudiments de la médecine. Attrapant une feuille entre ses doigts, elle la frotta pour la porter ensuite à ses narines. Oui, c'est ce qu'elle cherchait. Un sourire mystérieux s'afficha sur son visage. Il récolta plusieurs feuilles et alla se trouver une petite clairière. Elle en trouva un non loin d'un petit ruisseau. Parfait. Elle alla ensuite chercher un peu de bois et prépara rapidement un feu. Elle plaça ensuite une vielle casserole d'eau sur les flammes et jeta les quelques plantes dans le liquide. Pendant que la préparation se faisait, Aïnomora regarda aux alentours.

    Elle avait entendu plusieurs légendes concernant cette forêt. Surtout en rapport avec une bande de femmes dont on ne connaitrait pas l'origine et qui seraient responsable de plusieurs disparitions non résolues. La lhurgoyf n'y croyait qu'à moitié. Pour elle, c'était juste une histoire pour combler le fait que personne n'ai jamais réussi à résoudre ces mystères. Pour elle, ce n'était la cause que de quelques bêtes sauvages. Après tout, quoi d'autre?

    Passant une main lasse dans ses cheveux, elle reporta son attention sur la casserole. L'eau bouillait à gros remous et avait prit une légère teinte jaunâtre. Parfait. Attrapant un petit gobelet de terre cuite qu'elle portait à sa ceinture, elle le remplit et souffla sur le liquide pour le refroidir. Elle en avala ensuite le contenue à petite gorgée et sentit immédiatement les effets. La douleur reflua tranquillement et ses muscles se détendirent. Elle en prit un second verre avant de jeter le reste et s'enfoncer une nouvelle fois dans la forêt sans prendre le temps de masquer ses traces. A quoi bon?

    En route, elle découvrit une nouvelle plante, parfaitement pour désinfecter ses plaies les plus profondes. Ô joie de la Nature. Elle les mâcha longuement et appliqua la pâte obtenue sur ses blessures. Cela fait, elle grimpa dans un arbre proche et se plaça sur une fourche. Elle leva un instant les yeux, regardant le soleil percer par endroit le dôme protecteur formé par le feuillage des arbres. Elle soupira de bien-être avant de se reposer, sans pour autant fermer les yeux.
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Soins prodigués par la Nature. [PV : Lïo]   Soins prodigués par la Nature. [PV :  Lïo] Icon_minitimeMar 2 Nov - 16:31

[HRP : Je suis désolée c'est pas très long, j'espère que ça ira et j'essaierais de faire mieux pour la suite ! ^^"]

Les premiers rayons de soleil annonçant le levé de ce dernier vinrent réveiller une étrange créature qui sommeillait sur une haute branche d'un arbre. Lïo avait passé la nuit dans cet arbre, et pour plus de discrétion, sa peau arborait un motif d'écorce. Papillonnant des paupières, la jeune fille poussa un grand bâillement tout en s'étirant de toute part. Mais tandis qu'elle basculait sur le côté et qu'elle s'appétait à tomber de son perchoir elle se rattrapa juste à temps à l'aide de ses jambes. Lïo mit un petit moment à réaliser qu'elle avait la tête en bas. Mais sans que cela ne la perturbe elle chercha du regard ses deux amis.

C'est alors qu'une boule de plumes colorées se présenta dans son champ de vision, une branche plus haut. Un sourire s'afficha sur ses lèvres. La Yorka se redressa et alla claquer des doigts devant le bec du perroquet qui émergea de son sommeil en sursaut. Comme à son habitude, ce dernier râla quelques instants avant de rejoindre Lïo qui était déjà descendu de l'arbre. A peine avait-elle poser pieds à terre qu'Isil débarqua et dit bonjour à la jeune fille.

A présent les cheveux de Lïo arboraient une magnifique couleur flamboyante, allant du rouge au orange en passant par différentes teintes de jaune. Son regard, quant à lui, étaient pareils à des braises ardentes. Sa peau changeait de couleur, variant entre un noir charbon et un rouge feu, dessinant des motifs tous plus étranges les uns que les autres. Pas vraiment discret il faut l'avouer, mais après tout, Lïo n'a aucune raison de l'être, en tout cas, pas pour le moment. Par contre, simplement vêtue d'un short et d'un haut sans manches tous deux noirs, restant - comme à son habitude - pieds nus, elle restait plutôt sobre et pouvait parfaitement se fondre dans les profondeurs sombres de la forêt.

