Actes et conséquences [Libre]

Dans la mesure du possible quand l'on passe son temps à travailler, que se soit pour le plaisir de le faire ou par besoin sur une commande de remède il existe des moments de liberté, une liberté minimale pour vivre. La liberté est bien un étrange mot quand celle ci se présente à tous les coins de rue, ou de vallée dans une nature si vaste. Une recherche approfondit d'une plante ou d'une autre afin de fabriquer un remède quelque soit son effet est très prenant, fatigant également dont le fait de se lever et se baisser souvent. Des efforts quotidiens qu'il faut effacer soit par le repos, coucher en pleine nature près d'un feu allumé avec les moyens du bord – ici une petite étincelle électrique sur des feuilles morte – avec du bois trouver un peu partout. L'endroit est parfait pour se reposer. L'eau du lac de la chute nébuleuse offre un plaisir sans fin du bain rarement prit par manque de point d'eau de cette envergure. La température de l'eau étant fraiche ce soir, il est difficile de d'y mettre. Juste sur le bord pour se mouiller un peu partout sur le corps.

Le feu alimenter par un tas de bois conséquents éclaire un peu les environs sur quelques mètres seulement, un tas de vêtements cachant Limiria son bâton ainsi que Toribrioé, son épée de tout imposteur arrivant dans les environs, une attention à la nature qui l'entoure, le fait qu'il y ai peu de monde dans un tel lieu la nuit pour diverse raisons le laisse penser qu'il devrait lâcher un peu sa garde. Tout le temps sur ses gardes, tout le temps à faire attention autour de lui, tout le temps à utiliser sa magie pour détecter une présence. Lâcher un peu de leste sur un tel poids ne fait jamais de mal à personne. Profitant qu'il y a une chance sur mille d'avoir une personne le dérangeant, oubliant les éventualités que cette chance soit plus présente, Duscisio tendit ses bras le longs de la rive, le corps pale et nue dans l'eau fraiche, ses cheveux gris et long, encore mouiller par ses envies de piquer des têtes pour s'amuser un peu longeant sa nuque de cette soie argenté et magnifique sous la lumière de la lune qui ne le laisse pas dans l'obscurité totale. Tout est rassurant. La paix, une lumière douce comparer à celle du soleil, de l'eau le couvrant en presque totalité pour son pur plaisir.

Le fait qu'il se trouve là a été plus ou moins énoncer. Les chutes nébuleuses sont réputé pour avoir une grande variété de plante terrestre et aquatique dont les propriété diffères les une aux autre. Aucune plante ne permet de faire des poisons ici, son paradis d'herboriste en somme, paradis d'un speudo-médecin s'intentant un métier plus que passionnant, ne définissant en rien à la confrontation quotidienne d'une personne pouvant être amical ou agressive. Il est seul au milieu des possibilités de cueillir des plantes en faisant quelques brasses. Tout se qu'il pouvait prendre a déjà été prit. Son sac en est à moitié remplit, plante soigneusement conserver dans des récipients en bois fabriquer main selon des méthodes ancestrales. Maintenant il est là et las tout ça. Ne pensant qu'à se reposer après une journée entière de cueillette, il se posait sur le bord du lac, fermant les yeux, la tête hors de l'eau pour ne pas se noyer bêtement, les oreilles tout de même à l'air pour entendre le moindre bruit annonçant cette chance, selon la personne qui arrive sur les lieux, arrivant avec des intentions varier. Il ne fait rien, mais reste un minimum sur ses gardes. La détente étant ici sont seule plaisir, lui qui n'en prend que rarement. Alors bien entendu, et qui l'eut cru une autre personne arrivait. Rien, il est bien dit, rien ne dit qu'il n'es entendu l'arriver de cette chance, les chutes faisait bien trop de bruit et il était trop fatigué pour prendre attention au alentours, le feu ayant sans aucun doute attirer cette personne vers ces lieux... Pourquoi ?...

Le son de l'eau qui descend d'une haute falaise, celle des chutes, fait énormément de bruit. Autre le fait que l'impression que la terre tremble autour de lui sans que cela soit réel. Pourtant ce son vrombissant à en rendre sourd possède une certaine nostalgie d'apaisement. Le lac formé par cette chute vertigineuse est un bien fou. Un son particulière, le son lourd de l'eau en mouvement sur une eau pratiquement plate, le son d'un choc continue de goute d'eau compter par des dizaines et des dizaines de milliers par seconde. Atténuer par la distance ce son devient moins prenant pour les tympans de quiconque s'aventurant ici, pourtant c'est un acte de paix qui porte tout de même des conséquences. On n'entend personne venir, aucune alerte si ses yeux sont fermés, magie non déployer. C'est le cas ici. Duscisio est complètement vulnérable dans tous les points apparents. Magie non déployer il se contentait de rien. Le feu restant allumé, l'ombre qui pourrait arriver derrière lui, ombre que l'on voit avec une différence quand on est habitué à l'obscurité des paupières fermer. Heureusement ce n'est pas le cas sur le moment. Voir cette ombre au travers de cette couche de peau protégeant les yeux signifie une présence, se qui mettrait terme à ce moment de détente.

