SPECIAL CONCOURS => Je vais vous sauver princesse!!

◈ Oh! My Lady! Je suis chevalier! ◈

:: Rappel du contexte ::

La journée s'annonçait tout à fait banale, voire même presque ennuyeuse pour une journée qui aurait pourtant dû être de fête. En effet, pour les plus fervents croyants, il ne vous aura pas échappé qu'il s'agit de la grande journée des Cœurs, normalement consacré à la déesse Aléa afin d'attirer la chance sur son couple. Mais voilà, vous, cela vous passe au dessus de la tête. Vous vaquez tranquillement à vos occupations quotidiennes quand vous vous êtes vu étrangement saisi par le sommeil. Une envie irrépressible de vous reposer vous gagne et vous allez donc vous coucher.

Vous vous endormez très rapidement et comme une véritable masse... jusqu'à avoir l'impression de vous réveiller aussitôt mais... ailleurs. Vous vous sentez plus léger, plus serein et d'une étrange bonne humeur. Mais quelque chose cloche. Tout ce qui vous entoure vous apparait clair, blanc, vaporeux, comme dans un rêve. Mieux encore! Tout ce qui vous faisiez défaut semble envoler! Vous étiez mort? Et bien là vous ne l'êtes plus. Vous aviez de vilaines cicatrices? Elle n'existe plus. Vous étiez un peu rondouillard? Vous n'avez jamais eu un aussi beau physique. Vous n'avez jamais été aussi séduisant (bien qu'il s'agisse de votre propre conception de ce qui est séduisant chez vous).

Un véritable rêve "presque" éveillé!

Mais vous n'aurez pas le temps de philosopher sur cette bien agréable illusion. Un simple battement de paupière et le rêve se transforme et vous transporte....

:: Votre situation ::

Vous êtes tous les deux des personnes ayant une âme chevaleresque, prête à aider son prochain. Le monde est une vaste pièce de théâtre où vous en deviendrez les acteurs pour mieux briller! La plus belle scène? Noathis et sa forêt de vilains brigands!

La belle princesse Smaragd, dans son élégante robe à froufrous, se trouve à haut d'une tour, sur un balcon à attendre que l'on vienne de la sauver! Elle hurle un "à l'aide" de sa voix si chaleureuse! (et sans trop comprendre pourquoi? mais c'est ce qu'elle fait quand elle prend conscience là haut!) mais aussi sa fidèle amie, la princesse Mary, qui elle aussi porte une robe pleine de paillette et qui se trouve dans le même état que Smaragd.

En contrebas, il se trouve le vaillant chevalier dans son armure rutilante, Walter. Il tient en garde son épée en levant la tête et tentant de rassurer la princesse (et sans trop comprendre pourquoi? mais c'est ce qu'il fait quand il prend conscience tout en bas!).

Mais subitement, dans cette grande forêt, des brigands sortent de partout en vociférant des dialogues ridicules, digne d'une mauvaise pièce de théâtre. Par contre, leur attaque semblera bien réelle!

Vous voilà donc dans ce rêve complètement étonnant, bien loin de refléter votre personnalité mais où tout semble possible... et où tout échappe à votre contrôle. D'ailleurs, vous vous retrouvez à parler comme un acteur de théâtre sur scène, en faisant de grands gestes. De toute manière, ce n'est qu'une rêve, non? Tout ce qui se passera ici, restera ici, non?

:: Votre défi ::

Walter
Tu as choisi le chiffre 72.
C'est le nombre de marche que tu devras monter pour grimper dans la tour de la princesse Smaragd! Une bonne manière de mettre à l'épreuve ce physique de chevalier qui doit supporter une armure bien peu pratique en passant. Tu ressens une forte envie de sauver la demoiselle (qui n'en a pas forcément besoin mais bon).

Smaragd =>
Tu as choisi le chiffre 42.
Toi qui est une femme forte et indépendante, tu te retrouves à être une donzelle qu'il faut sauver des vils brigands. 42, c'est le nombre d'individus qui veulent tenter de t'enlever. Tu ressens une forte envie d'aider ton chevalier (mais qui n'en a pas forcément besoin mais bon).

