Feuille de route du personnage.

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 Feuille de route du personnage.

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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Feuille de route du personnage.    Feuille de route du personnage.  Icon_minitimeSam 29 Déc - 15:33

Le personnage d'Alolla aura énormément muté depuis sa création. L'histoire à été refaite. Des modifications viennent encore d'être portées à la Gorgoroth.




► Le personnage ◄


Physique



Avant sa mort : Traits pour traits au physique d’Alolla à venir, mais ses cheveux étaient blonds, et son visage rosé.
Alolla étant une Gorgoroth ex Terrane, est dotée d’un physique particulier mélangeant ces deux attraits. D’apparence humaine, elle a le teint très pâle, pour ne pas dire d’un blanc neige. Se distingue sur sa tête, une chevelure extrêmement longue détachée, de la même couleur, aux reflets argentés, sans réel éclat mais sans pour autant être un brin abîmés. Ses sourcils finement tracés ne sont pas bien plus foncés que le reste et ils encadrent joliment le contour naturellement violacé –qui pourrait aisément passer pour un maquillage-, de ses yeux d’un bleu extrêmement clair. Ce rose/violet se retrouve sur sa bouche pulpeuse aux recoins remontés, qu’elle le veuille ou non, ce qui lui donne un éternel sourire incontrôlable. Elle ne mesure pas plus d’un mètre soixante, elle se tient tout le temps très droite, une posture de danseuse, une démarche élégante. On remarque chez elle de très jolies rondeurs qui ne sont en rien critiquables, une poitrine ronde souvent mise en avant par des corsets serrés, des petites jambes fines. Au bout de ses fins bras, des mains blanches, douces, glacées, aux ongles toujours peints en rose.
Pour ne pas attirer plus que ça les regards sur tout ce blanc, Alolla orne parfois ses cheveux de bijoux et autres accessoires, toujours en accord avec ses vêtements. Mais les couleurs sont limités pour la jeune femme, le rose, le noir, le blanc, le gris, le mauve et le bleu, l’extravagance n’est pas son point fort dans les couleurs… Pour la plupart du temps, des corsets, de la dentelle, des robes pour les jours chauds, des collants bien épais avec des bottes, des capuchons en laine en période froide.

Pour en venir à un aspect important… les cicatrices. Gorgogoth elle est, Gorgoroth elle sera. Une large cicatrice déchire cette poupée de porcelaine au niveau de son cou. La marque d’une corde supportant le poids de la jeune femme est à jamais gravée.






Caractère




C’était une jeune femme comme beaucoup d’autre. Il est évident qu’il faille utiliser du passé pour parler d’elle, son caractère aura connu deux grandes périodes. Avant sa mort donc : C’était une jeune femme pleine de vie, une jolie blonde pétillante. Joie de vivre et ce qui va avec pour une jeune femme de son âge. C’était une boulangère très souriante et aimée des habitants, et elle ne laissait indifférents aucuns hommes. Elle a toujours profité de la vie, et après s’être engagée dans une relation dite sérieuse pour concrétiser le lien d’amitié entre leurs deux familles, elle ne s’empêchait pas d’aller voir à droite et à gauche, hommes ou femmes pour satisfaire sa curiosité et ses pulsions. La relation avec son homme était des plus barbante et monotone. Son pouvoir d’invisibilité était bien utile à ces moments-là, elle pouvait quitter le lit conjugal en pleine nuit et ne se faire repérer de personne pour aller rejoindre son amant.
Après sa mort : Dépitée par l’hypocrisie du monde entier, de l’avoir jugé pour un acte dont tout le monde était aussi coupable, elle était remplie de colère et souhaitait voir tout le monde périr de l’erreur qu’elle avait pu faire, et faisait tout pour coucher avec quelqu’un et se faire remarquer par le conjoint de celui-ci.





