Miran ··· En cours.

Sujet: Miran ··· En cours. Dim 12 Fév - 14:10

QUELLE PERSONNE ES-TU ?
Toi qui voyage sur ces terres oubliées

Miran Neredith
“ Le temps n'est pas un obstacle de la vie, c'est la vie elle-même. ”

SURNOM: Aucun surnoms.
AGE: 147 ans. Il a été considéré comme étant Terran durant trente deux années, puis les autres se seraient écoulées sans que le temps ne puisse le marquer de sa lame aiguisée.
SEXE: Masculin.

PEUPLE: Gorgoroth.
CASTE: Anciennement Cavalier de Sharna, puis devenu Ascan.
METIER: Proche conseiller d'Isaril.

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ARMES PRINCIPALES:
Sa faux qu'il a constamment sur lui, et éventuellement un arc quand il en a vraiment besoin. Mais la faux reste l'arme qu'il maîtrise à la perfection.
AUTRES POSSESSIONS:
Le ruban de soie noire avec lequel il s'attache les cheveux, autrement il le portera à son poignet, le plus souvent, dissimulé par des manches longues et un peu larges.
Une bague d'un métal foncé inconnu à ce jour sur laquelle est incrustée une pierre de sphène d'un violet foncé, presque noir, dont la vraie couleur n'est révélée qu'à la lumière. Il ne s'en sépare jamais et la porte à l'index même si les pouvoirs de la pierre semblent être presque épuisés.
Un petit sac en peau qu'il porte généralement en bandoulière ou sur une épaule, d'on ne sait trop quelle créature. Il y range ce qui lui paraît utile de conserver.
DON:
Résistance physique développée.
POUVOIRS:
Visions. Depuis son naufrage sur l'île de El Bahari, des visions imprévisibles surviennent n'importe où et à n'importe quel moment. Elles peuvent lui montrer des bribes du passé, du présent ou bien de l'avenir auxquelles il ne s'attend vraiment pas, mais souvent réelles sans pour autant être directement reliées à Miran. Notez qu'elles surviennent peu souvent.
Animorphie. Cette capacité lui permet très souvent de se déplacer plus rapidement ou bien de se dissimuler aux yeux de tous en adoptant une forme animale. Il a le plus tendance à prendre les formes suivantes, car ce sont celles qu'il maîtrise le plus : l'écureuil, la panthère, le cheval et le fennec. Concernant les formes d'animaux aquatiques et volatiles, il les travaille mais a encore du mal à se maintenir longtemps tel quel. La plupart du temps lorsqu'il décide d'emprunter une forme qu'il ne maîtrise pas, il se retrouvera le plus souvent avec un ou plusieurs attributs trahissant son appartenance aux Terrans/Gorgoroths.
Manipulation des ombres. Les ombres lui obéissent. Miran s'en sert pour combattre et il faut dire que c'est une force non négligeable étant donné l'étendue de ce pouvoir.
SPECIALITES:
Survivant extrême. Par tout temps et dans toutes les situations son instinct de survie est sur-développé, il serait capable, peu importe les conditions, de s'en sortir seul et même de prendre en charge d'autres personnes en cas de besoin.
Excellence spécifique en arme. Il maîtrise à la perfection une faux qu'il s'est mit à utiliser dès qu'il fut apte à supporter son poids, soit vers ses 15 ans.
Apprentissage rapide. Sa capacité à apprendre est incroyable, il emmagasine les informations et apprend les travaux manuels plus rapidement que la normale, capacité allant en adéquation avec ses deux autres spécialités évidemment.

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Décris-moi comment je te vois...

Miran fait 1m86, donc considéré comme étant grand. Sa silhouette longiligne et son visage fin lui valant parfois des descriptions telles que : « un peu efféminé », « l’élégance du peuple Sindarin » et bien d’autres malgré que sous de larges tissus se dissimulerait une musculature plus ou moins développée selon les avis. Sa peau est d’une pâleur propre aux Gorgoroths, peuple dont il fait à présent partie. Sur ses bras on peut voir d’insignifiantes cicatrices, d’autres, plus nombreuses au niveau des mains, lui rappelant parfois son ancienne vie ainsi que son naufrage auxquels il fait rarement allusion. Cependant, une marque retient plus particulièrement l’attention de son entourage et de ceux qui le rencontre, la plus redoutée, celle des Cavaliers de Sharna, ancrée à jamais dans sa chair, apposée au fer rouge signifiant son appartenance à cette caste. Son dos a également été marqué par ce qui semblerait être une lame très fine, n’appartenant certainement pas à une épée mais plus à une sorte de dague ou de couteau. Toutefois, ces stigmates ne sont pas anodins car si l’on en détaille les courbes qu’ils décrivent elles formeraient un étrange dessin. Personne n’a pu le constater de ses propres yeux, pas même les autres Ascans, mais d’après les dires il s’agirait de fleurs, grimpant ainsi le long de son dos. Miran a toujours possédé une longue chevelure lisse et châtain, ondulant parfois, lui arrivant jusqu’au bas du dos qu’il a souvent tendance à nouer dans la nuque en un catogan un peu flou. Son visage est fin et ovale, illuminé par un œil d’un bleu héraldique, et un autre noisette, tirant vers le orangé lorsqu'il s'expose au soleil. Ceux-ci sont en amande lui octroyant un regard des plus perçants. Sous son œil gauche au niveau du coin externe sont constamment tracés trois petits points noirs croissants, en partant de l’intérieur du visage. On peut dire que son nez est entre aquilin et mutin, n’étant ni trop droit ni trop retroussé. Ses lèvres légèrement violacées s’étirent dans un charmant sourire lorsqu’il daigne en adresser un à ses rares interlocuteurs. Son portrait se finit par un menton légèrement pointu affinant ainsi un peu plus ses traits délicats.

