[Abandon] Futur Incertain

Cela fait maintenant plusieurs semaines que l'on a pas vu Duscisio où que se soit depuis l'incident dans la Vallée d'Hillem. Calmé de se qu'il s'y est passé sans pour autant renoncer à l'acquisition d'un moyen pouvant lui rallonger sa vie de manière significative. Néanmoins depuis que la pierre de Sphène – Limiria – s'est brisé, le deuil d'un souvenir de ses parents qu'il possédait depuis bien des années par des services. Mais le fait que son bâton est maintenant abandonné des nouvelles opportunité de se débarrasser d'un poids n'est pas à oublier. Une main de libre, un entrainement dans l'ombre, Duscisio revient plus déterminer que jamais par sa présence dans la forêt de Sphène. Oubliant certaine idée pour en avoir d'autre, continuant tout de même son travail d'herboristerie bien qu'il ne soit toujours pas entrer chez lui pour connaître les nouvelles fraiches du monde. Cela n'avait aucune importance. Malgré tout cela, malgré que la possession d'un coffre remplit de pierre de sphène au fils des années par la famille, l'albinos ne se trouve pas ici par hasard, dans l'occupation du moment et l'idée de trouver une pierre de taille rare comme le fut Limiria se trouvait dans sa tête. Il ne restera pas longtemps dans les environs. Il sait particulièrement bien qu'une tribu amazone rodent dans les parages et il est préférable d'éviter d'attiser leur colère. Autre danger moins redouter étant les créatures vivant cette forêt pouvant l'attaquer sans sommation et raison que la faim qui pourrait les envahir.

Marchant sans peine à travers la forêt, l'herboriste ne pouvait ramasser se qu'il trouvait en matière d'herbe, racine ou de feuille qui lui servait habituellement dans ses potions. Ne possédant que son petit sac de voyage dans lequel se présentait encore quelques potions dont la moitié était vide par utilisation dans le combat acharnée qu'il avait participé. L'orage immense qu'il avait provoqué durant ce temps, et qui s'était répété plusieurs fois dans les dernières semaines, fit rumeur des voyageurs passant dans le coin. Un orage magique prévenu par un assombrissement soudain du ciel bleu fit par d'une légende fausse d'une créature millénaire réveiller par le premier orage qu'un jeune homme aurai invoquer contre le combat du Syliméas. Il n'en fut rien. Si l'orage se faisait que peu de fois, celui ci se présentait par la demande du magicien qu'est Duscisio pour un entrainement à la magie afin de supporter un telle sortilège et pouvoir continuer à se défendre par la suite. Il apprit à doser les éclairs invoquer par la magie des Fils de Fuxdir. La lance, l'épée et la hache des fils était appeler chacun leur tour quand ceci arrivait. Une telle magie épuise l'esprit Terran bien facilement. Le fait qu'il ne l'utilisera plus pendant un moment à cause de certaine conséquence d'un tel travail fait avec ce sortilège lui aurait détruit quelques mois de sa vie. Se n'est qu'une rumeur lu dans un livre en sa possession de la magie fallacienne qu'il utilise depuis tout petit.

Cherchant la fameuse carrière qui place un petit espoir pour trouver la pierre qu'il cherchait, Duscisio avançait un peu à l'aveuglette dans cette forêt épaisse, Amaledia dont sa pierre jaune de sphène sur le bijou accroché et cacher sur sa ceinture lui avertissait de la moindre présence dans un environ des cinquante mettre autour de lui grâce à l'utilisation du vent et de la terre qu'il utilise en permanence mais d'une manière à se que la magie ne consomme absolument rien. Stricte minimum quand il se trouve en milieu dangereux, avec l'espérance de ne croiser personne d'agressif.

