Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)

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• Ladrinis: 9
• Eclaris: 5
• Prêtresses: 5
• Cavaliers de S.: 5
• Nérozias: 6
• Gélovigiens: 3
• Ascans: 0
• Marins de N.: 4
• Civils: 15

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- Walter cherche de Preux chevaliers.
_ Raël veut des clients.
_ Deirdre a besoin d'employé!

Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

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 Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)

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MessageSujet: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeLun 9 Avr - 22:11

L'herbe gelée crissait sous les sabots d'un cheval noir dont les naseaux laissaient échapper une vapeur blanche qui venait se mêler à l'air froid. Un cavalier emmitouflé dans sa cape bravait les Vastes Plaines par un mois de Firion. Ils étaient désormais seuls, loin des remparts d'Hespéria qui tout à l'heure encore, leur offraient un semblant de chaleur et de protection. Si la monture, un puissant frison noir, résistait parfaitement aux températures les plus basses, la personne juchée sur celui-ci n'était pas d'une constitution imperméable à un froid si mordant. Car sous cette épaisse cape brune doublée de fourrure ne se cachait ni plus ni moins qu'un fragile corps de femme.

~*~*~*~*~

Sytrinn avait passé quelques jours dans la capitale afin de mener à bien une mission. Voler des documents n'avait rien de bien compliqué en soi, mais la ladrini savait par expérience que les imprévus étaient nombreux lorsque le but à atteindre paraissait simple. Et effectivement, la nuit dernière avait été mouvementée pour la demoiselle. En bon valet, Sytrinn s'était immiscée dans une réception donnée chez sa cible. Servir coupes de champagne et petits fours tout en laissant traîner une oreille dans les conversations était une étape facile et la travestie se délectait du fait d'être transparente au milieu du beau monde. Lorsque la soirée battait son plein, l'heure était venue de passer aux choses sérieuses. Parcourant sans bruit les couloirs gardés, le domestique devait user de ruse ou de poison afin de dégager le passage vers le lieu de sa convoitise. Une fois à l'intérieur du bureau, le temps était compté avant que la présence de l'intrus ne soit révélée. Tout en tendant l'oreille, Sytrinn ouvrait un à un les tiroirs et en triait le contenu efficacement, ses yeux faisant des allers-retours rapides sur les lignes manuscrites de la paperasse. Une fois les fameux documents en mains, elle retira son plastron et déboutonna sa chemise afin de cacher les papiers dans le corset qui dissimulait sa poitrine. Alors qu'elle se rhabillait, le cri strident d'une servante se fit entendre, elle venait de découvrir les gardes gisants dans le couloir.
L'alerte était donnée, l'objectif était maintenant de rester en un seul morceau. La ladrini ouvrit prestement la fenêtre et entama sa descente au moyen de quelques prises sur la façade de la demeure, puis décida de se laisser tomber dans un buisson lorsqu'elle jugea la hauteur acceptable. Les branches lui tailladèrent les avants-bras et les jambes, laissant couler de minces filets de sang. L'absence de gardes pour l'accueillir ne la surprit pas mais confirma ses craintes. Prenant ses jambes à son cou, le petit valet avait dix secondes avant que les aboiements des chiens ne se fassent... plus proches qu'il ne désirait. La jeune femme courrait parmi les allées fleuries, talonnée par trois molosses enragés, salivant à l'odeur du sang s'écoulant de ses blessures. Quand elle eut enfin atteint le portail secondaire, hors d'haleine, elle entreprit de l'escalader. Par malheur, le document qui s'échappa du corset de la jeune femme détourna son attention une seconde de trop, suffisamment pour qu'un chien ait le temps de planter ses crocs dans son mollet. Sytrinn poussa un gémissement dans sa chute et parvint à dégainer sa dague qui trouva la gorge de l'animal. Mais bientôt, les deux autres chiens arrivèrent sur elle. D'un geste, la ladrini réussit à éborgner l'un d'eux avant que l'autre n'agrippe son bras, lui faisant lâcher sa dague. La douleur arracha un cri à la demoiselle, qui en désespoir de cause, cogna de toutes ses force sur le crâne de l'animal à l'aide d'une pierre. A son plus grand soulagement, il desserra son emprise et Sytrinn se rua sur le portail dont elle parvint à gagner l'autre côté.

~*~*~*~*~

Falko grelottait dans les bras de son amie. Le renard parlant ne pouvait plus que claquer des dents à présent. Dans les Vastes Plaines, l'avancée de la petite troupe se faisait de plus en plus pénible, d'autant que le ciel commençait à s'assombrir. Néanmoins, la jeune femme décida de faire une pause près d'un ruisseau afin de laver ses plaies de la veille. Au contact de l'eau glacée, elle serra les dents mais trouva satisfaction dans le fait qu'elle atténuait la douleur de ses blessures.

- Saleté de cabots ! Vociféra-t-elle.

Puis elle se leva et remonta en selle en installant son renard tout contre elle afin de lui tenir chaud. Sytrinn était exténuée et se décida à rejoindre le village le plus proche avant que la nuit ne tombe. Elle fit claquer les rênes de son étalon noir et partit au galop. Un courant d'air souleva la capuche de la demoiselle et ses longs cheveux dorés ondulèrent derrière elle au gré du vent. Mais alors qu'elle apercevait enfin les premiers champs se distinguer, signe qu'ils étaient à quelques kilomètres de Dalma, les bourrasques se firent de plus en plus violentes et les obligèrent à ralentir considérablement l'allure. Le visage de la jeune femme était figé par le froid, malgré le foulard jaune qui en dissimulait la moitié. Même Amadeus, son cheval, semblait en peine face aux intempéries. Au bout de quelques heures, les ténèbres les entouraient et le vent ne leur laissait toujours aucun répit. Les compagnons étaient à bout de force lorsque tout à coup, une bourrasque leur apporta une odeur de fumée, un signe de vie. Ce ne fut qu'après plusieurs minutes que Sytrinn se rendit compte qu'il étaient entrés dans le village de Dalma. En effet, toutes les maisons étaient barricadées pour en protéger les habitants du froid, et aucune lumière ne filtrait au travers des fenêtres. Il devait être tard et aucune taverne ou auberge ne serait prête à ouvrir pour les accueillir. La faim elle aussi se faisait sentir à présent. La demoiselle était au bord de l'évanouissement lorsque ses yeux presque clos virent une lueur rouge orangée s'échapper d'une maison, accompagnée d'un fracas métallique. La petite troupe s'en approcha et Sytrinn mit pied à terre afin d'attacher Amadeus à un endroit où il serait protégé du vent. Puis la ladrini déposa Falko sur le sol et tout deux furent attirés par la chaleur enivrante et presque douloureuse, qui émanait du lieu devant lequel ils se trouvaient. Le bruit métallique régulier résonnait désormais comme le glas dans leurs esprits, promesse d'une délivrance proche. Sytrinn, emmitouflée dans sa cape, le visage dissimulé par sa capuche et son foulard, poussa la porte de la maison sans annoncer sa présence et sentit une vague chaude venir soudainement à elle.

- Bonsoir, dit-elle aussi fort que ses poumons frigorifiés pouvaient lui permettre.

La jeune femme ne savait pas où elle était, ni même si quelqu'un se trouvait là. Elle fit néanmoins quelques pas en titubant, mais après le choc provoqué par la différence de température, ses jambes cédèrent sous l'épuisement et elle parvint de justesse à se rattraper en trouvant appui contre un mur.
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeLun 9 Avr - 23:49

Le début de la journée commença bien pour Marcus, le froid était au plus bas et le soleil rayonnait malgré les léger flocons qui flottaient dans l'air. Assis sur le toit de sa maison ,Marcus observa la neige tombée doucement , Eralyx à ses cotés. Puis un homme du village approcha de sa maison pour lui demaner quelque chose.

-Marcus ? C'est Dinoros, tu pourrait aller aider mon fils a cherché le bois dans la forêt plus loin ? Une tempête approche.

Le forgeron baissa la tête et il fixait l'homme de ses yeux gris bleuté qui étonnait toujours plusieurs membres du village. L'homme n'était pas bien grand et il était vieux et chétif , mais malgré ces détails , il était l'un des hommes les plus en santé du village malgré son manque de force du à son age. Donnant une caresse à son amie au pelage sombre, Marcus se laissa tombé gracieusement de son perchoir pour venir au coté de l'homme qui était venu lui parler.

L'homme semblait nerveux quand l'immense forgeron était venu se placer à ses coté pour répondre à sa demande. Sachant qu'il était généreux et qu'il acceptait toujours les demande d'aide que ont lui demandait, Dinoros n'était pas inquiet de la réponse , mais il était toujours effrayer par l'aspect de Marcus.

-Cela me fera un plaisir d'aider ton fils , Dinoros. Dit moi où il est exactement et je vais le rejoindre.

Marcus perçu la nervosité de l'homme et il posa sa main droite sur son épaule et lui fit un sourire pour le rassuré. Marcus perçu le sourire rassurant au travers de la barbe de Dinoros et de sa main il pointa le sud , le petit boisé non loin du village. Marcus siffla à son compagnon et la panthère noir sauta du toit pour venir au coté de Marcus, Dinoros sursauta à voir l'animale se joindre au forgeron. En quittant le village, Marcus perçu des paroles venant de l'homme.

-Quand tu reviendras je ferai venir un sac de lingot de fer et d'acier pour te remercié !

Marcus lâcha un sourire en tourna légèrement la tête, tout le monde du village connaissait l'amour que Marcus donnait à son métier et généralement personne ne lui donnait d'argent comme récompense de son aide, mais bien de pièces de métal pour sa forge.

~*~*~*~*~

Après 15 minutes de marche avec son animal, Marcus arriva enfin dans le boisé. Il lui pris pas beaucoup de temps a trouvé le fils de Dinoros, avec les traces dans la neige et le bruit qu'il fessait et surtout avec le gros traîneau remplis de bois que le jeune garçon de 20 ans tentait de traîné sans succès. Voyant l'immense homme musclé approché avec une panthère noire , qu'il prie son couteau et il recula de peur, mais il ravala sa peur en reconnaissant le Forgeron de Dalma.

-vo..... vous est venu m'aider ? Bredouilla le jeune garçon qui voyait Marcus approché.

-Ton père ma demandé de venir t'aider voyant que tu ne revenais pas, allé monte sur le traîneau je vais le tirer jusqu'à Dalma.

Le garçon monta sur le traîneau et il sursauta voyant Eralyx se joindre a lui sur une bûche de bois couverte de neige. La panthère fixait le garçon , qui lui osait même pas tourné le regard vers elle. Marcus pris les lanières de cuire qui était relié au traîneau et il commença à tiré. Le garçon écarta les yeux face a la force surhumaine de Marcus, il avait entendu parlé de sa force, mais jamais il n'avait vu un homme tiré avec facilité un chargement aussi lourd, alors que lui il avait tenté de tirer , il n'avait à peine fait bougé les skis du traîneau sur la neige. Durant près de 20 minutes, Marcus tira le chargement de bois jusqu'au village. En sueur du par l'énergie qu'il du donner pour transporter le chargement le fatigua, mais sa fatigue fut vite calmée par le sac a bandoulière qui était posée sur sa table contenant ce que Dinoros avait promis. Beaucoup de personnes du village était venu le remercier, car , grâce a ce bois, les maisons du village allaient pouvoir être protégécontre la tempête qui allait s'abatte ici. En entrant chez lui, Marcus ouvrit son armoire pour laner un bout de viande à son félin et il pris le coté de son lit pour le reste de la journée.


~*~*~*~*~


Marcus se réveilla et il entendit le lourd son du vent qui percuta le mur de sa maison, il remarqua que plusieurs de ses fenêtres avait été protéger, mais sa porte était toujours libre. Face a l'épuisement et s'était endormie et il avait oublié de le faire lui-même, mais d'autre au coeur aussi gros que lui , s'en était chargé à sa place. Le froid était présent , malgré les protections, Marcus alluma sa forge et il commença par regarder les 3 parchemins glissé sur sa table. Le premier était une arme courte, une lame recourbé avec du poids au bout de la lame ,le second des têtes d'outils, pelles,bêches et marteaus .Le 3e était un bracelet en acier. Marcus pris le premier parchemin et il débuta l'arme demandée avec les directives inscrit sur le papier. Il commença par cela , car c'était le travaux le plus long et le plus plaisant pour Marcus, crée une arme était un délice pour lui, un art aussi important qu'un maire ou un roi. La forge brûlait, réchauffant l'intérieur de la maison, même que Marcus du l'ouvrir la porte un petit peu pour y laisser entrer l'aire glacial de l'extérieur. Durant plusieurs heures il frappa de son lourd marteau le métal ardent , trempant dans l'eau , brûlant et frappant ,Marcus avait donné la forme de la lame. Il continua de frapper. Sous la chaleur, Marcus laissa sa toge et il se laissa torse nue révélant les nombreuses cicatrice et le tatouage sur son bras. Il trempa une dernière fois la lame quand il entendis sa porte ouvrire et un -Bonsoir.