Son immobilité dans l'eau froide l'oblige à bouger un peu. Autre le fait de sentir ses muscles engourdit si se n'est ne plus les sentir du tout, le fait de sortir de l'eau alors qu'il est observé ne lui fera aucun effet. Il ne le sait pas. Le mouvement de l'eau quand il se leva pour regarder la terre ferme était douce, mais on ne l'entendait qu'à peine. Sa nudité ne semblant gêner personne au vu de cette solitude rechercher, il chercha tout de même une des capes qu'il y avait dans son sac en dessous de ses vêtements secs. Découvrant bâton et épée en dessous pour voir bien qu'il était là un petit moment, Limiria brillant de sa pierre de magie de manière faible. Par mesure de précaution il chercha l'eau bijou qui lui servait à utiliser la magie. La pierre de la broche brillait également du même éclat. Ne faisant rien de suspect il recouvra ses deux armes et garda la broche dans la main avant de se couvrir d'une cape rouge pour ne pas attraper froid dans le cas où un vent soufflerai jusqu'ici. Il se mit près du feu afin de se réchauffer et sécher, la broche cacher sous la cape émettait une lumière un peu plus importante, cette fois ci c'était lui-même qui utilisait sa propre magie. Il y avait quelqu'un mais il faisait mine de ne pas avoir sentit sa présence. Elle est dans les environs des cinquante mètres si se n'est à la limite. Il regarda discrètement autour de lui sans attirer l'attention du regard qu'il l'observait, le croisant sans s'en rendre compte dans les buissons, une forme presque invisible derrière des buissons avant de retourner le regard sur le feu pour y ajouter un ou deux morceau de bois.

Paisiblement il regardait le feu. Sans crainte d'une quelconque attaque il restait tout de même à utiliser sa Détection Terrestre pour savoir si cette présence approcherait un moment ou un autre. Bien que pas tout à fait sec, il chercha d'une main le sous-vêtement afin de se lever et de le mettre. Une sorte de boxer un peu plus bouffi de couleur blanche un peu grisâtre par la saleté et le temps. Enlevant sa cape de son dos pour s'essuyer un peu plus rapidement, commençant par les jambes, le feu l'aidant à évaporer l'eau qui reste sur sa peau blanche, le dos mit à nu le temps de retirer l'eau en bas, la cape finissant par faire un passage sur son dos et finalement sa tête qu'il recouvrit totalement pour se sécher les cheveux, tout ça en gardant sa broche dans la main.

Qui aurait cru que cela soit possible. En plus de sentir cette présence par ses deux appuis sur le sol de la forêt qui la cachait celle ci ne se gênait pas pour approcher une fois qu'il avait mit son pantalon. Un homme ? Une femme ? Bien qu'il préfère largement les femmes, savoir qu'il se fait observer par l'une d'elle le turlupine. Que va t'il se passer ? Sont but final. Inventant n'importe quel scène, atroce ou magnifique il en faisait un visage souriant. En sachant que la première solution soit peu probable au vu qu'il n'y avait aucune raison à cela la deuxième n'en était pas non plus valable en sachant que toutes les femmes n'était pas comme cela à la vu d'un homme prenant son bain. Ses deux appuies était accompagner de quatre autres beaucoup plus léger, le poids d'un petit rongeur sans doute qui ne tardait pas à s'approcher du sac pour en voir le contenu comme un curieux petit animal pour voir s'il n'y avait pas ses provisions d'hiver, saison arrivant petit à petit au fil du temps et où les voyages de l'albinos seront de plus en plus difficile. Celui ci reparti aussitôt vers les appuis lourds, passant de deux à quatre sans aucune raison apparente mais autre raison cette présence osait s'approcher hors de sa cachette les crocs menaçant.

Une panthère. La surprise de herboriste qui arrêta de secouer sa cape pour la regarder était aussi mêler à de l'émerveillement. Quel magnifique animal. Surprise mêler à de l'émerveillement qui l'aurai cru ? Cheveux pas tout à fait sec, il contemplait l'animal qui se présentait à elle, oubliant totalement sur le coup que cette animal avait deux appuis auparavant. Bien sûr qu'il l'avait deviné avant qu'elle ne se montre mais aimant la nature, faune et flore, regarder un animal au pelage noir à un moment pareil est trop beau pour être vrai. Baissant sa cape pour observer la bête il restait ébahi devant une telle noirceur aussi belle, un pelage semblant aussi douce que chaude, des yeux voyant dans la nuit aussi clairement que le jour. Les yeux rouges de Duscisio fixait la bête, il ne faisait que ça, les pupilles rondes, la cornée était grande ouverte pour capter le maximum de lumière lunaire. La cape encore dans sa main, la tenant sans geste brusque, la lâchant presque, ses pan tombant un à un et puis soudainement ses yeux changeaient.