Mary Kil'ci =>
Tu as choisi le chiffre 9.
Tu as été habituée à servir, et tu es d'une grande fidélité mais aujourd'hui, tu es de l'autre côté, tu as besoin d'être sauvée. 9, c'est le nombre de fois où tu imploreras de l'aide. Tu ressens une forte envie d'être sauvée pour une fois (mais qui n'en a pas forcément besoin mais bon).

:: Règles ::

_ Vous devez faire au moins 3 postes chacun (pour valider le concours - mais vous pouvez faire plus si vous vous amusez).
_ Ici, vous êtes dans un rêve. Il n'existera aucune conséquence à ce que vous faites ou ce que vous dites. A moins que...
_ Vous avez 2 semaines grand max pour poster vos sujets, il n'y a pas d'ordre entre les joueurs, vous pouvez vous entendre entre vous.
_ Vous aurez votre récompense quand vous aurez posté vos 3 messages dans le temps imparti.
_ Le but est de s'amuser donc soyez fou!

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Une voix cristalline, chantante comme celle d’un pinson, résonna dans la forêt. D’une langue déliée et pure, on appelait « à l’aide ! ». Oncques n’entendit-on de si poignant appel. Au sommet d’une superbe tour, une princesse à la beauté singulière était accoudée à une rambarde et passait une main inquiète dans sa chevelure d’ébène. Après un soupir déchirant, elle se tournant vers sa compagne.

« – Hélas, ma douce amie, je crois que nous sommes faîtes !
J’entends venir au loin de bien nombreux bandits.
Il est sûr et certain qu’ils viennent pour nos têtes
Je vois d’ici leurs dagues et leurs épées brandies ! »

Elle tendit un bras en détresse vers la jeune femme et versa une larme singulière, silencieuse. Impuissante, elle se voyait déjà emportée par les brigands et maltraitée ; nourrie au rôti vieux de plusieurs jours et à un vin médiocre, au mieux. L’effroi l’envahit et elle se jeta au sol, dévastée. Rien ni personne ne viendrait les sauver. Elles étaient perdues. Princesse Smaragd se roula sur le tapis de sa chambre et fondit en sanglot. Elle était en train de chercher un troisième mouchoir quand finalement, des tintements métalliques se firent entendre au dehors. La belle Zélos se redressa comme montée sur ressort et se rua sur le balcon, manquant de passer par-dessus en trébuchant. Là, dans la clairière où se dressait son élégant domicile, un héros défiait les malandrins ! La dauphine se tourna vers son amie.

« – Nos âmes sont bénies, leur sort n’est pas scellé !
Un noble chevalier vient à notre secours !
Regarde comme il pourfend ces scélérats zélés
Mon appel a fait mouche car voilà qu’il accourt ! »

Elle battit des mains pour encourager leur sauveur, décidée à ne pas rater une miette du spectacle.

Il était une fois,
Au milieu d'arbres et de bois.
Une tour exceptionnelle,
Elle était la demeure de deux damoiselles,
A la beauté si grande,
Qu'elles inspiraient les légendes,
Sur tout le continent,
Qui n'en demandait pas tant.

Mais le sort vint frapper ces deux accortes princesses !
Alors qu'elles s'occupaient tout en haut de leur tour,
De vils brigands vinrent en ces lieux pour s'emparer de leurs richesses,
Et enlever ces deux belles de jour.
Quarante-deux, ils étaient,
Et soixante-douze marches des princesses les séparaient.

C'est alors que s'en vint un chevalier.
Digne de louanges,
sur son fier destrier,
il ressemblait à un ange.

- N'ayez point peur, dames de mon cœur !
Je m'en vais faire de ces gredins,
De simples et banals amuseurs !
Et ce, d'une seule main !

Le preux chevalier dans son armure étincelante,
Croisa le fer avec ces assassins,
De sa belle lame brillante,
Ce fut conclut en un tournemain.

Mais, plein de fourberie,
Des brigands étaient entrés,
Dans leurs cœurs la félonie,
D'un chevalier ne peut être accepté.

Le cœur plein de bravoure,
Le chevalier entra à son tour,
Haute était cette grande tour,
Mais la beauté des princesses en valait le détour.

