Le marin malchanceux

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 Le marin malchanceux

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Eldinnor Ombre
:: Capt'ain Poisse ::
Eldinnor Ombre
MessageSujet: Le marin malchanceux   Le marin malchanceux Icon_minitimeDim 16 Fév - 23:05

3ème compte du chat



Eldinnor Ombre
“Non, les accidents en mer ne sont pas dus à l'alcool, ils sont dus aux bateaux. La preuve : je n’ai pas besoin d’être ivre pour en couler un”




IDENTITE : Eldinnor Ombre
SURNOMS : Capt’ain Ombre, le malchanceux et parfois : scélérat, alcoolique
AGE : née en 1279 | SEXE : Masculin
PEUPLE : Lhurgoyf
CASTE : Marin de Noxis
METIER : contrebandier, passeur




DON : Transformation monstrueuse
SPECIALITES : Commissaire-priseur et Navigateur
POUVOIRS
POUVOIRS:


Il a toujours dans son dos deux lames qu’il manie aisément, étant ambidextre. En fer de grande qualité, elles sont reconnaissables parmi toutes. Bien qu’elles paraissent simples au premier abord, ce n’est pas le cas, leur résistance en atteste.
Spoiler:

Il a aussi des couteaux de lancer, simple. Lame en fer sans plus de décoration que le symbole près du manche qui est lui-même en fer et en bois de sapin.
Spoiler:


Vêtements :
Epaulière en fer avec fourrure blanche pour le côté droit, cape noire, une paire de botte de voyage brun foncé et robuste mais fine vers le haut, foulard noir, collier de serpent de mer aux écailles bleu foncé et aux yeux rouges, une lanière en cuir avec autour des perles rouges. Un simple pantalon en cuir noir, haut épais noir et rouge à manche longue, veste brune, ceinture noir, haut rouge et noir, cotte de maille bleuté. Grande bottes étanches noires, pantalon noir, foulard blanc et un chapeau noir avec les bords dorés.

Utilitaire :
Baume apaisant aux herbes médicinal, bandages, mouchoir brodé avec un serpent de mer dessus, cure dent en ivoire, dés pipés, jeux de tarot, sablier, longue vue, boussole, sextant, aiguille et nécessaire de couture, cartes.

"Bâtiments" :
Maison avec 1 écurie 2 places et 2 étages (1 pièce par étage) à Hellas
Bateau 3 mats aux voiles grises baptisé : Le survivant






Par où commencer ? Disons que l’on pourrait penser ses cicatrices pour d’éclatante victoire mais il s’agit en fait pour presque toutes, de malchance. Sous sa forme humanoïde, il s’agit d’un jeune homme plutôt grand, environ 1m90 avec des cheveux longs blancs immaculés lui arrivant jusqu’en bas des omoplates, soit ramenés en queue de cheval, soit lâchés au vent. Il possède un tatouage traversant son côté gauche, rouge sang. Il est aussi très pâle, presque blanc pour sa peau. Ses yeux sont d’un rouge sang, comme si la violence et le meurtre y avait élue domicile…. Une cicatrice traversant sa face vous sera aussi en partie visible mais c’est bien tout. En effet, il cache le bas de son visage, souvent avec un foulard noir ou blanc, il parle dedans, il rumine dedans et il respire à travers sa fine épaisseur. En effet, il ne possède presque plus de lèvres, n’en restant un peu moins de la moitié, sur sa face gauche, plus en haut qu’en bas. Il n’a également plus de peau sur le menton et sur une partie basse des joues. On voit donc aisément ses gencives nues, sa chair qui a l’air fondue par endroit…. Facile de deviner pourquoi il le cache. Cela rend son allocution particulière, ayant du mal à effectuer certains sons. Son nez a heureusement été épargné, nez fin et sans défaut. Il a aussi une trace en forme de main ou peau et chair semble avoir partiellement fondue, entre ses deux omoplates, rendant certains mouvements douloureux mais tristement, il a fini par s’y habituer.

Sous sa forme monstrueuse, il est…. Monstrueux.
*applaudissement dans l’assemblé*
Oui, merci, je sais, c’est une description parfaite. Pour plus de détails, disons qu’il atteint les 2m30 sans grossir, s’étirant uniquement, son corps se déformant, parfois douloureusement. Comme si sa peau et sa chair ne pouvais suivre sa transformation, elle se retire davantage loin de sa bouche. Ne laissant voir que de l’os, les muscles se cachant à l’intérieur de la bouche, en laissant très peu du coté os. Tel un pantalon trop court donné à un homme trop grand, la peau glisse vers les yeux, devenue pupille dans une orbite invraisemblable et noir, occupant une bonne partie de sa face. Ainsi, tel un squelette ambulant, son nez devient deux fentes dans de l’os… La peau qui lui reste devient écailleuse, noir avec des déformations toutes très différentes entre elles partout sur le corps surtout vers le dos. Ses os se déforment ; ses omoplates deviennent deux excroissances déformées tel du corail tout comme ceux qui tenait place d’oreille qui grandirent au-dessus de la tête ne laissant à leur place originelle que deux petits trous. Ses doigts sont longs et fin, finissant par des griffes et ses mains et pieds sont également palmé. Pour ses derniers, ils finissent des pattes plutôt bestiales, tel qu’elle serait celles d’un chien ou d’un chat, lui permettant de se mettre à quatre pattes pour aller plus vite. Enfin, il possède deux queues fines dont la principale et la plus longue se sépare de nouveau en deux au bout. On voit facilement ses os, dont la peau est collée dessus comme par exemple, ses côtes. A presque chacun de ses mouvements, on a l’impression d’entendre des cliquetis comme si ses os s’entrechoquaient. En soit, la créature qu’il devient ressemble au résultat désastreux d’un concours d’invocation de monstre.
en image:

Niveau vêtement, il s’habille généralement de deux façons ; lorsqu’il vagabonde, une épaulière en armure sur son côté droit avec un peu de fourrure blanche. Une cape noire, une paire de botte de voyage brun foncé et robuste mais fine vers le haut. Il possède au choix soit un foulard noir soit un tissu pour cacher la partie basse de son visage. Un collier de serpent de mer aux écailles bleu foncé et aux yeux rouge, une lanière en cuir avec autour des perle rouge dans les cheveux. Un simple pantalon en cuir noir et un haut noir et rouge à manche longue, assez épais pour supporter des régions un peu hostiles.
Enfin, il a son attirail de marin, de capitaine si on peut dire. Nan car vue sa malchance, c’est plus un titre qu’autre chose. Une veste brune, ceinture où il met ses sabres, haut rouge et noir d’abord puis en dessous, une cotte de maille bleuté. De grande bottes étanches noires ou il cache ses couteaux de lancer et enfin, un pantalon tout aussi noir. Il a aussi un foulard blanc qu’il met sur la partie basse de son visage et un chapeau noir avec les bords dorés.
Vêtement du capitaine (le foulard est normalement sur la bouche), ne pas faire attention au gars qui occupe les vêtements actuellement:



Malgré sa malchance et son passé pas très reluisant, il s’agit d’un compagnon très gentil aux premiers abords et qui surtout, adore picoler. Prenant sa malchance pour une fatalité, il s’énerve rarement, surtout en public, préférant garder ses idées noires entre lui et une bonne bouteille d’alcool fort. Il croit dans les différends dieux, il pense qu’ils ont certainement aidés à la création du monde et accorde leur protection à quelques élus. Malgré tout, il ne les prie pas, pas pour arrêter la maladie par exemple, ses demandes sont bien plus égoïstes. En général, il demande simplement qu’une bouteille de rhum lui soit accordée. Ou à une plus grande échelle, que son bateau ne coule pas pour la énième fois aujourd’hui. Très guilleret, joyeux de base, finissant très souvent complètement torché.

Néanmoins, il sait être discret et marchander presque n’importe quoi et n’importe qui, montrant une facette bien plus sérieuse. Sachant être fidèle mais demandant également fidélité de son coté, il n’apprécie pas vraiment être trahit, pouvant être rancunier. La souffrance ne l’effraie pas, regarder quelqu’un se vider de son sang ne lui fait ni chaud ni froid, faisant douter même qu’il s’agit de la même personne. Mais il le faut bien pour ceux qu’il fait, très peu des hommes sous son commandement sont des enfants de cœurs, certains sont même fous ou possédant un toc. En vrai, il s’agit d’individus n’ayant pas trouvés mieux que ce capitaine en carton. Et malgré qu’il ait l’air de tenir à eux, parfois, il les sacrifie sans aucun remord, les prenant comme son bateau : remplaçable.

Après tout, sa contrebande apporte assez de bénéfice, alimentant des marchés noirs, échangeant esclavage avec service à vie… Il fait aussi office de passeur entre pays côtier, surtout entre Phelgra et Argyrei. Cachant des esclaves dans la cale et usant de ses minces pouvoirs pour diminuer les chances que ses invités soit découvert. Son prix est très variable pour ce genre d’opération, très souvent à la tête du client. Demandant beaucoup si ça vient d’un riche voulait faire sortir son amoureuse ou bien peu pour celui qui ne possède rien si ce n’est au minimum, quelques semaines de service sur son rafiot. Pour les esclaves fuyant par son navire, il est souvent question de dettes, qui luit plait d’oublier ou de rappeler selon comment deviennent ses marchandises. Les enfants ne font pas exception même s’il plait de les prendre à son service avec un air dur, voulant faire croire à sa cruauté. Mais il agit alors plutôt comme un père sévère qu’un tortionnaire. Enfin, jusqu’à trouver ou les débarquer, quand il en a l’occasion. En effet, par rapport à ces suppôts de Satan qui compose l’essentiel de son équipage, il s’agit de véritables pierres précieuses pour ceux et celles, anciens esclaves, qui restent à bord.

La plupart des marins qui connaissent son petit trafic font circuler de lui mauvaise réputation, celui d’un véritable alcoolique, ce qui n’est pas forcement faux, à default de pouvoir prouver de quoi se compose son pain. Mais il s’en moque, à default de montrer les épreuves de son passé, il se plait à faire croire une certaine naïveté et insouciance de sa part.

Sinon, les rare fois où il s’énerve, il devient réellement un capitaine effrayant, son visage devenant tendu, enfin, pour la partie où il possède encore les muscles pour. Pouvant même facilement lancer des bouteilles vides à travers la pièce, rarement des pleines ou divers meubles.
A part ça, autre trait charmant de sa personnalité, il a tendance à tellement boire qu’il oublie toute autre activité, finissant souvent en vieille loque sur une table, tenant toujours fermement la bouteille de rhum la plus proche.