La foret semblait vivante à cette heure. Des bruits fusaient partout, c’était encore plus effrayant lorsqu’un grand silence s’installait soudain sur les recoins sombres de la foret. Silence parfois interrompu par un long sifflement ou un chant léger. Un chêne se dressait, majestueux au milieu de feuilles sèches sur le sol. Ses branches étaient éparpillées sur toute la longueur du tronc, s’arrêtant a 1m 50 a peu près du sol. Le vent soufflait dessus. Soudain, une petite forme noire dans la pénombre glissa de branche en branche avec grâce pour se retrouver touchant presque le sol. A ses pieds, une louve se tenait, assise, rentrant ses griffes dans le sol et les retirant peu à peu, laissant des petits trous de quelque millimètre de diamètre. La silhouette avança une main et la posa sur la tête de l’animal. Une voix se fit entendre :

-Va dans les broussailles Possession, je sais que quelqu’un approche. Je l’ai vu.

Sans rien faire de plus, Possession, puisque c’est ainsi qu’elle s’appelait trottina jusque dans les buissons. La silhouette, quand a elle, remonta tel un écureuil le long de l’arbre. Arrivée a un point assez haut pour voir les inconnus mais pas trop bas pour se faire apercevoir, elle attendit. Au bout d’un bon bout de temps, un homme marcha sur les feuilles, faisant craquer chacun de ses pas. La silhouette laissa son visage se faire éclairer par un quelconque éclat dans les branches. C’était une femme. Sindarins plus exactement. Aux traits enfantins et vêtue d’habits de cuir brun, ses cheveux étaient blonds et ses yeux, bizarrement, dores. Cette vision ne dura pas longtemps, la pénombre revint et il ne restait plus qu’une silhouette. Elle regarda attentivement l’homme. Tandis qu’il avançait, elle le suivait, silencieuse dans la hauteur des arbres. Au bout d’un certain temps, la Sindarins accéléra l’allure pour se retrouver a un croisement. Regardant du regard autour d’elle, la jeune fille trouva ce qu’elle cherchait et on devina un sourire se dessinait sur son visage. Deux arbre, deux chaque cotes du chemin, avait des branches entrelaces. Toujours sans faire aucun bruit, elle s’avança jusqu'à elle pour se retrouver parfaitement au milieu du chemin. Au dessus. Elle s’assit de façon a ne pas avoir les jambes dans le vide et attendit. Si on regardait, on ne voyait rien. Seulement deux petites billes d’or dans l’ombre de la foret.

Levant une main pour écarter la végétation sur son chemin, les sens attentifs aux moindres faits suspect, sa magie ne détectant qu'un minimum de présence. Le fait de ne rien sentir depuis plus d'une heure autour de lui ne le fait pas renoncer pour autant à cette particularité travailler à ses tout débuts en matière de magie. Le seul problème ici était la carrière de sphène qu'il n'arrivait pas à trouver à travailler les feuillages. Pourtant sûr que cela se trouvait dans les environs. Ne devant que trouver par son petit truc pour sentir la magie autre que la présence. Duscisio passa rapidement sa main devant Amaledia pour stopper sa propre magie. Suivant se qu'il sait le bijou même devrait être suffisant pour détecter une magie venant de cette carrière ou bien d'une personne cherchant à se dissimuler par la magie en elle-même. Même si se n'est pas viable à cent pour cent.

C'est un choix risquer mais il le fait volontiers. Si cela peut aider à avoir un minimum d'espoir dans sa recherche il en ai prêt à courir le risque. Es-ce le vent qui fait bouger les feuilles ainsi ? Il n'y avait pas beaucoup de différence, alors autant avancer tranquillement même si ceci est une preuve d'insouciance. Ses pas marqués par le bruissements des feuilles tapissant le sol. Aucune présence ne se faisait sentir alors il continua. Deux arbres se présentèrent devant lui, un endroits qui pourrait être parfait pour le prendre à surprise d'en haut. Il ne se méfiait pas une seconde que cela se produirait. Il continua toujours dans la direction de ses deux arbres mais quelques chose pouvait mettre mal à l'aise.
Quel est donc cette chose à peine visible qui tourne autour de lui ? Une fine poussière noir à peine visible apparemment inoffensif marquait un point réellement agressif pour cette étrange personne qu'était Duscisio. Il ne sentait plus rien autour de lui, mais il démarque cette faiblesse par une menace quasi invisible. Son bijou n'émettait aucune lumière signalant une magie en cours, aucune incantation n'avait été prononcer pour appeler cette étrange chose. Son épée était toujours à son fourreau, tenue par sa main gauche pour que celle ci ne gigote à chaque mouvement de ses jambes lors de sa marche pénible dans les broussailles.