Histoire



Une lueur flamboyante en plein jour, minuscule et presque éteinte, tombait au ralenti devant la foule silencieuse. Les effluves âcres flottaient encore dans l’air mais on n’avait d’yeux que pour la cigarette faite des moyens du bords avec les matériaux du moment qui, avec une douceur incomparable, venait s’échouer au pied de l’échafaud. Elle brillait, se consumait encore follement, désespérément, sans cesse ravivée par le mouvement d’air qui encadrait sa chute, quelques sursauts de vie comme un cœur qui rate ses derniers battements – la lueur orangée clignotait presque, plus évidente encore dans l’ombre de la foule hypnotisée. Il en restait à peine, ce n’était même plus que des débris incandescents liés dans une invraisemblable unité de matière. C’était tellement irréel que le bourreau même avait suspendu son geste, attendant, dans une crainte quasi religieuse, que la cigarette se soit éteinte pour actionner son levier – comme un signal de Dieu. Les braises se délitèrent en plein vol. Une à une, elles s’éteignaient en touchant le sol. Il n’en resta finalement qu’une, encore portée par l’air remué par les présences alentours, qui finalement se posa avec une infinie douceur entre les minuscules aspérités du béton, lutta une seconde pour briller encore, encore et toujours, puis s’éteignit.
A cet instant, tous les regards se relevèrent d’un bloc pour se poser sur la femme, debout sur l’estrade, qui la corde au cou avait elle aussi regardé se consumer les miettes de son dernier plaisir et qui maintenant, pour suivre le mouvement naturel de la foule, avait fermé les yeux – elle se regardait elle-même, comme tous ceux qui la fixaient. D’un instant à l’autre elle attendait le bruit mat de la main calleuse du bourreau sur le levier – le grincement – le craquement – l’irréelle impression de la trappe qui s’ouvre doucement – ses pieds qui, comme détachés de son esprit, essaient faiblement de trouver un appui – la trappe qui tombe, enfin, et le bruit qui l’accompagne – la chute, brutale – l’air qui s’enfuit brusquement, l’étranglement – ses yeux qui se révulsent – ses mains attachées qui s’agitent dans un dernier sursaut – les soubresauts de son corps encore vivant – un dernier – encore un dernier – l’avant-dernier peut-être – et puis le noir.
Le bourreau posa effectivement ses doigts sur le levier pétri d’échardes, mais le processus logique qui devait s’ensuivre s’arrêta net. Une voix s’élevait de la foule. Une voix, non ; un chant ; un chant faussé et hésitant, quelques mots et quelques notes brouillés dans la même marmelade sonore, mais un chant… La foule faisait silence, retenant sa respiration – un ultime hommage, peut-être – mais quelqu’un chantait dans la marée humaine. Petite voix insolite et incongrue, petite voix de femme, de fille même, créature féminine au bord du basculement, une voix vieille d’un vieillissement prématuré mais jeune comme au premier jour où elle avait crié… quelques années plus tôt, elle était pourtant si jeune la prostituée qui chantait dans la foule – elle était jeune et elle était belle, et elle avait cette voix brisée, ratée, comme une corde vocale où des ongles auraient gratté… Elle chantait donc et chantait au grand jour une chanson secrète, susurrée à tous les hommes un soir de débauche dans des draps clairs d’avoir été tant lavés, promise à tous les cœurs, assurée à toutes les consciences, un signal que tous ses amants partageaient sans en avoir conscience – leur propriété privée à tous. La chanson secrète de la petite prostituée éclatait et tous ceux qui la connaissaient baissaient les yeux ; puis, effarés, jetaient des coups d’œil autour d’eux ; puis, stupéfaits, observaient leurs concitoyens ; puis, rougissants, gênés, découverts, ramenaient leur regard au sol… Les femmes serraient le bras de leur mari, et sans comprendre l’origine de leur honte subite, baissaient les yeux pour voir ce qu’ils regardaient. Et ainsi peu à peu, toutes les têtes se penchèrent et il n’y eut plus qu’une marée de crânes et de cheveux devant l’échafaud – sauf une, droite et fière, sa bouche comme un rubis entaillé par où s’échappait une mélodie délatrice et confondante. La fille avait les yeux bien levés et regardait droit dans ceux de la condamnée qui, surprise, osait alors regarder le monde encore une fois. Elle la regardait et chantait, et chantait fort, de sa voix éraillée, discordante, mais débordante de tant de souvenirs qu’aucun homme dans l’assemblée ne pouvait l’écouter sans rougir. Le bourreau même avait la tête baissée. L’irréalité de la scène ressemblait à un tableau religieux où tous s’inclinaient devant la condamnée, et la petite prostituée tête droite chantait au creux du fatras humain pétri de mensonges qui l’entourait, accablant sa foule de clients de leur faute adultère si bien cachée dans leurs maisons et si bien entassée dans le cœur de la petite prostituée à qui ils avaient donné leurs nuits. Sous le chant accablant ils se reconnaissaient tous et tous savaient, et la femme sur l’estrade aurait voulu leur tendre la corde qui la liait à sa mort prochaine, puisque si on la pendait pour avoir trompé un homme, ils devaient tous être pendus pour avoir trompé une femme.
Mais un amant plus rancunier que les autres, bouscula presque incidemment la fille qui laissait s’échapper la mélopée accusatrice de ses lèvres, et le chant cessa. Aussitôt le levier s’abaissa – et ce fut le noir.