En dernier mot, j’aurais tendance à dire qu’il change beaucoup mais pas totalement sous son autre forme et qu’il est facile d’apaiser ce démon si on a de quoi l’abreuver. Très peu de l’équipage le connaisse et le peu qui l’ont croisé sans finir dévoré l’ont appelé Gerard car il est vrai que dans ces moment, l’esprit du capt’ain est rarement présent. Il s’agit plus d’un monstre qui est capable de dévorer un marin entier trop imprudent ou que le capitaine n’aime pas mais bon, soyons sincère…. On retrouve en général le monstre dans la cale en train de vider les réserves d’alcool fort. Parfois, il est possible de demander un service a ce monstre qui marchandera tel un diable un tribut, un marché très souvent avec le sang en demande et en paiement. Mais bon, heureusement, c’est parfois le capitaine aux commandes, quand il prend cette forme consciemment et pas après 5 bouteilles de Rhum et dans ces cas là…. Il force les gens à boire sans prendre en compte son apparence monstrueuse.
Finalement, je ne sais pas ceux que je préfère entre Gerard et le capitaine pour cette apparence-là.





PRENOM : Bardot
SEXE : Mâle
DESCRIPTION : Gagner lors d’un concours, il est fort, têtus, il est sombre au-dessus et blanc en dessous tout comme son museau. Il est stérile comme tout ceux de sa race, fruit d’une union interdite. Quand quelqu’un monte sur son dos, il n’avance plus. Il s’appelle Vodka, son propriétaire ayant beaucoup d’humour.
Vodka dans un près:






Tout commence à la prison des déments, à Umbriel. Je serais apriori née d’une condamnée qui est arrivé ici enceinte, aucune foutue idée de qui elle était par contre et qui l’a engrossé. Qui se souvient de ses premiers mois de vie en même temps ? Le commencement de ma vie n’est qu’une anecdote me permettant de savoir mon âge. Aller savoir comment je me suis retrouvé à Elusia, la cité de l’eau. Mon vieux ne me l’a jamais dit, même pas entre deux torgnolles, il aimait le rhum au moins, à croire que j’ai hériter de son ivresse. Enfin, je suppose que ce n’est pas lui qui m’a ramené mais probablement sa conjointe dont je n’ai que de mince souvenir. Elle était douce, je crois mais bon, ça criait tellement dans cette taule que j’en qui pas complétement sure. Enfin, elle n’était plus là quand j’ai grandi et le vieux disait sans cesse que c’était de ma faute. Soit, je n’en ai jamais crue un mot vu comment il buvait comme un trou et me frappait ensuite tellement que j’avais le nez en sang, me retrouvant dans la cave. Pour éviter les ennuie néanmoins, il expliquait ma présence que j’étais un yorka chat blanc née sans queue. C’était possible et tous n’ont pas les oreilles de leur essence et comme lui était aussi un félin, un lion. Cela m’a peut-être sauvé un temps, c’est vrai, jusqu’à mes dix ans je dirais. J’apprenais à bien mentir à cette époque, bien que c’était mal vue d’invoqué Sharna ou n’importe quel dieu. C’est aussi à cet âge que je pris une mauvaise habitude ; sortir, surtout la nuit quand mon vieux dormait. J’étais un gamin borné et qui recherchais l’attention mais ce n’était pas forcement propice au milieu des errants, de vouloir qu’on m’écoute. Je voulais avoir de l’attention, j’ai été servie. Des rumeurs parlant d’un étrange monstre hideux commençaient à émerger ci et là, je ne m’en souvenais pas forcement, je me transformais plutôt involontairement. Cela ne posait pas problème dans la piaule qui me servait de logis, ça rendait même service à celui qui m’élevait (c’est un grand mot), en chassant les rats mais sinon…. En pleine cité…. Si bien qu’un jour j’obtins ma liberté, mais pas vraiment comme on pourrait l’entendre.

Il me traina par les cheveux dehors, une bouteille à la main, me jeta sur les pavés durs, alors que le soleil se couchait. Il me lança simplement que vue que je sortais en cachette, j’étais capable de me débrouiller seul. Bon…. Ok. Je trainais un moment dehors, d’abord heureux, rencontrant un couple en chemin pratiquant le sport favoris de la cité sans faire plus attention que ça. Plus tard dans la nuit, la faim me gagna par contre, la soif aussi. Je trouvai une bouteille à moitié vide, ça ressemblait à de l’eau mais c’était bien meilleur, je ne me souviens de rien après ça. Si ce n’est que je me réveillais dans une cage en fer où je n’avais pas la place de me mettre debout, qui était elle-même sous un drap et que deux hommes s’échangeaient une poignée de mains et une bourse. J’embarquais sur un navire après ça, enfin, je fus embarqué serait plus exacte. Je ne sus pas grands choses de cette période en mer, l’équipage ne me parlait pas. On me passait du pain et de l’eau de temps en temps entre les barreaux et on semblait plus me craindre qu’autre chose. Je n’en prenais pas grief. Puis un jour, j’entendis un grand bruit, comme quelque chose qui explose, la panique et bientôt plus personne si ce n’est moi à bord. Il eut un silence puis l’eau…. Pour la première fois, je criais qu’on vienne me sortir de là, qu’on ne pouvait pas me mettre dans une cage puis me laisser me noyer. Le bateau tombait littéralement en morceau, un peu de chance dans ma malchance. Quelque chose céda au-dessus de moi, assez lourd pour me sonner quelques secondes. Puis, de l’eau salé en bouche, constater que ma cage était ouverte et légèrement en « v ». Je rampais pour sortir mais je ne connaissais même pas le rafiot dans lequel j’étais, il paraissait grand. L’eau montait de plus en plus rapidement, je courus un peu partout, un peu indigné d’avoir été abandonné comme une vieille chaussette. Je me retrouvais sous l’eau avant de trouver l’accès vers le pont et à l’époque je ne savais pas très bien nager, je n’étais qu’un nabot ! Mais avec toute les galères qui m’sont arriver, j’ai appris sur le tas moussaillons !