Juste au-dessus de l'apparente présence il s'arrêta. Non pas pour ne pas montrer qu'il avait senti quelque chose mais en remuant un peu sa tête dans une direction et une sensation particulière qui semblait le faire sourire. Il continua le pas en dessous des deux arbres pour dépasser ceux là sereinement, toujours cette présence malsaine autour de lui.

Les feuilles caressaient le visage de la Sindarins qui affichait un grand sourire en observant l’homme inquiet en dessous d’elle. Un petit rire doux s’échappa de sa gorge, qu’elle ne tentât pas de cacher. La jeune fille se pencha pour voir l’inconnu la dépassait. La silhouette se releva et pensa :

« Comment faire pour aller d’ici a l’autre arbre en faisant sentir encore plus ma présence ? Ah, ca y est, j’ai trouvée »

Se ramassant sur elle-même, La Releveuse se prépara à ce qu’elle allait faire. Quoi qu’elle ne fût pas inquiète-le moins du monde. Elle attendit que l’inconnu soit a la distance demandé et, d’un coup, sauta. Le sol se rapprocher dangereusement lorsque Alya attrapa de justesse une liane qui la fit remonter vers un arbre plus loin. En remontant, toujours sans aucun bruit, la pointe de ses pieds se retrouva au dessus de la tête de l’homme ce qui provoqua un petit coup de vent. La magie du moment s’arrêta quand Alya se hissa sur la branche souhaite. La dans un coin du tronc, il y avait un petit trou juste assez grand pour la main de la jeune fille. Main qu’elle introduisit donc dans la petite cachette. Elle en ressortit avec une espèce de morceau de bois particulier. Un moment de bois, oui mais surmonte de fer. Avec le bout de fer elle tapa la branche, puis frotta l’écorce avec ce dernier.

Dans les fourres, a terre, quelque chose bougea. Les branches craquèrent et un courant d’air froid passa. Et dans la pénombre des buissons, un œil jaune apparue. Suivis d’une tête et d’un corps. Une louve se tenait maintenant sur la route. La louve d’Alya. Elle trottina jusqu’au milieu de la route, se coucha et fermât les yeux. L’homme ne tarderait pas à arriver. Possession se coucha donc et ne tarda pas à s’endormir.
Pendant ce temps, Alya descendit discrètement de l’arbre et alla vers une petite rivière en courant. Là-bas elle remplit sa gourde en souriant. Qu’est ce qu’elle aimait espionner les inconnus ! Mais lui n’avait pas l’air de s’amuser autant qu’elle. En formant une coupe de ses mains blanches la jeune fille apporta de l’eau à sa bouche et but pour ne pas gâcher l’eau de sa gourde. En courant toujours, elle rejoignit son arbre et y remonta. La louve n’avait pas bougée. Alya reproduisit le même son avec le bâton et la louve se releva, retournant dans les buissons en ne laissant paraitre que sa tête. Sa tête dont un œil manque. Orbite a laquelle avait été rajoute son catalyseur. Une pierre dore très belle. Toutes deux, dans l’ombre bienveillante de la foret attendirent l’inconnu pour reprendre leur petit jeu.

A peine il avait commencer à marcher entre les deux arbres qu'une petit ricanement se faisait sentir à ses oreilles assez sensible. Il s'arrêta momentanément, regardant rapidement autour de lui puis un peu en hauteur sans y voir personne.
La main sur l'épée ne bougea pas, tandis que l'autre alla sur le bijou cacher, se posa dessus et s'alluma pour signaler secrètement qu'une magie était en cours d'utilisation. Méfiant, Duscisio invoqua silencieusement la déesse de l'air pour lui prêter une sensation qui lui signalera une présence dans les environs d'une trentaine de mètres. C'est suffisant. Si l'albinos avait besoin la plupart du temps d'une invocation avec aria pour sa magie, le contrôle de l'épée ou Toribrioé elle-même n'avait besoin que d'un mot ou d'un geste pour s'utiliser. Il continua d'avancer quelques mètres pour enfin sentir une présence mouvant là où il avait regarder précédemment. Il y avait bien quelqu'un.
Quelqu'un s'amusait à l'épier, ne manquait plus qu'à savoir qui ou quoi l'attendait. Il y avait de grande chance que cela soit l'une de ses amazones qui habite la forêt. Le rire avait quelques choses de féminin.