Décris-moi comment tu penses...

De tout temps, sa personnalité n’a jamais changée, sauf lorsqu’il est devenu un Ascan, forcé de vivre en communauté et acceptant après quelques réticences ce statut. Ayant été sadique et insensible à toute forme de bonheur au point de tuer de pauvres innocents, décimant des villages entiers en compagnie des autres Cavaliers, on aurait pu croire qu’il passerait sa vie à servir Sharna, mais un jour il fut lui-même écœuré de cette impassibilité dévastatrice. Son humanisme reprenait le dessus. Longtemps il s’en voulu. Mais cela, vous le comprendrez en lisant son histoire. En fait, si l’on voulait dépeindre le caractère de Miran, il faudrait du temps pour saisir son fonctionnement. Ce dernier est un peu lunatique, mais le plus souvent il se montre cynique et sombre. Peu loquace, Miran ne s’exprimera que s’il en éprouve le réel besoin et aura tendance à privilégier la vérité au mensonge, ne cachant pas ce qu’il pense de quelqu’un ou quelque chose lorsque l'on lui demande son avis. Dans le cas contraire il restera muet conservant jalousement ses pensées et ses cruels souvenirs pour lui seul. Il est également très solitaire, appréciant la sérénité et aimant se retirer dans la nature pour prier et méditer sur les évènements passés durant la journée ou la nuit. Il a une tendance étrange que beaucoup ne saisissent pas, mais un de ses grands plaisirs serait d’arpenter les côtes une fois la nuit tombée, pour seule protection la voûte céleste. Néanmoins, malgré l’arrière goût de mystère qu’il laisse généralement à ses connaissances son caractère un peu spécial en fait un homme sombrement charismatique dont le passé serait couvert d’énigmes et de préjugés.

Raconte-moi ce qu'a été ta vie...

« Je ne pense pas que cette histoire soit si utile… Si ?... Alors si c’est ce que vous voulez, je vais vous raconter. Mais ne m’en voulez pas, après. »

« Je suis né à Thyrénium, il y a bien des années de cela. D’un père forgeron et d’une mère herboriste dont le mariage n’était que pur arrangement. Un amour à sens unique que je n’ai su comprendre que très tard. Je fut le seul et unique amour de ma mère, qui pourtant paraissait froide et antipathique et ne semblait pas encline à offrir de l’affection à qui que ce soit. Dotée d’une beauté cruelle et d’une intelligence que beaucoup ne comprenaient pas, je su la comprendre et j’appris à vivre à son rythme. J’étais en avance pour mon âge, et elle avait pris l’initiative de m’enseigner la lecture et l’écriture en plus de ses importantes recherches sur les plantes nouvelles qui lui mangeait la majeure partie de son temps. Ce ne furent, bien évidemment pas, les seuls arts qu’elle m’apprit. Oui, des arts, car il y a une manière spécifique de faire la lecture, que ce soit pour les autres ou pour soi-même, et une façon particulière d’écrire, selon les circonstances, fond et forme compris. Ce fut la seule femme qui m’apprit réellement des choses qui me seraient utiles tout au long de ma vie, et à rester constamment collé à elle, je finis par apprendre les bases de la médecine par les plantes. Néanmoins, je passais tout mon temps avec elle, et les rares moments où nous n’étions pas ensemble, je me retrouvais seul, j’allais et venais dans la ville. Dans le meilleur des cas, il m’arrivait d’aller m’entraîner à l’épée, dans la solitude et la sérénité des petits matins brumeux, activité que je n’aimais pas, mais malheureusement mon père était très attaché au fait de m’apprendre à manier cette arme à la perfection. Enfin… De « m’apprendre », puisque j’apprenais toujours seul. Ma médiocrité en cette matière n’avait d’égal que l’amour que je portais à mon père. La sombre impression qu’il n’exista ne fut-ce que dans mes rêves les plus improbables ne m’effleura l’esprit que quand un beau jour il rentra tard le soir de la forge et m’adressa un « Tu sais le bonheur est dur à cultiver. » À cet instant, je réalisais combien son travail était prenant, et qu’il essayait malgré tout de me procurer de l’affection. Mais il était trop tard pour rattraper mon enfance volée par ces longues années où j’étais comme qui dirait voué à moi-même. Une affection que ma mère c’était bien gardée de m’expliquer et œuvrait jour et nuit pour m’en éloigner du mieux qu’elle put.