Tournant son corps en entier , laissant la lame dans l'eau , Marcus perçu par la lumière intérieure , une ravissante jeune femme . Mais au moment ou il allait répondre , celle-ci chuta, mais elle resta agripper après le mur. Marcus s'approcha pour l'aider à rester debout et il la pris dans ses bras pour la transporter à son lit dans la chaleur de ses couvertures de peau d'animaux , Marcus lui proposa de retirer ses vêtements trempé et glacé pour les faire sécher. Il retourna a sa forge pour y retirer la lame dans l'eau et il s'approcha d'elle les bras entre croisé et il la regarda un sourire sur le coin de la bouche.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeMer 11 Avr - 0:08

Lorsqu'elle s'était trouvée dans la tempête quelques instants plus tôt, elle avait cru que l'eau sur son visage n'était autre que le torrent de larmes qui lui avait été arraché des yeux par le vent. Mais la réalité était que la pluie était venue sournoisement s'allier aux bourrasques griffues et sans pitié. Ainsi, la cape et les bottes de la demoiselle étaient imbibées d'eau, alors que le reste de ses vêtements avait été miraculeusement épargné. Désormais, affalée contre le mur, Sytrinn tremblait de tout son corps sous le regard inquiet de son renard, pour qui elle avait usé de son pouvoir de manipulation du feu et de la chaleur afin de le maintenir en vie. Soudain, se détachant sur le flamboiement provenant du foyer, une ombre massive s'approcha de la ladrini qui se recroquevilla davantage sur elle même ainsi que le ferait un animal apeuré. Se cramponnant au mur, la lumière vive et les gouttelettes dans ses yeux l'aveuglaient et lui permettaient à peine de distinguer quelques formes dans la pièce. Mais bientôt, des bras vinrent la soutenir, ses pieds quittèrent le sol et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, elle fut déposée parmi des peaux de bête dont la douceur et le confort lui arrachèrent un soupir d'aise. Tout en claquant des dents, elle laissa les mêmes mains qui l'avaient portée, retirer sa cape et ses bottes. Cependant, d'un geste sec et farouche elle fit comprendre à son hôte que le déshabillage s'arrêtait là.

Qui ne la connaissait pas était bien loin d'imaginer qui se cachait sous cette apparence fragile. Sytrinn laissait rarement indifférent et suscitait tantôt l'affection tantôt la méfiance. Il était facile de lui collé l'étiquette de "jeune fille candide", car c'était l'une des faces de sa personnalité qu'elle maniait le mieux. A la voir, il était dur d'imaginer les drames par lesquels elle avait bien pu passer. Une jeune fille arrachée avec horreur à l'enfance, elle était à présent une femme blessée et pouvant s'avérer blessante. Gagner sa confiance n'était pas chose aisée et sa méfiance était difficile à dissiper mais en dépit de cela, elle faisait toujours preuve de respect envers autrui.

Elle mit toute sa bonne volonté à ouvrir les yeux, et le fin interstice que lui offrirent ses paupières lui permit de distinguer un sourire en coin sur le visage de celui qui se tenait auprès d'elle. Bien que peu rassurée, Sytrinn tenta de prononcer quelque chose à son intention.

- M... m-mer... Marmonna-elle.

La demoiselle n'avait même pas articulé un mot que déjà elle sombra dans un sommeil profond, se pelotonnant et tremblant comme une feuille. Tout à coup, un petit renard fit son apparition face à l'homme en se postant sur le lit de manière à le séparer de la jeune femme.

- Cher Monsieur, permettez moi de me présenter, fit-il de sa voix grave et courtoise. Je suis Falko, humble et fidèle ami de cette belle endormie. D'ailleurs, je pense qu'elle voulait simplement vous dire « Merci ». Mais je vais poursuivre si vous le voulez bien. Il se raclât la gorge. Monsieur, nous vous remercions de votre hospitalité en des temps si hostiles. Votre générosité vous honore, termina l'animal en s'inclinant.

Oui, Falko avait tendance à en faire un peu trop par moment, surtout qu'il était ridiculement petit face à la carrure imposante du forgeron. Mais cela ne l’impressionnait pas le moins du monde et il fixait même le colosse de son regard malicieux, attendant que leur hôte se présente à son tour.

De son côté, Sytrinn grelottait de plus belle sous l'emprise d'une forte fièvre. Son état fébrile était d'autant plus alarmant que les blessures de la jeune femme la faisaient à nouveau souffrir, et devaient être désinfectées et pansées au plus vite. Bientôt, sa respiration se fit plus difficile et la ladrini commença à s'agiter dans son sommeil. Falko, soudain alarmé, entreprit de déchirer les manches de la chemise de sa compagne ainsi qu'une jambe de son pantalon à partir du genou. Les bras de Sytrinn étaient couverts d'entailles, mais le plus inquiétant était son mollet et son avant-bras sur lesquels on pouvait constater la présence de profondes marques de crocs.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeMer 11 Avr - 0:47

Marcus venait a peine de déposé la jeune damoiselle qu'il entrepris d'enlever un peu de ses vêtement mais comprenant qu'elle refuse d'enlever plus , Marcus n'insista pas malgré qu'il ne voulait rien retiré de plus.Il commença par faire une brève analyse d'elle pour voire si engelure ou blessure était visible , elle était congeler mais les signe de sang ,entaille et morsure sur elle était visible.

-Mais d'ou sort tu ?

Marcus tenta d'imaginé de ou cette jeune fille geler et blessé pouvait sortir ,mais une voix le fit sortir de sa pensé et il vit un renard qui se présenta , drôlement, Marcus se demanda comment un renard pouvais parlé mais il ne s'en occupa guère car celui-ci sauta sur sa maîtresse pour y dévoilé ses blessure.

-Tu parle beaucoup pour une si petite chose,Laisse moi faire maintenant.

Marcus retourna a son armoire et il sortie un petit flacon dont l'odeur semblait forte par le visage de Marcus après vérification. En approchant, il fit coulé le liquide fort sur les plaies de la damoiselle mais d'une bonne main il retenu tout spasme ou réaction de sa part. Il porta un regard au Renard et il lui dit:

-Ses plaies son désinfecté , il reste plus que a refermer.

Percevant l'inquiétude de l'animal, Marcus alla chercher une petite barre de fer dont le bout était rouge ardent, il approcha l'objet de la première plaie de Sytrinn et il retenu de nouveau la jeune femme pour évité de bougé alors qu'il brûla la plaie. Contrôlant la pièce de métal brûlante aussi lentement que possible , Marcus fit le plus grand soin de juste touché les zones visé. Une fois terminé , il alla reporté l'objet et il réapparu avec des lanière de cuire suivie de tissu.

Ceci était destiné a autres choses , mais je croie qu'elle en a le plus besoin.

Soulevant doucement le corps de la jeune femme endormis, Marcus pris soin malgré son allure et son travail, il pris soin de pansé très délicatement les blessures de Sytrinn. Caressant doucement le coté de son visage, Marcus sourie et il regarda son ami a poile pour lui répondre.

Ta maîtresse est hors de danger, mais dit moi elle sort de ou couvert de blessures dans le grand froids dans une tempête ?

Marcus retourna s’asseoir sur son banc et il fixa Sytrinn, l'aire interrogateur.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeMer 11 Avr - 22:23

Tout ça pour de la paperasse... Il n'y avait pas de mission plus banale pour elle que de voler des documents. Et tout s'était déroulé à merveille, sans qu'aucune goutte de sang ne soit versée... si ce n'était la sienne ! Mais enfin, à quoi avait-elle pensé en se laissant tomber dans ce buisson ? Qu'elle atterrirait dans un nid moelleux semblable à ce sur quoi elle reposait en ce moment ? Et ces fichus clébards qu'on avait envoyé à ses trousses ! Les gardes étaient-ils fainéants au point de laisser les chiens faire le travail et venir ensuite ramasser les bouts de viande ? Mais en fin de compte, à qui la faute ? Elle savait pourtant qu'il ne fallait pas s'assoupir sur les missions les plus simples, car elles étaient celles qui regorgeaient le plus d'imprévus. Cependant, elle avait agit comme une idiote et en faisait les frais désormais. Si elle avait écouté sa raison au bon moment, elle serait déjà sur pieds, après être passée dans les mains expertes du docteur Telenna. Au lieu de cela, elle avait ignoré les appels de détresse lancés par son corps et s'était précipitée dans la tempête pour regagner au plus vite Tyrhénium. Tout ça pour de la paperasse...

Mais il était trop tard pour se lamenter...

La jeune femme était allongée sur le lit, en sueur, tremblant de tout ses membres. Les lambeaux de ses vêtements en partie déchirés gisaient autour d'elle et avaient dévoilé aux yeux du forgeron la raison de son état. Il semblait à Sytrinn que chaque entaille, chaque morsure, était emplie du venin des ronces et des crocs. Sa jambe et ses bras la torturaient toute entière car la douleur se propageait dans son corps et martelait son crâne, la maintenant ainsi dans un état d'inconscience. Jamais elle n'avait connu une si grande souffrance... malheureusement, elle n'était pas au bout de ses peines.

Soudain, le poison contenu dans ses blessures parut entrer en ébullition, la douleur devint aussi aiguë que les sifflements persistants du vent au dehors. La ladrini eut la respiration coupée et son corps voulut protester. Mais les spasmes violents qui l'agitaient furent immédiatement sous contrôle d'une force ferme mais douce à la fois.

Falko serrait la mâchoire en voyant son amie à la merci de cet homme. Il n'osait imaginer ce qu'elle était en train d'endurer et assistait, impuissant, à la scène qui se déroulait devant lui. Néanmoins, l'animal acceptait les gestes du forgeron tant que qu'ils étaient bénéfiques à la santé de Sytrinn. Ainsi, le renard laissa passer le désinfectant, qui d'après l'homme, agissait. Mais il ne put se résoudre à fermer les yeux sur ce qu'il s'apprêtait à faire.

- Arrêtez ! Je vous en supplie, arrêtez ! Mais enfin, avez-vous perdu l'esprit ?! Arrê...

Falko tourna de l’œil à l'instant même où l’extrémité rougeoyante de la barre de fer effleura la première plaie.

Si auparavant ses membres lui avaient semblé rongés par l'acide, ce qu'elle ressentit à cet instant était incomparable. Sa jambe, ses bras, les flammes dévoraient sa chair et un courant électrique parcourrait ses os. Sytrinn, fermement immobilisée, se serait contorsionnée pour échapper à cette souffrance. Une souffrance si intense que la jeune femme était à présent à demi consciente. Ses dents serrées laissèrent échapper un cri d'agonie qu'une main vint brusquement étouffer en couvrant sa bouche. Ses yeux implorants, noyés de larmes scrutaient la masse sombre penchée au dessus d'elle.

Lorsque tout fut fini, la douleur s'atténua et la respiration de la ladrini se fit plus calme. A la fois apaisée et épuisée, Sytrinn se mit à sangloter sous le contre-coup et le soulagement. Mais la caresse chaude sur sa joue fut suffisante pour la faire glisser de nouveau dans les bras de Morphée.

- Ta maîtresse est hors de danger. Mais dis moi, elle sort d'où, couverte de blessures par ce grand froid, dans cette tempête ? Fit l'homme à l'intention du renard.

Falko était étendu par terre, exténué et ayant du mal à se remettre de ses émotions. Les yeux dans le vague il se mit à délirer.

- Sy... Sy-trinn... Sy... trinn... Réussit-il à prononcer avant que ses paupières ne se ferment.

Le forgeron semblait pensif et était probablement fatigué lui aussi. Le moins que l'on puisse dire c'est que ces intrus nocturnes étaient sacrément envahissants et lui devaient une fière chandelle !


Dernière édition par Sytrinn Sandström le Jeu 12 Avr - 22:56, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeJeu 12 Avr - 22:18

Marcus avait fini les soin basique qu'il avait pus donnée a son invité surprise blessé. Sachant que le traitement pour fermer les blessure n'était pas le meilleur, Marcus avait fermement tenu la bar de fer qui l'avait au même moment brûlé l'intérieur de la paume. Il regarda l'intérieur de sa main ouverte les yeux mis clos et il vit sa peau rouge noircis et il ferma la main sentant la douleur. Il entendis le petit renard murmuré le nom de sa maîtresse.