La présence disparue après quelques secondes. Duscisio ne devait pas présenter un danger potentiel alors il devait s'être désintéresser par l'espionne. Cela ne l'empêchera pas de rester vigilent, avec l'hypothèse qu'elle allait revenir sur un autre lieu plus adéquate. La surprise ne marchera pas, sauf s'il est vraiment prit au dépourvu. Le petit son d'un choc ne parvint pas à ses oreilles, mais il y avait quelques chose qui cloche dans cette histoire.
Il avançait tout de même. Bien qu'il avait l'instinct de survie assez travailler durant ses dernières années, sans oublier les dernier événement qui ont changer beaucoup de chose sur ses actions passer, présente et prochaine.
Reprenant son principal objectif le fait de croiser un loup au milieu de la route, apparemment endormis. C'était trop étrange pour que cela soit ignorer. D'autant plus que celui ci ouvrit les yeux après un son qu'il entendit cette fois ci. Enfin les yeux, il ouvrit l'œil, l'autre n'étant qu'une pierre de sphène incorporer dans l'orbite de l'animal se qui ajouta de étrangeté à la chose.

Duscisio arrêta net son regard tranquille maintenant qu'il se savait plus ou moins en danger dans cette forêt. La poussière noire qui l'entourait discrètement se vint plus dense, donc plus visible, sa magie elle se manifesta sous forme d'une bourrasque autour de lui accompagnant la poussière du contrôle de l'épée. Le loup ne pouvait que sentir le danger qui se présentait à lui. Quand au propriétaire de l'animal qui ne devait pas être loin ne tarderai peut-être pas à ce montrer en voyant son compagnon menacer d'une attaque soudaine.
Duscisio avait ses yeux, ses oreilles en éveil.

Alya revint vers sa louve, un peu perdue dans ses pensées, arrivée à l’ endroit demande, elle sentit que quelque chose n’allait pas. Il faisait de plus en plus sombre dans la foret et les yeux de la Sindarins n’en étaient que plus dores, se détachant de la normalité une fois de plus. Mais au moins ca lui permettait de voir dans le noir. A sa jambe droite, pendait sa courte épée, prête à l’utilisation. Sa main droite vola autour de la garde, caressant du bout des doigts les lignes soigneusement ciselés.

Elle sauta de branches en branches, de plus en plus bas, sans pour autant faire le moindre son qui annoncerait sa présence. Puis elle marcha vers sa louve, prenant des chemins un peu longs pour se perdre dans les fourres. La jeune fille sentait que Possession était en danger, en danger imminent, seule devant cet inconnu qui devait avoir sorti son épée. Des images sinistres vinrent envahir l’esprit de la Sindarins, faisant monter quelques larmes qu’elle essuya rageusement. Ce ne serait pas ses pleurs de fillette qui lui ramènerait Possession ! Néanmoins, une larme solitaire coula le long de sa joue, arrêtant sa course sur ses lèvres, le gout de sel remplit la bouche d’Alya. La même goutte d’eau sale avait trace un sillon beige sur sa peau un peu sale. Ce qui ne rendait que plus visible le fait qu’elle avait été sur le point de pleurer.

« Si il fait du mal a Possession, je le traquerais….ca fait un peu cliche mais je le ferais »

Elle prit un certain temps pour arrivait là-bas, sachant que l’homme ne tuerait pas sa louve avant de l’avoir vue, elle. Alya continua donc d’avancer sans se soucier des bruits autour d’elle. La végétation devenait de plus en plus dense à mesure qu’elle avançait dans les sous bois. Au bout d’un moment le chemin qu’avait emprunte l’homme se montrât enfin. Elle marcha en silence, étouffant le bruit de ses pas.

