Âpre et noir [Caldensilas/Lucius]

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• Gélovigiens: 3
• Ascans: 0
• Marins de N.: 4
• Civils: 15

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Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

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 Âpre et noir [Caldensilas/Lucius]

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MessageSujet: Âpre et noir [Caldensilas/Lucius]   Âpre et noir [Caldensilas/Lucius] Icon_minitimeDim 16 Déc - 18:34

Là, où entre les ombres mourantes du soir fleurissait la plus noble des pousses. Là, où entre deux expirations coupables et agonisantes se tenait une créature éphémère et d’une cruelle beauté. Là, où il touchait du doigt au divin, où il comprenait la nature même des fils qui constituaient la trame de la psyché de ce corps indigent. Il regarda la matière étalée devant lui, le crâne trépané dévoilant son contenu comme un fruit trop mur qui aurait éclaté. Il était normalement compliqué de maintenir en vie quelqu’un tout le long de l’opération, mais un assortiment de drogues et d’enchantements rendaient la procédure abordable. Complexe, certes, mais abordable. Les doigts longs et effilés de Lucius effleurèrent le cerveau de sa victime, sa magie parcourant doucement l’organe dénudé, le liant à ce dernier d’une manière intime et délicieusement personnelle. Il pouvait voir ses souvenirs, il pouvait remodeler son esprit, il l’avait à sa merci, comme un potier faisant tourner entre ses doigts impavides la glaise fertile. Mais aujourd’hui, cela ne l’intéressait pas. Il voulait comprendre. Il voulait percer les secrets de l’esprit, et le corps tout entier de l’humain qu’il tenait entre ses mains insensibles servirait de catalyseur glorieux à son entreprise. Il voulait comprendre, il voulait savoir, car il était persuadé de pouvoir repousser les limites de son art une fois qu’il aurait découvert quelque force arcane faisait donc s’agiter les esprits des différentes espèces. Il avait beaucoup progressé, ces dernières années, et pensait pouvoir se prétendre la sommité intellectuelle la plus avancée sur le sujet. Personne ne pouvait rivaliser avec lui en ce qui concernait la science de l’esprit, et il avait disséqué, cartographié, catalogué des dizaines et des dizaines de spécimens, emmagasinant un véritable trésor de savoir.

Un sourire plissa ses lèvres fines, et il se re-concentra sur sa tâche, prenant une grande inspiration. L’odeur du formol et des chairs mises à nue acheva de le sortir de ses réflexions les moins à-propos, et il se plongea tout entier dans l’étude du spécimen présent. Une femme d’une trentaine d’années, qui n’avait pas payé ses dettes à temps. La Loge s’était emparée d’elle, et une vie d’esclave à Phelgra aurait du être son lot, si l’intérêt maniaque de Lucius ne s’était pas porté sur elle. Il avait vu au fond de son regard une lueur de révolte, une volonté qui valait la peine d’être explorée. Alors, il avait décidé de personnellement donner à son existence sans intérêt une forme de valeur. A travers lui, elle vivrait éternellement, transcendant les limites de ce qui était normalement possible pour elle. Il se plongea plus profondément dans la transe magique qui les unissait, son regard se troublant pour révéler le contenu imagé de l’esprit de son cobaye. Peu satisfaisant. Il fallait pousser plus loin, il fallait repousser les frontières du possible, s’attacher à briser les carcans qui limitaient sa magie. Il infusa plus de puissance dans son sortilège, les circuits arcanes qui en formaient la toile de fond commençant à se surcharger. Il devait briser l’esprit de sa cible, le fragmenter et le réduire à son expression la plus essentielle. Alors seulement pourrait-il réellement prétendre lire les fondations mêmes qui le constituaient.

Une odeur de brûlée se mit soudainement à emplir ses narines, et la masse rosâtre du cerveau se mit à fumer. Lucius serra les dents, tentant de stabiliser son sortilège, en vain. Le cerveau explosa, l’aspergeant de débris organiques divers. Il resta là un instant, immobile, à contempler son échec. Un de plus. Il ne parvenait pas à progresser. La méthode forte ne fonctionnait pas, et la méthode douce ne produisait aucun résultat. Il lui manquait visiblement quelque chose pour parvenir à avancer, mais il ne voyait pas quoi. Il repoussa rageusement le cadavre de sa victime, la faisant tomber par terre, et attrapa un large chiffon, s’essuyant la face et les cheveux. Peu importait, au final. Il continuerait à chercher, et finirait par trouver. Il touchait du doigt à la solution de son problème, et savait qu’il ne lui manquait que l’étincelle de génie finale pour parvenir à l’apercevoir.