En une demi-seconde ses pupilles rondes se transformait en pupille fendu.. Ses yeux rouges passant aussi soudainement ne signifiait qu'une chose et une seule. Un geste rapide et précis, aucunement le temps de réagir, Duscisio lança la cape rouge sur l'animal pour l'aveugler. Profitant de ce moment il s'approchait aussi vif que l'éclair de l'animal pour l'enlacer fortement, non l'immobiliser par tout les moyens. L'animal ne voyant plus rien ne pouvait soudainement plus bouger. L'expérience de Duscisio dans la nature était impressionnante. Le voir faire cela l'était tout autant. S'assurant de ne rien dire avant la certitude qu'elle ne bougeait que le moins possible il se mit à parler, d'un ton brusque mais calmant pour éviter toutes fluons de sang. Sans qu'il ne s'en soucia, trois épées était sortit de nul part, son contrôle de l'épée avait agit instinctivement dans le cas où tout tournerai mal transperçant l'animal en trois fois si l'occasion s'en mêlait...

Ne bouge pas... Je ne te ferai aucun mal si tu cesse d'agir,... reprends ta forme humaine... et dit moi la raison de ta présence ici... sans oublier qui tu es.

Marquant des pauses pour éviter de trop brusquer l'animal plus qu'il ne l'était déjà, ses paroles n'étant pas vérité sur le moment alors que son compagnon à quatre pattes observait la situation. Se calmant sur le coup, Duscisio fit disparaître ses épées, relâchait son étreinte petit à petit mais près à reprendre si les choses se passe mal...

Ses yeux avaient été remplie d'émerveillement et de surprise pour ensuite changer de forme, de couleur, d'intensité, mais je n'avais guère eut le temps de réagir que déjà, une cape rouge atterrissait sur moi, me privant de la vue.
Cet étranger vint ensuite passer ses bras autour de moi, ce qui eut l'effet de m'immobiliser.... et de provoquer une douleur assez forte dans l'épaule. Prise de panique, je m'étais débattue furieusement pour ensuite arrêter sachant que ça ne servirait à rien, si ce n'est pour augmenter la douleur.
Comment avais-je pus me faire avoir si bêtement ? Je rageais intérieurement. C'était l'une des rares fois où je m'étais fait prendre. D'ailleurs, je me montrais d'habitude rarement sauf quand quelque chose m'interressait. J'attendis que l'étreinte se desserre, et ça ne tarda pas.
Cela fut accompagné de quelques paroles que je n'appréciai guère. Un plan mûrissait déjà dans ma tête et j'étais prête à le mettre à exécution.

Ne bouge pas... Je ne te ferai aucun mal si tu cesse d'agir,... reprends ta forme humaine... et dit moi la raison de ta présence ici... sans oublier qui tu es.

Ship était resté en arrière, sachant très bien qu'il ne pouvait rien pour moi. Il grognait cependant, ayant vu les trois épées. Il m'en informa, ainsi que ce qu'il y avait autour de nous.
Cependant, ces armes, il les firent vite disparaître, attendant que j'obéisse à ses ordres.

Prenant mon temps, je retira la cape présente sur moi, retrouvant instantanément la vue que j'avais perdue. Ma douleur s'était estompée ainsi que la panique que j'avais éprouvée.
J'observai bêtement l'inconnu un instant, de mon regard sans une couleur distincte, sans faire le moindre mouvement agressif. Et pourtant.... les lianes présentes sur quelques arbres aux alentours mouvaient derrière l'homme et avant qu'il ne réagisse je les lança sur lui. Elles le firent simplement tomber. Je voulais seulement lui montrer que j'avais les moyens pour me défendre et qu'il fallait mieux ne pas s'amuser à trop m'énerver.
Les racines avaient à présent entourés les jambes de l'étranger, l'empêchant de se relever.

Je repris ma forme humaine,me redressant sur mes deux pattes arrières, mon pelage noir désertant mon corps, mes yeux changeant de couleur et mes griffes disparaissant pour être remplacé par mes ongles. Ma crinière quasi inexistante sous ma forme animale, se transformant en une longue chevelure de feu, descendant jusqu'aux fesses, bougeant au même rythme que moi. Des formes bien dessinées se mirent à apparaître. Une poitrine de taille moyenne, des fesses rebondies, un ventre plat et de longue jambes fines. Sur moi, les tatouages tribaux apparurent ainsi que les objets et les quelques vêtements que je portais plus tôt
Quand ma transformation fut finis, je pus prendre alors la parole ;

-Je suis Laédia, je suis ici pour savoir ce que tu fais encore là, alors qu'habituellement, après avoir ce qu'on a, on s'en va.
Et toi qui tu es ? Pourquoi restes-tu ?

Finis-je par demander, d'une voix claire et légèrement douce.