Enfin, j’ai réussi à m’en sortir, avec peu d’eau dans les poumons, me ramassant sur une planche qui flottait parmi d’autres détritus qui partaient également avec moi dans le courant marin. Je voyais déjà le reste de l’équipage au loin, dans leur barque. C’est limite s’ils ne me faisaient pas un doigt d’honneur en partant (je l’ai probablement rêvé mais je l’ai ressenti comme ça). Enfin, j’ai dérivé seulement pendant 1 jour, coucher sur ma planche à attendre soit un miracle, soit la mort, soit les deux. C’est ainsi que je suis arrivé sur des rives sablonneuses. Le reste du navire était arriver avant moi, j’ai donc fouillé les restes. J’y ai trouvé de l’eau et de la nourriture mais je ne pouvais rester éternellement sur cette plage, j’ai donc pris ceux que je pouvais… j’ai marché je ne sais combien de temps avant de trouver un semblant de bâtiment. Je sais aujourd’hui que c’était le temple de Kron mais bon, sur le coup, pour moi, c’était simplement un temple calciné abritant un vieux fou. J’étais à bout de force, je n’en pouvais plus, ma gorge me brulait, je crachais mes poumons et toute la peau non protégée était brulé par le soleil. Mais sur les marches menant en haut du temple, il y avait ceux qui ressemblait à des offrandes pour des pèlerins trop feignant ou trop peureux d’aller jusqu’au bout. Je peux dire que ça m’a sauvé la mise, non d’un chien ! J’avais épuisé il y a peu ceux que j’avais récupéré après tout ! J’ai failli m’étouffer une douzaine de fois tellement que j’ai bue vite alcool, eau et tout autre liquide présent (même si ce n’était pas bon et que c’était là depuis je ne sais combien de temps) … Et la nourriture, qui commençais à moisir par endroit, est partie tout aussi vite. J’ai ensuite eu la force d’aller jusqu’à l’intérieur du temple où je me suis écroulé sur le sol frais bien que noir de suie. Quand je me suis réveillé, y avais un vieux fou mort qui me regardais avec vous savez, cet air que l’on ne sait pas si vous êtes content ou mécontent, ou les deux. Je ne lui ai jamais dit que j’avais dévoré des offrandes qui était adressé au dieu et à présent, je crois que j’ai bien fait ! Je suis restée à peine quelques jours là, j’ai réussi à gagner un peu d’eau et de nourriture, assez pour me rétablir si ce n’est un peu. Le temps que ma peau brulée pelle en tout cas. Après, niveau relation, quand je lui parlais de mon histoire, il se fichait de moi plus qu’autre chose. Il y a des sujets sur lequel on s’entendait, on croyait tous deux dans les dieux après tout. Enfin, on ne s’est pas beaucoup vue non plus. Je ne sais même pas s’il s’est rendu compte que je suis partie le jour venue, rejoignant des pèlerins dans leur retour vers la civilisation. Enfin, c’était des sages donc disons plutôt qu’au final, j’ai échangé une galère contre une autres. J’ai certes eu de l’aide, mais bon, rester cloitré à Amaryl pendant 4 ans, ce n’est pas la joie non plus !

Les sages m’ont appris à lire correctement et finalement, dans leur grand savoir, c’est celui de la mer qui m’intéressa le plus. Enfin, qui m’ennuya le moins, fallait bien faire passer le temps et se lancer dans le désert, tout seul…. Je n’étais pas chaud, sans mauvais jeu de mot ! Enfin, à 14 ans, chameau prêt et ayant une excellente excuse, ou un très mauvais mensonge, ça dépend du point de vue, je partis. J’étais censé aller à Hespéria mais je suis plutôt aller à Koldom où j’ai revendu sans aucun remord ma monture et les provisions qu’il me restait et où j’ai réussi à me faire embaucher par un marchand, un marin. J’y suis resté 3 ans, tout se passait relativement bien. Enfin, sauf ce jour-là….

Celui ou j’ai eu la merveilleuse idée de repeindre la cabine du capitaine en bleu clair car je la trouvais moche sans couleur, juste le bois du navire. De mémoire, il m’a dit que si jamais je recommençais, il me hacherait menue avant de me bruler et de me donner aux requins. Ha, et il a aussi cette autre jour…

Celui ou je lui ai offert un perroquet durement acquis à la sueur de ma bourse. Il n’était pas cher, je me suis donc douté de rien jusqu’à que je doive nettoyer le bateau entier de chiure et du perroquet mort 4 jours plus tard.

Bon, il y a aussi la fois où j’ai assommé un officier de je ne sais plus quel pays car la caisse qui était sur le rebord du navire est tomber… Pousser par un vent violent sur ce fameux bord que je venais de savonner un peu plus tôt. Je me demande pourquoi je n’étais pas beaucoup payé à cette époque. Pour le reste, j’ai appris les bases de la navigation.