Malgré le poids de l'armure,
Le héros entama l'ascension,
Sans craindre les blessures,
Il avait un regard de Lion.

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Image tiré des artworks de Kingdom Come Deliverance

Dans la tour
Avec ses beaux atours
La jeune fille se lamentait
De son amie accompagnée

-Point de preux chevalier !
Nous aurait-t-il oublié ?
En haut de notre tour,
Volera-t-on a notre secours?

En se penchant la princesse pu voir un chevalier,
Dans son armure engoncé.
De viles gredins lui faisant face,
Il les pourfendit de son épée vivace.

Des étoiles dans les yeux,
Mary l'observait, et se demandait :
Allait-il se rendre maître des lieux ?
Les princesses étaient-elles sauvées?

Pour l'encourager elle se mit à s'égosiller
-A l'aide ! Aidez-nous ! Au secours !
Vous ne pouvez point nous abandonner sieur chevalier !
Sauvez-nous avant la tombée du jour !

Penchée au-dessus de la balustrade, la coquette jeune femme bénissait son sauveur de mots galvanisants et sentait monter en elle une adrénaline bienvenue. Alors que le combat faisait rage et que la guilde de gredins s’approchait dangereusement du pied de sa tour, la Zélos fit volte-face et se rua vers une commode au fond de sa chambre. Sur le dessus, pléthores de bougies et de livres s’entassaient, non loin d’une cassette pleine de bijoux et d’une élégante amphore. La belle s’empara de tous ces objets et les porta maladroitement jusqu’au bord du balcon – plusieurs trésors churent de ses bras pourtant larges et disparurent sous les meubles, mais cela ne la freina pas. En s’appuyant contre la rambarde, elle se mit à jeter ses effets sur les brigands, sonnant certains qui titubèrent. Elle accompagna ses gestes de sévères vociférations.

« – Arrière, vils mécréants ! Vous ne nous aurez pas !
Nous savons nous défendre, et sommes renforcées
Ce qui vous attend tous, ce n’est que le trépas,
Nos destins jouent des tours et se sont inversés ! »

L’amphore se brisa sur le heaume d’un malandrin qui vacilla, et bientôt, le chevalier et ses adversaires disparurent dans la tour. Les damoiselles pouvaient entendre les cris et les entrechocs des armes dans l’escalier. Oubliant son désarroi, sa majesté s’empara d’un balai et en saisit le manche comme une matraque.

« – Quelle que soit notre fin, je refuse que l’on dise
Que je n’ai pas lutté au nom de notre vie
On ne parlera pas de ma triste couardise
Car je mourrai fièrement avant d’être asservie ! »

Et elle se planta devant la trappe qui reliait ses appartements aux escaliers, prête à asséner un coup au premier qui oserait la soulever.

Chaque marche de l'escalier était un duel à mort,
Ser Walter luttait contre ces assassins tel un matador,
Sans pitié il était dans ce combat car nul espoir de renfort,
En cette tour pleine des chocs de l'affrontement sonore.

L'armure étincelante était désormais écarlate,
La défaite de chacun des brigands s'affichait dessus,
Telle une toile de maitre délicate,
Sur laquelle se peignait le salut.

Plus le combat s'éternisait,
Dans l'escalier de ce palais,
Plus le Chevalier s’essoufflait,
Dans son armure au métal bien épais.

Face à la menace du chevalier,
Les Brigands lui tendirent un piège,
Pour briser son acier,
Et reprendre leur siège.

Sur l'un des paliers,
Ils attendirent leur opposant,
Pensant l'affaire pliée,
Ils furent surpris par le belligérant.

Sa volonté renforcée
Par les appels au secours,
Des deux princesses assiégées,
Tout en haut de leur Tour.

- Rassurez-vous, Gentes Dames !
J'accours pour vous secourir,
Vous qui êtes belles à mourir,
De mon cœur vous entretenez la Flamme.

La fatigue le tenaillait,
Mais sa mission n'était pas terminée,
D'autres félons persistait,
A vouloir atteindre les belles si convoitées.

Reprenant la montée,
Il était déterminer,
A les sauver,
Tel un Loup protégeant sa portée.