Sytrinn. Dit il a voix haute, savant maintenant le nom de son invité, Marcus resta un moment assis avec de tremblé de son bras ou sa main avait été brûlé et il trembla de tout ses membres , lui rappelant le passé. Il se leva doucement pour prendre la lame qu'il avait forgé avant l'arrivé de Sytrinn et il l'observa et il jeta un dernier coup d'oeil a la damoiselle endormie. Un sombre souvenir l'envahie a se moment la. La jeune Sytrinn avait une grande ressemblance avec sa femme et il serra avec force le manche de l'arme fraîchement forgé avant de la déposé brutalement sur le comptoir de métal. Marcus resta quelque minutes a regardé la lame courbe sur la table et il la repris pour utilisé sa force dans le métal pour rendre le tranchant aussi coupant et il posa la lame dans la paume de sa main pour la faire glissé et y laissé une trace rouge visible.

Une larme coula sur la joue de Marcus et il alla prendre le reste de l'alcool qui avait servie a nettoyer les blessures de Sytrinn et il le cala d'un seul coup. Prenant par le même temps du tissu , il enroula une lanière de tissu au tour de sa main et il alla devant sa porte pour sentir l'air frais venant de la tempête. Il remarqua un cheval , surement celui de son invité, il s'en approcha , mais l'animal de crainte recula un peu jusqu’à ses lien qui le retenait se tendis et il lui souffla doucement.

Du calme, je suis ton ami.

Il posa sa main sur son museau et il caressa la crinière du cheval. Le cheval lui donna des petit coup de museau qui amusa Marcus mais la fatigue le gagna rapidement et il retourna a l'intérieur.Il retourna s’asseoir sur son tabouret pour laissé son regard dérivé sur le visage endormis de Sytrinn. Il clina plusieurs fois des yeux avant de sombré doucement dans les bras de Morphée une dernière larme qui coula sur sa blessure au visage avant de fermer les yeux au complet.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeVen 13 Avr - 22:35

Le feu crépitait inlassablement, comme indifférent à la succession des récents événements. Sytrinn était sortie de la tourmente qui s'était abattue sur elle et reposait paisiblement parmi les fourrures disposées sur le lit. La douleur s'éloignait pour laisser place à la douceur. La douceur simple et rassurante que procuraient les flammes d'un foyer. A présent, le cauchemar était fini, le vent avait faibli et la jeune femme s'était endormie sous le regard bienveillant du forgeron. Mais nombreuses avaient été les nuits où un homme avait veillé sur elle : son père.

Lorsqu'elle n'était âgée que de quinze ans, son frère, Ulrich, fut tué sous ses yeux alors qu'il tentait de la protéger. Ce tragique événement fit ouvrir les yeux à la demoiselle sur un monde dont elle ne soupçonnait pas la cruauté. Perdre l'un des siens était une meurtrissure que nul ne pouvait effacer, mais le pire était de se voir arracher une partie de soi-même. Car le jour où elle perdit son frère, Sytrinn perdit son innocence de la plus ignoble des manières. Elle découvrit la face cachée des hommes et l'horreur des actes qu'ils étaient capables d'infliger, sans raison, à plus faible qu'eux.

La jeune femme portait le lourd secret de son agression comme une honte, une salissure, une punition qu'elle avait mérité pour avoir été responsable de la mort d'Ulrich. Suite à cela, les nuits de la jeune fille avaient été hantées par ces souvenirs atroces, et il n'y en avait pas eu une où elle ne s'était réveillée en sursaut, hurlant de terreur et tremblant de tout ses membres. Ces nuits là, son père avait veillé sur elle, sans relâche, tentant de comprendre le mal qui la rongeait. Il était le seul homme en qui elle avait mis toute sa confiance. Car à partir de là, Sytrinn développa une méfiance systématique à l'égard des inconnus, persistant même à l'égard des personnes pour qui elle avait de l'affection.

Ce soir, elle dormait d'un sommeil léger, sans crainte, ses cheveux blonds ondulaient à la lumière des flammes et encadrait son visage serein, encore humide des larmes qu'elle avait versé. Soudain, ses yeux s'ouvrirent en deux perles dorées et fixèrent les poutres du plafond pendant quelques secondes. Des crampes l'avaient réveillée et lui tordaient le ventre : elle avait faim. Ses membres engourdis lui semblaient étranges, en se redressant légèrement elle vit que ses avant-bras et sa jambe étaient recouverts de tissus maintenus par des lanières de cuir. Alors, ce n'était pas un cauchemar...
Finalement, Sytrinn s'assit dans le lit en prenant garde à ne pas se faire mal et analysa son environnement. Les manches de sa chemise et un morceau de son pantalon étaient étalés à côté d'elle, maculés de sang. Son regard se leva ensuite vers la cheminée devant laquelle étaient installés de nombreux outils servant au forgeage, puis retomba sur Falko qui dormait paisiblement par terre au coin du feu. Et enfin, la ladrini découvrit un homme, visiblement assoupi.

Elle crut pendant un instant que le tabouret sur lequel il était assis allait s'écrouler d'une minute à l'autre sous son poids. En effet, la carrure du forgeron était impressionnante et vraiment digne de son métier. Du fait qu'il soit torse nu, Sytrinn put voir qu'un grand tatouage noir couvrait tout son bras ainsi qu'une partie de son dos. Sa peau étonnamment bronzée contrastait avec la couleur argentée de ses cheveux, quant à son visage, il était barré d'une cicatrice partant de son arcade, traversant sa joue et terminant au bord de sa lèvre. Mais au lieu d'afficher une expression dure et fermée, comme on aurait pu l'attendre d'un tel colosse, ses traits semblaient témoigner d'un caractère doux et généreux. Néanmoins, la demoiselle pouvait y lire une certaine tristesse, mais... quoi ? Des larmes ? Pourquoi avait-il pleuré ? Elle n'eut pas le temps de réfléchir à la question que déjà son estomac vide la rappelait à l'ordre par des gargouillis désespérés.

Sytrinn ne voulait pas réveiller le forgeron, et malgré son métier, elle n'oserait pas fouiller dans la chaumière par pure éducation et ne serait-ce que par respect pour son hôte, qui venait certainement de lui éviter l'amputation. Tout à coup, elle se souvint avoir mis un peu de nourriture dans une sacoche accrochée à la selle de son cheval. La jeune femme entreprit alors de se lever. Elle repoussa les peaux de bêtes et posa précautionneusement son pied à terre afin de souffrir le moins possible. Puis, se mettant debout tant bien que mal, elle se mit à boitiller silencieusement en direction de l'entrée, pieds nus et ne prenant même pas la peine de se couvrir. Elle avait si faim, elle aurait vite fait de trouver ce qu'elle voulait et revenir au chaud. Sytrinn posa sa main sur la poignée de la porte et l'ouvrit en faisant tout son possible pour ne faire aucun bruit...
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeSam 14 Avr - 3:56

lorsque la jeune femme se leva, Eralyx avait sentie le réveil de Sytrinn , et elle ouvra un oeil pour regardé la jeune femme se lever et regardé au tour d'elle. Voyant qu'elle se dirigea vers la porte, elle devait surement sortir pour aller chercher quelque chose dans son cheval, car dans son état même si la tempête qui c'était calmé , elle n'irait pas bien loin.

plus loin sur le tabouret, Marcus dormi d'un sommeille agité, il bougea légèrement la tête souvent et de léger spams lui arrivait durant son rêve, mais es-que c'était réellement un rêve.

Le jeune forgeron était debout , devant sa maison, mais elle était différente, elle n'était pas comme elle est aujourd’hui. Il entra et il vit que les objets n'était pas a la même place et que il manquait beaucoup de chose, d'ont l'enclume, le four et la table de métal. Poussé par l'intrigue , Marcus sortie et il entendis un rire de femme, poussé par son instinct il suivie les rires, dans un brouillard épais, une jeune femme au cheveux blond avec un léger reflet roux courrait dans la brume, laissant le jeune forgeron dans le doute. Il avança de plus en plus jusqu’à,a faire un tour complet dans le sentier envahie par la brume. De retour devant sa maison d,autre fois, le soleil avait disparu et la noirceur était présent, des hurlements se fessait entendre de partout et Marcus se demanda ce qui se passa. Il regarda ses vêtement , il portait les mêmes chose qu'il portait il y a quelle que années. Un lourd crie strident retentis, reconnaissant trop ce crie , Marcus se précipita vers celui-ci et il revit la même et horrible scène qui bouleversa sa vie des années plus tôt. Sa femme , la femme qu'il aimait et qui tombait par les même hommes qui l,avait écouté et guidé des années avant.

Se réveillant un sueur, Marcus senti le coté de son visage humide, passant sa main il senti les larmes qui avait coulé avant et durant son sommeille et son horrible cauchemar. serrant son coeur avec sa main , il tenta de chassé l'horrible scène de sa mémoire mais il entendis quelque chose devant lui. Ouvrant enfin les yeux , Marcus put observer la jeune Sytrinn assis sur le lit a mangé de la nourriture quelle avait pris a son cheval mais que Marcus n'osa même pas demandé de ou elle l'avait prise.

D'un ton rapide, il lui dit:

-Jespaire que vous avez bien récupérer durant votre sommeille et de vos blessures.

Mais il s'excusa et il se leva rapidement pour aller prendre dans son armoire une cruche d'eau et il alla au dessus de son four pour aller se trempé le visage en sueur. En s’appuyant sur la table, Marcus tourna sa tête pour observer le visage de Sytrinn et il ferma les yeux pour évité de repensé au visage très ressemblant de sa femme . Passant une main sur son visage trempé et dans son mohawk , Marcus soupira en retournant s’asseoir devant Sytrinn l'aire piteux.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeDim 15 Avr - 4:19

Sytrinn, entrebâilla légèrement la porte et mit son nez dehors pour juger de la température. Une fois fixée, elle sortit furtivement afin d'éviter le moindre courant d'air pouvant réveiller son hôte. Le vent s'était calmé, mais le froid persistait. En boitillant, la jeune femme se dépêcha d'atteindre Amadeus et une fois arrivée près de lui, il poussa un petit hennissement joyeux. Après avoir caresser son cheval pendant quelques instants, elle prit deux galettes de froment dans la sacoche accrochée à la selle et se hâta de regagner l'intérieur de la maison. Lorsqu'elle entra, la vague de chaleur qui la submergea lui arracha un frisson. Soudain, elle se sentit observée, et chercha autour d'elle la raison de cette impression. Falko et le forgeron étaient toujours endormis et n'avaient pas bougé, mais dans un coin sombre de la pièce, deux yeux jaunes se fermèrent puis se rouvrirent en sa direction. Sortant des ténèbres, une panthère noire se révéla à la lumière des flammes. La ladrini resta impassible et ne détacha pas son regard du sien. Lorsqu'elle fut assurée que le félin ne lui ferait aucun mal, elle lui sourit et il lui sembla que dans l'or de l’œil animal brilla une lueur amicale.

Ne cherchant pas néanmoins à approcher la panthère, Sytrinn rejoignit le lit couvert de fourrures et s'y installa. Assise, sa jambe blessée étendue et l'autre repliée vers elle, elle entama son repas frugal en donnant un premier coup de dent dans sa galette de froment. Cependant, son attention fut retenue par l'homme endormi qui s'agitait durant son sommeil. Le forgeron paraissait en proie à des cauchemars, il était secoué de légers spasmes et des larmes ruisselaient sur ses joues. Le félin au pelage sombre le regardait avec tristesse, tandis que de son côté, la demoiselle se contentait de l'observer, son visage n'affichant aucune expression. Elle avait appris à manipuler ses émotions, les intérioriser était quelque chose qu'elle faisait régulièrement et qui était nécessaire dans son métier. Ainsi, sous le masque de marbre de la jeune femme défilaient de nombreuses questions, mêlées à la consternation et la compassion. Cependant, ces ressentis furent vite balayés car le mot « pitié » n'était pas admis dans son vocabulaire ; dans son esprit, seules restèrent les interrogations.

Sytrinn, qui avait recentrée son attention sur sa galette, perçut au bout de quelque instants, un signe de vie du côté de son hôte.

- J'espère que vous avez bien récupéré de vos blessures durant votre sommeil, dit-il nerveusement.

La ladrini n'eut pas l'envie, ni le temps de répondre. Le forgeron s'était levé promptement et était en train de se rafraîchir le visage. Quant à la demoiselle, elle fixait le néant devant elle et mâchouillait lentement. Elle était parfois lunatique et semblait perdue dans un mutisme qui pouvait être déstabilisant ou agaçant pour certains. Mais il fallait bien comprendre qu'elle se trouvait encore sous le choc de cette nuit et que la méfiance qu'elle avait à l'égard de cet inconnu n'était pas tout à fait dissipée. Toutefois, le fait qu'elle eut peut être l'esprit ailleurs, ne sembla pas gêner l'homme qui s'assit en face d'elle. De longues minutes s'écoulèrent en silence, sans que Sytrinn ne lève les yeux vers le forgeron. Tout à coup, la statue qu'elle était, finit enfin par s'animer et faire entendre le son de sa voix.

- Merci, je vais mieux, grâce à vous, fit-elle d'une voix monocorde, mais qui sonnait sincèrement.