Il rangea ses affaires, et se nettoya plus avant le visage, s’attachant à retirer tous les petits bouts de cervelle gluants qui constellaient maintenant sa face. Il avait besoin de se détendre, de réfléchir au calme. Un verre, et peut-être une rixe de bon aloi. Quelque chose de propre, et de consistant. Il passa sur ses épaules un large manteau, et changea la forme de son visage, adoptant des traits anodins et grossiers, pouvant appartenir à n’importe qui. Il doutait d’avoir réellement besoin de prendre ce genre de précaution ce soir, mais une dose saine de paranoïa contribuait selon lui à préserver autant sa position que sa santé. Il sortit de sa cachette, retrouvant rapidement l’atmosphère chaude et épaisse des rues de Tyrhénium, s’imprégnant du doux brouhaha que produisaient ses congénères lors de leurs activités nocturnes. L’odeur de l’urine séché, du vomi, et d’un cadavre vinrent flatter son nez, et il sortit rapidement de la ruelle cyclopéenne, s’enfonçant dans une des artères principales du Bazar.

Dix minutes plus tard, il était assis à la table d’une petite gargote anonyme, une choppe d’une bière répugnante à la main. Il engloutit voracement la moitié du breuvage, avant de le reposer, le gout répugnant de la boisson pourrissant durablement son palais. Satisfait de son expérience, il chercha du regard un moyen de poursuivre son aventure. Il voulait voir de la violence. Il voulait voir quelque chose de sanglant, de primal. Quelque chose de laid. Il regarda autour de lui, et trouva une cible de choix. Déjà éméchée malgré l’heure encore peu tardive de la soirée, son esprit d’ordinaire déjà faible ne lui poserait aucun problème. Il concentra un bref instant sa magie, et le fit trébucher de quelques pas en arrière, s’écroulant directement sur la table de joueurs de dés, renversant la partie et mélangeant les gains de chacun. La suite fut peu surprenante, et quelques instants plus tard, il avait sur les bras une belle bagarre de bar, dans tout ce qu’elle avait de plus pittoresque. Personne n’avait encore sorti de couteau, mais il ne doutait pas que cela ne tarderait pas. Il se leva, et attrapa la personne la plus proche de lui, lui décochant un coup de poing sec et vicieux…
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MessageSujet: Re: Âpre et noir [Caldensilas/Lucius]   Âpre et noir [Caldensilas/Lucius] Icon_minitimeSam 29 Déc - 23:46

Caldensilas était arrivé le matin même à Thyrénium. Ou plutôt revenu à vrai dire. La ville exerçait sur lui un malin pouvoir de fascination, il n'en avait que trop conscience. Mais après tout, était-ce mauvais comme sentiment. Il aimait profondément la nature changeante du lieu, le fait qu'elle soit une frontière entre pays, cultures et pratiques. Il en résultait un savoureux mélange, une ville toute entière remplie de changements incessants qui ne demandaient qu'à être provoqués. Chaque personne avait ses désirs et sa vision de la ville, comme partout, mais ceux-ci ne correspondait pas toujours à ceux de ses voisins. Logique quand celui-ci espérait juste avoir plus d’argent que vous. Cette concurrence entre tout un chacun qui était à l’origine de beaucoup de tensions, que les Ladrinis pour ne citer qu’eux avaient très bien réussi à exploiter. Et il fallait bien avouer que ça lui faisait  penser à une poudrière qui pourrait exploser à n’importe quel moment. C'était d'ailleurs ce qu'il avait décidé de faire : provoquer l’étincelle et tenter de mettre la ville en émoi. Pour beaucoup de personnes, cette volonté d'embraser la ville, de soulever les gens à lui tout seul paraîtrait d'une incroyable prétention. Pas pour Calden. Il se savait capable de le faire, ou tout du moins capable d'essayer. Et en plus il avait l’envie et surtout le temps. En effet, les Nérozias ne l'avaient pas recontacté depuis quelques temps, peut être un mois ou deux. Il donc bien se permettre ce petit plaisir, non?