Debout, devant sa louve, l’épée sortit de son fourreau se trouvait l’homme, petit personnage au bout de la piste. Alya avança jusqu'à lui, de façon a être dans son dos et qu’il ne la voit pas arriver. La Sindarins marcha jusqu'à ce retrouver pile derriere lui, elle mit sa tete en avant et susurra a l’oreille de l’homme :

-Ne touchez pas a Possession…Vous ne voudriez pas savoir ce qui vous arriverez dans le cas contraire.

Elle gardait sa tête sur son épaule, se rehaussant en se mettant sur la pointe des pieds. Puis elle recula de quelques pas, pour qu’il puisse se retourner. Elle n’avait aucune envie d’attaquer les gens, mais si il attaquait, lui, elle serait bien obliges de se défendre. Et debout, baissant un peu la tête de façon a ce que des mèches de cheveux masquent ses yeux, elle attendit.

Dès l'instant ou il menaça l'animal de ses pouvoir il y eu une présence qui s'approchait. Se n'est pas le son, ou la vue qui lui disait ça, c'est impossible de savoir commence l'expliquer. La main droite de Duscisio qui ne bougeait pas du long de son corps, sa main gauche tenant l'épée encore dans le fourreau, Amaledia dont sa pierre de sphène jaune orangé s'illuminait discrètement sous sa cape recouvrant la totalité de son corps.
La louve ne bougeait pas, l'albinos non plus. Il ne cherchait pas à blesser celle ci sauf si elle se mettais à l'agresser. Attendant patiemment la personne responsable du familier ici présent, l'herboriste fixait l'œil de sphène jaune qu'il possédait. Quelque peu intéresser l'envie d'extraire cette pierre sans le moindre regret montait un peu. Le fait qu'il senti enfin la présence de la personne souhaitée derrière lui. Ses cheveux argentés à découvert cachait un visage qui se mit soudainement à sourire, la poussière noire et le souffle de vent qui tournait autours de lui diminua pour se faire beaucoup plus discret. Se qui lui permit de se mettre à son dos, sa tête devant son oreille pour chuchoter une menace.

Son regard changea du sourire à un visage extrêmement sévère. Quelle erreur avait pu t'elle faire en prononçant de tels mots appuyer sur son épaule. Ne sentait-elle pas de fins grains de poussière frotter son visage ? Ou encore un petit courant d'air qui n'avait rien d'habituel ? Elle s'éloigna et Duscisio se retourna en deux ou trois pas regardant la jeune femme de ses yeux rouges à vous glacer le sang. Il resta immobile un instant comme pour attendre quelque chose. Une autre parole ou action de la part de celle qui l'avait menacer. L'instant d'attente laissa le temps de diriger l'air autour de son épée encore au fourreau, l'instant d'après, quand elle fini se s'éloigner, sa main droite alla sur le manche de son épée et la dégaina d'une geste d'une rapidité rare. Pendant qu'il dégainais son épée le vent qu'il manipulait se concentra sur la lame, tout en dégainant il donna un coup dans le vide dans la direction de l'amazone faisant naitre une lame de vent inoffensive qui n'avait pour but que de la déstabiliser et la faire tomber. Celle ci au sol elle n'eut le temps de faire quoi que se soit qu'elle se trouva avec la pointe de la lame noire de Toribrioé sous son cou.

Que tu bouge un petit doigt ou que ton animal tente quelque chose tu signes son arrêt de mort.

Il gardait le regard sévère et attendit un petit moment pour savoir si elle était compréhensive de sa situation. Elle n'avait apparemment pas n'importe qui devant elle. Sa poussière noire était toujours présente autour de lui et ne présageait rien de bon. Quant à la louve, le moindre de ses actions serai senti par le vent qui se présente autour de lui comme d'une sixième sens.

Je peux savoir se qu'une femme m'espionne depuis quelques temps maintenant ?

Son épée ne pointait plus son cou mais son cœur, la pointe noire touchait les vêtements qui cachait sa poitrine, entre ses seins menaçant son organe vital. Son bras n'étant pas totalement tendu il serai facile pour lui de la transpercer. Mais quelques choses l'en empêche bien entendu, une part de lui-même, une importante part du bon qu'il reste en lui leva la pointe tout en restant potentiellement dangereuse.

