Tempête dans les Vastes Plaines (PV Marcus Archéon)

La figurine qui roulait entre les doigts du forgeron fut pris par les mains épater et contente de Sytrinn qui hurlais presque a voir la figurine que le jeune garçon avait tailler pour Sytrinn avant de partir de Dalma. Durant se temps, il aida la jeune blesser a se hisser sur son cheval tandis que Marcus se dirigea vers le corps de la Flagor femelle pour y sortir ses deux lames dans son dos et il découpa la peau de l'animal mort pour y garder une bonne partie pour du cuire et il coupa les membre tendre de l'animale pour se gardé un peu de nourriture. Il pris la peau des autres pour se faire une bonne réserve de cuire.

Il approcha de son cheval, plutôt celui de l'ancien que Sytrinn avait bien réussi a négocier a l'ancien pour le voyage, les mains couverte de sang et un bon sac de viande et de la peau rouleau encore ensanglanté.

J'espère que ces bêtes sont bonne a mangé , sinon Eralyx sera joyeuse de tout la viande qu'elle aura.

A la mention de son nom, la panthère noir regardait son maître de ses grand yeux jaune doré et elle balaya l'air de sa queue. Le voyage continua et le pire jour fut celui ou les vents étaient très lever et qu'il fallu au voyageur s’accrocher a une corde pour évité qu'il s'éloigne l'un de l'autre.

La cité Tyrhénium était en vue et son soulagement était grand voyant que rien de grave n'était arrivé durant le trajet. Le groupe avançais doucement sur le chemin en destination de la ville. Devant eux se tenait une épave d'un chariot pourri et détruit sur le coté de la route et Marcus se doutait que la plus part du temps c'était l'attente préférer des voleur. Prenant son Marteau, le forgeron le lanca de son cheval sur le chariot déja pourri et dans un bruit de pourris et de bois qui craque et le chariot pourris s’écrasa lourdement au sol.

Allez sortez de la Vermines.

Alors que Marcus avait fini de parlé, deux silhouettes fine , l'une se tenant la tête a cause du marteau et l'eau avec un bout de bois coincé dans le pied. Moins sur d'eux face a un adversaire aussi équiper et il pris retourna se cacher dans le chariot en ruine. Même qu'il relanca le marteau dans le chemin pour être sur de ne pas voir le forgeron surgir devant eux. Reprenant son arme, il rigola en passant près d'eux en route vers la ville.

Un sourire ravi sur les lèvres, Sytrinn contempla un instant la figurine logée au creux de sa main, avant de la placer soigneusement dans sa poche. Il était temps de repartir. Marcus proposa son aide à la demoiselle afin qu'elle puisse regagner la selle de son cheval. Évidemment, ce ne fut pas de refus. Sa jambe avait été sollicitée durant le combat et la douleur reprenait de la vigueur. La jeune femme regarda la forgeron qui s'improvisait boucher, alors qu'il dépeçait le falgor femelle et triait la viande.

- J'espère que ces bêtes sont bonnes à manger, sinon Eralyx sera joyeuse de toute la viande qu'elle aura.

La réaction de la panthère arracha un sourire à la ladrini, contente de la voir de nouveau en pleine forme.

Les jours passèrent et le froid se lassait rarement d'assaillir les voyageurs. Une journée, le vent glacé se fit plus mordant encore que le soir de la tempête dans laquelle s'était trouvée Sytrinn. Il était si déroutant qu'une corde fut nouée aux harnais des chevaux afin de ne pas séparer les compagnons. Ce jour là, la demoiselle était à peine visible, emmitouflée dans la cape trois fois trop grande pour elle, que lui avait prêter Marcus avant leur départ. Le reste de leur périple s'était déroulé sans encombre et bientôt la ville de Tyrhénium se dessinait à l'horizon. Tout à coup, alors qu'ils parcourait un sentier, un chariot délabré, abandonné sur le bas côté attira l'attention des terrans. Le forgeron ne se fit pas prier et lança son marteau sur l'épave, certain que des brigands y auraient trouvé cachette. Le chariot, suite au choc, n'était plus qu'une tas de bois ne laissant pour indice de son ancienne utilité qu'une roue moisie qui roula péniblement dans l'herbe.

- Aller, sortez de là, vermines.

Deux hommes s'extirpèrent pathétiquement de leur planque, visiblement sonnés par le « projectile » qu'avait utilisé Marcus. Jugeant de la carrure de ce dernier, les bandits retournèrent à l'endroit d'où ils venaient. Les voyageurs reprirent la route et le forgeron semblait satisfait de cette entrée pour le moins fracassante dans les alentours de Tyrhénium.

