₪ Le dépouillement des âmes ₪

₪₪ Fin Daeron ₪₪

:: Voleur d'âmes ::

" Si l'amour est ta faiblesse, la rage est ta force "

SURNOM: Shadow
AGE: Vingt et un ans
SEXE: Masculin PEUPLE: Yorka
CASTE: Ladrinis
METIER: Voleur

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ARMES PRINCIPALES:
Fin possède une dague en argent, dont la lame mesure environ dix centimètres.
AUTRES POSSESSIONS:
Fin porte toujours une chaîne en or, qui lui à été offert par son père avant son décès.
DON:
Il se transforme en léopard blanc.
POUVOIRS:
Fin peut attirer les objets à lui par la simple pensée. Cela lui demande cependant des efforts considérables selon la taille et la masse de l'objet concerné.
Il peut aussi invoqué un démon -qui représente la partie sombre de lui même- à l'aspect plutôt repoussant.
Fin possède un sixième sens qui lui permet de connaître la météo à venir. Il est beaucoup plus développé pour sentir le mauvais temps arrivé.
SPECIALITES:
Discrétion, et voleur d'exception

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Je suis de corpulence moyenne, plutôt musclé, je mesure un mètre quatre vingt cinq. Ma peau est lisse et claire.
J'ai les cheveux mis longs, bruns et lisse. J'ai quelques mèches blanches du à la couleur du pelage de l'animale que je suis. Les traits de mon visage sont fins. Mes yeux sont en amandes, d'un bleu si pur, qu'ils pourraient envoûter n'importe qui. J'ai de fins sourcils qui sont plus bas à l'intérieur qu'à l'extérieur, ce qui me donne l'air d'avoir de grands yeux. Mes lèvres sont généreuses. Surtout ma lèvre inférieure. La ligne de mon nez est droite, et plutôt mince, tout comme le reste de mon corps. J'ai un anneau en or à l'oreille gauche.
J'ai de longs doigts. Mes ongles sont courts et solides. Cela est simplement du au fait que je me transforme en animale. Ils sont donc tout aussi solides que mes griffes. J'ai les jambes musclés. Cela est du au fait que je cours souvent, sous forme d'animal certes, mais cela me muscle tout aussi bien lorsque je suis sous forme humaine.

Je porte souvent un gilet à manches longues de couleur marron-rouge. Pour ce qui est du bas, j'aime avoir un pantalon large noir. Après chaque transformation, si je n'ai pu me déshabiller, je me retrouve donc nue comme un vers. J’essaie de toujours prévoir des habits de rechange avec moi.

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Je suis un homme solitaire. Je sait survivre dans la nature, et me défendre. J'aime l'action, la routine n'a pour moi rien de bon. J'évite à tout pris de m'enticher de personnes qui n'auront pour moi aucun intérêt. Je ne m'attache d'ailleurs qu'à très peu de personnes. Si j'ai besoin de quelque chose, je le prends là ou je peux le trouver. Je n'attends pas que quelqu'un me donne son accord. Je n'obéis pas aux ordres seulement si ceux ci me permette de rester établis quelque part. Je n'hésite pas à me servir des autres pour arriver à mes fins. Je ne me considère pas comme quelqu'un de mauvais, juste comme une personne indépendante qui n'a pas de temps à perdre avec des règles et des lois aussi inutiles les unes que les autres. Je sais cependant faire bonne figure. Certaines personnes osent m'accorder leur confiance. J'ai aussi certains principes. S'il arrivait un jour que quelqu'un me sauve la vie, alors j'aurais une dette envers cette personne. Et inversement. Si je dois sauver la vie de quelqu'un, je veux m'assurer qu'il tiendra sa dette envers moi. Autrement, je n'aurais aucun scrupule à laisser mourir cette personne si elle ne peut m'apporter aucun ennuis. Je pense avoir un caractère bien trempé, parfois désagréable. Tant pis, à près tout, je suis comme ça.