[désolé si des choses ne sont pas claires ou qu,il y a des fautes ou qu,il n'y ait pas assez de description mais je n,ai pas eu beaucoup de temps pour répondre. =s]

Se n'est pas pour le penser mais il aurait du garder l'étreinte tant qu'elle n'était pas sous sa forme humaine. Bien que jamais très violent, Duscisio présente parfois une personnalité qu'il ne vaux mieux pas rencontrer. Celle ci encore endormi car sa propre vie n'étant pas menacer la jeune demoiselle n'avait rien à craindre de l'herboriste, rien du tout. Son compagnon rongeur ne pouvant rien faire, resta en retrait. En plus de ça, les épées avaient quelques chose d'assez impressionnant rien qu'à leur vue. Voir des épées apparaître comme ça ne doit pas laisser de marbre n'importe qui. Disparaissant pour paraitre un peu plus pacifique celle ci retournait en une poussière noire presque invisible à cause de la nuit dominante, semblant retourner dans le corps du jeune homme en pleine possession de ses moyens.

La cape glissant petit à petit que l'étreinte disparaissait sur la jeune femme, celle ci agissait également instinctivement prouvant qu'elle ne se laissait pas faire aussi facilement. Elle même n'avait pas fait le moindre mouvement, mais le bijou qu'il tenait dans sa main se mit à briller plus fort un instant. Cette instant marquant juste le temps de remarquer ce changement pour le jeune homme et le fait de savoir pourquoi il brillait autant si brutalement. Une magie de plante dont des racines lui enlacèrent les jambes pour le faire tomber. Il ne pouvait rien faire. Trop concentrer sur le jeune demoiselle qui n'avait pas encore prit sa forme humaine, s'attendant à se qu'elle fasse un quelconque mouvement pour lui retourner son action. Il ne fit rien, se laissait faire, dominer sur ce coup prouvant qu'il ne voulait pas du tout lui faire de mal. Une fois sur le sol, dos sur l'herbe froide leva les mains tout en montrant sa broche à la demoiselle. Broche brillant faiblement d'une lumière jaune soleil. Une question lui fut poser après que celle ci prenne forme humaine. Une magnifique jeune femme, un peu plus jeune que lui de quelques années seulement, trait fin et corps soigneusement entretenue par le parcours quotidien de la nature, comme lui en somme. Elle se nomme Laédia. Savoir se qu'il faisait ici paraissait évidant, la réponse également. Restant calmement sur le sol, essayant de prendre une cape pour avoir moins froid malgré ses racines entravant ses jambes.

Et bien,.. il fait nuit, j'en profite pour prendre un bain avant de dormir avec la dure journée qui vient de se passer. Maintenant on pourrait dire que j'aurai méditer mon sommeil avec une telle rencontre assommante.

Essayant d'être quelque peu humoristique sur le coup pour détendre l'ambiance qui va d'agression en agression quand que l'une d'elle ne soit bien dangereuse. Se tenant du mieux qu'il pouvait en attendant que les racines le lâche lentement, sans les obliger à le faire en les coupant par des épées apparaissant soudainement mettant en scène une affrontement qui n'aurait pas lieu d'être à cette heure ci de la nuit. Continuant de la regarder sous toutes ses formes, continuant de surveiller les gestes de son rongeur qu'il ne fasse rien de désobligeant comme de fouiller son sac...

La bonne humeur dans les traits de la jeune femme voyant que l'albinos n'avait aucune mauvaise attention fit disparaître les racines qui le retenait au sol sans qu'il puisse se relever. Dominer par le jeune demoiselle qui avait prouver qu'elle ne se laissait pas faire. Bien entendu, elle ne connaissait pas Duscisio qui était capable de bien des choses. Ses épées sont un exemple, qu'à ses objets lui servant à utiliser sa magie il n'est pas difficile à comprendre que pour une tel importance que de les posséder constamment sur lui, lui fait un titre de mage autant que d'une sorte de guerrier. Un équilibre magie et épée non négligeable quand on se trouve en face de lui en tant qu'adversaire.
Duscisio était également de bonne humeur, le bain lui avait fait le plus grand bien, penser à renouveler l'expérience ne sera pas oublier. Il se releva doucement et ne tarda pas à tout faire pour se rhabiller afin de ne pas attraper froid. Un à un alors qu'une question se vint poser alors que celui ci enfilait une chemise blanche pour premier vêtement sur le torse. Ses cheveux pas tout à fait sec, mouillait un peu son dos provoquant une sensation de froid peu agréable, un petit frisson qui le fit secouer la tête.

Oni ti ii
Oui et non

Alors qu'il laissait une réponse plus ou moins incompréhensible pour la jeune demoiselle. Un réflexe pour lui que de parler dans cette langue comprise que par de rare personne existant comme lui. Non. Jusqu'à maintenant Duscisio n'a rencontré personne capable de comprendre cette langue durant ses multiples années de voyage, absolument personne. Alors il est peu probable que cette demoiselle ait comprit le sens de ses mots.