Une fois arrivés aux portes de la ville, Sytrinn s'avança à cheval vers les gardes et tendit discrètement le dos de sa main vers l'un d'eux, en faisant attention à ce que Marcus ne s'en aperçoive pas. La chevalière marquée du blason de sa famille fut immédiatement reconnue par les hommes en armure qui les laissèrent passer sans poser de question. Les sabots de chevaux claquaient lentement sur les pavés et la jeune femme retrouvait avec bonheur l'ambiance de la ville de sa naissance. Elle salua à peu près chaque commerçant qu'elle connaissait se disant qu'il faudrait qu'elle fasse un tour au Poisson Fringuant, qu'elle prennent des nouvelles du tisserand, qu'elle... Bref, elle devait pour l'instant se rendre au Bazar Condamné afin d'y déposer les documents qu'elle avait vol... emprunté des jours plus tôt. Elle s'approcha de Marcus.

- Et bien, je crois qu'il est temps de nous dire au revoir, fit-elle avec un sourire amical légèrement peiné. Eralyx... Elle tapota la tête du félin. Marcus... Elle lui serra la main. Merci pour tout, mon ami.

Ces derniers mots étaient empreints de sincérité et son regard était plongé dans celui de son compagnon de route. Ses adieux n'étaient pas fameux, mais Sytrinn n'aimait pas s'éterniser dans de grands monologues tragiques. L'essentiel était dit en très peu de mots. « Merci », il lui avait sauvé la vie et elle lui en serait à jamais reconnaissante. « Mon ami », une formule qu'elle ne prononçait que très rarement, signe qu'elle lui faisait confiance et lui vouait un profond respect. Bien sûr cela impliquait également qu'elle avait désormais de l'affection pour lui, mais elle préférait ne pas penser à cela. Un ami était une force, cependant il était aussi une faiblesse... La demoiselle repensa à l'incroyable force du forgeron ; il serait difficile de lui faire du mal, se rassura-t-elle avec amusement.
Sytrinn lâcha la main de son ami, lui qui ne savait rien d'elle et qui ne pouvait pas se douter des actes qu'elle avait pu commettre ou subir, et elle déposa la cape dans ses bras en lui donnant un dernier sourire. Elle tourna les talons, se mit en selle et fit claquer les rênes pour se rendre au petit trot dans son repaire...

L’immense ville était en vue, il n'était pas rare au forgeron d'y aller pour des demandes spéciales ou simplement acheté qu'elle que trucs dans la ville. Le chemin avait été long, surtout avec l'attaque de Falgor qui les avait stopper durant leur trajet mais, il y était enfin. Alors qu'il ouvrait la marche a cheval, Marcus ressentis le soulagement d'être arrivé ici sans avoir perdu celle qu'il escortait par ses blessure ou simplement par une attaque, un carreau, une flèche ou simplement une lame de lancer, aurait très bien pus l'avoir sans qu'elle ai eux le temps de comprendre ce qui s'aurait passer que les deux voyageur serais mort sur la route a quelque heurs de Tyrhénium.

Il approchait de la porte et le forgeron ne s'inquiétait point sur son moyen d'entré car, habituer de venir , il était assez bien connu par la garde pour qu'il saches qu'il venait pour affaires ou simplement acheter. Mais étrangement, ce fut Sytrinn qui lui demanda de resté sur place et elle avança vers les gardes. Se posant des questions sans toute fois intervenir , il la laissa faire et il remarqua que les gardes s'étaient écartés très rapidement. Haussant les épaules, se fut le forgeron qui la suivie cette fois, ouvrant la marche et en saluant des gens au passages.

Alors qu'il la suivait, elle se retourna en retirant sa cape qui lui avait offert pour se protéger du froid. Alors qu'elle tendait sa main pour le remercier .

Merci pour tout, mon ami.

Marcus serra la main de Sytrinn et un léger sourire en coin apparu sur son visage. Il venait d'aider quelqu'un et qui elle était n'importait peu, il n'avait presque plus rien a faire de sa vie, excepté forger et voyager au plus beau endroit qui existe.

Ce ne fut que la moindre des choses Sytrinn Sandstrom, prenez soin de cette lame *Il pointe l'épée courte courbe* Elle pourrait bien vous sauvez la vie alors que je serais loin.

Le forgeron repris la cape de cuire avant de voir Sytrinn s'en aller et une fois loin devant lui, il dit tout bas.

Nous nous révérons , que se soi en face de l'autre ou dans un croisement de fer, Sytrinn Sandström.

Il se retourna et quitta la ville pour retourné a sa petite occupation et surtout, sa maison.

[Fin]