Puis ses yeux dorés se plantèrent dans ceux, bleu-gris, de son interlocuteur.

- Mais qu'en est-il de vous ? Demanda-t-elle d'une voix douce empreinte de sérieux.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeDim 15 Avr - 23:51

Marcus c'était lever pour aller trempé son visage en sueur, il versa de l'eau dans sa main pour se l'étendre sur le visage, il passa au sa main sur sa tête et il écouta pendant quelle que secondes , l'eau pétillé dans les braises. Eralyx était venu a ses cotés et Marcus passa une main sur la tête de son animal qui ferma les yeux en agitant sa queue. Suivant toujours son maître qui retourna s’asseoir sur le banc en face de son lit, Marcus lâcha un soupire et il flatta en continu la tête de sa panthère qui c'était assis a ses cotés tout en fixant Sytrinn et son renard toujours endormis. Tout perdu dans ses pensé, il en oublia de même la jeune fille sur son lit qui elle aussi semblait perdu dans la lune. Durant 5 minute, des question flotta dans la tête de Marcus, une femme a cheval, qui arriva par la tempête qui c'était abattu sur le village, blessé et presque mourante, il ce demanda ce qui serais arrivé si la porte avait été barricader elle aussi.

Mais Marcus sortie de sa torpeur par les remerciement de Sytrinn pour l'aide qui lui avait apporté.

-Ne me remercié pas, je ne vous aurait pas laissé mourir a ma porte.

Marcus garda les yeux rivé au sol en parlant, et il entendis de nouveau Sytrinn parlé mais la question l'étonna , surtout l’intonation d,on elle avait été posé.

Levant la tête doucement, les sourcils arqué, Marcus fixa Sytrinn dans les yeux et il ouvrit la bouche pour répondre mais la porte de sa petite maison s'ouvrit rapidement et brutalement pour laissé voir la lumière blanche passé et un homme éssouflé qui haletait et qui demanda:

-MARCUS ! VIENS VITE ! DES BRIGANDS SONT A L'ENTRÉ DU PONT !

Laissant Sytrinn sur le lit sans réponse, Marcus pris son marteau de forgeron qui traînait sur sa table ,la veille ou il l'avait utilisé et il pris son arme qui passa dans son dos par les double ceinture qui passa sur son torse et il sortie a moitié nue dehors prenant le temps de mettre ses sandale clouté.Avant de sortir il regarda Sytrinn et il lui dit rapidement:
-Ne bougé pas d'ici.

Son marteau en main, il suivie le villageois qui était venu le chercher et il arriva devant un attroupement de femmes et hommes. Écarta tout le monde pour finir devant 5 hommes. Trois des hommes étaient en train de parlé au groupe leur dicta de leur données argent et objet précieux sou peine de mort et d'une razzia sur le village pour le détruire. Sous les paroles des trois hommes, Marcus resserra son marteau, il senti le vent frais du matin plané sur son corps bronzé orné de nombreuse balafres . Le soleil se levait a peine mais il éclaira assez pour que la poigne en ivoire de la longue lame a deux mains qui dépassa de son épaule puis reflété la lumière.

Mais la rage de lancé son arme lourd dans la tête du premier Brigand augmenta en reconnaissant l'insigne sur leurs vêtement vers foncé et un tic nerveux fit bougé la paupière de Marcus irrité. Le forgeron siffla entre ses doigt un long et sifflement aigu qui en plus de faire tourné le reste des regards sur lui, il indiquait une direction a une personne a elle seule. Les brigands se tourna vers Marcus et il lui lança:

Regardé qui est venu mourir le premier ! Retourne dans ta maison brûlante forgeron ou tu périra !

Marcus ne broncha pas , il resta planté devant eux.

Disparais ou meurt, Vermine !

Désolé sale tas de muscles, nous avons un job a finir d'y a 5 ans et je croie que tu t'en rappelle, ta gentille petite femme tombé sous les coups de mon frère que ta brisé le crane contre ton mur !

La flamme qui brûla dans les yeux de Marcus s’intensifia et de sa main il fit surgir un mur de métal crée a partir des minéraux dans le sol pour empêcher les 5 bandits de s’enfuir. Les bandits écarta les yeux apeurer et il sortie chacun leurs armes. Hurlant de rage, une splendide panthère avait surgis sur le coté pour atterrir sur l'un des bandits qui avait osé profané sa femme. Mais tout de suite, l'un des bandits leva sa lame pour l'abattre sur la panthère mais son élans fut stoppé par un lourd marteau qui lui fendit le crane en deux.

Nous allons voir qui qui ira rejoindre la maison brûlante des enfers !

Prenant son imposante arme a deux mains ,Marcus s’avança vers les 3 ennemis restant, fessant balancé son arme rapidement et d'une fluidité étonnante, le forgeron guerrier fit dévier les lames ennemis et il les frappa mortellement de la lourde lame. En cinq minutes, les 3 bandits qui avaient tentez de résisté a l'arme mortelle de Marcus étaient tombé d'une longue trace sanglante. Il restait plus que celui écrasé par sa panthère et il repris son marteau et d'un coup violent et fluide il écrasa la tête de celui-ci avant de jeter les 5 corps dans le vide a coté du pont. Les villageois n'osaient points dire quelque chose de peur de finir comme les bandits par la fureur du forgeron.


Marcus approcha du pont et en serrant son amulette, il hurla dans les bois de l'autre coté du pont de Dalma.

Venez bandes d’infame meurtrier !

Mais la seul réponse pour Marcus fut 3 flèche qui ricocha sur son bouclier magique. Fessant signe a la panthère de décoller , Macurs retourna chez lui. Aucun villageois lui dit un mot ,laissant Marcus se calmé , il entra chez lui déposant son marteau couvert de sang sur sa table et il regarda Sytrinn froidement pour lui répondre.

Moi ? Je vais très bien.

Dit il d'une voix sans émotion avec un léger sourire sur le coté de la bouche.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeLun 16 Avr - 21:47

Il y eut une seconde de battement après sa question, quand tout à coup, la porte s'ouvrit brusquement sur un homme du village.

- MARCUS ! VIENS VITE ! DES BRIGANDS SONT A L’ENTRÉE DU PONT !

Falko se réveilla en sursaut et observa ce moment d'agitation les yeux mi-clos, encore ensommeillé. Le forgeron qui s'était levé promptement, prit son marteau et son épée, puis se retourna vers la jeune femme.

- Vous, ne bougez pas d'ici, lança-t-il, alors qu'il s'apprêtait à sortir sans même prendre la peine de se couvrir.

La porte claqua et Sytrinn resta quelques secondes à la fixer en fronçant les sourcils. Rester ici ? Hors de question ! Elle se dressa d'un bond sur ses jambes, mais ce mouvement lui arracha un gémissement de douleur et elle se laissa retomber sur le lit. En tout cas, si les brigands arrivaient, elle les attendrait de pied ferme ! Se disant cela, elle porta sa main à sa ceinture et se souvint, de par l'absence de sa dague, qu'elle l'avait perdue en se défendant la veille contre les trois chiens de garde. La ladrini, désarmée, poussa un soupir exaspéré.

Soudain, un sifflement aigu arriva jusqu'à eux et ce fut alors que Sytrinn remarqua que la panthère noire se trouvait encore là. L'animal s'agita en tournant impatiemment en rond dans l'entrée. La jeune femme comprit le signal et boita jusqu'à la porte pour l'ouvrir au félin qui partit à une vitesse folle rejoindre son maître. La demoiselle regarda le village désert et perçut des éclats de voix s'élever au loin, reconnaissant parmi elles celle du forgeron, se querellant certainement avec les malfaiteurs. Saisie par le froid, elle regagna l'intérieur de la maison et de rage, elle claqua violemment la porte. Ce geste la fit souffrir et elle se tint l'avant-bras tout en contractant sa mâchoire.

- Je suis inutile, lâcha-t-elle entre se dents sur un ton sec.
- Tu es blessée, ma belle... La raisonna Falko.

Sytrinn rejoignit lentement le lit et s'assit sur le rebord de ce dernier. Là, étrangement, elle se souvint des larmes inconsciemment versées par le forgeron durant son sommeil. Elle se rappela également qu'elle avait vu sa main dans un bandage. La nuit qui s'achevait, maintenant que de faibles rayons de lumière filtraient dans la chaumière, avait été des plus confuse pour la jeune femme qui n'avait plus su distinguer la réalité du rêve, ou du cauchemar...
Mais pour l'instant, elle gardait à l'esprit cette triste image de l'homme qui l'avait sauvée. Même si elle se forçait à faire abstraction de ses sentiments, Sytrinn était très à cheval sur le sens des valeurs et de l'honneur. Et malgré sa méfiance persistante, elle se sentait redevable envers son hôte. Alors, si elle ne pouvait l'aider à l'instant même par les armes, elle ferait son possible pour le détourner de son chagrin.

- En tout cas, je suis heureux de te voir dans cet état là, dit soudain Falko.
- Comment ça ? Énervée ?
- Oui... C'est le signe que tu vas mieux, fit le renard en se détournant pour cacher la satisfaction qu'il avait éprouvé en lui lançant cette boutade.

La demoiselle émit un petit rire amusé et le silence se fit pendant quelques secondes, avant de se briser de nouveau.

- C'est un type bien. Il bailla. Pas très délicat, mais bien...

L'animal avait fait cette remarque et s'était mis en boule devant la cheminée afin de prolonger sa nuit. La ladrini le regarda en fronçant les sourcils, car ses mots, même prononcés avec dédain, étaient sincères. Le renard était très attaché à son amie, elle lui avait sauvé la vie il y a quelques années, et depuis, ce qui lui importait le plus était de la voir heureuse et en bonne santé. Car il savait que sous sa carapace de roche, était enfouie la jeune fille innocente et romantique qu'elle avait jadis été. Ainsi, Sytrinn pouvait toujours se fier à l'instinct de son compagnon. S'il disait que leur hôte était quelqu'un de confiance, alors elle le croirait, car Falko n'avançait jamais rien sans être certain de l'absence de danger pour sa précieuse amie.

La jeune femme replongea dans ses pensées tout en regardant le feu crépiter. Le temps semblait se dilater et elle s'inquiétait de ne voir revenir personne. A l'instant même où elle s'apprêtait à se lever et aller juger de la situation par elle même, la porte s'ouvrit, laissant entrer une bourrasque qui la fit frissonner. La silhouette imposante du forgeron apparut dans l'entrée et se déplaça vers la table. Là, il déposa son marteau ensanglanté et se tourna vers la demoiselle.

- Moi ? Je vais très bien, dit-il en réponse à la question qu'elle lui avait posé tout à l'heure.

Son ton fade, teinté d'ironie, trahissait l'amertume qui emplissait son cœur à ce moment. Sytrinn, assise sur le bord du lit, baissa les yeux, une expression de honte sur le visage. Elle s'en voulait de ne pas avoir été en mesure de l'aider. Parvenant à se mettre debout, elle se dirigea vers la table où était posé le marteau. La vue du sang ruisselant aurait choqué n'importe quelle donzelle, qui se serait retrouvée dans les pommes en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Or, la ladrini l'observa avec froideur, la froideur indifférente d'une personne qui avait déjà tué.

- A en juger par l'écarlate de votre arme, il ne doit plus rester grand chose de ces vauriens, dit-elle d'une voix neutre.

Puis, la jeune femme s'empara d'un linge qu'elle trempa dans l'eau et essora. S'approchant du forgeron, elle appliqua le tissus tiède sur son front, puis descendit sur sa joue balafrée. Alors qu'elle le débarbouillait, elle réalisa à quel point elle était petite face à lui et cela l'amusa intérieurement, tandis que son visage se faisait moins fermé.

- Je suis Sytrinn Sandström... Et, vous êtes ? Fit-elle aimablement.

La demoiselle s'efforçait de paraître agréable, mais son bras blessé, tendu en direction du visage de l'homme, tiraillait et la faisait souffrir.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeMar 17 Avr - 2:32

Marcus en avait fini aussi rapidement que possible avec les brigands qui avait tentez de rayer Dalma des cartes, mais la rencontre avait été rapide certes, mais sanglante et brutale. Marcus n'avait jamais agis aussi violemment de la sorte depuis l'attaque ordonné par les brigands il y a 5 ans. Beaucoup dans le village avait peur, et ils se demanda beaucoup sur l'accord de laissé Marcus dans le village car sa soif de sang, avait resurgir depuis les nombreuse années de combat et de désastre qu'il avait vécu voyant ses frères d'arme tombé. Mais le rappelle de la nuit le fit monté dans une rage sanglante que nul doute aurait pus croire. Marcus avait été l'un des hommes le plus calme dans le village et celui qui prenait soin de beaucoup dans le village et personne ne se doutait qu'il aurait été capable de telle actes. Sa belle panthère qui elle avait été libéré de la maison de Marcus par Sytrinn, suivait toujours Marcus et de son regard d'or elle fixait chaque personnes qui regardait Marcus,voyant leur peurs et elle remarqua même l’envie de certains de voir Marcus disparaître de Dalma.