Il déambula donc dans la ville une bonne partie de l’après-midi, observant tout le monde, tous les lieux, toutes les habitudes. Petite routine à chaque fois qu’il arrivait dans une ville, et un plaisir à chaque fois. Bon sauf celle-ci. La ville était… un peu morne à son goût. Les marchands vendaient, les passants marchaient, les gardes surveillaient ce petit monde et rien ni personne ne semblait pouvoir troubler cette tranquillité, chose un petit peu frustrante pour le sylphide. Ou alors c’était peut-être lui qui n’arrivait plus rien à voir. C’était peut être sa seule hantise : ne plus arriver à détecter les prémices d’un changement possible, ne plus être en mesure d’influencer celui-ci, bref ne plus pouvoir s’amuser en fin de compte.  Exactement ce qu’il ressentait à cet instant. Même le ciel bleu limpide avait décidé de l’ennuyer. C’était donc curieusement soucieux qu’il parcourut les ruelles et les artères, à la recherche d’une quelconque possibilité de ramener un peu de folie dans cette ville, mais rien ne se manifestait. Et plus cette absence devenait présente, plus le Nerozia devenait grincheux. Au fur et à mesure que l’après-midi déclinait, elle devint même massacrante. La patience, qui n’était déjà pas sa qualité majeure, s’épuisait de plus en plus.

Ce fut donc un Sylphide d’une humeur massacrante que virent rentrer dans une auberge les consommateurs. Son visage généralement souriant était déformé par une contrariété qui se sentait dans tout son être. Il s’installa à une table éloignée, et personne n’osa l’approcher, excepté un serveur. La demande de bière de Calden fut sèche et quasiment insultante, mais son interlocuteur ne répondit pas, au grand dam du sylphide qui ne demandait que cela. Sirotant sa bière, il continua donc à bouillir dans son coin. La ville semblait plongée dans un torpeur insondable, et il ne voyait pas comment l’en extirper. Il se résolut donc contre son gré à attendre une meilleure occasion. Quel mot détestable d’ailleurs attendre. Ni court et percutant, ni long et sophistiqué, aucune syllabe qui claquait à l’oreille, un mot fade en quelque sorte, ce qui représentait excellemment bien son sens en fait.

Il finissait sa deuxième bière lorsqu’une personne rentra dans l’auberge. Comme à son habitude, il l’observa discrètement de la tête au pied, comme à son habitude. Si ses traits étaient communs, à la limite du laid, la lueur de celui qui avait passé une mauvaise journée était bien présente au fond de ses yeux. Et au vu de ses manières brusques et du regard acéré qu’il jetait, il devait avoir envie de se défouler. Peut-être enfin un bon client pour animer enfin sa journée. Un léger sourire revint sur ses lèvres, alors qu’il recommandait une bière, ce qui surprit beaucoup le jeune serveur. La journée allait peut-être commencer pour de bon.

A sa grande surprise, le début officiel des hostilités ne provint pas de l’énervé mais d’un alcoolique présent depuis longtemps qui s’écroula sur une table. Pas grave, cela fera très bien l’affaire. Quelques douceurs susurrées magiquement à l’oreille des protagonistes de la table plus tard, une rixe éclata. Bien que les voix produites ne semblent pas humaines, les combattants étaient trop ivres pour s’en rendre compte. Évitant les coups de poing au maximum, Calden décida de se rapprocher de l’énervé. Au vu de ses réactions et du fait qu’il fixait pile l’endroit où l’ivrogne était tombé, il semblait très doué… voire peut être responsable de l’incident qui sait ? En tout cas, il semblait être le seul spécimen digne d’intérêt de cette auberge...
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MessageSujet: Re: Âpre et noir [Caldensilas/Lucius]   Âpre et noir [Caldensilas/Lucius] Icon_minitimeJeu 3 Jan - 21:12

Pour beaucoup de gens, un visage était quelque chose de relativement immobile. C’était à la fois l’outil de séduction le plus efficace dont l’on soit doté, l’outil de travail le plus essentiel, mais aussi l’outil de menace, de mort, de cruauté le plus évident. Ses fonctions étaient multiples, et il était très curieux de voir qu’une simple étendue de peau tendue sur un moulage d’os et de cartilages puisse ainsi avoir une fonction presque sacrée, à la limite du mystique et du fascinant. Quoi qu’il en soit, quels que puissent être les rôles qu’il remplissait au cours de sa brève existence, le visage d’une personne restait fixe. Même pendant l’enfance, période de changement et de métamorphose, l’on pouvait toujours se servir de la face d’un individu pour l’identifier sans trop de peine d’une année à l’autre. Hors, Lucius savait que cette conception qu’avait les gens de l’immuabilité de leur visages était une erreur grossière. Les os pliaient, la peau se distendait et se tendait de nouveau, l’on pouvait tirer et modifier et imprimer du mouvement à ce masque en apparence rigide. Il suffisait de faire preuve d’un peu de bonne volonté, et comme toujours, les portes s’ouvraient en grand pour celui qui voulait bien prendre la peine d’emprunter les chemins les moins fréquentés.