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J'ai vécue avec mon père jusqu'à l'âge de quinze ans dans un village se trouvant à quelques jours des Marais Brumeux. Ma mère étant décédé à ma naissance, autant dire que je n'ai pas eu beaucoup d'affection. Mon père m'a appris à me battre, à survivre seul dans la nature, à me contrôler lors de mes transformations. Lui même étant un félin, un lion, il savait à quel point il est simple de se laisser emporter par ses envies félines.
Un jour, alors que je marchait dans mon village, une bande de garçons, plus âgés que moi, sont venues me voir. Je les connaissaient très bien, ils m'embêtaient déjà lorsque je n'avait que cinq ans. Le fils orphelin du village, comme ils m’appelaient. Malheureusement pour eux, ce jour là, j'étais d'une humeur massacrante. Je me suis donc énervé. Au fur et à mesure que je m'énervais, j'avais l'impression que mon âme se dédoublait. Je n'y faisais pas attention, j'étais trop concentré sur ses abrutis. Et puis, à un moment donné, alors que j'attrapais un des gars (beaucoup plus grand que moi) par le bras, j'ai vu leurs visages se décomposés. Ils avaient tellement peur qu'ils sont partis en criant au diable. Sur le coup, je ne comprenais pas, mais j'étais hilare. Les voir aussi effrayés, c'était tellement bon. Et puis m'est venu à l'esprit que moi aussi, je devrais peut être avoir peur. Je me suis figé sur place, puis j'ai commencé à me retourner. La chose était énorme, tout simplement. Et assez hideuse il faut dire. Mais, bizarrement, je n'étais pas effrayé. J'étais même rassuré. Cette chose me paraissait familière. C'est étrange, car je n'avais jamais vue de monstre comme celui ci. Je n'avais jamais vue de monstre d'ailleurs. Il avait un corps imposant, je dirais peut être trois ou quatre fois le mien. Et je parle seulement de sa largeur. Il devait bien mesurer deux mètres de haut. Ses dents mesurent au moins la taille de ma main, vue la longueur de ses oreilles, ils devaient entendre bien plus de chose que moi. Et sa peau, d'un genre de bleue-gris... Plusieurs fois au cours des semaines qui suivirent je l'ai vue apparaître. Souvent lorsque j'étais en colère. Un soir, il était là, au beau milieu de la nuit, à mes cotés. Je lui est alors parlé. Il ne me répondait pas par la voix, mais par la pensé. Cette sensation d'avoir quelqu'un, ou devrais-je dire, quelque chose, dans ma tête m'a fais sursauté. Et puis, avec les mois, je m'y suis habitué. J'ai aussi appris à contrôler ses apparitions. J'ai appris à connaître ses réactions, son "mode de fonctionnement". Il m'obéit. Il obéit absolument à tout ce que je lui ordonne. Je n'ai jamais su pourquoi ni comment j'étais comme sa, mais j’appréciais savoir que je n'étais finalement pas si seul. Parfois le soir, lorsque je parlait à ma mère (j'ai toujours eu cette habitude, avant d'aller me coucher, de raconter ma journée à ma mère. Je ne sais pas si elle m'entends, mais, cela m'apaise, de croire qu'elle puisse être là), je sentais sa présence dans mon crâne. Proche de mon âme. Il comprenait ce que je disais, ce que je ressentais, les moindres de mes sentiments les plus enfouis. Bien sur, au début, il ne comprenait que la haine, et la colère, ainsi que la tristesse, avec le temps, il appris la signification du bonheur, même si cela n'a jamais été l'un des sentiments que je ressens qui lui plaît le plus. Malheureusement, je ne peux l'invoquer plus de dix minutes, et je dois attendre de récupéré mes forces pour l’appeler de nouveau. Environ... Une heure, entre chaque invocation. Il ne possède non plus aucun pouvoir. Mais cela ne lui est d'aucune utilité, puisqu'il est plutôt fort. Je lui ai donné un nom: Lortroth.
Puis est venue le jour ou j'ai décidé de partir vivre ma propre vie. J'ai quitté la maison en ne prenant qu'un simple sac à dos à moitié vide. Je n'ai pas eu le courage de dire au revoir à mon père. Je lui ai donc laisser un mot. Deux lignes:

"Je suis désolé, je dois partir.
Je reviendrais.
Je t'aime."

Après des jours de marche, de course, je me suis retrouvé dans une ville que je ne connaissais pas. Je suis donc entrée dans le premier pub qui se trouvait sur mon chemin. Me voilas donc assise à se bar, buvant un verre d'hydromel, observant les autres, les écoutants discuter entre eux... Il y avait beaucoup de monde. Avant de m’emmener dans leur ville, des hommes m'avaient fais passait nombre de test. Une fois que j’eus gagné leur confiance, ils m'avaient laisser venir avec eux. Une nouvelle étape de ma vie commençait. Et j'étais impatient de voir à quoi cela pouvait bien ressembler!