Feuille de route du personnage.  1360791615-final-battle-by-eclipsy-d4x6j5l





► Ses rencontres ◄


Feuille de route du personnage.  176-67

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VERNA


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Malgré son âge pourtant grandissant, Verna à conservé un physique très candide. Elle n'est pas très grande et doit mesurer un mètre soixante pour une quarantaine de kilos. Elle a de grands yeux gris, le plus souvent remplies de malice (puisqu'elle passe le plus clair de son temps libre à imaginer un moyen de torturer Maxine). Elle prend grand soin de ses cheveux qu'elle coiffe la plupart du temps en large couettes torsadées, elle a d'ailleurs depuis plusieurs années prit l'habitude de les teindre en roux afin d'éviter qu'on ne la prenne pour une Lhurgoyf mais aussi pour tirer un trait définitif sur son ancienne vie. Les noeuds qu'elle utilise pour se coiffer sont le plus souvent parés de roses pourpres, noires, ou encore rouges sangs. D'ailleurs il y a autre chose de souvent rouge sang chez elle, c'est sa bouche, une petite bouche aux lèvres ni trop fines ni trop épaisses. Pourquoi rouge sang ? Parcequ'elle en est maculée pardi, oui de sang. C'est une des particularité de l'anatomie de cette Lhurgoyf, derrière ça petite bouche se trouve une parfaite dentition blanche munie de deux larges canines dont elle se sert pour extirper le divin fluide coulant dans les veines de celui ou celle qui a le privilège de lui servir de garde manger. Il est à noté qu’il s’agit du seul et unique moyen que Verna a de se nourrir, donnez lui ne serait ce que la valeur d’un dé à coudre d’alcool à boire et la pauvre demoiselle sera victime d’un phénomène aussi désagréable que prévisible, et il n’est pas difficile de comprendre que cela soit une des ârties qu’elle regrette le plus. Il lui est cependant déjà arrivé de boire la valeur de quelques gouttes d’eau sans qu’il n’y ait de rejet de sa part. Il en va de même pour toute forme de nourriture, du grain de raisin jusqu’au morceau de viande en passant par les pâtisseries, rien n’y fait, et cela va même au-delà car il est souvent arrivé à Verna que la simple odeur de nourriture la fasse tirer au cœur. De sa propre expérience elle en arrivé à la conclusion qu’elle ne peut ingérer que certains fluides appelé muqueuses, tel que le sang et la salive (tant la sienne que celle de la personne qu’elle embrasse) et occasionnellement une infimes quantité d’eau.