A 17 ans, un jour pluvieux, je buvais avec les gars dans une taverne pas loin, le bateau était en réparation après un accrochage dont je ne suis presque pas responsable. Je me suis dit que j’allais revenir un peu plus tôt sur le bateau, vérifier qu’aucun chenapan ai profité de notre absence pour aller voir. On transportait de la poudre à cette époque-là et vue le temps de merde, je suis allé vérifier l’état, torche en main. J’ai glissé, je me suis gamellé, la torche à rouler jusqu’à la poudre qui a commencé à prendre, étant parfaitement abrité. J’ai tout juste eu le temps de m’éloigner, ça à exploser, je suis sortie et j’ai contempler le spectacle, encore plus trempé, depuis le port. La légende raconte que le capitaine Marvus Trimelor me cherche encore et se demande comment son navire a disparu en une soirée. Je vous rassure, il ne m’a jamais retrouvé, enfin, jusqu’à ce jour tout du moins.

Enfin, j’ai pu facilement me faire réembarquer, étant à Hellas. Un peu clandestinement par contre, disons que je n’avais pas envie d’affronter mon ancien capitaine. Mais bon, le navire sur lequel j’étais n’a pas duré longtemps, il a été pris par des pirates à peine eut-il gagner le large. Tout d’abord, je fus prisonnier, c’est toujours mieux que tuer puis je suis un peu montée en galion avec ce nouveau capitaine, cela a duré qu’un an par contre car après, on fut capturé par un autre navire. J’ai pu m’échapper car au moment de débarqué à Navros Limali, une tempête violente a commencée et un rafiot à proximité est rentré dans celui accosté. Un problème de visibilité quoi mais il ne m’en a pas fallu plus pour me tirer. Je ne sais pas où j’aurais fini si je ne m’étais pas caché dans cette fosse pleine de déjection de cochon. Je ne sentais pas la rose après ça mais au moins, j’étais vivant. J’ai vagabondé un peu ensuite dans cette magnifique ville, occupé à ne pas finir en esclave et à ne pas puer toute la journée. Mais caché par ci, par-là, j’ai vue de nombreux trafic, beaucoup de ma race ainsi que des Yorka…. Bizarrement, ça me serrais le cœur, je m’en voulais de ne pouvoir rien faire. Ils paraissaient innocents après tout, n’avait rien demander et n’avais simplement, pas eu beaucoup de chance.

Je ne sais pas réellement comment je me suis débrouillé après ça en vrai. Je sais juste que j’ai réussi à embarquer sur un navire marchand, que le voyage n’a pas été agréable jusqu’à Hellas (oui encore). Bon, après, c’est allé mieux, j’ai été pris sous la tutelle du capitaine Morflo Rig, un Zélos. Bon, pendant ces 5 années, j’ai coulé des navires, encore, maiiisss…. Pas celui sur lequel j’étais, celui-là, je l’ai juste un peu abimé. On a fini par m’appeler « le poissar » et le capitaine disait souvent qu’il allait me jeter sur les navires ennemis pour les couler mais je suis sûr que c’était pour rire…. Hein ? N’est-ce pas ? Enfin, étant assez bon malgré ma malchance, j’ai fini par être capitaine, le capitaine ombre. D’abord d’un premier navire, le Hélas, un magnifique deux mat, petit navire marchand que je convertie facilement à la contrebande. Il suffisait de changer l’équipage et pour cela, suffisait de retourner à Phelgra. Je mouillais souvent mon navire dans ces eaux crasseuses, je faisais évader des prisonniers (ça dépend lequels) mais surtout des esclaves, que je cachais dans la cale. Souvent des adultes qui me devaient une dette après que je les ais sortie de cet enfer. Souvent 500 dias par personne et je leur laissais souvent un an pour venir payer leur dette. Parfois, j’oubliais, parfois non, ça dépend si la personne se foutait de moi quand je la retrouvais pour demander le paiement. C’était plus pour les apparences que par avidité, je ne voulais pas me faire passer pour un chevalier servant.

Un jour néanmoins, dans le port de Navro Limani, je vis une petite fille, une sindarin courir en toute hâte, chaine au mains, tenue ressemblante plus à un tissu unique en lambeau. Elle semblait fuir, elle avait sa peau claire tachée de boue et ses cheveux de blés emmêlés. Ses yeux vert forêt trahissaient sa peur profonde, si bien qu’elle me percuta de plein fouet alors que j’étais sur le quai, juste à côté de mon navire. Il n’y avait pas grand-chose à proximité si ce n’est un dédale de caisses et de coffres dont quelques-uns mal fermés. Il fallait faire vite, je dus donc rapidement juger de la situation, une agitation, un groupe d’homme venait par là… Je fis donc un truc peut être un peu débile surtout que la gamine de 10 ans avait l’air d’avoir la trouille de moi. Je la pris par le col, ouvrit un coffre et la lança dedans en lui intimant de ne pas faire de bruit, au nom de sa vie. Le coffre était rempli de poissons, plus très frais d’ailleurs, ça puait mais sa ferais l’affaire. Je m’assis dessus, sortie un de mes sabres et mon mouchoir brodée et fit semblant de nettoyer ma lame. Heureusement que ce jour-là, j’étais tombé sur de véritable couillon, un de mes pouvoirs marchât extrêmement bien !
« - Vous n’auriez pas vue une petite fille aux oreilles pointus et blonde ? »
Je levai à peine les yeux de ma fausse occupation, comme s’ils me dérangeaient. Ils regardèrent sur quoi j’étais assis, les deux hommes n’ayant pas parlé vinrent m’entourer sans réelle conviction.
« - Il y a quoi dans le coffre ? »
Je soupirai, visiblement dérangé. J’ai alors répondu en levant la tête, les faisant sursauter. Prenant un air presque macabre mais enjoué, curieux mélange, laissant imprimer mon mensonge sur ceux qui était visiblement leur chef.
« - Du poisson, je dois l’emporter à Cimmeria. »
L’individu sembla s’en convenir, signe que cela avait marché et était prêt à s’en aller mais les deux autres ne semblait pas convaincues. Je souris donc, me levant et relevant que légèrement le couvercle, juste assez pour laisser passer l’odeur immonde mais ne pas laisser voir le contenue.
« - Mais je peux toujours vous en vendre deux ou trois, ça ne se verra pas. »
Ils se bouchèrent immédiatement le nez et je lâchais le couvercle qui se referma. Je pris un air déçu alors qu’ils repartaient en disant que c’était bon, sans demander leur reste.