Il était retourné dans sa maison et en posant son arme sur la table, le sang coula et des goutte tombaire sur le sol.

Sytrinn s'approcha malgré sa blessure a la jambe et elle regarda le jeune forgeron toujours dans sa rage guerrière. Il respirait fort et il tenait fermement la table pour se calmé, mais la jeune Ladrini lui parla en disant qu'il ne devait plus rien resté de ses ennemis a voir le sang.

Fixant toujours la table ou le sang coulait, Marcus lui répondit sec.

Il ne reste plus rien d'eux comme il ne me restait plus rien il y a 5 ans.

Son regard changea et il dévia son regard sur la lame courbe courte qu'il avait forgé avant l,arrivé de Sytrinn blesser. Mais une serviette trempé était venu rejoindre le coté de son visage, détendant ses muscles, Marcus avait l'intention d'attrapé le poignet de Sytrinn mais son action fini qu'il avait posé sa main sur celle de la jeune Ladrini qui tenait la serviette mouillé. Mais a peine il avait eux le temps d’ouvrir la bouche que la porte ouvra et 3 hommes entra. Les trois anciens du village regarda Marcus avec une mauvaise nouvelle.

Il n'avait même pas parlé que Marcus avait ce qu'il voulait. Ce retournant, il leur indiqua oui de la tête et il leurs répondit:

Vous voulez plus me voir ici, et bien vous ne me verrez plus !

Une fois les homme sortie, Marcus se retourna vers Sytrinn et il lui demanda :

Ou allait tu ? De plus tu aura besoin d'une arme, voyant que tu na rien.

Marcus tourna la tête et il vit rapidement la seul arme présente sur la table, la lame courte courbe qu'il avait forgé plutôt et il la tendit a Sytrinn, sa rage ne c'était pas totalement dissipé elle avait même augmenté avec la nouvelle du village mais face a Sytrinn il du se résumé a se calmé pour avoir plus de chance de trouvé un nouveau foyer ou un endroit d'autre conseillé.





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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeMar 17 Avr - 20:34

Alors qu'elle venait de se présenter et encourager le forgeron à faire de même, l'homme esquissa un geste de la main et celle ci vint se poser sur celle de la jeune femme. Gênée, Sytrinn ne laissa pourtant transparaître aucune émotion, elle se contenta de regarder dans les yeux celui qui s'apprêtait à parler. Même si elle connaissait son nom depuis que le villageois les avait alertés, faire des présentations en bonne et due forme lui paraissait plus convenable. Mais avant qu'il n'ait pu prononcer un mot, la porte s'ouvrit sur trois vieillards à la mine renfrognée. La demoiselle s'écarta de Marcus qui acquiesça de la tête en leur direction. Ils n'eurent pas l'occasion d'ouvrir la bouche.

- Vous ne voulez plus me voir ici ? Et bien vous ne verrez plus ! Les devança le forgeron.

Sans demander leur reste, les hommes quittèrent la maison. Une chape de glace se déversa sur le minois de Sytrinn, elle serra les poings et baissa sombrement le yeux vers le marteau sanglant.

- Où allais-tu ? De plus tu auras besoin d'une arme, voyant que tu n'as rien.

La ladrini ne répondit rien et ne prit même pas l'arme que lui proposait son hôte. Le regardant lutter contre sa colère, elle se contint quelques secondes puis se dirigea avec empressement vers la porte, oubliant sa jambe blessée. A présent dehors, saisie par le froid, elle boitait du mieux qu'elle pouvait afin de dépasser les vieillards et se camper devant eux.

- J'ose imaginer qu'il s'agit d'une plaisanterie... Dit-elle d'une voix douce et angoissante.
- Qui êtes vous mademoiselle ? Fit l'un d'eux en la détaillant des pieds à la tête.

La jeune femme était en piteux état, ses vêtements étaient en partie déchirés, et à la place des morceaux manquants étaient enroulés des bandages. Cependant elle releva vers le groupe un visage serein, orné de deux yeux dorés et perçants.

- Êtes-vous sérieux, messieurs ? Insista-t-elle.

Un autre comprit où elle voulait en venir.

- Marcus Archéon est un homme violent et sans scrupules, il pourrait nuire à la prospérité du village. C'est pour cela que nous avons choisi de le bannir.

Il avait parlé avec dédain et regardait la demoiselle de haut. Sytrinn resta interloquée une seconde, leva un sourcil, puis eut une réaction plutôt inattendue. Elle partit soudainement à rire, un rire cristallin résonnant dans tout le village et attirant l'attention des habitants qui se rassemblèrent autour des quatre personnes. Les anciens affichaient une expression outrée sur le visage, tandis que les badauds, hommes, femmes et enfants, chuchotaient, tantôt fronçaient les sourcils, tantôt ne pouvaient réprimer un sourire face à la jeune femme hilare. Cette dernière se calma un peu et reprit son souffle.

- Marcus Archéon ? Un homme violent ?! Articula-t-elle avec une voix encore tremblante.
- Mais enfin, mademoiselle, vous ne pouvez pas en juger, vous n'étiez même pas présente sur le pont tout à l'heure ! Il a fait preuve d'une brutalité sans égal !

Une rumeur parvint aux oreille de la ladrini, les gens parlaient à voix basse et semblaient approuver les dires du vieil homme. Sytrinn qui était jusque là encore secouée de légers spasmes provoqués par son fou-rire, changea radicalement d'attitude, la faisant paraître pour une toute autre personne qu'il y a quelques secondes. Reprenant son sérieux, un petit sourire narquois flottait cependant sur son visage. Elle éleva la voix pour que tout le monde l'entende distinctement.

- En effet, je n'étais pas là tout à l'heure... Mais je vais vous dire ce que j'ai vu. Non ! Je vais vous dire ce que je vois ! Elle fit le tour de la foule et en désigna certains membres. Je vois ces enfants se réfugier dans les jupons de leur mère. Si leurs joues peuvent encore rosir en ce moment, c'est grâce à Marcus Archéon. Je vois ces femmes, dévouées à leur famille, à leur foyer, si elles sont encore capables de ressentir cet amour, c'est grâce à Marcus Archéon. Messieurs ! Vos outils, vos armes, grâce auxquelles vous nourrissez et protégez vos familles, n'ont été forgées que par la main d'un seul homme : Marcus Archéon ! A qui avez vous fait appel tout à l'heure, dans la détresse ?
- MARCUS ARCHEON ! Hurla la foule.
- Mademoiselle, je vous somme d'arrêter ! Vociféra l'un des vieillards, alors que la foule basculait du côté de la jeune femme, qui ne prêta pas attention à l'ordre qu'on lui donnait.
- Ce que j'ai vu, c'est ce marteau dégoulinant du sang d'infâmes pilleurs et assassins. Et j'étais contente, oui contente ! Contente que le sang répandu n'ait pas été le vôtre, messieurs ! Ni celui de vos femmes ! Ni celui de vos enfants ! Elle fit une pause alors que la foule acclamait. Mais regardez l'état dans lequel je suis... A votre avis, qui a nettoyé et pansé mes blessures ? Cette nuit, je suis arrivée dans ce village, agonisante, proche de la mort, une seule porte était ouverte, devinez laquelle !

Un homme se détacha de la foule.

- Hier, je ne voyais plus mon fils revenir du bois et c'est Marcus qui a apaisé mon inquiétude et est allé le chercher !

D'autres témoignages fusèrent, formant une cacophonie de laquelle se détachait distinctement le nom du forgeron. Les trois anciens étaient pétrifiés. Sytrinn s'approcha et posa sur eux un regard inquiétant.

- Si vous le bannissez, la prochaine attaque sera fatale à votre village... Murmura-t-elle d'une voix à la fois douce et menaçante.

La ladrini était exténuée, et sous ses bandages la douleur se fit sentir. Mais elle rassembla ses dernières forces pour ajouter à l'intention de la population :

- Non, Marcus Archéon n'est pas plus violent ou brutal que vous qui êtes rassemblés ici ! La preuve : il n'a même pas opposé de résistance aux anciens lorsqu'ils sont venus lui annoncer son bannissement ! Pire, c'est lui même qui a voulu partir sous la pression. Mais croyez moi, même en quittant le village de son plein gré, ce ne sera pas sans regrets. Car même si certains parmi vous ne l'acceptent pas, dit-elle en regardant les vieillards. Marcus est très attaché à ce lieu et à ses habitants. Alors, maintenant je vous le demande : voulez vous voir partir Marcus Archéon ?

La foule hurla son mécontentement à l'unisson. Les trois anciens, dépités, vinrent se placer au centre et l'un d'eux prit la parole.

- Mes chers amis, je crois que nous avons mal jugé cet homme et nous lui demandons pardon. Je déclare devant vous que Marcus Archéon restera parmi nous aussi longtemps qu'il le souhaitera !

La foule poussa des cris de joie et le visage de Sytrinn afficha un sourire fatigué et soulagé. Elle s'éclipsa discrètement de la masse de gens réunie autour du forgeron, en boitant. Elle lui était redevable et s'était jurée de l'aider autant qu'elle pourrait. Elle espérait qu'aujourd'hui elle avait un peu réussi à tenir la promesse qu'elle s'était faite.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeMer 18 Avr - 3:49

Le sang de Marcus bouillait a en faire fondre du Mithril, mais d'un coté, son rejet lui aurait été favorable car son coté voyageur commença a surgir par les allés retours au capitales, mais sa place était ici , c'était ici qu'il avait vraiment commencé sa vie et il n'allait pas la quitté sans un grave pincement au coeur. Mais le jeune forgeron ne savait pas que la rencontre avec la jeune Ladrini n'allait pas lui être plus réconfortant que un simple sauvetage d'une voyageuse, si elle était vraiment une voyageuse , blessé. Voyant une petite chance de voyagé, Marcus tenta sa chance et demanda a la Ladrini le lieu de son voyage et il lui proposa une arme pour elle malgré son aire de jeune femme, elle cachait un coté plus fort que une simple femme et , Marcus l'avait ressentie au moment ou elle était entré blessé et agonisante.

Tenant l'arme devant Sytrinn, Marcus attendait une réponse mais il ne voyait que son regard en colère et elle était sortie pour allé a la rencontre des anciens. Marcus se retourna et il n'arriva qu'a dire : -mais... ?

Suivant du regard Sytrinn par la porte, Marcus remarqua qu'elle leur parla de son expulsion, mais trop têtu pour les anciens, elle leur trouva des arguments que trop véridiques pour que les anciens puisse répondre.

Dans une soulèvement de voix des villageois, Marcus qui c'était placé sur le cadre de porte les bras croisés, Il fixait Sytrinn en action et malgré sa rage, il excisa un sourire amusé. Voire une femme qu'il avait sauvé des griffes de la mort ,du froids et des ténèbres et qui était toujours une inconnu et que cette inconnu était sur le point de défendre sur le droit de resté dans se village toucha beaucoup Marcus. Comme elle avait pus le voir, malgré sa couverture d'homme dure et intouchable , il y avait un homme don les souvenirs douloureux le hantait et qui le rendait triste chaque soir. Une fois son discours terminé, le village presque entier affluait vers Marcus . ne sachant pas quoi faire, il s'approcha de Sytrinn qui traînait de la jambe du a sa blessure.et il l'aida en la soulevant de terre et en l'approchant de son beau étalon pour l'aider a s’asseoir. Durant le trajet avec la Ladrini dans ses bras, Marcus lui souffla la tête basse , un léger sourire sur les lèvres.

Merci,Sytrinn Sandström.

Apres l’épellation de son nom, Marcus allait a jamais gardé se nom gravé bien durement dans la plaque de métal qui lui servait de cerveau. Mais Marcus sortie de sa ceinture, l'arme qu'il avait tendu plutôt a Sytrinn.

Je croie que sans arme,une fille comme vous n'ira pas loin, prenez la ,gardé la au moins jusqu’à vous arrivé chez vous.

Marcus pris la main de Sytrinn et il la referma sur le manche de l'arme.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeMer 18 Avr - 17:31

Alors qu'elle se faufilait péniblement à travers la foule, Sytrinn sentit deux bras la soulever de terre. Elle regarda le forgeron qui s'apprêtait à parler.

- Merci, Sytrinn Sandström.