C'est après un court petit-déjeuner composé principalement de pain et de baies trouvés non loin de là que la jeune Eryllis se mit en selle. Aro alla se poser sur son épaule et ils partirent. Où allaient-ils ainsi ? Dieu seul le sait ! Lïo marche souvent à l'instinct, et puis, il lui était impossible de se perdre dans les bois qu'elle connaissait par cœur à force de balades sans but. Les heures passèrent rapidement, Aro parlant pour deux, Lïo se contentait généralement de rire à ses remarques ou de le ramener sur terre.

Alors que leur route les avait menés à une magnifique clairière, la Yorka aperçu une fumée inhabituelle qui s'échappait de ce qui semblait être une autre clairière, non loin de celle où ils se trouvaient. Curieuse de savoir ce qui se tramait, Lïo prit rapidement la décision d'aller voir ce que c'était. Mais elle arriva un peu tard, tombant sur des cendres encore chaudes et un coin désert.

Pas vraiment découragée et désireuse de connaître la solution de ce mystère, la jeune fille remarqua des traces de pas s'enfonçant dans la forêt. Il y avait donc bien quelqu'un ? Et apparemment, cette personne était seule, à en croire le nombre de traces et leurs dispositions. Sûrement quelqu'un qui pensait être tranquille, pas pendant très longtemps en tous cas. Une nouvelle chance de faire une connaissance ? Qui sait, cette personne pourrait peut-être lui apprendre de nouvelles choses ? Lïo n'était pas craintive et du genre sociale pot de colle tant qu'elle n'a pas de réponse à ses questions. Et bien qu'Aro, ce grand froussard, lui intimait de rebrousser chemin, ayant un mauvais pressentiment, Lïo ignora ses conseils et se contenta de dire à Isil d'avancer.

Lïo n'était pas comme les autres Eryllis, à se méfier de ceux qui pénètrent dans la forêt de Sphène. Pour elle, chaque personne était source de nouveautés capable de répondre à ses interrogations. Bien entendu, elle faisait mine de n'être qu'une simple vagabonde, et riait en parlant de - je cite - "mythes idiots inventés pour effrayer les curieux" dès que le sujet des Eryllis était aborder. Pour rien au monde elle ne trahirait ses amies, et encore moins celles-ci sont sa seule famille.

Ayant suivi pendant un moment les mystérieuses traces, le petit trio fini sa route devant un arbre. Descendant de cheval, Lïo observa les alentours. Elle sentait une présence. C'est alors qu'elle leva la tête et - étant une professionnelle du camouflage - finit par remarquer une silhouette allongée sur une branche. Reculant de quelques pas elle plaça ses mains autour de sa bouche pour amplifier le son de sa voix et demanda d'une voix guillerette,
« Bonjour ! Il fait beau là-haut ? ». Attendant sa réponse un sourire en coin se forma sur les lèvres de la jeune Eryllis.
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Soins prodigués par la Nature. [PV : Lïo]   Soins prodigués par la Nature. [PV :  Lïo] Icon_minitimeDim 7 Nov - 11:16

    Calme
    Sérénité
    Tranquillité.

    Aïnomora ferma les yeux. La Nature vivait. Le vent jouait dans les feuillages. Des animaux se réveillaient péniblement de leur sommeil. Les plantes frémissaient sous les courants d'air comme dansant au chant des oiseaux. Une douce torpeur se glissa tel un serpent dans l'esprit de la lhurgoyf, l'embrumant peu à peu dans des vapeurs de sommeil. Son corps se faisait de plus en plus pesant. Combien de temps c'était écoulé depuis sa dernière nuit de sommeil? Depuis son combat avec la gamine du labyrinthe, elle n'avait pas vraiment fermé l'œil. Pourquoi ne pas se laisser aller maintenant?

    Alors qu'elle tombait doucement dans néant, tirée par de sombres griffes, elle sentit un infime déplacement d'air au niveau de son visage. Cela suffit à lui faire reprendre contact avec la réalité et à lever ses paupières encore alourdies par la fatigue. Une silhouette se découpa lentement au niveau de son bras. D'un plumage aussi banc que la neige innocente, un oiseau se tenait à ses côtés. On aurait put croire à un rêve. Un signe des dieux. Une apparition miraculeuse. Si seulement il n'y avait pas cette douleur.

    Aïe.

    La vive souffrance qui remonta tout le long de son bras pour exploser dans son crâne acheva totalement de la faire sortir des bras de Morphée. Isil, non contente de voir sa jeune maître se prélasser plutôt que de fêter son retour, venait de lui pincer violemment l'avant-bras. Aïnomora lui lança l'un des regards les plus noirs de son inventaire avant de soupirer de lassitude. Mais pourquoi s'obstinait-elle à vouloir garder ce pigeon de malheur? Elle leva une main un peu molle et caressa doucement le plumage de l'oiseau. A vrai dire, elle fouillait plus entre les plumes plutôt que de les lisser.