Quand je fus sure qu’ils furent loin, je sortie la fille de là en la tenant fort par le bras, revenant sur mon navire et la jetant telle un sac de patate sur le pont, au milieu de mes marins (même si c’est surtout de nom, à leur niveau). On me demanda ceux qu’il fallait en faire et à cette époque comme au présent, je suis toujours le même pour ces affaires-là !
« - Jetez moi ça dans la cale jusqu’à nouvelle ordre. Défaites les cordages, descendez les voiles, levez l’ancre ; on part. »
Ceux qui fut fait. Je ne descendis que très tard dans la nuit dans la cale, lanterne en main, après avoir dégrisez (car autant dire que comme d’habitude, j’ai bien picolé entre deux). J’avais un sceau d’eau dans l’autre main, elle s’était endormie dans sa crasse et même moi ne l’avais pas réveillé. Je lui lançais l’eau sans état d’âme, la réveillant sur le coup, elle me regarda de nouveau terrifiée.
« - Cela ne va pas te laver mais si sa peu te débarrasser si ce n’est qu’un peu, de l’odeur. Bon, comment tu t’appelles. »
Elle ne me répondit pas, se contentant de me fixer, se demandant probablement à quelle sauce j’allais la manger. Je pris un air dur, presque déçus.
« - Mince, une môme muette, ça ne me servira probablement pas à grand-chose. Je devrais peut-être te ramener où je t’ai trouvé ?
- Ambre ! Je m’appelle Ambre…. Ambre Grisedur. »
Je souris, m’accroupis à sa hauteur, lui relevant le menton avec douceur alors qu’elle avait instinctivement baissé la tête. Mon ton resta dur néanmoins, telle un marchand.
« - Voyons Ambre… Je t’ai sauvé, qu’est-ce que tu peux m’apporter ?
- Je n’ai pas d’argent… Je….
- Je sais ! Tu as quoi, 10 ans ? Tu seras donc à mon service jusqu’à tes 18 ans. »
Elle allait répondre mais je m’étais déjà levé et j’allais repartir. Son visage ce jour-là, elle a dû penser qu’elle avait échanger un maitre contre un autre ! Pourtant, aujourd’hui, elle ne se plaint pas même si, n’ayant pas trouvé d’endroit sure ou la débarquer, elle est restée avec moi… Nan car bon, je dis ça aux mômes pour qu’ils restent tranquille le temps de leur trouver un endroit où retourner ! Mais elle, elle s’est accoutumée à tous, autant qu’a moi qu’à ma nature monstrueuse, à ma personnalité désastreuse et regarder là aujourd’hui !
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Après deux ans à mon service, j’ai fini par la renommer « Ambre Ombre » par contre, ça évite les problèmes, surtout avec les différents équipages que je me traine. A mes 25 ans, je m’en souviens encore, il y avait ce concours où il fallait boire le plus possible, un bon Rhum. Bon, le prix, je l’avoue, sentais le roussi et n’avais pas grand intérêt pour un marin mais que voulez-vous ? J’étais surtout là pour la boisson ! Alors, j’ai gagné, bien entendu et j’avoue que je n’ai pas attendue d’avoir complétement dégrisé pour revenir à mon navire qui était en réparation après… Quelques accidents malheureux. Avec ma bête, je suis arrivé, j’ai pris une masse et j’ai commencé à frapper la coque. Mon équipage c’est précipité sur le pont, me regardant, la plupart était déjà rentrer dormir.
« - Que faites-vous capitaine !?
- Arrêter ! »
Je les ai regardés, sure de moi, yeux dans les yeux, a moitié torché.
« - Faut bien que je fasse rentrer mon prix dans le bateau, moussaillons ! Et puis, chai moi le capitaine ! »
Autant vous dire que le lendemain, j’étais avec Ambre à la taverne, elle m’a regardée alors que le Bardot que j’avais appelé Vodka dans une grande inspiration, attendais. Je regardais le sol, comme malheureux, elle n’était pas énervée, la gamine était juste lassée, très mature pour son âge.
« - Capitaine, vous m’avez appris tout ceux que je dois savoir, vous savez ?
- Oui.
- A quel moment, vous vous êtes dit que faire un trou en dessous de la ligne de flottaison d’un navire, était une bonne idée ?
- Sur le coup, ça paraissait censé.
- Vous savez, normalement, quand on est responsable de la noyade d’une dizaine d’homme, on est censé se sentir responsable même si les dit hommes était des ordures.
- Surement. Bon, heureusement que notre "commerce" me rapporte assez… Humm, tu sais à présent reconnaitre un bon navire.
- Faudrait encore que le capitaine qui le dirige ne soit pas le pire existent.
- Cela fait partie de mon charme. »
Elle a éclaté de rire malgré la situation. Encore aujourd’hui, j’aime toujours autant sa voix cristalline. Elle partit avec deux marins rescapés essayer de trouver un bon navire. Moi, je transférais mon bardot à l’écurie d’une auberge sur le port de Hellas, me demandant à moitié ceux que j’allais en faire finalement. En cherchant Ambre sur les quais, la nuit arriver, je suis tombé dans une embuscade, on m’a assommé et je me suis réveillé dans une cave.