La jeune femme avait défendu Marcus et empêché son exclusion, mais depuis que tout était rentré dans l'ordre, elle se demandait si elle n'aurait pas dû tenir sa langue et se mêler de ses affaires. Trop tard elle avait envisagé la possibilité que l'homme aurait préféré quitter Dalma, et la culpabilité s'était emparée d'elle. Maintenant qu'il la remerciait, elle éprouvait un immense soulagement. Parfois, la demoiselle s'en voulait d'agir trop spontanément, elle détestait perdre le contrôle d'elle même. Son père lui avait toujours répéter d'aller au bout des choses qu'elle pensait justes, et même si elle faisait partie d'une guilde crainte dans Isthéria, elle conservait toujours les valeurs qui lui avaient été inculquées et que prônait d'ailleurs le chef de sa caste. En effet, les ladrinis regroupaient voleurs et assassins, et l'amalgame avec de vulgaires brigands comme ceux qui avaient menacé le village, était vite fait. Évidemment, les membres de la guilde avaient plus ou moins tous les mains tâchées de sang, y compris Sytrinn. Toutefois, les ladrinis agissaient rarement pour leur personne, ni même pour leur communauté. Des missions ou contrats étaient donnés et chacun était libre de les accepter ou de les refuser, selon leur conscience.

Marcus déposa la jeune femme qu'il tenait dans ses bras, sur sa monture.

- Je crois que sans arme, une fille comme vous n'ira pas loin, prenez la, gardez la au moins jusqu'à votre arrivée chez vous, dit-il en prenant la main de la demoiselle et la refermant sur l'arme qu'il lui avait proposé tout à l'heure.

- Sytrinn, il serait sage que nous partions un peu plus tard. Tu n'es pas en état de voyager, Tyrhénium est encore loin et le temps va de nouveau faire des siennes, lança soudainement Falko qui était apparu sur le pas de la porte.

Le soleil se levait peu à peu, mais déjà les premiers nuages arrivaient massivement au-dessus des Vastes Plaines. De plus l'air était encore extrêmement froid et la jeune femme, complètement frigorifiée, tremblait comme une feuille. Sytrinn regarda son renard avec autorité.

- Nous ne pouvons abuser davantage de l'hospitalité de Marcus, je pense qu'il a déjà assez fait pour nous, dit-elle en resserrant ses doigts sur le pommeau de la dague. Et puis regarde, je vais déjà mieux, continua-t-elle avant de se laisser tomber de son cheval en réprimant une grimace de douleur.
- C'est hors de question, à moins de trouver un guérisseur. Et puis enfin, regarde toi, tu es toute sale et tes vêtements sont en lambeaux !

La ladrini baissa la tête, honteuse. C'est vrai qu'avec la nuit qu'elle avait passé, le vent mauvais, le désinfectant et la transpiration due à la fièvre, elle ne devait pas sentir la rose.

- Allons, donne moi ta bourse, je vais m'arranger pour te trouver une robe simple et des chausses, et demander à une femme du village de s'occuper de ta toilette, reprit Falko.

- Je refuse, dit la jeune femme en rougissant. Cela ne fait même pas vingt-quatre heures que nous sommes arrivés, il est inacceptable de profiter des gens ainsi !

L'animal ne l'écouta pas, il se planta devant sa compagne, sauta et attrapa la bourse qui pendait à sa ceinture. Sytrinn, agacée, entreprit de le poursuivre, non sans trébucher à plusieurs reprises, alors qu'il tournait en rond autour du cheval.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeJeu 19 Avr - 3:10

Marcus songea a plusieurs opportunité de voyagé, son métier le menait souvent dans des grandes capitale , mais le forgeron voulait tentez une exploration périlleuse et ainsi vivre autre choses que des ventes ennuyeuse.

Marcus avait offert son aide, sa maison, son lit et de son temps a une pure femme qu'il ne connaissait que par le nom, mais il savait que malgré cela, il allait revoir cette femme ainsi que son petit renard qui était en train d'énerver sa maîtresse. Durant le temps ou il se chamaillait pour la bourse, Marcus se tourna en tournant la tête de droite a gauche en riant et il entra chez lui pour ressortir au lieu de sa cape en lin beige, il portait une cape en lin rouge, toujours attaché par sa précieuse boucle en pierre dragon noir sertie de l'insigne de sa famille toujours dans l'inconnu et il portait dans ses main ce qui semblait être la cape beige qu,Il portait et une paire de botte recouvert de lanière de cuire bouilli. En avançant les yeux fermer , Marcus sarretta devant Sytrinn pour lui tendre la paire d'objets.

- J'ai bidulé vos botte pour tentez de recoudre les endroit déchiré mais mes mains son habile avec le métal et non avec une aiguille et du fil... Mais j'ai réussi a y ajouté des lanière de cuire bouillie ainsi que une vêtement chaud pour votre voyage , car les marchands ne passerons pas tout de suite et nous avons peu de vêtement ici pour les familles, alors je croie que cette Toge vous tiendra au chauds ainsi que vos botte rembourré.

Marcus tenait toujours la toge avec la paire de botte sur le dessus qu'une magnifique panthère noir était venu passé entre ses jambes tout en fixant Sytrinn devant son maître de ses yeux or. Même que l'animal semblait aimé Sytrinn car, elle lui donnait de petit coup de patte sur sa jambe non blessé et elle se frôla après elle.

Les rayons du soleil commença a se lever et Marcus plisa des yeux en détournant la tête pour laisser ses yeux s'habituer au soleil et le vent baissa laissant la douce chaleur du soleil plané sur le village. Plaçant les botte devant Sytrinn et placant lui même la cape sur ses épaule, Marcus remarqua le petit renard avec la bourse toujours dans sa gueule, il la laissa tombé a la vue des yeux du forgeron et il remonté sur le cheval aussi rapidement qu'il l'avait quitté. Prenant la bourse et en la tendent a Sytrinn , Marcus excisa une air plus joyeuse que la veille.

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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeVen 20 Avr - 22:43

- Falko, rends moi ça !

La jeune femme se déplaçait tant bien que mal à la suite de son renard qui tenait fièrement la bourse dans sa gueule. Les deux compagnons ne remarquèrent même pas que le forgeron s'était éclipsé, et continuaient de se narguer l'un l'autre. Finalement, prenant son élan, Sytrinn parvint à attraper la bourse et trébucha. Tombant la tête la première, elle se retrouva à plat ventre, étalée dans l'herbe que broutait son cheval. Des picotements venant de ses blessures lui arrachèrent un grognement. Elle se redressa péniblement et resta assise par terre en jetant à Falko un regard noir.

- Oh toi ! Murmura-t-elle sèchement. Cette bourse est destinée à Marc...

La demoiselle laissa sa phrase en suspend car le forgeron se tenait justement devant elle. Levant les yeux vers lui alors qu'elle se trouvait toujours sur le sol, elle remarqua qu'il était maintenant vêtu d'une cape rouge, mais elle fut d'autant plus surprise de le voir apporter sa paire de bottes. La ladrini écouta l'homme expliquer les modifications qu'il y avait apporté, réalisant soudain qu'elle était pieds nus depuis tout ce temps. Son actuelle apparence avait dû sûrement amener les villageois à penser qu'elle était une mendiante, délirante qui plus est... C'est alors qu'entre les jambes de Marcus, apparut sa panthère noire qui approcha de Sytrinn. Elle lui tapota la jambe de sa patte, puis vint frotter sa tête massive contre elle. Désormais face à face, à la même hauteur, les yeux du félin et de la terrane se faisaient écho dans une symphonie dorée. Captivée, la jeune femme encercla de ses mains la puissante mâchoire animale et ses doigts entamèrent de petits grattements qui semblaient ravir la panthère. Cette présence à la fois intimidante et douce transmettait une vague de chaleur à la demoiselle et lui faisait oublier ses maux.

L'ambiance sereine qui régnait à présent dans le village, était arrivée alors que le soleil laissait filtrer ses rayons. Les cheveux d'or de Sytrinn resplendissaient à la lumière, contrastant davantage avec la fourrure sombre du félin, qui se détacha d'elle pour laisser place aux bottes que le forgeron déposa à ses pieds. La ladrini les enfila puis fut recouverte d'une cape beige qui l'enveloppait tout entière.

- Merci, dit-elle doucement à l'intention de Marcus.

Pendant ce temps, Falko n'avait rien trouvé de mieux que de reprendre la bourse. Mais bien vite il lâcha l'affaire, sous le regard intimidant de l'homme. La jeune femme emmitouflée dans la cape, reposait toujours dans l'herbe, heureuse de laisser un peu de répit à sa jambe blessée. Offrant son visage au soleil, elle tendit sans le regarder, la bourse au forgeron.

- Ceci est pour vous. Je ne vous remercierai jamais assez pour l'aide que vous m'avez apporté. Je suis vraiment navrée d'avoir fait soudain irruption chez vous. Elle fit une pause et prit une grande inspiration. Bien, il est temps que je reprenne la route. Si le cœur vous en dit, vous pourriez m'accompagner à Tyrhénium, la ville compte de très bons forgerons ! Mais vous devez vous en doutez si vous vous êtes déjà rendu là-bas.

Sytrinn tenta de se lever, mais sa jambe faisait à nouveau des siennes. Elle soupira, craignant de ne pas pouvoir repartir en mission avant un sacré bout de temps.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeLun 23 Avr - 18:54

Falko semblait bien s'amusé a courir partout avec la bourse de sa maîtresse, tournant au tour du cheval , il pris un malin plaisirs a agacé Sytrinn qui avait de la difficulté a bougé. Revenu , Marcus avait fait stoppé le renard et la propriétaire de la bourse la récupéra en enfila ses botte.

La belle panthère noir passa entre les jambes de Marcus pour rejoindre Sytrinn. Durant se temps le vent ne c'était pas manifester et le soleil était a son plein régime, les rayon rebondissait sur la neige , rependant sa chaleur.

Le visage bronzé de Marcus accueillait les rayons du soleil avec les yeux mi clos et il senti son corps se relaxé un peu , il posa son regard un peu partout, sur le village, les villageois ,voir comment une situation pouvait changé vite, tantôt de la défense, tantôt le bannissement et tantôt l'acclamation. Tout sa par une seule personne, la même personne qui était arrivé blessé et frigorifier par une tempête et une rencontre dont Marcus ignore.

Le Forgeron ramena son regard sur la Ladrini et il remarqua la bourse quelle tendait a Marcus. Levant légèrement la tête, le forgeron secoua le tête doucement .

Cette argent vous sera plus utile que moi, mais nous ne quitterez pas le village seul, je n'ai pas envie de savoir que vous avez perdu la vie dans une autres tempête ou une rencontre avec une créature de la faune.

Marcus tourna les talons pour entré rapidement chez lui et ressortir avec son arsenal complet. Son armure accroché a son sac, son marteau qui pendait de sa ceinture et sa longue arme a deux main qui dépassait de son dos , ainsi que on masque d'acier orné de larme en obsidienne venait camouflé son visage ainsi qu,une capuche. Seulement par sa Stature, Marcus n'était plus reconnaissable.


Marcus tendait sa main a la Ladrini au sol et au travers de son masque gravé il lui demanda .

Vous est prêt a retourné chez vous Sytrinn Sandström ?


Spoiler:
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeMar 1 Mai - 15:04

Alors que Marcus refusait la bourse qu'elle lui tendait, la jeune femme fut un peu déçue et même si cela la démangeait, elle n'insista pas, réfléchissant déjà à un autre moyen de le remercier. Néanmoins, lorsqu'elle comprit qu'il l'accompagnerait, elle ressentit un sorte de soulagement. D'une, elle aurait maintes occasions de cacher discrètement la bourse dans les affaires de l'homme, et de deux, toute solitaire qu'elle était, avoir un compagnon de voyage ne serait pas de refus car la traversée des Vastes Plaines par un temps pareil était d'un ennui mortel.

Marcus s'éclipsa quelques instants à l'intérieur de sa maison pour en ressortir lourdement chargé : une armure, un sac, son arme et son marteau. Mais ce qui surprit davantage la demoiselle fut le masque d'acier qui recouvrait son visage. Ainsi équipé, il paraissait encore plus imposant qu'à l'accoutumée.

- Vous êtes prête à retourner chez vous, Sytrinn Sandtröm ?

Sytrinn prit la main que lui tendait le forgeron et la serra afin de se hisser sur ses jambes sans se faire mal. Une fois debout, elle planta son regard dans celui de l'homme.

- Prête, affirma-t-elle en souriant.

C'était la première fois qu'elle souriait à l'intention de Marcus. Elle se dirigea ensuite vers son cheval et s'apprêtait à monter sur celui-ci lorsqu'elle se retourna vivement, réalisant que...

- N'avez vous pas de monture, Marcus ? Demanda-t-elle en haussant un sourcil.

Enveloppée dans l'immense cape que lui avait donné son hôte, elle s'approcha de ce dernier en prenant garde de ne pas trébucher. La ladrini leva vers lui un visage dépité.

- Je crois que j'ai parlé trop vite. Nous ne sommes pas prêts, il vous faut un cheval et nous devons faire des provisions. La route est encore longue, deux jours tout au plus, surtout avec le vent qui risque de se lever à nouveau pour nous ralentir.