Le physique de Verna (ou plus précisément sa poitrine) est probablement la chose qu'elle déteste le plus dans tout ce qui fait son identité, nombreuses sont les fois où l'on peut l'entendre pestiférer de sa voix criarde sur sa cruelle absence de forme, heureusement pour elle ses hanches ont su conserver une courbe à la fois délicate et attirante. Ce qui lui permet de dire ça ? Son ancien travail, c'était une prostituée, et malgré son physique candide elle était relativement prisée par la clientèle.
Elle est toujours vêtue de manière très chique ou noble, avec de grandes robes, des bas ou des colants, des chaussures à talons, des corsets, des froufrou ou autres dentelles, et de la lingerie fine... encore qu'elle à une sainte horreur des portes-jartelles. Le plus souvent elle est vêtue dans des tons sombres, mauves ou noires mais il lui arrive pour des occasions exceptionnelles ou sur un coup de tête de s'habiller entièrement en blanc.
Plutôt arrogante, prétentieuse et orgueilleuse, Verna pense être quelqu’un d’irréprochable puisqu’elle a sut vivre de ses propres moyens pendant plusieurs décennies. A ce propos, on s’aperçoit facilement qu’elle prend beaucoup de ses décisions sur un coup de tête, lorsqu’elle était jeune, elle vécut ses vingt premiers printemps chez ses parents avant de soudainement prendre quelques effets et de partir à l’aventure ! Après quelques mois, à bout de force, elle décida de chercher du travail et malheureusement pour elle, personne ne voulait d’elle, si bien qu’elle décida d’aller dans le seul endroit ou elle savait qu’elle aurait toujours une place, et ce à contrecœur… dans une maison close. Elle souhaitait y rester juste assez de temps pour économiser l’argent nécessaire à son retour au foyer mais jamais, au grand jamais ses fourbes d’employeurs ne la laissèrent partir. La payant le strict minimum, cumulant les dettes fictives. Après plusieurs années, elle comprit qu’elle ne pourrait jamais s’en sortir, c’est pourquoi elle changea, du tout au tout. Jusqu’ici elle subissait les traitements qu’on lui infligeait mais il n’en était plus question, à partir de maintenant elle serait celle qui jouerai avec ses clients. Si bien qu’après plus d’une vingtaine années, alors que sa renommée ne faisait que croître et qu’elle n’éprouvait plus l’envie de partir de cet enfer maintenant devenu son fief, vint un homme qu'elle s'amusa à séduire et qui lui offrit les portes de la liberté. Cependant le temps qu’elle avait passée dans au Paradis Perdu l’avait changé… elle n’était plus la fillette aux grandes ambitions de son enfance, elle était maintenant une femme au corps marqué, au cœur blessé, à l’âme souillée, et à l’esprit maintenant pervertie, les plaisirs de la chaire étaient devenues sont pain quotidiens pendant près plus d'une vingtaine d’années, et bien qu’à ses débuts elle en avait peur aujourd’hui ce n’était plus du tout le cas… pire encore, elle aimait ça.

Dernièrement elle s'est vue offrir une esclave personnelle et bien qu'elle ne le dira jamais clairement elle y est très attachée.
Pour la résumer brièvement elle est perverse, sadique, arrogante, impulsive, menteuse, manipulatrice, fourbe, assez avare, et a une réelle addiction pour les plaisirs nocturnes. Mais reste de bonne compagnie avec ses rares amis.

Un aspect assez étrange chez Verna vient de son alter-ego, de son autre moi, ou si l’on croit ce qu’il est écrit, de son réel visage. Lorsqu’elle se transforme en Gier, elle ne souvient jamais clairement de ce qu’il s’est passé. Les quelques rares fois où elle eut recourt à cette aspect répugnant de sa personnalité, lorsqu’elle revenait à elle, elle se tenait debout, le corps maculé de sang et autour d’elle se trouvait le corps de plusieurs personnes, toutes vidées jusqu’à la dernière goutte de leur vitalité. A mesure que le temps passait, Verna commençait à avoir peur de ce qu’elle était réellement, tant et si bien qu’aujourd’hui elle se refuse d’être assimilée à la créature qui siège en son corps. Une forme de schizophrénie est alors née, d’un côté une jeune femme séductrice et malicieuse qui repousse le mal qui la ronge, de l’autre un monstre de barbarie dont le seul but est de se repaitre selon son désir. Il n’est pas rare d’ailleurs que le vrai aspect de la personnalité de Verna cherche à reprendre le dessus pour se libérer, symptôme perceptible et excessivement parlant : Douleurs physique, ou instabilité psychologique telle que des bouffées de rage ponctuelles. Lorsque Verna le sent venir, il n’est pas rare de la voir paniquer et de partir s’isoler.

Sa rencontre avec Verna fut courte et intense. https://les4royaumes.forumperso.com/t1455-la-planque-termine elle a eu lieu à la maison close/salon de thé d'Isara.
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