J’étais enchainé, torse nue, on m’avait réveillé en me jetant de l’eau glacé dessus. Le gars en face de moi me cria directement dessus ;
« - Ou est le capitaine Von Diken ? »
Je le regardai, l’esprit encore un peu embrumé. Il me frappa dans les côtes, je dis simplement, sincère ;
« - Je ne connais pas votre capitaine à la con ! »
Un autre individu entra, il avait des gants, celui présent le regarda. Je ne sais pas précisément combien de temps cette interrogatoire qui n’avais aucun sens dura, peut-être une heure ? Deux ? En tout cas, j’en pouvais déjà plus, je n’avais rien demandé et je me retrouvais là. Au bout d’un moment, le premier gars me redressa la tête, me forçant à le regarder.
« - Puisque tu ne veux pas parler… Peut-être que tu seras plus bavard après. »
Alors, techniquement, je parlais, pour leur dire qu’ils se trompaient et que je ne connaissais pas leur type. Mais ça ne servait pas à grand-chose, mon pouvoir de mensonge n’était pas assez puissant pour me sortir de ce mauvais pas. Enfin, le gars jusque-là en arrière-plan, s’approcha, retira ses gants sans trahir la moindre expression, s’approcha de moi. Je me souviens qu’il avait de grande mains, large et épaisse qu’il mit sur la partie inférieure de mon visage, sur la majorité de ma bouche… Et la douleur qui suivie… Je voulais hurler mais il me fermait bien la bouche, bouche qui fondait, perdant mes lèvres et que dire du reste ? J’ai perdue connaissance… Heureusement peut être, j’étais dans un sale état.

Quand je me suis réveillé ensuite, j’étais sur un lit, dans une auberge, celle que j’avais loué je crois, ambre à mon chevet, endormie. Punaise, comme j’avais mal ! Elle s’est réveillée quand j’ai tenté de commencer à bouger, elle a pleurée et j’ai compris qu’elle tenait vraiment à moi ce jour-là, seul marin de valeur que je possédais, bien au-delà de la dette de départ. Bandé de partout, j’ai pris connaissance de mon état que plusieurs jours plus tard et j’ai pu me débrouiller que plusieurs semaines plus tard. Ces chiens m’avaient tellement abimé… J’ai dû adapter ma tenue pour éviter de faire peur à tous ceux que je croisais, j’ai dû apprendre à vivre, à boire sans lèvres (pour ceux qui me restaient) … A ignorer la douleur dans le dos, Ambre m’a dit que ça ressemblait à une main mais moi, je savais juste que ça faisait mal ! Ces bouffons ont dû essayer de me réveiller ainsi et on dut ensuite penser que j’allais clamser ! En tout cas, vue où Ambre m’a retrouvé… Le guérisseur qui ma retaper a pris un sacré pognon en plus…. Mais j’étais en vie, au moins, à croire que ma vie n’est qu’une énorme blague dramatique. Enfin bref… J’ai dû… M’adapter. J’ai pris une petite piaule à Hellas, avec une petite écurie, vus ma malchance, je me suis dit que ce n’était pas plus mal d’avoir un endroit pour se reposer avec Ambre entre deux mésaventures. Pas grand-chose, deux étages de 1 pièce chacun et un écurie deux place. Le genre d’endroit qu’en 5minutes, t’a déjà fait le tour. Ambre ma souvent dit que je m’étais durci suite à cette histoire, plus que Gerard même si je ne sais pas qui est Gerard. Actuellement, depuis maintenant 2 ans, j’ai un nouveau navire trois mats, les plus petit qui existe. La cale est grande, il y a un dortoir pour les matelots, la chambre, pièce du capitaine et Ambre a aussi la sienne. Pas de canon mais solide, bien que souvent retapé. Si bien qu’Ambre a fini par lui trouver un super nom que les matelots approuvèrent et moi aussi au bout d’un moment ; Le survivant.
Après, il a les voiles grises et du moment qu’il y a toujours une réserve d’alcool en cale, j’irais ou il faut, continuer mon petit trafic.