Tournant les talons, elle commençait à se diriger dans le village afin de régler tout ces préparatifs.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeVen 4 Mai - 20:30

Marcus ressortie de chez lui en fermant son masque par le loquet derrière sa tête et il releva la tête vers Sytrinn.

En remontant son sac sur son dos, par dessus son fourreau, il s'approcha de Sytrinn et par les deux yeux ouvert du masque, il aida la Ladrini a se relever et il écouta ce qu'elle avait a dire. Sans cheval il n'irait pas loin certe ,mais au mention des provision, Marcus vue que Sytrinn s'éloigna et il voulu protesté tout en tendent son sac contenant justement de la nourriture mais il resta silencieux. Haussant les épaules, Marcus regarda au loin pour y voir une tempête au outres phénomène naturel qui pourrait être dangereux durant le voyage mais , rien a l'horizon et le risque le plus élever restait les bandits , que Marcus prendrait plaisir a envoyer dans les 9 enfers ou la présence de créature cacher dans les vent glacial de l'hiver.


Marcus observait ses traces de pas dans la neige et Eralyx était venu s’asseoir devant lui et elle tourna la tête pour fixé le forgeron avec ses yeux jaune or. Marcus réajusta son armure et ses autres partie et il repensa a des souvenir ancien sur le début de sa vie enfouis en lui.


La douce lumière qui berçais son corps quand il voyait son père revêtir sa lourde armure argenté décoré de différente telle une tête de Griffon sur son casque, ses larges épaulette gravé telle des plume des ailes d'un aigle, son plastron, sertie d'une sphère lumineuse représentant l’emblème familiale , l'emblème des Archéon.

Marcus se souvenait aussi de la lourde épée argenté son son père portait il y a tant d'année, la même épée que Marcus a tenter de recrée mais sans succès. Mais ce jour, avait été le dernier pour Kaeso Archéon, il avait disparu et sa famille et les soldats servant sa famille avait disparu en même temps, seul Marcus avait fini ailleur ,assurant la survie de sa famille.
[color=red]L'honneur sur ma famille reviendra![ /color]

Marcus ignora qu'il l'avait dit tout haut en serrant le poing et qu'il avait attiré des regard interrogateur sur lui même.

*Je forgerais l'armure que mon père portait telle que dans mes souvenir , ceci est une promesse*

Le forgeron pris son marteau mais il refusa de Forgé une armure aussi importante , que imposante avec un simple Marteau. Ses souvenir était vague mais il avait entendu parlé d'un arteface perdu, un marteau perdu , La masse de Hélos. Mais les pensé de Marcus fut stopper au retour de Sytrinn.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeJeu 10 Mai - 22:53

Marchant difficilement en serrant les dents et les poings, Sytrinn partit à la recherche d'une âme charitable qui voudrait bien de son argent en échange de quelques victuailles. Devant les maisons, profitant des rayons du soleil, des femmes étendaient leur linge alors que les enfants jouaient avec un jeune chien qui les poursuivait en jappant joyeusement. La ladrini ne put s'empêcher de regarder le petit animal avec suspicion, se rassérénant aussitôt à l'idée qu'il ne pourrait jamais devenir comme l'un des molosses qui l'avaient attaqué deux jours plus tôt. Elle leva les yeux au ciel avec un petit sourire moqueur, se disant qu'elle était vraiment idiote d'avoir peur de ce...

- Aaah !

La jeune femme sursauta et en reculant, trébucha sur un pan de la cape que lui avait donné Marcus. Le postérieur à terre, elle écarquilla les yeux face au chiot qui, appuyant ses pattes avant sur son ventre, la regardait en haletant. L'expression interloquée qu'affichait le visage de Sytrinn, se transforma soudainement. Ses joues rosirent et des larmes embuèrent son regard : elle éclata de rire. Il ne s'agissait en rien du rire teinté d'insolence qu'elle avait jeté au visage des vieillards tout à l'heure, mais d'un rire franc et sincère qui lui permit d'évacuer la pression qu'elle avait accumulé. Il y avait bien longtemps qu'elle n'avait pas rit ainsi ; se sentant d'humeur joueuse, elle plaça le dos de sa main gauche sur son front et sa main droite sur le cœur.

- De grâce ! Je t'en prie épargne moi, ô monstre assoiffé de sang ! Se lamenta-t-elle en s'écroulant, allongée sur le sol.

Le chiot grimpa fièrement sur le corps inerte de la jeune femme et aboya sa victoire... Peut être un peu trop vite car Sytrinn se redressa soudainement et prit la boule de poil dans ses bras.

- Ah ! Tu es tombé dans mon piège, vile canaille ! Te voilà capturé ! S'écria-t-elle en grattouillant affectueusement la tête du petit animal.

Laissant s'échapper le chiot, elle se mit debout et fit une révérence sous les éclats de rire des enfants.

- Mademoiselle, reste jouer avec nous, s'il te plaît ! Fit un garçonnet.

A regret, elle dut décliner l'invitation amicale des bambins et s'éloigna en leur faisant un petit signe de la main. Elle croisa les regards de quelques mères qui surveillaient leur progéniture tout en s'activant, et il lui sembla alors lire dans leur yeux, au delà de l'étonnement, un soulagement de voir que l'on ne grandissait jamais vraiment, que même lorsque leurs enfants seraient devenus adultes, elles pourraient toujours retrouver en eux cette insouciance qu'ils portaient aujourd'hui. Sytrinn se sentit un peu perdue tout à coup. Elle qui croyait que toute trace d'innocence avait déserté son cœur, elle devait désormais se rendre à l'évidence : le fantôme de l'enfant qu'elle avait été était bel et bien là, reclus dans son esprit. Mais s'il laissait parfois échapper quelques sanglots, force était de constater qu'il était toujours capable de rire. La ladrini chassa ses pensées morbides et avança en quête d'une auberge, étonnée que la douleur de sa jambe se soit atténuée sous l'effet de ce simple instant de sérénité à jouer avec les enfants. Au bout d'une demi-heure elle passa au même endroit - maintenant désert -, un sac en toile plein de nourriture sur l'épaule.

- Vous nous quittez déjà ?

La demoiselle leva la tête vers la provenance de cette voix. Sur le palier de sa maison se tenait l'un des trois anciens qu'elle avait confronté tout à l'heure. Il s'approcha d'elle, les mains jointes dans son dos et planta son regard cerné de rides dans le sien en levant la tête, car la jeune femme était beaucoup plus grande que lui.

- Hélas oui. Mais, j'imagine qu'il s'agit pour vous d'une bonne nouvelle, dit-elle sur le ton de la plaisanterie.
- Oh, moi vous savez... Fit-il en haussant les épaules. Et, hum... vous voyagez... seule ?

Son intonation faussement indifférente trahissait une once d'inquiétude. Sytrinn fut quelque peu surprise de voir le vieil homme bougon tout à coup gêné. Néanmoins elle arbora un sourire amusé qui se voulait rassurant.

- Oh, moi vous savez... Répondit-elle avec désinvolture, ce qui fit naître l'ombre d'un sourire sur le visage du vieillard. Et bien oui, j'ai l'habitude de voyager en solitaire. Seulement cette fois-ci je rompt avec ces habitudes et ce n'est nul autre que Marcus Archéon qui m'accompagne. D'ailleurs, connaîtriez-vous quelqu'un qui aurait l'amabilité de lui prêter une monture ?
- Et bien, j'ai moi-même un cheval que je mets à disposition des gens du village pour travailler dans les champs, mais le gaillard, par ce temps, s'ennuie à mourir dans son abris.

L'homme s'en alla et revint quelques minutes plus tard avec le gaillard en question, une fort belle bête, musclée par le dur labeur qu'elle avait accompli durant l'époque des récoltes. Son maître devait en prendre soin car sa robe couleur caramel luisait à la lumière et sa crinière claire avait été consciencieusement brossée. L'ancien lui tendit les rênes.

- Il y a bien longtemps, j'avais une fille. Kron me l'a enlevée. Une maladie. Elle était si fragile... mais si vous l'aviez rencontrée... Il ouvrit de grands yeux. Ouf ! Elle avait un sacré tempérament ! Vous vous seriez bien entendues.
- Merci pour tout, monsieur, lâcha respectueusement Sytrinn afin de cacher son émotion.
- Comment t'appelles-tu ? Demanda l'homme en la tutoyant soudainement.
- Mon nom n'a guère d'importance, fit-elle avec un sourire. Adieu et encore merci !

Elle chargea la nourriture sur la selle du cheval et quitta le vieillard en proie à son douloureux passé.

- Adieu, ma fille ! Lança-t-il d'une voix faible dans le dos de la ladrini.

La jeune femme eut un pincement au cœur, elle n'aurait su dire s'il s'était vraiment adressé à elle ou si ses tristes souvenirs avaient fait apparaître un spectre devant ses yeux mi-clos. Quoiqu'il en soit, elle poursuivit son chemin en direction de la maison de Marcus et retrouva sa bonne humeur lorsqu'elle revit le petit garçon au chien qui lui fit signe par une fenêtre, agitant sa main en guise d'au revoir. Arrivant enfin chez le forgeron, elle remarqua que celui-ci n'avait pas bougé d'un pouce depuis son départ. Il semblait plongé dans ses pensées. Sytrinn lui prit la main et y déposa les rênes du cheval avant de prendre du recul et d'écarter les bras.

- Tadaaah ! Fit-elle en souriant. Nous somme fins prêts à partir, Marcus.

Elle grimpa ensuite sur son propre cheval et prit Falko tout contre elle afin d'éviter qu'il ne tombe.

- Aller, en route, mauvaise troupe ! Lança-t-elle joyeusement à l'idée de regagner Tyrhénium, la ville qui l'avait vu naître.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeSam 12 Mai - 18:30

Marcus perdu dans ses pensées, releva la tête au bruits de sabots approché. Au travers de son masque d'acier, il voyait le cheval caramel musclé d'un ancien. Elle approcha avec un .

Marcus s’approcha de la Ladrini d'un grand rire.

-J'ignore comment tu a soutiré ce cheval a ce vieux fou mais ,bravo! Rare son les fois ou il l'utilise mais elle son utile.

Marcus passa son sac sur une lanière de cuire de la scelle et d'une tape sur la cuisse musclé de l'animal , il se pencha pour examiné les fers et lui porté modification si nécessaire. Prenant son arme a deux main en acier, il l'accrocha a la scelle pour pouvoir plus facilement la prendre au cas ou mais, il espérait a ne pas la prendre et l'utilisé durant le voyage.

Passant sa lourde jambe par dessus l'animale pour s’asseoir sur la scelle, Marcus fit signe a Sytrinn qu'il était prêt, prêt a partir et rejoindre Tyrhénium. Les deux cheval quitta doucement Dalma sous les regards de plusieurs membres du village mas, Marcus ne regarda pas derrière lui, il siffla et envoya sa main vers l'avant et une chose noir très rapide passa proche de son cheval qui, se cabra voyant la bête noir foncé a vive allure devant eux. Au loin, il y avait que un point noir et de fines trace de pattes dans la petite neige.

Durant une heurs de route, le village n'était plus en vue mais rien a l'horizon non plus, des rochés ,arbres ou buisson. Mais sur la route, sur chaque coté , il y avait deux énorme roché avec de petits buissons qui fessait le tour. Fessant arrêter les deux cheval, Marcus remarqua que sa panthère n'était pas revenu et il doutait que l'endroit était parfait pour une embuscade de voleurs. Prenant son arme, il descendit du cheval et il piqua les buisson mais surpris, il ne vit qu'un oiseau décoller de peur.

Marcus se retourna en riant mais un hurlement dans son dos lui glaça le sang. Le forgeron se retourna juste assez rapidement pour voir un Falgor noir, une femelle , lui bondir dessus de le plaqué au sol.
Sentant le grattement des griffe sur son armure, Marcus n'attendit pas que la bête le morde ou lui laboure le visage, il utilisa sa force surhumaine pour prendre la lourde bête dans ses bras et la lancé aussi loin qu'il le pouvait.

Un Falgor ….prion qu'il est seul.

La bête se préparait de nouveau a sauté que une autres créature noir avait surgis de l'autre coté et qui percuta la chose de plein fouet avec son poids et ses griffes.

Marcus recula jusqu'au cheval et en empoignant son épée , il remarqua une autre forme approché, un deuxième puis un troisième Falgor approchais mais, Marcus, son arme en main , était prêt.

Fessant tournoyer son arme dans sa main, il remarqua le deuxième lui sauté dessus mais avec réflexe il lui entailla le bas du ventre avant de le repoussé d'un coup d'épaule plus loin, le troisième croyait pourvoir avoir l'ancien guerrier de dos mais quand la griffe ricocha sur la jambière de Marcus, il abatis son pied sur sa tête avant de lui faire tombé dessus , son épée au niveau de l'omoplate.