A la dernière minute, Alya se dit qu’il y avait quelque chose de bizarre dans l’air. Elle n’eu cependant pas le temps de ruminer la dessus car elle se retrouva allongée par terre, la pointe de l’épée de son adversaire dans le cou. Les paroles qu’il lui adressa arrachèrent un sourire à la Sindarins, les coins de ses lèvres rouges ne remontèrent que de quelques millimètres néanmoins.

-Je dois prendre ca au pied de la lettre ou pas. Nan parce que ca serait vraiment bête de mourir juste parce que j’ai bouge mon petit doigt.

Sentant comme une petite épine entre ses seins, elle baissa le regard pour se rendre compte que la pointe de l’épée de l’étranger était maintenant posée pile entre ses seins, ou, si la lame s’enfonçait, elle atteindrait un organe vital. En pensant à la lame s’introduisant dans son cœur et a la façon dont sa dénuderait quelque peu sa poitrine, Alya ne put empêcher le rouge de lui monter au joue. Ses cheveux blonds tombèrent sur son visage pour le cacher tant bien que mal.

Ses joues redevenues blanches, Alya saisit la lame de l’épée entre deux doigts, dans un geste parfaitement détendue. La tenant a l’écart, elle se releva gracieusement mais vite et fit trois pas en arrière. Elle écarta les jambes pour que son poids l’équilibre de façon a ne pas tomber très facilement, croisa les bras sur sa poitrine et répondit a la question que le jeune homme lui avait pose quelques secondes avant qu’elle ne se relève.

-Hum…J’aimerais bien vous dire que non, vous ne pouvez pas le savoir. Seulement ce serait malpoli de la part d’une jeune fille comme moi.
Vous êtes sans doute au courant que des amazones sont dans la foret depuis quelques temps ? Et bien en vérité, je veille a ce que les voyageurs ne se fasse pas trop attaquer par celle-ci…Mais c’est vrai que c’est beaucoup plus amusant lorsque je le fais depuis les arbres et que les gens ne se rendent pas vraiment compte que je suis la.

La jeune fille eu un petit sourire en coin en se demandant si l'homme allait savoir qu'elle ETAIT une de ces amazones, mais que ces temps ci elle n avait pas trop le desir de les attaquer. Elle resta la, les bras croises regardant fixement l’homme dans les yeux, épiant chacun de ses gestes. Il ne faisait hélas pas assez sombre a cette endroit pour qu’on puisse voir ses yeux dores. Mais la nuit approche, et chaque secondes qui passait donnait a la foret plus d’ombre, de recoins et d’aspect inquietant.

Pour quelqu'un qui était largement battue, elle avait toujours l'air arrogante. La pointe de l'épée était toujours aussi menaçante pourtant elle ouvrait sa bouche sans le moindre soucis. La part de gentil en Duscisio l'empêchait de la tuer sur-le-champs pour son arrogance. Oui, il ne faut pas grand chose. Lui qui avait un caractère des meilleurs hospices, le fait qu'il s'inverse totalement les humeurs relève de sa propre destinée, d'un futur incertain à son égard et son peuple ainsi que les connaissances qu'il a accumulé jusqu'ici.
L'épée qui la dénudait sans le vouloir gênais atrocement la jeune femme qui était aussi rouge qu'une écrevisse malgré ses cheveux tombés sur son visage pour cacher ceci au mieux. Cela ne dura pas longtemps quand elle reprit un peu confiance en elle tout en oubliant l'idée que Duscisio oserai la déshabiller pour la ridiculiser encore plus. Ne vous y prenez pas, il ne fera jamais une chose pareil, sinon il se pourrait que cela n'aille pas à l'épée si vous voyez se que je veux dire. Duscisio reste un homme après tout.