Guérisseur ne serait pas trop le mot pour me qualifier. Je suis Herboriste de renom sur Isthéria tout entier. Le transforme les plante que je cueille en remède pour autrui pour gagner ma vie et pour moi-même pour garder la santé. Maintenant que j'ai remplis mon sac ses dernier jour je vais pouvoir rentrer chez moi et les travailler pendant quelques semaines.

Les couches de vêtement se succédèrent une à une, après la chemin vint une autre avant de mettre des sortes de chaussettes avant ses chaussures de voyage en cuirs noirs. On le remarquait peu, mais les pupilles fendu ne tardèrent pas à redevenir ronde. Marque de sérénité ou simple réflexe pour capter un maximum de lumière lunaire pour y voir la nuit. Cela devait être l'opinion de la jeune demoiselle mais il était très étrange, unique en son genre. Alors qu'il terminait après une multitudes de couches de vêtements, par une veste et enfin une cape sèche d'une couleur verte sombre. Il s'accroissait non loin de Laédia qui se réchauffait du feu, mettant des branches sur le côté avant de s'assoir sans peine.

Oni ti ii

Je fronçai les sourcils en entendant ces paroles incompréhensibles pour moi. J'essaya d'user de concentration pour comprendre mais il n'y avait rien à faire, je ne comprenais pas.
Cependant, Ship, mon écureuil me regarda et vit mon air perplexe, peint sur mon visage , il me fit alors la traduction, le plus naturellement possible.
*Oui et non*

J'attendis la suite des explications de l'étranger, en espérant que ce soit dans ma langue maternelle et non dans ce langage qui m'est inconnu. Je remis à plus tard l'interrogatoire de mon familier...
Herboriste de renom sur Isthéria tout entier ? Tiens donc... Cela me disait quelque chose, les rumeurs circulant de partout, sur tout le monde. J'essayai de me souvenir de son nom qui me revenait peu à peu par petit bout. Duss...Dousci...Douscizo !
Du moins, son prénom devait ressembler à cela. Je n'ai pas une grande mémoire, il faut le dire. Et puis, pourquoi un prénom si compliqué ? Ne pouvait-il pas s'appeler tout simplement Léo ?
Je poussa un léger soupir et m'obligea à écouter au moins la fin de ses paroles. Il allait avoir du boulot pour pouvoir travailler ces nombreuses plantes.
Dans le village des Eryllis, il y avait une experte dans ce domaine qui s'enfermait des heures et des heures dans sa cabane pour remplir de fioles qui guérissaient n'importe quel mal. Je me contenta de répondre par ce simple :

-Hum

Je l'observai plutôt se couvrir de multiples couches de tissus pour se tenir chaud. Il avait encore les cheveux mouillés, et certaines mèches lui retombaient devant le visage. Je souris légèrement une fois de plus.
De mes grands yeux multicolors, j'observai ses moindres mouvements et gestes. Ce qui m'intriguait le plus, pourtant, était ses yeux. La pupille changeait constamment de forme ce qui me troublait autant que cela m'agaçait. Peut-être était-ce seulement l'effet des jeux de lumière ?
Il s'assit non loin de moi, près du feu également. Il n'y avait rien de mieux pour se réchauffer. Étant habituée aux températures assez fraîches, cet élément me suffisait largement pour maintenir ma température corporelle et ne pas avoir de frissons.

-Ton nom est Douscizo ? demandai-je, étant persuadée de faire une faute de prononciation dans ce prénom qui avait l'air peu courant.
Ship s'était couché près de moi, se demandant pourquoi j'avais fait un tel froncement de sourcil, plus tôt. Il avait très bien compris les quelques mots du jeune homme...

Bien sur que le rongeur avait comprit. Le fallacien est avant tout le langage des animaux et des plantes. Traduit par l'homme celle ci donne une langue peu commune mais qui disparaît peu à peu que le temps passe. Bien spur que le rongeur pouvait faire une traduction, si celui ci savait parler d'une quelconque manière. Celui ci ne parlera pas cette langue mais sera capable de répondre à une question dans cette langue disparu. Pendant que la jeune demoiselle semblait réfléchir, Duscisio regardait l'animal avec sourire et intérêt. Se n'est nullement pour le manger, ce n'est nullement pour lui faire peur mais sachant pertinemment qu'il avait comprit se qu'il avait dit à jeune femme il parlait à l'écureuil dans cette langue peu commune.

Mi silinis ki ti calinis, mimi futsi
Je sais que tu m'as compris petit malin.

Il en rirait presque de se qu'il lui avait prononcer rien que pour lui, cherchant surtout à le surprendre sur le coup. La jeune femme cherchant toujours à savoir comment s'appelle le jeune herboriste alors que celui ci s'amuser avec le rongeur. Drôle de jeu.
Dans le final, à force de froncer les sourcils les idées de savoir ou elle avait déjà entendu le nom d'un herboriste renommé un petit mot de réflexion. Bien que rien de venais sur le coup, Duscisio hésitait à l'aider un peu. Se ne fut pas long pour elle de trouver un semblant de nom qu'elle essayait de prononcer tant bien que mal par une faute de prononciation courante. Il avait quelque peu sourit.