Les autres enfants du quartier ne comprenaient pas ma façon de voir la vie qu’ils jugeaient trop complexe. Je passais donc cinq années à me consacrer à la lecture que j’allais faire à la petite bibliothèque non loin de chez moi, à l’écriture et la calligraphie, activité que j’affectionnais tout particulièrement, et continuait d’approfondir mes bases en herboristerie. Cependant l’épée se trouvait être une activité de plus en plus lassante que je décidais de remplacer par une arme différente. Ainsi, je testais les poignards que je trouvais trop contraignant au niveau de leur maniement, vint l’arc qui ne me déplu pas. J’avais alors quinze ans. Je savais malgré tout que l’arc ne serait pas mon arme de prédilection, je m‘adonnais alors à des recherches plus poussées sur les anciennes armes de combat. Je trouvais donc la faux, dont les formes m’attirèrent instantanément et m’attelais à en trouver une. Comme aucune faux ne me paraissait exister ici, j’adressais donc la première, qui s’avèrerait d’ailleurs être la seule requête de toute une vie à un père. Je lui donnais donc un dessin détaillé de mes attentes. Quelques mois passèrent, et j’eu enfin ma nouvelle arme avec laquelle je m’empressais d’aller m’entraîner. Elle s’avéra extrêmement efficace et je devins vite un adepte de la faux. De jour en jour je progressais, et m’entraînait de plus en plus longtemps, ayant mis de côté mes autres activités pour ne me consacrer qu’à celle-ci. Mon intuition c’était révélée bonne. Je progressais.

Deux ans passèrent quand je me découvris un don. Celui de métamorphose animale. La situation qui me poussa à révéler ce don étrange et plus ou moins fantastique fut assez cocasse si je puis dire… Par un matin où j’avais quitté la ville à cheval bien avant l’aube, bien avant que les oiseaux n’aient entamés leur partition journalière j’étais allé me baigner à une petite rivière qui coulait à quelques foulées à cheval que j’avais découvert quelques années plus tôt et dans laquelle j’avais pris pour habitude d’aller une fois par mois environ. Une fois arrivé, je mis pied à terre et attachait ma monture à la branche basse d’un arbre à quelques mètres du cours d’eau cristallin. Alors que j’entreprenais de me déshabiller intégralement sans le soucis d’être dérangé, je remarquais enfin une jeune fille qui m’avait visiblement devancée. Le plus gênant ne fut malheureusement pas de constater que je n’étais pas seul, mais que la demoiselle en question ne portait absolument rien. Mon regard eut le terrible réflexe de se poser sur une poitrine plus que naissante, puis sur ses yeux d’un vert presque transparents, et en une fraction de seconde je me retrouvais prisonnier sous la forme d’un écureuil roux, et sous des vêtements à présent bien trop grands pour ce petit rongeur. Ce qui malgré tout ce que je pourrais en dire, m’arrangea fortement. Je crois bien que cette malencontreuse rencontre fut tellement intense que la transformation n’en fut que plus parfaite et immédiate. Aucun signes humains, des mouvements propres à la race d’animal incarnée. Non, vraiment, rien à redire là-dessus. Enfin, peut-être… Seulement le temps de transformation qui fut trop court. Epuisé, je repris ma forme humaine, nu comme un ver, et m’évanouissais instantanément. Je ne me souviens pas de ce qu’il s’est passé entre mon malaise et l’étrange réintégration de mes vêtements. Tout ce que je sais, c’est que la jeune fille s’était volatilisée, ma monture toujours au même endroit, broutait tranquillement le peu de verdure qu’elle pouvait atteindre. Trop d’émotions, trop de fatigue. Je rentrais donc chez moi, pour me blottir dans mes draps en me remémorant les yeux verts d’eau de la Jeune Fille de la Rivière. Je décidais donc de la nommer ainsi. [A FINIR]

QUI M'ACCOMPAGNE
Toi l'animal qui me suit

PRENOM:
Le nom de votre animal
RACE:
La race de votre animal
SEXE:
Masculin ou féminin
POUVOIR:
Vous pouvez avoir 1 pouvoir au choix, rendez vous dans la section approprié pour savoir à quoi il a droit
DESCRIPTION:
Si il s'agit d'un familier ayant un pouvoir, pensez à décrire la manière dont il porte son catalyseur

QUI ME PORTE
Toi ma vaillante monture

PRENOM:
Le nom de votre animal
SEXE:
Masculin ou féminin
DESCRIPTION:
Donner une brève description de votre monture

Sujet: Re: Miran ··· En cours. Dim 12 Fév - 18:02

Bonjour et bienvenue!!!

Je passe rapidement pour te dire que les personnages prédéfinis ont des bonus en expérience.
Mira a le droit à 4 pouvoirs et 3 spécialités.

J'attends de lire la suite avec impatience!

~ Sighild's Theme ~
See what I´ve become