Image tiré des artworks de Kingdom Come Deliverance

S'engouffrant dans la tour vaillamment,
Des princesse en détresse,
Le Chevalier allait affronter les assaillants,
Il comptait bien réaliser cette prouesse !

L'épée au clair
Montant les escaliers
Il se fit colocataire,
Des bandits du second palier.

La jeune princesse entendait les armes
Elles s'entrechoquaient avec violences.
Elle ne put retenir ses larmes
Et également une légère flatulence !

En entendant ce son impromptu
Ses joues de rouges s'étaient colorés
Elle était bien embarrassé
Heureusement le chevalier ne pouvait l'avoir entendu.

Pour cacher ce méfait
Elle se mit à crier
-A l'aide ! Aidez-nous ! Au secours !
Sauvez nous et je serais votre cavalcadour !

Les pas précipités des bandits,
Dans les escaliers retentissaient.
Sur les princesses le discrédit,
Ces hommes voulaient jeter.

Marche après marche,
Coup après coup,
Mortelle était sa démarche,
Même s'il voyait flou.

Le souffle court,
A force de grimper,
Dans cette haute Tour,
Il abattait son épée,
Tandis que déclinait le jour,
Au-dessus de la forêt.

- So... Soyez.. Sans... Crainte,
Prin...Cesses au... Coeur... d'Or,
Car... d'un... Chevalier... Vous sentirez l'étreinte...
Au matin... vous verrez.. l'aurore !

De moins en moins nombreux,
Les brigands se firent peureux,
Car les événements leur était peu avantageux,
Et au fond de leur tripe se forma un creux.

Après cette longue ascension,
Il ne restait plus qu'un homme,
Et ce fut sans acclamation,
Qu'il s'attaque au gentilhomme.

Des bruits métalliques retentirent,
Éclats de la colère et l'ire,
Du chevalier qui ne put faiblir,
Et du brigand qu'il venait d'étrécir.

Perclus de douleur,
Il rejoignit les princesses,
Leur beauté fut un baume sur son coeur,
Qui ne cessait de chanter d'allégresse !

- Vous voilà sauvées,
Beautés de la Forêt,
Plus rien ne vous menace,
Dans votre beau palace !

Image tiré des artworks de Kingdom Come Deliverance

Les bruits de l’affrontement se rapprochaient, de moins en moins étouffés par la distance qui séparait le courageux chevalier des deux demoiselles. La verte princesse raffermit sa prise sur le manche de son arme de fortune, bien décidée à assister son sauveur d’une quelconque façon. Enfin, la trappe s’ouvrit ; Smaragd la vit se soulever péniblement avant de se rabattre complètement et de donner naissance à un crâne chevelu. Le sang de la princesse ne fit qu’un tour ; elle donna un puissant coup de balai sur l’intrus sans prêter attention aux mots qu’il lui adressait. En relevant l’objet, prête à lancer un second assaut, elle réalisa que sa victime n’était autre que le combattant qu’elle avait soutenu tout ce temps, et que ses paroles s’étaient voulues réconfortantes.

« – Oh ! Comme je suis confuse ! Quelle maudite maladresse,
Vous n’êtes pas un brigand, Seigneur, pardonnez-moi !
Vous venez mettre fin à notre longue détresse
Mais j’ai cru le contraire, la faute à mon émoi… »

La belle Zélos tendit une main amicale vers le gentilhomme et l’aida à s’extirper de l’ouverture avant de lui dédier une révérence théâtrale. Le preux paladin avait vaillamment combattu toute une horde de mécréants et avait arraché les deux jeunes filles aux mains d’un destin sombre et cruel. Elle ne pouvait que ressentir une profonde gratitude, et souhaitait récompenser son sauveur comme il se devait.

« – Nous vous devons nos vies, ô guerrier valeureux
Aucune récompense ne sera assez grande
Mais dites-moi, je vous prie, comment vous rendre heureux
Nous voilà prêtes à tout et à toutes les offrandes ! »

Et elle joignit les mains comme si elle implorait le chevalier de lui donner une réponse.

Ô Douleur incandescente,
Ô Fatalité du destin,
Pourquoi toute cette attente,
Pour un simple coup de gourdin ?

Tandis que la verte princesse,
En excuses se confondit,
Le chevalier ne montra aucune faiblesse,
Sa quête il avait accompli !