Duscisio, qui ne se prononce pas avec outrage mais avec humour.

Faisant référence à la première voyelle de son nom se prononçant comme il se voyait, en oubliant une jeu de mot pour le I final mais rien de lui venait en tête. Ré-alimentant le feu encore un peu plus pour une durée indéterminée afin d'avoir la paix dans les moments qui suivent, afin d'avoir une conversation sans à avoir à s'occuper de lui sans que cela geste de trop. Quoi que vu dans ce sens, n'aimant jamais ne rien faire, s'occuper du feu serai un bon moyen de combattre l'ennuie.

Duscisio Balibe. Herboriste vivant à Hespéria, occupant la boutique de « L'herboristerie de lumière » dans le quartier modeste.

Il dit quartier modeste mais il possède actuellement une maison très luxueuse. Bien que vide, y rester n'y ai que pour la ou les semaines ou il y passe pour fabriquer ses remèdes avant de les remettre à leur commanditaire ou simplement les exposer pour les éventuelles client passant eux même dans la boutique pour un petit achat.

Ship releva soudainement la tête, plongent ses yeux dans ceux de l'homme. Il avait été surpris que l'homme lui parle avec un tel naturel. Cette langue, il la connaissait par coeur mais cela faisait bien longtemps qu'il ne l'avait entendu. Plus tôt, il avait cru que c'était sa langue habituelle mais à présent il était conscient que cet étranger maîtrisait ce langage quasiment disparu. L'écureuil ne lui répondit pas, pas tout de suite, semblant presque sourire.
Il voulut surprendre à son tour l'étranger en lui communiquant par télépathie. Peut-être qu'il possédait ce don et qu'il pourrait lui répondre ce qui ne serait pas amusant...mais il préféra tester.

-Évidemment ! fit-il en le regardant toujours de ses grands yeux, ne laissant rien paraître.

Je n'avais guère remarqué leur petit jeu, étant perdue dans mes réflexions.
L'inconnu me reprit sur la prononciation de son prénom. Je lui fit un sourire désolé, bien qu'il devait avoir l'habitude de ce genre de chose.
Réalimentant le feu, il me donna plusieurs informations à son sujet, que j'assimilai directement. Je n'avais aucune idée de l'endroit auquel il faisait référence, mais peut-être qu'un jour, je verrai ce quartier.
La ville n'était pas un endroit pour moi et je le savais. J'y étais allée qu'à de très rares occasions pour satisfaire ma curiosité.

Je fis interrompue dans mes réflexion par une goutte d'eau, atterrissant directement sur mon nez. Je secoua légèrement la tête, mais bientôt, ces gouttes d'eau grossirent pour me tremper complètement de la tête au pied, en quelques minutes.
Les flammes diminuèrent de leur intensité et Ship se faufila sous mon bras, ne voulant guère mouiller son pelage. Je plongea ma tête en arrière, profitant de cette eau fraîche.
J'adorai la pluie, bien que près des chutes, il ne faisait déjà pas chaud... Je fermai les yeux, souriant, heureuse. Je reporta mon attention sur l'inconnu qui grelottait maintenant. Décidément, il ne réussirait pas à se réchauffer et à se sécher complètement.
Je me mis à rire, sans trop savoir pourquoi. Je finis par me reprendre et faire une proposition à l'inconnu.

-Je connais un endroit plus sec, peut-être voudriez-vous y aller ?

Le rongeur avait parfaitement comprit se qu'il se passait. Non pas que la surprise était à attendre mais que la réponse en fut de même alors que celui ci le fit par télépathie. Aucune surprise de la part de l'herboriste. Étant principalement un mage tout se qui concerne son utilisation n'a aucun secret pour lui. Le fait de voir un animal parler que se soit pas la pensé ou par sa propre bouche n'est pas si rare que cela. Il existe plus d'un millier d'animaux dans ce genre, des particuliers les achetant pour faire un certain effet à leur visiteur, d'autre pour laisser parler à leur place ou simplement avoir quelqu'un avec qui parler. Duscisio voyage seul. Aucun familier de ce genre, aucune compagnie lors de ses voyages. Rien ni personne. Rien se fit à cette réponse télépathique, il se contentait de détourner le regard sur la jeune demoiselle pour la corriger sur sa prononciation du nom. Se voyant désolé il fit un signe de main pour lui dire que cela n'était rien. Que cela n'était pas la première fois qu'il entendait son prénom de cette manière. Un nom aussi peu banale est souvent soumit à des erreurs de prononciation grossière.

