Calme Pâle [PV ]

-Alors,tu dis à Joe et Omar de s'occuper de l'entretien et de dirigé les autres,oh,et, les palefrenier soigneur savent ce qu'ils doivent faire mais demandent à Filana de s'occuper de leur emploi du temps. Puis tu dira à Léonar,Jilano et Yansay de prendre en charge les cours d'équitationet de répartir les tâches des grooms. Tu dira à Xhicos de s'occuper du champs de course. Je veux qu'ils mettent tout nos lad-jockey à disposition pour l'entraînement des chevaux. L'éleveur est au repos pour l'instant.Oh,dit à Klaus que je veux voir courir Alberta Comète, Vendredi. Je veux que ce cheval vole sur la piste ! Et tu entraînera toi même Kolasco.Je veux que Nicolas recontacte celui qui avais des vus sur Eijil du Sarl... et.. je t'à pas bientôt finis de crayonner sur ce morceau de papier ?!

-Je...vous allez un peu vite et,ça fait beaucoup à...enfin,je...

-Silence ! Bon,je te alisse crayonner sur ce vulgaire carnet mais apprend à mémoriser mes propos !Où en était-je... ah oui, donc Eijil du Sarl en premier de la liste des ventes. Bon;je crois que c'est tout...entretin,soin,cours,chevaux de course,Alberta Comète et Kolasco... et bien..ah non ! Tu dira aux Dreseur que je vérifierai leur travail sur nos chevaux de guerres jeudi à 8h30 précise.Les chevaux seront dans le manège. Voilà ! Tout est enregistré ?

-Oui juste j'aimerais...

-Parfait ! A Mercredi Patch !

-heeuuuu...bonn... Bon Voyage !

D'un claquement de langue,Aramis pris le trot.Une sortie...rien qu'Aramis et moi. J'aime mon écurie plus que tout.J'aime m'occuper des affaires du centre,mais j'avoue que parfois il faut vraiment que je décompresse. Je me retourna sur la selle. Les bâtiments se faisaient plus petits,plus lointains. Je soupira et sourit.Je savais que ce n'était qu'une petite semaine à peine,mais l'idée de me séparer de ma maison me chamboulais quelques peu. Je me reconcentra sur le chemin pavé et le trot assuré d'Aramis. D'un mouvement du bassin,il prit un galop ample et allongé. Le vent soufflai dans mes cheveux.Des bourasques douces qui rappellait la mer. Tien,j'ai une soudaine envie de m'allonger sur un rocher et d'écouter le bruit de l'eau.Je sais où je vais.Les Criques ! J'ai envie de voir le rouge des pierres et la clarté iréel de l'eau d'Argyrei. Aramis accelera brusquement je rigola en le reprenant et murmura à son oreille :

-Pas si vite Aramis !Prenons le temps de savourer ce doux vent

Il ralentit et hénnit;je rigola en caressant son encolure. Le petit bois grandissait à mesure qu'on s'y approchait. l'aventure commençait !


-Ooohhhhh....On va s'arreter ici Aramis.

Le grand cheval blanc s'arreta.Je me glissa à terre et enleva la selle et la bride du cheval.Il secoua sa tête.je sourit.On avait parcouru la moitié du chemin.La nuit tombait et le froid s'installai.Je ramassa quelques morceau de bois et fit un feu. Je ne mangea rien ce soir là. Roulé en boule contre le flanc d'Aramis couché derrière moi,je ferma les yeux.M'abandonnant aux bruits des braises qui crépitaient.
Le lendemain,il faisait beau et le soleil tapait. Sur Aramis,on marcha la plupart du temps.La végétation abondante et verte se rarifia.On approchaient ! A l'horizon,on appercevais le rouge et l'ocre se confondre. Le pays du feu était là. Droit devant. La terre n'était pas profondes et ne glissai pas.

- On pique un galop ?