Dernière édition par Eldinnor Ombre le Mar 25 Fév - 21:28, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Le marin malchanceux   Le marin malchanceux Icon_minitimeDim 23 Fév - 19:38


Nous revoilà avec un nouveau personnage plutôt atypique.^^

Comme tu as déjà présenté tes pouvoirs, je vais en profiter pour commencer par eux :

_ La magie "Sharna" => Ta magie ne semble pas prendre en compte la personnalité des individus à qui tu veux faire gober un mensonge. Les magies n'étaient en rien absolues, il faudrait que tu prennes en compte la "sensibilité" des personnes auprès de qui tu veux faire croire un mensonge, ne serait-ce qu'au moins au début de ta maîtrise. Pour les deux derniers niveaux, je ne vois pas la pertinence de préciser un périmètre puisque à moins d'avoir une bonne ouïe ou bien hurler ton mensonge, je ne vois pas pourquoi une personne se trouvant à 30 mètres de toi serait attentif à ton pouvoir. Il faudrait également que tu précises la durée de ton influence. Tu ne pourrais pas faire croire advitam eternam que ton personnage est un dieu par exemple.

_ La magie "stature" => Il faudrait préciser de quelle manière tu "centres" l'attention sur toi, de quel ordre pour la personne sous influence. Est-ce qu'elle est fascinée? Est-ce qu'elle ne ferait pas attention à une maison en feu juste à côté d'elle?

_ Physique => les lhurgoyfs ont des yeux "ordinaires". A moins de s'être injecté de l'encre dans le blanc de ses yeux, il ne peut avoir sous sa forme humaine la particularité que tu décris.
Concernant la taille, je vais te concéder les deux mètres cinquante mais sache que c'est une rareté. Généralement, il ne font pas au de-là de deux mètres. Pas de "voluptés de ténèbres" également. Sous leur forme monstrueuse, ils n'ont rien d'ordre "magiques", pas de fumée, pas de feu, pas de "voluptés".

_ Histoire => Au tout début, il y a un passage où tu parles de tes yeux, donc il te faudra le modifier en conséquence de ma remarque précédente.

Dans ton histoire, il y a une incohérence ou plutôt un manque d'information lorsque tu parles que ton bonhomme a erré pendant deux jours sur une planche dans l'océan avant d'échouer sur la terre ferme. Lhurgoyf ou non, ton personnage devait mourir de soif et de faim mais tu indiques qu'il te faudra faire beaucoup de kilomètres (voir jours) avant d'atteindre Lokram (où se trouve le temple de Kron) qui serait la premier bâtiment atteint (et le premier endroit où tu te sustentes). J'ai bien peur que ce soit impossible. Des côtes à Lorkam et dans les conditions où ton marin arrive, c'est impossible pour lui d'arriver vivant au temple.


De manière globale, j'ai pu noté que tu avais quelques soucis avec la conjugaison et surtout les verbes sous la forme infinitive ou participe passé. C'est pas un drame pour la lecture mais c'est dommage. Une simple relecture et je pense que tu pourrais très vite te corriger, ça ne serait que plus agréable.


Préviens moi dès que tu auras apporté les corrections.


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MessageSujet: Re: Le marin malchanceux   Le marin malchanceux Icon_minitimeDim 23 Fév - 23:09

Bonjour,
voili voilou

Pour la magie de mensonge, j'ai mis un périmètre tout comme celle de stature pour une situation extrêmement simple:
En cas de présence au sein d'une assemblé dans laquelle il aurait besoin de s'exprimer. Je vois pas ceux qui pourrais l'amener a ses début a une telle situation mais il s'agit d'un personnage que j’espère faire évoluer dans ce sens, celui de quelqu'un qui peut se faire écouter d'un certain sombre de personne et y poser son avis, advienne que pourra ensuite en pratique.

Je crois que j'ai modif ceux qu'il fallait, corriger également toute les fautes que j'ai trouver a la relecture, je n'en voit pas d'autre pour l'instant (j'ai même fait l'effort de mettre les accent où il fallait sur les u et a suchi )


je parle en #cc3300 (mon démon en #962400) et Ambre(16ans en 1306) en #ffcc33

Le marin malchanceux Signa10

Phillip M. Margolin a écrit:
“Les monstres véritables ne ressemblent pas à des monstres.”



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MessageSujet: Re: Le marin malchanceux   Le marin malchanceux Icon_minitimeJeu 27 Fév - 18:51


Nous revoilà pour ce troisième! Toutes les corrections sont apportées donc rien à dire à présent.

Un sacré bonhomme, curieuse de voir son évolution.

Fiche validée!


Et puisqu'il s'agit d'un marin de Noxis, tu profites de la promo du mois et donc tu gagnes ce petit objet :

La rose des quatre-vents:
Cette boussole est un outil indispensable pour tout marin qui se respecte. En effet, l'artfact enchanté d'une provenance inconnue - peut-être les vestiges d'une ancienne tribu de pêcheur - prend la forme d'une petite boussole recouverte d'or. Attention cependant, vous n'y trouverez point les quatre points cardinaux... Mais l'aiguille en son centre indiquera toujours la terre la plus proche, où que vous soyez. Utile en cas d'urgence! "



Pour le reste, tu connais déjà le topo!

Tu vas pouvoir dès à présent te rendre dans la " GESTION DES AFFAIRES " afin d'ouvrir ton compte en banque, ton journal, ton inventaire et proposer ton évolution dans le comptoir à pouvoir.

Tu pourras également faire une demande de rang personnalisé JUSTE ICI.

Pour ton avatar, tu peux "réserver" une image particulière dans notre bottin ICI.


Une fois tout cela accompli, il te faudra renseigner tes pouvoirs et leur déclinaison dans le "comptoir des pouvoirs" ICI afin que cela serve de bibliothèque et que l'on puisse donner des limites bien précises à chacun de nos pouvoirs (tu pourras rp même si nous n'avons pas validé ton compte-rendu).


Bon voyage sur les océans!

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