Deux de ses doigts prirent la point de l'épée entre ceux-ci pour l'écarter de manière tout à fait détendu. Duscisio n'eut l'obligation de la laisser ainsi au sol et retira de lui-même la pointe de l'épée qui la menaçait toujours pour autant, même si l'épée était baissé, alors que la jeune amazone se relevait sans mal sans oublier de faire trois pas en arrière pour être hors de portée d'un coup qui partirait volontairement. Sa position pour garder l'équilibre sur ses deux jambes, ainsi que la manière de cacher sa poitrine qu'il avait involontairement montrer, en croisant ses bras pour ainsi répondre à la question de l'albinos montrant toujours le même regard mais un peu plus détendu.
Le fait qu'il ne pouvait le savoir mais se serai malpoli de le savoir. Le fait qu'il apprenne que le lieu d'habitation des filles Amazone soit dans le coin ne l'étonnait guère. Non. Au contraire il apparaissait impassible de le savoir car cela ne l'intéressait pas. La partie intéressante fut prononcer juste après comme quoi elle s'amusait à justement espionner tout intrus qui se promenai dans la forêt non loin de la cité caché des Amazones.

Samhach ne m'intéresse nullement. Par contre le fait de se sentir observer sans compter que vos rires avaient quelques choses de provoquant à mon égard m'a poussé à croire que l'agressivité était au rendez vous. Sighid a surement assez de problème comme ça mais elle devrait tenir un peu ses filles pour éviter ce genre histoire. Il ne faudrait pas que je devienne votre ennemie pour un espionnage que j'ai mal pris.

Marquant une pause dans ses paroles il reprit un regard beaucoup plus serein sans pourtant relâcher sa vigilance. Tenant son fourreau de son autre main, il rengaina son épée noire pour marquer un point de pacifiste peu accueillant qu'il acheva par le fait de passer encore une fois sa main devant le bijou qui lui servait à faire de la magie pour justement arrêter celle ci et retirer tout courant d'air. Mais la poussière noire était toujours là comme pour parer une éventualité d'être attaquer par qui ou quoi que se soit dans cette forêt qui était tout de même dangereuse. Sans détourner le regard il constatait de plus en plus que la nuit arrivait mais maintenant les habitudes de survies reprirent de plus bel comme celle de se soucier où et comment il allait pouvoir dormir cette nuit.

Veillez donc m'excuser pour mes manières peu élégante, mais en ses temps qui courent il y a très peu de confiance dans le cœur des gens. Maintenant et après, il faut que je trouve un lieu ou un endroit approprier pour camper la nuit.

Une petite clairière, voir une grotte dans les environs seraient parfait, mais elle ne pouvait lire dans les pensées et se dont il devait se débrouiller pour trouver ceci rapidement. Le fait également de savoir avec cette jeune femme en face, lui tiendrai compagnie pour outre raison pour quelques heures encore avant de le quitter et continuer ses affaires. Il n'attendait pas de réponse de sa part mais resta immobile pour voir déjà si elle acceptait ses excuses.

Alya se dirigea vers un arbre au branches si basses que certaine touchait le sol. Elle s’assit sur l’une de ces dernières et croisa ses jambes petites et fines. Elle n’arrêta pas une seule fois d’écouter les paroles de l’homme. Sans relâcher son sourire elle répondit a sa première tirade :

-Vous êtes-vous demande si nos rires étaient diriges a votre personne ? Il y a néanmoins un point ou vous avez raison. Il ne faudrait vraiment pas que vous deveniez notre ennemie, votre vie en serait très écourtée.

La Sindarins n’avait pas dit ceci pour se vanter mais juste dire ce qui, pour elle, était la stricte verite. Elle remarqua également que l’homme qui se tenait debout devant elle passait souvent la main au dessus d’une pierre. Elle fronça les sourcils et se dit qu’elle devait entre son fameux catalyseur.
La jeune blonde eut un petit sourire moqueur, arrogant ou amuse, a vous de le définir comme vous voudrez en entendant les excuses de l’homme et son besoin de trouver un abri pour la nuit. Elle savait très bien qu’il mettrait longtemps à en trouver un. Surtout un qui soit en sécurité. Son sourire s’agrandit de quelques millimètres lorsqu’elle comprit qu’elle était la seule, pour le moment à pouvoir l’aider.