    Un sourire illumina son visage quand elle sentit une petite feuille de papier sous l'une de ses ailes. Un nouveau contrat... Une petite lueur joueuse s'alluma dans son regard. Enfin un peu d'action. Cela ne faisait que trop longtemps qu'elle n'avait pas égorgé quelqu'un. Ça lui manquait. Trop. Sentir le sang éclabousser sa peau. Ce doux goût cuivré qui lui emplit la couche lorsque que l'une de ces gouttelettes s'égare entre ses lèvres. Cette joie de sentir la vie s'enfuir sous ses doigts. Ces hommes payés pour ce qu'ils ont fait ou ce qu'ils auraient put faire. Démon elle était, démon elle resterait.

    Câlinant longuement l'oiseau qui se trouvait maintenant posé sur son ventre, l'assassine poussa un soupire d'aise. Bon, les choses n’allaient pas si mal finalement.

    Le calme.
    La tranquillité.
    La soli...

    Sursautant violemment, Aïnomora dut se retenir à une branche pour éviter de basculer dans le vide. C'était quoi ça? Une voix venait de claquer dans le silence naturel qui l'entourait un peu plus tôt. Mais qui pouvait être assez niait pour poser une telle question. A un étranger. Et en pleine forêt réputée maudite qui plus est! Ruse? Abandonnant ses caresses, la lhurgoyf se pencha en avant, tentant d'apercevoir la nouvelle venue. Ne se sentant pas franchement rassurée et voulant parer à toute éventualité de surprise, elle s'accroupit sur une branche, une main sur la poignée de l'un de ses poignards. Elle resta bouche bais devant ce qu'elle découvrit.

    Au sol se tenait une mystérieuse créature. Enfin, femme serait un terme qui lui irait à merveille si seulement elle n'avait pas cette chevelure au couleur d'un feu et cette peau changeant constamment de couleur allant du rouge au noir avec un naturel déconcertant. Des motifs s'y trouvaient également, changeant eux aussi de forme et n'ayant aucune signification pour la jeune femme. Elle posa ensuite ses yeux sur une boule de plume qui se trouvait sur son épaule. Elle fut frappée par la beauté de cet animal, aborant de magnifiques couleurs vives et attirantes. Son regard était presque admiratif.

    Erreur

    Isil, captant son regard, fut prise d'une jalousie sans faille. Déjà sa maîtresse l'accueillait en dormant mais voilà que maintenant, elle regardait un autre oiseau plutôt qu'elle? Le volatile partit comme une flèche, fonçant droit vers le perroquet de l'inconnue. Le pigeon détestait se battre, car cela pouvait souiller son plumage, mais quand il s'agissait de garder son honneur et sa suprématie, elle était la première volontaire. Bec en avant, elle allait frapper l'animal de plein fouet quand il crie s'éleva.


    - ISIL!

    L'oiseau se stoppa net. Pas qu'elle ait comprit son nom mais plus parce qu'elle avait décelé tant de colère et de fureur dans cette voix que cela l'avait tout de suite arrêté. Cette promesse de souffrance venait de lavé ses envies de meurtre. Frustrée et remplit de rage, l'oiseau s'envola, disparaissant rapidement derrière le feuillage des arbres. Quel sale caractère cette bestiole je vous jure! Poussant un juron étouffé, Aïnomora regarda en bas. Puis elle soupira de lassitude. La voilà qui allait devoir s'excuser maintenant. Elle détestait ça!

    D'un mouvement souffle et avec précaution, elle se glissa sur le sol, prenant de l'élan dune des branches un peu plus basses. Elle cacha une petite grimace de douleur quand ses pieds heurtèrent le sol, envoyant une onde de choc dans tout son corps, ravivant légèrement ses blessures. Elle se releva le plus dignement possible et regarda d'un regard peu aimable la femme rouge. Il soupira doucement en passant une main dans ses cheveux. Tain, jamais tranquille! Elle prit une grande inspiration avant de prononcer ses excuses. Pitoyable certes mais bon. Un démon à beau être mauvais, ce n'est pas pour ça qu'il n'a aucune notion de politesse.


    - Désolée pour votre oiseau. La jalousie peut faire bien des choses.

    Ses paroles sonnaient légèrement fausses entre ses lèvres mais fit de son mieux pour le cacher. Pas le moment de ce faire un nouvel ennemi. S'adossant à un arbre Aïnomora ferma un instant les yeux, priant pour se retrouver seule quand ses paupières se rouvriraient.


[La longueur est bien l'une des dernières chose que je regarde quand la qualité est présente ;) ]
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