Le poing de Lucius s’écrasa sur la pommette de sa cible, avec un bruit sec et craquant. Il put sentir les os saillants du pauvre bougre se contracter sous la violence du coup, sa main gantée de cuir éclatant violemment la joue de l’individu, imprimant un mouvement concave à son ossature. Il s’en tirerait avec un hématome éclatant de couleurs, et sa mâchoire ne serait plus jamais la même. Lucius pouvait voir alors que l’adrénaline distendait sa perception du temps le corps de la personne qu’il venait de frapper se projeter en arrière, son équilibre perturbé l’empêchant de rester debout, alors que sa bouche s’ouvrait sur un filet de sang, de bave et de fragments de dents. Un sourire pervers éclata comme une blessure purulente sur le visage du ladrini, ravi de son effet et de la séquelle qu’il allait laisser sur la face répugnante de son congénère. Il le haïssait. Il le haïssait d’être en face de lui, de s’être fait le témoin involontaire de sa colère impuissante, d’avoir été sur son chemin alors qu’il venait d’échouer lors de ses expérimentations. Il le haïssait parce qu’il représentait tout ce qu’il méprisait dans l’humanité. Il se contentait de dériver au gré des courants de l’existence, sans réellement exister. Mais plus que tout cela, il le haïssait parce qu’il le pouvait. Parce qu’il choisissait de le faire, de faire naitre en lui ce feu noir et âpre qui ne demandait toujours qu’à s’exprimer. Parce qu’il le pouvait, et parce que cette colère existentielle qu’il éprouvait le faisait se sentir plus vivant. Il hésita un instant à continuer son assaut, à se jeter sur sa victime et à le faire trébucher sous son poids. Il aurait été facile, là, maintenant, de profiter du chaos général pour mettre fin à sa détestable existence. Il lui aurait suffi de placer un genou bien senti sur sa trachée, ou de faire s’écraser sa colonne vertébrale sous son propre poids. Il faillit le faire, tenté par la promesse de frissons facile que lui garantissait toujours la mise à mort de son prochain. Et pourtant, il n’en fit rien. Il passa une main poisseuse de sang dans ses cheveux, inspirant profondément l’odeur cuivrée du précieux liquide, et regarda autour de lui, alors que le chaos montait et envahissait la pièce comme une marée furieuse.

Les serveurs avaient détalé comme autant de lapin mené par d’impavides rabatteurs, laissant une salle livrée aux clients écumants. Le barman et le tenancier tentait bien de remettre un peu d’ordre dans tout cela, mais son entreprise risquait fort de s’avérer vaine, personne n’ayant en tête l’envie d’écouter le pauvre homme. Il devait être dur d’être ainsi le propriétaire d’un bar dans Tyrhénium. Lucius regarda autour de lui, et vit quelqu’un se rapprocher de lui. Sa méfiance naturelle lui suggéra tout d’abord qu’il devait s’agir d’un représentant des forces de l’ordre, que ce moment de vulnérabilité qu’il avait créé avait permis à ses nombreux ennemis de le démasquer, de se ruer sur lui comme une meute de chiens levant un gibier aux abois. Mais non. Ses dons télépathiques lui indiquaient qu’il ne s’agissait en rien de tout cela, que le nouveau venu était simplement curieux. S’il semblait se douter que Lucius avait quelque chose à voir avec le vacarme ambiant, il n’en était pas sûr. Le mage rompit le lien télépathique, et étudia de plus près la créature. Grand. Athlétique. Comme lui. Un poignard long, une rapière effilée. Des vêtements… Curieux. Lucius hésita un instant, se demandant ce qu’il pouvait bien lui vouloir. Il n’aimait pas être ainsi surpris et perdre le contrôle de la situation. Les surprises n’étaient généralement pas des choses qu’il trouvait positives, et il préférait lorsque c’était possible s’en passer totalement. Il fit cependant signe au nouveau venu de s’approcher, et se campa fermement sur ses appuis. Il doutait que ce dernier sache réellement qui il était. Il pouvait donc s’intéresser à son cas, et qui sait, trouver en lui la distraction qui le fuyait de manière si insolente depuis le début de la soirée.

"Illiam Vaësir, fit-il simplement sur un ton bourru. J’peux faire quoi pour toi ?"

Il ne savait à vrai dire pas s’il avait réussit à outrepasser le brouhaha de la bagarre qui régnait toujours autour d’eux. Peu lui importait, tant que cette dernière ne les atteignait pas. Il fit mine de se plonger dans l’étude attentive des échauffourées, tout en gardant un œil distrait sur son nouvel ami.
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