-Vos excuses sont acceptes, bien sur. Vous n’avez rien fait de mal a ce que je sache. Oh c’est vrai que menacer quelqu’un d’une épée en s’aidant de la magie, c’es juste « peu » élégant…La magie…vous vous servez toujours de ca…Ou alors vous êtes assez courageux pour attaquer une personne sans elle.
Je ne vais pas m’excuser de ma langue bien pendu. Les mots sont parfois plus efficaces que toutes les armes, ne prêtez pas attention a ce que je dis.

Faisant une petite pause, elle regarda autour d’elle d’un regard presque amoureux envers les plantes et les arbres, puis ramena ses yeux devenus dores grâce a l’ombre a l’inconnu.

-Revenons à votre abri, si vous avez de la chance et que vous êtes assez expérimenté, vous en trouverez un ou vous pourrez dormir. Enfin bon, vous n’avez pas envie d’une fille comme guide. Voir de guide tout court. C’est à vous de voir. !

Sur ces derniers mots, Alya monta agilement quelques branches plus hautes, s’allongea sur l’une d’elle en soutenant sa tête de façon a ce qu’on puisse la voir quand même et qu’elle puisse voir l’homme.

La question de savoir si les rires étaient à son égard ne devait pas se poser. Il avait énoncer lui-même qu'il avait mal prit ses rires. Donc la question ne se pose pas. Par contre le fait qu'elle parla de ne pas devenir ennemi pour que la vie de l'albinos soit écourtée. Pour qui elle le prenait ? L'avant goût de la lame de vent ne lui a pas suffit ? Ou parle t'elle de l'ensemble des Amazones qui pourrait partir à sa poursuite ? Le fait est qu'elle le sous-estime grandement malgré qu'elle viens de se faire mettre à terre d'un simple geste. Ses yeux marquèrent une pointe de sévérité le temps d'un instant.
Le principal but de Duscisio était de vivre le plus longtemps possible, lui parler que sa vie serai plus courte qu'il ne l'imagine est surement la chose à ne pas faire car la personnalité de survie qu'il possède pourrait faire surface plus qu'elle n'ai déjà présente.

Le fait de trouver un endroit pour dormir est toujours un problème en pleine forêt. On ne sait jamais se qui peux surgir ni pourquoi ni comment. Mais Duscisio n'est pas stupide pour autant. Le fait de peu dormir ne le dérange pas du tout, habituer à cela avec les six années de voyage qu'il a à son actif lui ont apprit plus que l'on ne pouvait l'imaginer. Son instinct de survie est beaucoup plus développé, car après tout, c'est comme si la nature entière était sa maison.
Elle acceptait ses excuses mais son ton sarcastique commençait sérieusement à être de trop. Se n'était pas une menace en soit mais un avertissement comme quoi de se qu'il pouvait lui arriver si les choses allaient trop loin.
Le provoquer comme elle le faisait était un danger, non pas pour lui mais bien pour elle, sa magie qu'elle voyait comme peu élégant pouvait l'être beaucoup plus jusqu'à verser du sang sans le moindre regret.

Mesurez vos paroles mademoiselle si vous ne voulez pas que je mesure mon élégance à votre égard.

Étrangement le ton employer n'avait rien de sévère, mais bel et bien calme presque souriant sans l'être vraiment. Il rengaina son épée pour prouver qu'il avait pas besoin de celle ci pour calmer quiconque se présentant à lui de manière hostile, pendant qu'elle regardait autour d'elle. Malgré ça, sa magie était un point auquel il ne pouvait se passer par le simple fait qu'il était principalement un manipulateur d'essence divine.
Ses yeux dorée revinrent à le regarde en face, le sujet revenu sur l'abri qu'il devait trouver dans peu de temps pour y passer la nuit, pas forcement pour dormir, il ne l'a jamais préciser.

Si vos intentions sont mauvaise dès le début je refuse. Néanmoins au vu que vous connaissez semblerait-il la forêt savoir ou se trouve la carrière de sphène me serait suffisant.

Nous y voilà, il parla directement de se qu'il cherchait et avec un peu de chance il trouverait la répond qui lui permettrait de savoir quelques informations sur celle ci pour connaître sa prochaine action dans la région avant de retourner à sa boutique d'herboristerie.