- Ne vous inquiétez pas !
Une si honorable bravoure,
Face à ces renégats,
Chez une princesse vaut le détour !

La fatigue du combat tout juste achevé,
Le Chevalier rangea son épée,
D'un grand poids il fut allégé,
Quand des princesses il vit la beauté !

Une récompense lui fut offerte,
Par la grande princesse verte,
Qui lui assura sa gratitude,
Avec une touchante sollicitude.

L'offre était alléchante,
Sans hésitation pour le chevalier,
Face à ces deux galantes,
Il aspirait au repos du guerrier.

- La simple hospitalité,
Amplement me suffirait,
Ainsi que votre amitié,
Tout cela me comblerait !

Image tiré des artworks de Kingdom Come Deliverance

-Au secours ! Aidez-nous ! A l'aide !
Venez à nous avant que l'on soit raide !
Les mécréants veulent nous transpercer,
Et pas seulement avec leurs épées !

Les bruits d'un combat acharnée s'intensifiaient
Sous la trappe résonnant comme un glas
Le dernier bandit s'effondra
Et enfin les princesses allaient accueillir le chevalier

Mais alors qu'il allait entrer
Smaragd le frappa sur le crâne
Son balais tenu comme une épée improvisée
Elle lui imprime sa forme en filigrane

Le chevalier encaissa le coup sans moufter
Il était tout ensanglanter
Et pourtant semblait si content
D'avoir était aussi vaillant

Un repos du guerrier
Semblait une récompense bien mérité
C'est donc avec joie et sincérité
Que les deux princesses le laissèrent s'installer

La princesse Mary, prête à partir
Ne pouvait cesser de rougir
En pensant au futur
Elle se voyait déjà en sinécure !

:: FIN DU DÉFI... ::

Vous aviez 2 semaines pour réussir votre défi.

MES FÉLICITATIONS

Vous avez tous les 3 remporter votre juste récompense que voici :

Le Souffle de Morphée :
(5 doses)
Si vous avez aimé votre rêve et que vous vous êtes bien amusé à croiser vos camarades, sachez que vous pourrez y retourner à tout moment grâce au Souffle de Morphée. il s'agit de petite fiole qui contient ce qui semble être un gaz qu'il vous faut humer à plein poumon. L'effet sera rapide et en moins d'une minute, vous serez au pays des rêves. Tout vous semblera bien plus réel qu'un rêve normal. Notez que cette fois, vous ne pourrez rester là bas que pour une durée limitée, soit l'équivalent d'une bonne nuit de sommeil uniquement.

Le Philtre de Bénégonde :
(3 doses)
Ce Philtre est littéralement une potion d'amour... mais à durée limitée. Cela se présente dans une petite fiole, et cela n'a ni goût, ni odeur. Faite boire une dose à la personne de votre choix et cette dernière tombera littéralement amoureuse de vous pendant 24h (et vous aimera à sa façon - attention aux gens jaloux!!). Pour savoir si la potion fait effet, sachez que la personne touchée aura un petit point rouge qui apparaîtra sur sa pupille et disparait une fois que le charme n'agit plus. Une fois l'effet fini, ces personnes n'auront que des souvenirs troubles de leur journée et auront un effet proche de la gueule de bois.

:: ... POUR LA SUITE? ::

Vous avez peut-être relevé votre défi, mais vous vous amusez encore bien? Aucun problème. Sachez que vous pouvez prolonger votre rêve en compagnie de vos camarades tant que vous le souhaitez.... jusqu'à votre réveil.

Ce réveil sera soudain. Vous ouvrirez les yeux à l'endroit même où vous vous êtes assoupi. Vous pensez peut-être que cela fait des heures? Erreur. Vous n'avez dormi que cinq minutes!!! Vous aurez une bien drôle d'impression car tout vous aura paru bien réel. Mais ce n'était qu'un rêve, n'est-ce pas?

Et bien, si un jour vous croisez l'un de vos camarades jeux, vous vous rendrez compte que peut-être, tout n'était pas si illusoire que cela.... et que vous avez des souvenirs communs. Alors, j'espère que vous n'avez rien fait de trop compromettant?