Le calme se représentant un peu, mais vite briser par une suite de bruitage, comme un liquide sur une surface brulant, un sifflement répétitif et pas que... Le feu était en train de s'éteindre à cause d'une légère brise du soir, assez forte pour trainer des goutes d'eau de plus en plus grosse sur les deux voyageurs et le feu de camp. Le réflexe de protéger ses biens de l'eau fut la première chose remarquer. Il les éloigna rapidement au moment ou la jeune femme lui proposait d'aller dans un endroit plus sec. Dommage. Le feu était parfaitement allumé, à présent parfaitement éteint pas une pluie de la chute nébuleuse grondant à quelques mètres d'eux. Il va falloir recommencer. Prenant ses affaires rapidement sur le dos, Duscisio ne tardait pas à suivre le demoiselle sur cette endroit sec. Une petite clairière en dessous de la lune presque pleine. Le temps de se réinstaler était venu plus rapidement qu'on ne le pensait. Il posa ses affaires tout en gardant une cape sec sur lui pour la mettre sur le dos de l'amazone en herbe.

Prend ça pour ne pas attraper froid. Je vais cherche du bois j'en ai pour quelques minutes.

Après avoir tenu ses épaules le temps de lui énoncer ses intentions, il les lâcha et prit sa broche et son épée qu'il attachait à sa ceinture. Il était tout aussi mouiller mais s'il n'allumait pas un feu par les temps qui cours, le froid allait avoir raison d'eux. Le voyant disparaître dans le bois elle n'avait que son rongeur et les affaires de l'albinos pour compagnie. Maintenant il ne s'agissait plus que du temps à attendre son retour les bras plein de bois afin de se réchauffer un peu. C'est un geste quotidien tous les soir où le voyage fait partie de son instinct de survie. Au fils de ses cinq années, quand on n'a pas d'autre choix que de tout chercher pour la fabrication de ses potions, on apprendre à vivre avec se que l'on as. Hors de la maison, il ne possède que ses affaires et de quelques vivres pour plusieurs jours, des préparations maison et de l'eau sans oublier ses outils de cueillette...

A son retour, il était chargé de bois fraichement trancher, venant d'un arbre mort dans la forêt. N'étant que peu surprit que la jeune femme eut ramener un peu de bois sec pour compléter le stock que Duscisio avait apporter en plus de petites feuilles couleur caramel pour débuter un feu dans les règles de l'art. Celui ci ne disant pas un mot en voyant l'Eryllis tranquillement assise, déposa le bois au même endroit avant de mettre sa main à plat face au sol et le déformer avec sa magie, formant ainsi un petit murait rond de quelques centimètres pour remplacer les pierres et ainsi disposer le bois comme il se doit, et le feuille en dessous. On aurai dit un nid douillet auquel on allait y mettre le feu. Duscisio n'ayant rien pour allumer un feu, silex ou quoi que se soit y ressemblant, la magie de foudre allait être utile. Il mit sa main au-dessus des feuilles, en dessous du bois, et formait une pince avec son pouce et son index.

Fuxdir...
Eclair...

D'entre ses doigts un arc électrique vint allumer le feuilles mortes, enlevant la main approchant sa tête pour y souffler dessus, un petit tourbillon qu'il formait encore une fois avec sa magie, ici un petit plus au vu qu'il ne possède la magie du vent que depuis peu. Acrigia, lui avait prêter sa force pour le restant de sa vie et sachant que cette déesse du vent savait à qui elle avait confier cette force que sa magie le parcours maintenant. Tous n'est question que de croyance. La religion étrange de Duscisio lui donne tout de même une certaine puissance vis-à-vis des autres mages, une héritage qu'il tient de ses ancêtres, mêler dans le sang des fallaciens de génération en génération. L'albinos en faisant intégralement parti il a hérité de ses particularités magique mais également physique et culturelle.
Attendant que le feu prennent de façon intégral, le fixant longuement avant de passer à la jeune femme qui lui faisait compagnie pour lui proposer plusieurs choses.

Vous voulez mangez quelques choses ? Ton ami et toi ? Et ainsi savoir si tu veux fixer tes vêtements devant le feu pour les sécher.

En disant cela, il visait à se qu'elle les enlève intégralement sans arrière penser, bien sur ne pensant simplement qu'à sa bonne santé il ne faisait aucun geste gênés sur ses propres paroles alors qu'il réfléchissait pour savoir s'il avait assez sur lui pour se changer. Bien sur, il allait devoir lui-même enlever les siens, pas tout pas contre, il est devant une demoiselle montrer se qu'il ne devait montrer devant tout le monde serait très gênant, bien qu'elle l'ai vu sortir du bain il n'en doute pas. Il commençait déjà pas enlever sa cape tout en attendant sa réponse afin qu'il sorte se dont ils auraient besoin dans l'immédiat.