Le combat fessait rage entre la panthère et le premier Falgor mais , les deux autres, ne fessait pas le poids face a la force du Forgeron.

Si il y a un problème mon bouclier magique est prêt! Quand tu veux Sytrinn!


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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeJeu 17 Mai - 15:01

Marcus en selle, ils pouvaient partir. Le groupe traversa Dalma sous les yeux de quelques villageois et la ladrini vit les trois anciens qu'elle salua noblement en inclinant la tête, faisant un léger sourire à celui auquel elle avait parlé tout à l'heure. Alors qu'elle continuait son chemin, elle entendit tout à coup une petite voix essoufflée venir de derrière elle.

- Mademoiselle, attends !

Sytrinn stoppa son cheval et le petit garçon au chien, qu'elle reconnut immédiatement, arriva à sa hauteur, à bout de souffle.

- Tiens, c'est pour que tu m'oublies jamais, mademoiselle, dit-il tout en se hissant sur la pointe des pieds pour lui tendre un objet. Tu reviendras, tu promets, hein ?

La jeune femme écarquilla les yeux et sentit son cœur se serrer. Elle regarda ce que lui tendait l'enfant : une figurine en bois en forme de chien qu'il avait visiblement taillé lui même, au vue des égratignures qui rougissaient ses doigts. La demoiselle se pencha et prit la petite main de l'enfant dans la sienne.

- Je te le promets, lui dit-elle d'une voix douce. Merci, il me portera chance, continua-t-elle en abandonnant la main du garçon pour saisir son cadeau.

A ces mots, il lui offrit un immense sourire ravi et édenté et agita les bras en signe d'au revoir alors qu'elle reprenait la route. Lorsqu'ils sortirent du village, Marcus fit un geste de la main et sa panthère les dépassa pour s'éloigner aussi vite que le souffle du vent. Sytrinn pensa qu'il était temps d'accélérer l'allure et partit au galop, bientôt rattrapée par le forgeron. Une heure plus tard, alors que l'on ne pouvait plus distinguer de Dalma que de légères fumées provenant des cheminées et que la nature s'étalait à perte de vue, les deux compagnons s'arrêtèrent quelques instants. L'homme affichait une expression méfiante et scrutait les alentours à la recherche de son amie qui ne les avait pas rejoint depuis leur départ. Descendant de son cheval, il empoigna son arme et vint la planter dans un buisson, non loin d'eux, duquel s'envola un oiseau effarouché. Marcus se tourna en riant vers la ladrini qui elle, ne souriait pas le moins du monde et s'apprêtait à hurler à son compagnon que... Trop tard. Un falgor s'abattit de plein fouet sur ce dernier, dans un cris strident qui agressa les tympans de la demoiselle. Mais la force de l'homme semblait de loin dépasser celle de la créature, qui fut projetée à une distance à peine croyable aux yeux de Sytrinn.

- Un falgor... Prions pour qu'il soit seul.

La bête voulut attaquer derechef mais fut soudainement assaillie par une autre chose noire... Un félin. Tout à coup, deux autres falgors firent irruption devant eux. Attendant que Marcus eut prit son arme, la jeune femme éloigna les deux chevaux et après avoir retiré sa cape, elle se saisit de la lame courbe que lui avait donné le forgeron. Celui-ci venait d'ailleurs de blesser sérieusement les deux créatures qui s'étaient jetée tour à tour sur lui. La ladrini fit abstraction de la douleur qui parcourait sa jambe et rejoignit le combat son sabre à la main. Elle n'avait jamais manié ce genre d'arme auparavant, et craignait de ne pas être aussi efficace qu'à l'accoutumée. Désormais, la panthère et l'homme faisaient face à leur adversaire respectif et il ne fallut pas beaucoup de temps à Sytrinn pour voir le sien foncer sur elle. Le deuxième falgor qu'avait repoussé Marcus, enrageait de sa blessure portée au bas du ventre et aveuglé par la souffrance, la demoiselle le savait, il serait sans pitié. Elle le laissa accourir dans sa direction et l'esquiva d'un bond au dernier moment, en grimaçant sous l'élancement que lui avait procuré sa blessure. Serrant les dents elle se fit violence pour s'élancer vers un rocher, prendre appui sur celui-ci et se propulser au-dessus de la bête désorientée en lui donnant un coup de sabre bien placé, dans le dos. L'animal poussa un cris et se roula sur le flanc. La ladrini en profita pour se jeter sur lui. A califourchon sur son dos elle empoigna d'une main ferme les plumes du front de la créature pour ramener sa tête hurlante en arrière et passer le sabre sous sa gorge. Les hurlements cessèrent aussitôt et Sytrinn relâcha son emprise alors qu'une mare de sang se répandait sous la bête et imbibait le sol.

La jeune femme se tourna vers Marcus qui semblait maîtriser le combat avec une force incroyable, puis elle vit que du côté de la panthère, l'épuisement se faisait sentir, car le falgor avec lequel elle se battait n'avait subi aucun dommage antérieur de la part du forgeron et il s'agissait en plus d'une femelle dont la taille dépassait largement celle du félin. Sentant que la souffrance dans sa jambe reprenait de la vigueur, Sytrinn décida malgré tout de venir en aide à la panthère. Profitant que celle ci s'éloignait quelques instants pour prendre son élan, la ladrini s’immisça dans le combat en attaquant le falgor par derrière. Passant en courant sur le côté gauche de la créature, elle lui entailla successivement la patte arrière puis la patte avant. Cependant, elle fut ralentie dans son esquive par sa blessure et ne put éviter la contre-attaque du falgor qui se jeta sur elle. Plaquée au sol sur le dos par cette masse noire, la demoiselle essaya tant bien que mal de la repousser alors qu'elle tentait de l'atteindre au visage en donnant des coups de son bec denté. Soudain, alors que la jeune femme sentait ses dernières forces la quitter, son assaillant fut heurté sur le côté. La panthère lui assénait de violentes morsures tout en plantant ses griffes profondément au travers de l'écaille noire. Le félin était aussi épuisé que la ladrini, et s'acharnait sur la créature en haletant. Mais cette dernière, profitant d'un moment de faiblesse de l'animal, se retourna vivement et lui administra un puissant coup d'épaule qui l'envoya valser. Voyant que le falgor, plus enragé que jamais, s'apprêtait à bondir sur la panthère en difficulté, Sytrinn s'élança dans sa direction.

- Marcus, votre bouclier ! Hurla-t-elle dans sa course douloureuse.

Le forgeron usa de son pouvoir afin de protéger le félin qui s'apprêtait à subir l'assaut foudroyant du falgor. Celui-ci se heurta avec force au bouclier magique et la jeune femme put achever la bête étourdie. Elle lui planta le sabre dans le dos et vint lui transpercer le cœur. Puis elle retira la lame du cadavre et l'essuya sur le plumage de ce dernier. Exténuée, Sytrinn se recroquevilla sur le sol en tenant sa jambe souffrante. Soudain, elle se redressa, un air paniqué sur le visage et tâta la poche de son pantalon.

- Oh non, ma figurine ! Lâcha-t-elle d'une voix étranglée en cherchant tout autour d'elle.


Dernière édition par Sytrinn Sandström le Sam 30 Juin - 1:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeDim 20 Mai - 2:32

D'un coté , une panthère noire affrontait un adversaire tandis que le forgeron se tenait face a un Falgor.

Durant la charge de son adversaire, Marcus avait complètement oublier Sytrinn derrière lui, l’instinct de survie c'était réveiller et Marcus allait profité de cette bestiole pour se dérouiller.Le deuxième Falgor que Marcus avait projeter plus loin , elle profita du rapprochement que le forgeron lui avait donner pour sauté sur Sytrinn, mais la Ladrini semblait bien s'en sortir face a cette chose pas très amicale.

Suite a plusieurs rapprochement, Marcus sifflait tout en évitant les coup de pattes donner par la créature et il s'amusait a lui botté les pattes et parfois la tête pour la mettre de plus en plus en rogne.

-Chaton ,chaton,chaton, viens ici.

Sous plusieurs réponse idiote dans le vide , Marcus se tanna et il entrepris de profité du bond de la chose pour l’agripper par la gorge et la claquer au sol tout en plantant son arme au éclat d'argent sous le soleil, dans l'abdomen de la créature.

Marcus fit craqué son dos et il fut sortie de sa torpeur par le crie d'aide de Sytrinn qui lui implorait son bouclier magique. Lâchant son arme, le guerrier forgeron plaça ses deux main paume ouvert droit devant lui et un mur translucide légèrement bleuté apparu et une chose percuta le mur magique qui déclencha un léger rire au forgeron voyant le Falgor percuté le bouclier. Il relâcha la protection alors que la bête était mort par la main de Sytrinn et il l'entendit parler d'une figurine.

Tout en marchant pour aller récupérer son arme au sol, Marcus il posa sa main sur son dos et entre ses dent il jura. Il fléchis les genoux et il posa la main sur son arme qu'il voyait une petite chose en bois plus loin proche du corps d'un des Falgor. Marcus s'en approcha et alors qu'il porta sa main sur la petite figurine, il entendit un grognement et en tournant la tête, il vit une tête plumé foncé sur son cou massif. Levant simplement le bras, la gueule du Falgor se referma sur la protection d'avant bras en métal du forgeron et il tenait la masse qui allait s'écrouler sur la figurine en bois. Prenant la chose de bois et en la plaça dans son sac, il pris le Falgor a deux main et avec vigueur, il brisa l'animal en l'envoyant au sol, laissant entendre un craquement dégoûtant.

Je croie que ceci vous appartiens non ?

Dit-il en fessant tourné la figurine entre ses doigts tout en attachant son brassard défait de son autre main.
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MessageSujet: Re: Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)   Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon) Icon_minitimeMar 5 Juin - 20:07

Sytrinn, à quatre pattes, tâtonnait l'herbe gelée autour d'elle à la recherche de la figurine qu'elle avait égaré lors de l'affrontement. Encore essoufflée suite au combat, d'opaques volutes blanches s'échappaient de manière saccadée d'entre ses lèvres violacées par le froid. Ses yeux grands ouverts effectuaient de rapides allers-retours sur le sol, balayant chaque brindille, caillou ou motte de terre. Soudain son estomac se noua alors qu'elle se remémorait le visage angélique du jeune garçon et ses petites mains frêles entaillées par le minutieux travail qu'il avait accompli. L'inquiétude et la culpabilité mêlées à la poussée d'adrénaline que venait de subir Sytrinn, endolorirent sa gorge d'un sanglot qu'elle s'empressa de refouler. S'asseyant afin de masser sa jambe souffrante, la jeune femme secoua la tête, agacée par sa propre attitude.

En tant que ladrini, elle s'interdisait de laisser déborder ses émotions ou de montrer ses véritable sentiments. En réalité elle avait décidé de cela bien avant d'intégrer la guilde. Ainsi, elle s'efforçait de garder un air détaché à l'égard d'autrui. Toutefois, si elle tâchait de se persuader qu'elle ne tenait à personne, la vérité lui revenait en pleine figure, comme à cet instant précis. Car en se tenant sentimentalement à distance des autres elle avait développé une conviction de sa faible importance ici-bas et du peu d'intérêt qu'elle pouvait susciter. Alors, lorsque quelqu'un lui témoignait de la considération par un geste ou une parole, la demoiselle se sentait à la fois perdue et retrouvée. Cependant elle se hâtait de se retrancher derrières les barrières d'indifférence qu'elle s'était forgées en vue de se rassurer. Elle vivait apparemment très entourée et pourtant dans une solitude perpétuelle qu'elle s'infligeait intérieurement, désireuse de se préserver et de ne laisser filtrer aucune faiblesse.

Alors qu'elle se morfondait honteusement, elle n'avait même pas fait attention à ce qui se tramait dans son dos. Marcus venait de battre à plat de couture un falgor récalcitrant, lui faisant mordre la poussière dans un craquement sinistre. Sa chute mortelle avait causé des ondes de chocs se répandant jusqu'à la demoiselle, dont la réflexion n'en fut absolument pas troublée. Ayant fini de se raisonner, la demoiselle se mit difficilement debout, puis remit une mèche de ses cheveux en place.

- Bah, ce n'est qu'un bout de bois après tout. Inutile d'en faire tout un... Oh... Oh ! Ma figurine ! Fit Sytrinn en ouvrant grand les yeux.
- Je crois que ceci vous appartient, non ?
- Par tous les dieux, je ne sais vraiment pas comment vous remercier, il n'y a pas de mots pour décrire ma reconnaissance ! S'exclama-t-elle soulagée, alors qu'un sourire illuminait son visage.

Les yeux brillants de la jeune femme convoitaient le petit chien de bois tournoyant entre les doigts du forgeron, elle tendit la main pour s'en saisir.
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