Le cheval hénnit et se prépara. A la première note de mon chant de guerre,il prit le galop. Tel une flèche,il traça la route.Soulevant du sable couleur d'or.Quel beau tableau.Une femme avec une robe blanche et doré sur un étalon de neige,dans un paysage rouge et ocre. Quel beauté. Je pouvais imaginé les jambes du cheval au ralentit.Voir les nuages de poussières former des tornades sous moi.Admirer les crins du cheval volé dans le vent...Je soupira de bonheur.La vie comme je la voullais.La vie comme je pouvais encore la sentir...alors que j'était morte.
Les roches couleur rouille se rapprochaient.L'herbe était sèche et couleur paille.Le cheval ralentit.La terre était roqueuse.Dur. Je descendit de cheval et marcha avec Aramis. Il nous fallu une bonne journée pour ateindre la Crique.L'air était chaud.La sueur perla sur mon front. Je ferma les yeux.Mon pouvoir roula sur ma peau.Frais.Doux.parfait...le vent souffla dans mes cheveux.Je commença à chantonner un viel aire de musique.Le vent continua de souffler sur nous. L'air paraiçait moin chaud.Non,enfaite,il était moin chaud.Il était à température de printemps.Sans que j'ai fait quelque chose,l'atmosphère devient soudain plus humides,plus fraiches. L'eau était proche. J'ouvrit les yeux.Les Criques. On se croyaient au bas d'un canyon.Les roches formaient des chateau iréel.Le soleil formaient un contraste ombre et lumière magnifique à voir.L'eau était aussi pure que du cristal.Au fond,des galets doré et sombre perlaient la rivière.

-On y est Aramis...

Des souvenirs me revinrent.C'était ici que parfois mon père m'emmenait. Il disait : "- Regarde Mirage. Toute cette beauté.Toute cette magie...c'est magnifique non ?" et je répondais : "- Oui papa...C'est merveilleux !" et il me regardais de ces yeux amoureux et murmurait : " -Oui...tout comme toi ma chérie..." il m'embrassait sur le front,tendrement.
Une larme roula sur ma joue.Tel une perle immaginaire.Je l'éssuya d'un revers de manches et murmura :

-J'aimerrais que tu sois là... je voudrais encore voir cette lueur qui scintillais dans tes yeux quand tu me regardais. J'aimerrais tout refaire...j'aurrais tellement aimer te sauver...

Une douce brise chatouilla mon visage. Aramis posa sa tête sur mon épaule.je le caresa en souriant doucement. J'aurrais tant aimer que mon père soit là.Tant aimer voir cet homme si beau et si tendre.mais,ce n'était plus que des souvenirs.Aussi réel parraissent-il ,il ne me rendrais jamais le père que j'ai eu.
"- Je ne veux pas que tu le tue.
-Il à tué ma famile !
-Mirage... crois tu qu'en le tuant il te rendrais tes parents ?
-jee...je..Non,mais... il mérite de mourir ! Il à tout détruit..Tout..."
Et ce fut qu'en regardant le cadavre de cet abobinable ladrnis que je compris.La vengeance est quelque chose de stupide.Elle fait du bien,mais elle ne nous rend pas ce que l'autre nous à pris.
Je soupira. Je m'avança et m'allongea sous un abri fait de roche.Le plafond était moin rouge. Des pics pointus le décoraient.Les colones de pierre soutennaient cette structure. Je sourit.C'était ici que souvant il m'ammenai.Notre "petit coin à tout les deux". Aramis s'approcha et se coucha près de moi. Adossé contre la roche,il me regarda de ces yeux ambré.Je caressa son encolure du dos de la main.Le soir tomba. la lumière des étoiles se reflettait sur l'eau qui ruisselait. Le bruit était doux,magique. J'avais fait un feu.les ombres des flammes dansaient sur la paroi de la roche,tel des anges iréel. Je soupira.Aramis s'était à moitié endormi.Je me blottis contre son ventre chaud et souleva la couverture.J'enfouis mon nez dans le tissu doux et chaud. Aramis était sous une couette lui aussi ! je ramena mes jambes contre ma poitrine et ferma les yeux. le sminutes passèrent.Un bruit me fit ouvrir les yeux. Aramis avait relevé la tête. il y avait quelqu'un. Mon épée était sous la couette. Je prit le manche doucement et attendis.[/color]