[HRP] Sujet abandonné pour manque de présence.
Si celle ci se représente active, elle est prié d'envoyer un MP pour le signaler afin de continuer le sujet

Une fois la proposition énoncer elle ne pouvait être refuser. Le jeune femme ne tarda pas à se mettre à nue – pas complètement bien entendue – pour faire sécher ses vêtements humides alors que l'albinos ne tardait pas à utiliser quelque branche pour s'en servir à tendre les vêtements devant le feu, ni trop loin ni trop prêt pour éviter qu'ils ne prennent feu à cause d'un coup de vent soudain. Accrochant en premier lieu ses affaires sur les branches, l'eau commençant déjà à s'égoutter le long du tissus pour humidifier le sol d'herbe. Faisant plusieurs piquets pour les vêtements de chacun il ne tarda pas à se diriger vers son sac pour savoir se qu'il avait à manger. Que se soit pour lui, elle ou encore le rongeur qui n'attendait que de manger.

Viande, fruits, se qui était difficile avec les danhrés périssable est de savoir s'il sont encore bon. Néanmoins la technique de conservation des aliments de l'albinos est assez étonnante. IL sortit plusieurs fruits laissant au rongeur de choisir se qu'il voulait tout en proposant à la jeune femme qui était peau nue, des marques attirant le regard du jeune homme plus que son corps en lui-même fortement agréable à l'oeil sans pour autant avoir des pulsions qu'un autre homme de son âge aurait. Très intrigué par ses dessins d'une couleur peu commune, semblant incruster dans la peau même pour une décoration quelconque. La question le démangeait alors qu'il sortait un beau morceau de viande sécher et un petit couteau pour en découper des plus petits afin de les insérer dans sa bouche et les mâcher. Finement salé, semblait même chanter alors qu'il mâchait. Une mauvais habitude qu'il n'arrive pas à se défaire, une chant involontaire. Il coupait un autre morceau et en proposa à la jeune femme tout en posant finalement cette question pour bien lui montrez qu'il ne la dévisager pas à cause de sa nudité.

Dit moi...

Il tendit le morceau de viande encore sur la lame du couteau qui montrait en même temps ses peintures corporelles.

Ses dessins sur ta peau ont une signification particulière ?

Il attendit dans un premier lieu qu'elle prenne le morceau de viande sans faire le moindre geste qui pourrait la blesser malencontreusement pour en couper autre morceau pour le manger directement après.

L'animal de compagnie mangeait autant qu'il le pouvait sans se retenir. Ne voyant aucun compromit à se qu'il faisait, restant à parler avec celle qui lui tenait une agréable compagnie alors que celle ci c'était dévêtue, en tenue d'Eve habiller d'un bas pour cacher le minimum. IL y avait tout de même une certaine gêne à se que Duscisio soit ici à la regarder, non pas sa poitrine proéminente bien que agréable à regarder sans retenue. Il se retenait tout de même de la dévisager de trop de peur de se faire prendre pour un pervers profitant de la vue qui lui était offerte. Il n'allait pas s'agit de profiter non plus de la demoiselle dans la solitude de la nature à s'ouvrir à instinct naturelle de l'accouplement humain. Non. Duscisio est un homme civilisé qui sait se retenir tant bien que mal ses pulsions masculines qui pourrait très bien lui jouer des tours dans un échange qui commençait plutôt bien.

Arrêter de regarder sa poitrine était le principal soucis, bien qu'avec ses vêtements ses courbes soit plutôt bien dessiné les dessins représentés sur son corps actuellement visible par une couche noire brillant à la lumière de la lune encore présente. Après la question de savoir à quoi ils correspondait la réponse venait d'elle-même. Ses marques représentaient sa vie. Ne sachant pas par quoi continuer Duscisio ne disait pas un mot de plus. Entre la retenue masculines et celle de pas trop parler de se qui ne le regarde pas, l'albinos ne savait plus ou donner de la tête alors manger semblait être la seule chose qu'il pouvait faire sur l'instant présent. Juste retour des choses quand on pose une question, que l'on a une réponse, la personne qui était visé posa la sienne alors bien sur il faut répondre, bien que la question en elle-même le faisait rire tout en lui faisant oublier certaines pensées obscènes, un petit rire sans être méchant accompagner d'un sourire agréable.

Énormément. Sans dire que je passe la plupart de mon temps à voyager. Là par exemple j'ai fais un voyage de plusieurs semaines à travers le monde pour se que vous voyez dans mon sac. Demain je proprette à travailer dans ma boutique pour concocter diverses potions et remèdes. Une fois fini j'irai livrée les commandes des clients en main propre à travers le monde.

Il fit une courte pause. Juste le temps de calmer son petit rire, reprendre un peu de sérieux et enfin continuer par une simple phrase.

C'est une perpétuel boucle. Je voyage pour prendre les commandes, ensuite pour trouver les plantes. La boutique pour fabriquer et livrer. Encore et encore. Ça ne rapporte pas beaucoup mais je préfère un sourire d'une personne en bonne santé que ma bourse bien remplit. C'est suffisant pour moi.

Depuis cinq ans maintenant que Duscisio commerce ainsi. La mort de ses parents on accélérer les choses, le fait de devoir se débrouiller seul tout en vivant assez bien pour continuer. Il aimait se qu'il faisait. Il n'y avait pas plus important à ses yeux.